Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 3911 à 3920.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(20/08/2009 17:25:23)
Les ventes d'imprimantes chutent de 24,4% au 1er semestre.
Avec 18 millions d'unités vendues sur les six premiers mois de l'année, le marché des imprimantes a baissé en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (EMEA) de 24,4% par rapport au même semestre de 2008, selon Gartner. Cette analyse prend en compte aussi bien les imprimantes classiques que les copieurs et les multifonctions. Pour expliquer une telle chute, le Gartner s'en tient à l'impact de la crise qui a été préjudiciable aux clients, qu'il s'agisse de particuliers ou d'entreprises. Mais cela ne suffit pas à expliquer l'ampleur de la baisse sur ce marché, supérieure à celle enregistrée sur tous les autres secteurs informatiques. une dégringolade de plus de 30% pour HP Les principaux constructeurs sont très affectés, mais dans des proportions différentes. Le n°1, HP, est le plus atteint avec une chute de 31,5% de ses ventes. Il est passé de 44,6% à 40,5% de parts de marché et de 10,6 à 7,3 millions d'unités vendues. C'est Canon qui enregistre le deuxième plus mauvais score avec -25,8% et 16,1% de parts de marché contre 16,4%. Canon a vendu 2,9 millions d'imprimantes contre 3,9 millions un an auparavant. Les trois suivants semblent un peu moins affectés, en tout cas, ils se trouvent sous la moyenne des 24,4% de baisse. Epson suit Canon de très près avec 14,4% de parts de marché (contre 16,1% à son rival). Il baisse de 16,3% par rapport à l'an passé avec 2,6 millions d'unités vendues conte 3 millions un an auparavant. Brother, quatrième, baisse de 8,4% avec 1,4 million d'unités vendues, contre 1,5 million au 1er semestre 2008. Brother passe de 6,3 à 7,6% de parts de marché. Collant aux basques de Brother, Samsung est à -6,2%, et 7,4% de parts de marché (1,3 million de ventes), contre 6% (et 1,4 million de ventes) au 1er semestre 2008. Les autres fabricants sont collectivement à -22,9%, ils représentent 14% de parts de marché contre 13,7% un an auparavant. (...)
(20/08/2009 17:05:13)Google adapte son moteur de recherche à Salesforce.com
La recherche sur Google est devenue une seconde nature pour les internautes. A tel point d'ailleurs, que le géant propose désormais d'utiliser cette fonction dans certaines applications d'entreprise. Pour ce faire, il a développé des connecteurs GSA (Google Search Appliance) pour Sharepoint de Microsoft ou pour Documentum, par exemple, mais aussi pour le CRM (Customer relationship management) en ligne de Salesforce.com. Un utilisateur qui exécute une recherche sur l'intranet de son entreprise obtiendra ainsi une page de résultats issus aussi bien de ces trois applications que du Web, mais tous présentés de la même façon. Google en a profité pour améliorer le connecteur destiné à Sharepoint qui supporte la collecte multi-sites et les versions 64-bits de Windows. Side-by-side compare les résultats de GSA et de Google Site Search En juin, Google avait lancé la version 6.0 de GSA disponible en deux déclinaisons. La première, GB-7007, peut chercher dans une masse de 500 000 à 10 millions de documents, et la seconde, GB-9009, dans 30 millions de documents. Enfin, Google introduit parallèlement le module gratuit Side-by-Side, destiné aux administrateurs. Il compare les résultats de GSA et ceux de Google Site Search (utilisation de Google Search dans un site Web) avec ceux d'autres moteurs de recherche. Il peut aussi afficher la comparaison entre deux recherches exécutées avec GSA. Les résultats s'affichent côte à côte (side by side) dans deux panneaux et l'utilisateur peut voter pour celui qui lui paraît le plus pertinent. (...)
