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(01/09/2009 16:51:39)

Semestriels Steria : Malgré la baisse du CA, la SSII résiste

Le PDG de Steria, François Enaud, a mis en avant la solidité du modèle de production de services intégré construit par sa SSII, lors de la présentation, ce matin à Paris, des résultats de son premier semestre. « Un modèle capable de résister à une pression sur les prix, dans une conjoncture un peu chahutée », a-t-il commenté. Le chiffre d'affaires du groupe recule pourtant de 8,3%, à 805,4 M€, par rapport aux six premiers mois de 2008. Mais à taux de change constant, la baisse se limite à 2,3%. Le dirigeant souligne la résistance de la marge opérationnelle sur le semestre, à 6,9% du chiffre d'affaires (7,1% l'an dernier), et la bonne gestion de la trésorerie, avec des ratios d'endettement « très raisonnables » fin juin et 380 M€ de liquidités. Le ratio de prises de commandes sur chiffre d'affaires s'établit à 1,12 au 30 juin, et la dette financière du groupe est ramenée à 240 M€, soit 100 M€ de moins qu'un an plus tôt à même époque. Steria insiste par ailleurs sur le succès de son intégration avec la SSII britannique Xansa, rachetée mi 2007. « Nous avons bénéficié d'une synergie de coûts qui atteindra 49,5 M€ fin 2009 », indique François Enaud. Les systèmes d'information de Xansa ont désormais migré vers ceux de Steria, ce qui permet de générer des synergies commerciales et de déployer le modèle offshore sur l'Europe. Le modèle intégré de production de services décrit par François Enaud a été répliqué à partir de l'organisation sans couture mise en place par Xansa avec ses équipes indiennes. « C'est un modèle totalement intégré où la ligne de partage entre onshore et offshore peut évoluer tout au long d'un projet ». Il ne s'agit pas seulement d'un modèle défensif sur les marges, mais aussi d'un modèle offensif, affirme le PDG de la SSII. La France signe un contrat d'infogérance globale avec SFR [[page]]Au Royaume-Uni (39,7% de l'activité de Steria), le chiffre d'affaires baisse de 2,1%, à périmètre et taux de change constants, mais devrait croître au deuxième semestre. « Nous sommes sur des opérations de plusieurs centaines de millions d'euros », précise le PDG de la SSII. Le chiffre d'affaires de la France (31,7% du total) recule de 4,2% et celui de l'Allemagne (14,6% du total), surtout axé sur le conseil, de 7,1%. A noter que Steria France a remporté, avant la fin du semestre, son plus gros contrat à ce jour, d'un montant de 100 M€ sur quatre ans. Signé avec SFR, il porte sur l'infogérance globale du système d'information de l'opérateur sur lequel Steria cherche à atteindre 30 à 40% de productivité sur les quatre ans. « La crise ne tue pas la dépense informatique, elle la rationalise, commente à ce propos François Enaud. Encore faut-il disposer de l'offre de transformation et de l'outil industriel pour la réaliser ». Dans le reste de l'Europe (CA en progression de 6,6%), les très bons résultats de Steria en Scandinavie compensent largement les fortes difficultés rencontrées en Espagne. L'offshore se développe moins rapidement qu'attendu en France Globalement, l'activité conseil et intégration de systèmes, qui représente 60% du chiffre d'affaires de la SSII, a progressé de 1,7% sur le semestre, tandis que l'activité infogérance et BPO (business process outsourcing) a reculé de 8,6%. Toutefois, Steria réalisant de plus en plus de contrats globaux, l'équipe de direction explique qu'il est quelquefois difficile de répartir strictement les chiffres d'affaires entre les deux pôles d'activités. Sur les recrutements, comme prévu, la SSII a « ajusté sa capacité de production à la réalité de ses projets ». En France, tous les départs n'ont pas été remplacés et les embauches ont été beaucoup plus sélectives. L'effectif a été réduit de 140 personnes. Et même en Inde, il a baissé de 160 postes, ce qui n'était pas prévu il y a six mois. Avec la montée en charge des inter-contrats en début d'année, l'offshore s'est développé moins rapidement qu'attendu en Europe (alors qu'il a augmenté au Royaume-Uni). Les clients français n'ont pas poussé vers l'externalisation, explique Steria. A noter qu'il n'y a pas eu non plus de contrats de BPO signés en France ce semestre. Evoquant les programmes de réduction de coûts, François Enaud a tenu à rappeler qu'il y avait trois domaines sur lesquels Steria avait décidé de ne pas faire d'économie. « Premièrement, nous ne baissons pas les dépenses de réflexion stratégique car il faut avoir une bonne analyse de la qualité du portefeuille, explique-t-il. Deuxièmement, pas d'économie non plus sur le commercial. Tous nos commerciaux sont allés en Inde pour comprendre le modèle hérité de Xansa. Enfin, nous ne réduisons pas la communication. » (...)