(20/08/2009 15:13:42)Red Hat domine le marché Linux, seul Novell lui résiste
D'après ce qui filtre de la dernière étude d'IDC sur le marché Linux*, Red Hat s'est accaparé 64,7% des 567 M$ (+23,4%) de chiffre d'affaires généré autour de Linux en 2008, autrement dit, le support. Si l'on ajoute les 29% attribués à Novell, il ne reste pas grand-chose pour les autres distributions. Red Hat et Novell se tailleraient aussi la part du lion de la base installée gratuite (c'est-à-dire sans support). La base installée totale de RHEL (Red Hat Enterprise Linux) représenterait 47,6% du marché. Si l'on ajoute à ce chiffre celui du clone CentOS et celui de la distribution gratuite Fedora, on dépasse les 57%. En 2008, Red Hat a enregistré une croissance de près de 15% de son activité de support, à 367 M$, tandis que Novell, qui bénéficie de la vente de "bons" de support accordés par Microsoft, a connu une croissance de 50,3% à 169 M$. Les autres distributions ont enregistré une croissance moyenne de 13,1% de leur activité de support à 31 M$. Les distributions commerciales sans support progressent Avec une croissance annuelle moyenne estimée à 16,9%, IDC prévoit que le marché du support des distributions Linux atteindra 1,2 Md$ en 2013, soit 4% du marché total du logiciel, contre 2,2% en 2008. Le cabinet souligne que les installations sans support des distributions commerciales seraient en plus forte croissance que celles associées à un support payant. Ce phénomène pourrait aboutir à un parc installé en entreprise à parité entre les distributions d'entreprise payantes et celles "gratuites". Selon IDC, ce serait la plus grave menace pour l'avenir de Linux : plus les entreprises s'en servent, moins elles payent le support. * Worldwide Linux Operating Environment 2009-2013 Forecast: Can Linux Prove Resilience in an Economic Slump (étude payante). (...)
(19/08/2009 16:25:30)A l'exception des services, HP affiche un 3e trimestre exécrable
HP clôt son troisième trimestre sur des résultats particulièrement moroses. Le CA baisse de 2% à 27,5 Md$ et le résultat net de 19% à 1,6 Md$. Ces baisses interviennent malgré une très forte hausse de l'activité de services du géant, grâce au rachat d'EDS, des réductions de salaires et le licenciement de 2% des salariés (en sus des 16 000 postes déjà supprimés dans le cadre de l'intégration d'EDS). Avec une baisse de CA de 12% à 9,9 Md$, c'est l'Europe qui affiche les plus mauvais résultats. Pendant ce temps, le CA a progressé de 8% aux Etats-Unis à 12,8 Md$. Un résultat brut opérationnel sauvé par les services L'activité de services est la seule dans laquelle HP parvient à juguler la crise. Son CA a gonflé de 93% à 8,5 Md$ et son résultat brut de 127% à 1,29 Md$ avec l'intégration d'EDS. Et c'est grâce aux services que le résultat brut opérationnel global progresse de 8% à 3,18 Md$. A l'exception du logiciel (+13% à 153 M$), toutes les autres activités voient leur rentabilité baisser : -34% pour la micro et - 35% pour le tandem serveurs - stockage et même -8% pour la division imprimantes et image. Les ventes de micros se sont effondrées de 18% à 8,4 Md$ malgré une hausse des livraisons de 2%. Le CA des portables baisse de 10% à 4,8 Md$ et celui des machines de bureau de 26% à 3,09 Md$. HP revendique toutefois des gains de part de marché, tant sur la micro que sur les serveurs x86. Sur ces derniers, il enregistre une baisse de CA de 21% à 2,26 Md$. Les ventes stockage ne font pas mieux (-21% à 820 M$). Et les serveurs d'entreprise enregistrent une chute de 30% à 578 M$. Les consommables aussi subissent la crise [[page]]Les ventes d'imprimantes souffrent avec un CA de 5,7 Md$ en régression de 20%. Même les consommables (70% du CA) accusent une diminution de 12% de leurs ventes. Quant aux logiciels, ils perdent 22% à 847 M$. HP confirme ses prévisions de mai qui anticipaient une baisse du CA annuel de 4 à 5%. Son PDG, Mark Hurd, estime toutefois que l'environnement économique a touché le fond et que son groupe résiste mieux que ses concurrents à la crise. (...)
(19/08/2009 12:29:57)En hausse de 46%, Gmail talonne Hotmail qui ne progresse que de 3%
Aux Etats-Unis, Gmail, le webmail de Google, supplante celui d'AOL à la troisième place. Selon ComScore, Gmail a totalisé 36,9 millions de visiteurs uniques en juillet dernier, soit une progression de 46% par rapport à juillet 2008. Entre septembre 2007 et septembre 2008, le webmail avait cru « seulement » de 39%. Cette mesure de la fréquentation permet de se faire une meilleure idée du succès d'un webmail que celui du nombre d'inscrits puisqu'il prend en compte son activité. Hotmail de Microsoft se place toujours deuxième avec 47,1 millions de visiteurs mensuels. Mais sa fréquentation n'a crû que de 3% sur un an. Selon ComScore, si Gmail continue au rythme actuel, il devrait le dépasser d'ici le mois de février prochain. Dans le même temps, AOL a vu sa fréquentation fondre de 19% à 36,4 millions. Loin devant tous les autres avec 106,1 millions de visiteurs, Yahoo Mail enregistre aussi un taux de croissance de 22% qui lui permet de se tenir à distance de ses concurrents. ComScore explique la croissance record de Google par l'ajout régulier de fonctions qui gravitent autour de son webmail (Calendar, Docs...) (...)
(18/08/2009 15:31:38)La BNF s'en remettrait finalement à Google pour numériser ses livres
Fontaine, je ne boirai pas de ton eau... La Bibliothèque Nationale de France (BNF) l'avait juré : elle n'aurait jamais recours à Google pour numériser ses ouvrages. Aujourd'hui pourtant, selon nos confrères de la Tribune, c'est bien ce qu'elle s'apprête à faire. Denis Bruckmann, directeur général adjoint et directeur des collections de la BNF, a confié au quotidien qu'il était en négociation avec le numéro un mondial des moteurs de recherche. En 2005, la BNF avait pourtant mis en branle le projet de bibliothèque numérique Europeana, finalement ouverte, non sans difficulté, fin 2008. Mais les coûts de la numérisation de livres souvent rares, précieux et difficiles à manipuler, auront sans doute raison de cette initiative d'irréductibles gaulois. Le budget annuel de 5 millions d'euros de la BNF ne suffira pas, loin de là, à une opération qui devrait représenter plusieurs dizaines, voire centaines de millions d'euros. Mais ce n'est pas tout. Dans le monde, 29 grandes bibliothèques ont déjà fait appel à Google. Et la polémique règne dans nombre de pays où le géant américain est intervenu pour transformer les livres en patrimoine numérique. Pour commencer, l'Américain a bel et bien l'intention de commercialiser les ouvrages une fois numérisés et non de les laisser en accès libre dans le seul but d'offrir la culture à tous. Aux Etats-Unis, des actions collectives en justice (class actions) ont déjà été menées contre Google qui se passe régulièrement de l'autorisation des auteurs (et du versement de droits, par la même occasion) avant de mettre en ligne leurs publications. Depuis, les différentes parties ont trouvé un accord. L'an dernier, la ville de Lyon avait, elle aussi, signé avec Google qui doit numériser le patrimoine de la bibliothèque municipale et verser quelque 60 millions d'euros en échange d'une autorisation de l'exploitation de la copie numérique des ouvrages. (...)