(01/09/2009 16:08:44)

eBay se débarrasse (enfin) de Skype pour 1,9 Md$ [MàJ]

[Mise à jour] Cinq mois après avoir annoncé qu'il souhaitait introduire Skype en bourse, eBay a cédé aujourd'hui 65% de son service de téléphonie par Internet, pour un montant de 1,9 Md$, à un consortium d'investisseurs. Il s'agit essentiellement de Silver Lake Partners, épaulé par Index Ventures et par Andreessen Horowitz, une société de capital-risque codirigée par Mark Andreessen (membre du conseil d'administration d'eBay et de Facebook) qui a déjà investi dans Netvibes ou Twitter. Niklas Zennström et Janus Friis, les fondateurs de Skype, ont tenté de remettre la main sur leur outil de communication et s'attelaient depuis des mois à réunir les fonds nécessaires. Ils ne sont pas parvenus à satisfaire la gourmandise d'eBay. Les acquéreurs de Skype devront cependant résoudre un problème de licence. Skype repose sur une technologie peer-to-peer développée par Joltid, une société qui appartient aux deux fondateurs. Jotlid a annoncé en avril dernier que le contrat de licence signé avec Skype ne serait pas renouvelé. Furieux, les dirigeants d'Ebay ont porté cette affaire devant la justice, qui ne devrait pas rendre sa décision avant juin 2010. eBay a racheté Skype en 2005 au prix de 2,6 Md$. Entre 2005 et 2007, ce service lui aura fait perdre 1,4 Md$ . Skype compte 480,5 millions d'utilisateurs dans le monde. (...)

(01/09/2009 15:48:05)

EMC achète l'éditeur d'administration de datacenters Fastscale

En cette fin d'été, la concentration du marché sous le signe du cloud continue. Alors que Tibco vient d'absorber Data Synapse et son grid computing, c'est au tour d'EMC d'annoncer le rachat de FastScale Technology, éditeur de logiciels d'administration dynamique de datacenters. Objectif : bâtir un environnement d'administration pour les clouds privés. Créée en 2006, la petite société californienne qui compte parmi ses managers des anciens d'Alcatel Lucent, d'IBM, de SGI ou de VMware, propose une plateforme intégrée destinée à bâtir, gérer et déployer dynamiquement des environnements serveurs. Elle s'occupe aussi bien de systèmes physiques, que de systèmes virtuels ou d'environnements de cloud, sous Windows comme sous Linux. Pour FastScale, cette offre permet de « considérer toute l'infrastructure comme un ensemble dynamique de ressources de calcul capables d'exécuter n'importe quelle application à n'importe quel moment. » EMC devrait tout naturellement intégrer ces fonctions dans ses propres produits Ionix d'administration de ressources serveurs, de stockage et de virtualisation. Aucune des deux sociétés n'a encore donné de précision sur les conditions de cette acquisition. (...)

(01/09/2009 12:45:44)

Le milliardaire Carl Icahn cède 12,7 millions d'actions Yahoo

Le milliardaire américain Carl Icahn, qui avait tenté de pousserYahoo dans les bras de Microsoft l'an dernier, vient de céder 12,7 millions de ses actions du spécialiste Internet. L'investisseur a vendu ses titres pour un prix moyen de 14,58 $, selon un rapport déposé auprès de la SEC, le gendarme de la bourse américaine, soit un montant total de 188,6 M$ environ. L'année dernière, Carl Icahn est pourtant monté à deux reprises dans le capital de Yahoo. Il avait d'abord acheté 69 millions d'actions pour 25 $ par titre puis 6,9 millions supplémentaires, pour moins de 10 $ par titre. Aujourd'hui, Carl Icahn fait finalement passer sa participation dans la société de 5,38% à 4,48% (62,87 millions d'actions). Pourtant, Jerry Yang, PDG de Yahoo jusqu'à la fin 2008 et en fort désaccord avec Carl Icahn sur la stratégie, a quitté son poste. Et l'entreprise désormais dirigée par Carol Bartz est finalement parvenue à trouver un accord avec Microsoft pour la recherche en ligne. Ni le rapport communiqué à la SEC, ni le blog tenu par le milliardaire ('The Icahn Report') ne donnent la moindre explication à ce revirement brutal, peut-être dû à la déception de l'homme d'affaires de n'avoir pas vu aboutir une réelle fusion entre Yahoo et Microsoft. Carl Icahn a en effet longtemps caressé cette idée. Il s'est battu pour que Yahoo accepte l'offre de rachat de Microsoft, pour un montant de 44,58 Md$ (soit 33$ par action) allant jusqu'à menacer le portail de se lancer dans une bataille de mandats (proxy fights) s'il s'obstinait dans son refus. Carl Icahn a même obtenu une place au sein du conseil d'administration de la société. (...)

(01/09/2009 11:39:36)

Tibco met la main sur DataSynapse, un des pionniers du grid

Tibco, spécialiste du middleware, met la main sur un des acteurs historiques du grid computing, DataSynapse pour 28 M$. Ce dernier propose des outils de réservation et d'allocation dynamique des ressources matérielles et logicielles en environnement distribué. Autant d'éléments indispensables aujourd'hui à qui souhaite, comme Tibco, se développer dans le cloud computing. Spécialiste, à l'origine, de la gestion d'infrastructures matérielles et systèmes distribuées avec GridServer, DataSynapse a glissé petit à petit vers la gestion distribuée de services applicatifs (DASM, Dynamic Application Service Management) avec FabricServer. Son Federator destiné à chapeauter l'ensemble est, quant à lui, en version bêta dans l'environnement EC2 d'Amazon. Début août, DataSynapse annonçait l'intégration de FabricServer à l'environnement VMware. De son côté, Tibco avait levé le voile fin juin sur son futur Silver, plateforme de déploiement dynamique d'application sur des clouds. Les synergies des deux offres parlent d'elles-mêmes. Mi-août, on évoquait la possibilité d'un rachat de Tibco par SAP. Ce dernier a depuis démenti. (...)

(31/08/2009 17:24:04)

Semestriels Altran : -13,2% sur le chiffre d'affaires

Affecté par les difficultés du secteur automobile et par la baisse de son activité de conseil en management, Altran annonce sur le premier semestre 2009 un chiffre d'affaires en recul de 13,2%, à 721,1 M€. Sur la période, la société de conseil en innovation enregistre une perte nette de 30,2 M€ et une perte opérationnelle de 20,7 M€. Elle souligne néanmoins avoir réduit de 59 M€ ses charges opérationnelles sur ces six mois, par rapport au premier semestre 2008, ce qui lui permet de dégager un résultat opérationnel courant de 8,9 M€ (1,2% du chiffre d'affaires). En juin dernier, la société de conseil en innovation a consulté ses représentants du personnel sur la mise en place d'un plan personnalisé de départs volontaires centré sur ses activités liées à l'industrie automobile. Les premiers départs devraient intervenir au cours de ce deuxième semestre. Le groupe dit par ailleurs avoir étendu sa présence chez plusieurs grands clients, dont Airbus, et signé de nouveaux référencements chez Alstom, Thales, Siemens et Areva. Sur le secteur automobile, il s'est recentré sur les activités à forte valeur ajoutée, notamment pour tirer parti des rachats réalisés en 2008 dans le domaine de l'embarqué. (...)

(31/08/2009 16:52:56)

Sun dans le rouge à la veille de son absorption par Oracle

Dans l'attente de l'accord de la Commission européenne pour son absorption par Oracle, Sun clôt son année fiscale sur un trimestre désastreux. Le constructeur affiche une perte de 147 M$, dont 79 M$ à caractère exceptionnel, sur un CA en diminution de 31% à 2,62 Md$. De toute évidence, ses clients ont gelé leurs commandes dans l'attente des coupes claires que tarde à annoncer Oracle. En attendant, Sun affiche une chute de 38% de ses activités matériels et logiciels à 1,48 Md$ et de 18% des services à 1,14 Md$. Les serveurs Sparc Enterprise (à base de Sparc64-VII) ont enregistré une dégringolade de leur CA de 54% à 435 M$. Les ventes de modèles Niagara sont restées étales à 355 M$ et celles des serveurs x64 Galaxy ont baissé de 9% à 178 M$. Dans l'ensemble, les livraisons ont baissé de 34%. L'activité stockage régresse de 48% à 242 M$, malgré un bond de 51% de la ligne "Open Storage" à 51 M$. En revanche, l'activité autour de Java a progressé de 22% à 108 M$ et celle de MySQL de 10% à 100 M$. L'activité licence et virtualisation a baissé de 29% à 45 M$. Sur l'exercice, les ventes de matériel et de logiciels ont baissé de 22% à 6,7 Md$ et celles de services de 9,8% à 4,75 Md$. La société conserve tout de même 1,87 Md$ de liquidités et 981 M$ d'investissements à court terme. (...)

(31/08/2009 16:45:51)

Semestriels : Sopra limite la chute de son CA à moins de 1%

Sopra a présenté ce matin, 31 août, les résultats de son premier semestre 2009 qui laisse transparaître une bonne résistance à la situation de crise actuelle. Le chiffre d'affaires de la SSII française pour la période s'élève à 544,8 M€ contre 549,6 M€ pour le premier semestre 2008, soit une baisse de 0,9%. La diminution de - 4,3% du CA organique le situe au même niveauque l'ensemble des SSII françaises plutôt en difficulté sur la première moitié de l'année. Le résultat net de 10,8 M€ (contre 24,7 M€ l'an dernier) accuse une chute de près de 57%. Le résultat opérationnel courant de 26,5 M€ (-35%) assure néanmoins une marge opérationnelle courante de 4,9 % (contre 7,4 % en 2008). La crise est une des explications fournies par Sopra pour cette baisse de son CA. Pierre Pasquier, PDG de la SSII, explique néanmoins que ses clients ont différé, ou morcelé, certains projets sans les annuler pour autant. Des pays comme l'Espagne, particulièrement touchés par la crise, ont aussi affecté les ventes. Enfin, la société a tout simplement eu du mal à rester à la hauteur de ses très bons chiffres de l'an dernier. Des charges de personnel en hausse Les charges de personnel ont crû de 1,4%. Comme l'explique Pierre Pasquier, PDG de Sopra, la société a réduit de près d'un tiers le nombre de sous-traitants qu'elle emploie, mais elle a aussi recruté 300 personnes en début d'année et augmenté légèrement les salaires. « Nous avons par exemple eu recours à des stagiaires que nous hésitions à transformer en CDI, ajoute-t-il, et nous les avons finalement transformés. » En juin, Sopra comptait 12 750 employés. L'intégration de systèmes et solutions (ISS), qui représente près de deux tiers de l'activité de Sopra, a augmenté de 2,8% en France à 353,2 M€, alors qu'elle a plongé de 17,9% en Europe à 89,5 M€ (-14,3% en croissance organique). Axway, la filiale de Sopra éditeur de logiciels de transfert de données, a vu son CA grimper de 14,9% au total mais reculer de 14% en organique. Elle avait absorbé, en fin d'année dernière, le spécialiste du transfert de fichiers B2B, Tumbleweed. Les solutions applicatives, dont celles d'Axway, comptent pour 27% dans le CA de Sopra. Le conseil en management (12%) subit de son côté une forte baisse d'intérêt (-23,1% à 19 M€) qui conforte Sopra dans son idée de regrouper l'ensemble des activités de conseil (Orga Consultants et activité de business consulting). Les commandes du secteur public en forte croissance [[page]]Le secteur des services financiers représente 29% des ventes, devant l'industrie avec 18% (une dizaine de grands comptes dont EADS) et le secteur services/transports/énergie pour 18% également. « Progressivement, nous assistons aussi à une énorme poussée des prises de commandes du secteur public - aujourd'hui 16% du C.A., ajoute Pierre Pasquier, en particulier en France. » La SSII a signé cette année des contrats et en a renouvelé d'autres avec nombre de grands comptes comme EDF, BNP Paribas, HSBC, le Minefi pour le système d'information financière de l'Etat Chorus, le Ministère de la Défense ou encore EADS. En trois ans, le CA réalisé par Sopra pour EDF a triplé, tant en conseil, qu'en assistance à maîtrise d'ouvrage, formation, CRM, etc. L'industrialisation des back-offices bancaires est par ailleurs à l'origine de toute une série de grands projets complexes. (...)

(31/08/2009 16:16:12)

Richard Egan, cofondateur d'EMC, s'est donné la mort

Le cofondateur d'EMC Richard Egan est décédé vendredi des suites d'une blessure par balle qu'il se serait lui-même infligé, selon le Boston Globe. Agé de 73 ans, le milliardaire américain (355e fortune aux Etats-Unis, d'après le classement 2008 de Forbes) souffrait d'un cancer du poumon diagnostiqué en début d'année, ainsi que d'autres pathologies graves. Richard Egan a créé EMC avec Roger Marino il y a trente ans, à Newton, dans le Massachussetts. Il a exercé le poste de directeur général de la société jusqu'en 1992 et a siégé au sein du conseil d'administration jusqu'en 2001. Il a également été ambassadeur américain en Irlande, pays dont sa famille est originaire, entre 2001 et 2002. Dans un communiqué, les actuels patrons d'EMC, dont le CEO Joe Tucci, ont déploré la perte « d'un grand homme et un grand leader ». (...)

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