(18/08/2009 15:29:00)Trois éditeurs de BI se mettent en cloud avec Rightscale
Talend, Jaspersoft et Vertica viennent d'annoncer une offre décisionnelle combinée, à exploiter dans le cloud EC2 d'Amazon, avec la solution d'administration de RightScale conçue pour ce type de plateforme. Le Français Talend et le Californien Jaspersoft, deux éditeurs investis dans les logiciels en Open Source, y apportent respectivement leurs outils d'intégration (pour le premier), d'analyse de données et de reporting (pour le deuxième). Quant à Vertica (Massachussetts), la société fondée par Michael Stonebraker, qui fut le co-développeur de la base de données Ingres, elle fournit son entrepôt de données qui se distingue par son mode de stockage en colonnes. Les outils d'administration de RightScale sont utilisés pour installer des instances de Talend, Vertica et Jaspersoft sur le cloud EC2. Les données sources sont transférées sur le cloud avec les fonctions ETL de Talend et chargées dans le datawarehouse de Vertica. L'analyse et la restitution des données s'effectuent ensuite avec la suite de Jaspersoft. Pour créer un prototype d'application décisionnelle Les quatre éditeurs suggèrent plusieurs scénarios d'applications autour de cette offre commune. Elle pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de déporter certains traitements lourds risquant de surcharger le datawarehouse interne ou de requérir une mise à jour coûteuse. Elle pourrait aussi servir à tester un prototype d'applications BI sans nécessiter la mise en place d'une infrastructure, ou encore être utilisée ponctuellement pour créer des applications analytiques à la demande afin de réagir rapidement à un brusque changement du marché. Ou tout simplement, elle pourrait être exploitée telle quelle, comme une offre de BI dans le cloud. Pour Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service, cette offre peut notamment intéresser les entreprises, des PME par exemple, qui n'ont pas encore déployé de solutions décisionnelles ou qui s'appuient sur les outils de reporting intégrés aux applications qu'elles utilisent. Dans le même ordre d'idée, l'analyste considère que cette solution de BI dans le cloud pourrait intéresser des revendeurs ou des consultants qui s'adressent justement à ces PME. Une offre BI facturée à l'usage par chaque éditeur Brian Gentile, PDG de l'éditeur Jaspersoft, et Michael Crandell, PDG de RightScale, ont déjà eu l'occasion de présenter cette offre combinée lors du salon CloudWorld Expo qui s'est tenu les 12 et 13 août au Moscone Center de San Francisco. Une version d'essai gratuite de trente jours est déjà proposée sur le site de Rightscale. Si les quatre éditeurs se sont entendus pour livrer la solution dans un même mouvement et faciliter le processus global de vente des différents produits, en revanche, chacun d'eux assurera indépendamment le support de ses logiciels et nouera ses propres engagements contractuels avec les clients intéressés. C'est ce qu'a précisé Yves de Montcheuil, vice président marketing de Talend, à IDG News Service. Le paiement se fera sur le mode de facturation 'à l'usage' propre au cloud. (...)
(18/08/2009 13:11:07)Google toujours loin devant Yahoo! et Bing, même réunis
Selon Comscore, spécialiste de la mesure Internet, les utilisateurs de Google lui sont très fidèles. C'est ce qui expliquerait que Google s'est accaparé en juin 65% des 14 milliards de requêtes en provenance du territoire américain, ne laissant que 19,6% à Yahoo et 8,4 % au Bing de Microsoft, toujours en bêta. Si l'on compare au mois précédent, l'effort de promotion de l'éditeur de Redmond sur Bing, n'a pas eu d'effet notoire sur sa fréquentation qui reste au même niveau que celle de son prédécesseur. Mais Comscore a signé, début août, un partenariat avec Microsoft. Les deux sociétés travaillent à mettre au point un outil de suivi des campagnes publicitaires en ligne, le Reach and Frequency Planner (RF Planner). La société s'est, depuis, fendue, d'un autre communiqué de presse qui analyse le marché au-delà des seules parts de marché. Si Google a autant de succès, c'est que ses utilisateurs lui soumettent en moyenne 54,5 requêtes par mois. Ceux de Yahoo ne l'interrogent que 24,5 fois et Bing 14,3 fois. Et Comscore de s'intéresser à la "pénétration" des trois principaux moteurs sur le marché. Si celle de Google atteint 84%, elle ne paraît pas si éloignée de celle du tandem que forment Yahoo et Microsoft. Comscore les crédite d'un taux de "pénétration" de 73,3%. Eli Goodman, "Search evangelist" chez Comscore explique d'ailleurs que le tandem a une réelle opportunité à saisir, sachant que 75% des utilisateurs utilisent les trois moteurs sur un mois. Dans son communiqué, la cabinet invite une autre société, Covario, dont le porte-parole explique que l'union Yahoo/Microsoft met environ 30% du marché des moteurs de recherche à portée des annonceurs. Un taux qui correspond justement au seuil critique à partir duquel les annonceurs sont prêts à se lancer dans des campagnes d'envergure nationale. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |