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(24/08/2009 16:09:53)

Le salaire de base du patron d'Oracle réduit à 1 dollar

Un dollar. C'est le salaire de base que touchera symboliquement le PDG d'Oracle, Larry Ellison, sur l'exercice fiscal 2010 de sa société qui a débuté le 1er juin dernier. Sur les trois précédents exercices fiscaux, Larry Ellison avait perçu 1 M$ de salaire de base. Ce dernier ne représente toutefois qu'une infime partie des revenus du PDG d'Oracle. L'essentiel de sa rémunération provient de primes, bonus et stocks options qui ont fait de Larry Ellison le patron le mieux payé des Etats-Unis sur la précédente année fiscale. Selon le consultant spécialisé Graef Crystal, cité par Bloomberg, le fondateur d'Oracle se placerait cette année à la troisième place des patrons les mieux payés des sociétés américaines cotées. Sa rémunération globale est évaluée à 69,2 M$ pour l'exercice 2009. [La réalisation de ses stock-options a fait grimper les revenus du PDG à 543 M$]. L'information sur le nouveau salaire de Larry Ellison a été communiquée vendredi dernier par Oracle à la SEC (l'autorité américaine de contrôle des marchés). Elle figure sur le document visant à soumettre aux actionnaires de la société les salaires proposés pour l'équipe de direction d'Oracle pour l'exercice en cours. Larry Ellison n'est pas le premier PDG du secteur IT à revoir symboliquement son salaire de base. Steve Jobs, le patron d'Apple, l'a précédé sur ce terrain. Sur son exercice clos fin mai 2009, Oracle a réalisé un chiffre d'affaires de 23,25 milliards de dollars (+3,7%) et un bénéfice net de 5,6 Md$ (+1%). (...)

(24/08/2009 16:05:46)

Les autorités de régulation retardent d'un mois l'accord Toshiba/Fujitsu

Toshiba devra attendre un mois supplémentaire avant de mettre la main sur les disques durs de Fujitsu. Les autorités de régulation ne donneront pas leur accord avant le 1er octobre prochain, alors que la transaction devait être entérinée début septembre. Les deux entreprises japonaises se sont rapprochées en début d'année et ont officiellement signé le 17 février le rachat, par Toshiba, de l'activité disques durs de Fujitsu, pour un montant estimé entre 250 et 340 M€. Comme prévu dans l'accord, Fujitsu a créé une nouvelle entité, baptisée TSDC (Toshiba storage device administration), et destinée à accueillir les activités disques durs des deux sociétés. Après approbation des autorités, Toshiba deviendra propriétaire de TSDC à hauteur de 80,1%. Cette opération hissera Toshiba à la première place des fournisseurs de disques durs de 2,5 pouces, avec un tiers des parts de marché, devant Hitachi et Western Digital. Quant à Fujitsu, cette opération lui permet de se délester d'un pôle en perte de vitesse dont il cherchait à se débarrasser depuis plusieurs mois. (...)

(24/08/2009 16:05:02)

Les terminaux WiFi Apple progressent cinq fois plus vite que le marché

Les terminaux WiFi d'Apple, qu'il s'agisse des iPhones, des MacBook, voire des iPod, prennent d'assaut les réseaux sans fil. C'est en tous cas ce qu'a constaté la société californienne Meraki, spécialiste des réseaux WiFi d'entreprise (10 000 réseaux installés dans 130 pays avec des millions d'utilisateurs). En un an (d'août 2008 à juillet 2009), elle a constaté une augmentation de 41% du nombre de terminaux connectés à ses bornes WiFi. Alors que la part de terminaux équipés de puces WiFi Intel est passée de 24% à 18,5% (+11%), ceux d'Apple représentent 32% au lieu de 14%, grâce (+221%). Les Blackberry de RIM progressent aussi très vite, +419%, ce qui leur confère une présence estimée à 8%. Les mobiles Nokia n'ont augmenté, eux, que de 14% pour une toute petite part de 2%. Les appareils équipés de puces WiFi d'Apple, Intel, RIM et Nokia représentent environ 60% du parc connecté aux réseaux WiFi de Meraki contre 40% l'an dernier. (...)

(21/08/2009 18:04:03)

Microsoft, Amazon et Yahoo s'allient contre Google Book Search

Amazon, Microsoft et Yahoo font front commun face à Google Book Search. Ils projettent de soutenir une coalition, provisoirement nommée Open Book Alliance. Elle s'oppose au projet d'accord collectif que Google cherche à passer avec des écrivains et des éditeurs pour commercialiser des versions numérisées de leurs livres. C'est ce que rapporte le New York Times en citant Gary L. Reback, un avocat de la Silicon Valley. C'est lui qui conduit l'offensive avec Internet Archive, une association à but non lucratif qui s'est créée en 1996 pour constituer une bibliothèque donnant accès aux chercheurs et historiens aux collections existant au format numérique. Dans un mouvement inverse, l'an dernier, Microsoft avait décidé de fermer son service Live Book Search. L'initiative de l'Open Book Alliance devrait être rendue publique dans les prochaines semaines. Des bibliothèques et des associations d'auteurs ont prévu de la rejoindre, précise le New York Times. La coalition compte saisir le département américain de la justice (DoJ) en invoquant le caractère anticoncurrentiel de l'accord collectif tenté par Google. Déjà sensibilisé, le DoJ avait indiqué dès février dernier qu'il avait prévu de se pencher sur ce dossier. Cette semaine, le quotidien La Tribune révélait que la Bibliothèque nationale de France (BNF) pourrait signer avec Google un accord pour numériser sa collection. L'an dernier, la Ville de Lyon s'était déjà engagée sur cette voie, confiant au Californien la numérisation du fonds de sa bibliothèque. (...)

(21/08/2009 17:54:59)

Depuis 2008, le rythme des évolutions s'est accéléré sur le noyau Linux

Dans son deuxième rapport sur le développement du noyau 2.6, la Linux Foundation établit un bilan très positif du dynamisme de son évolution. Sa conclusion est claire : "Le noyau de Linux est devenu une ressource commune développée à grande échelle par des entreprises qui se livrent une intense compétition dans d'autres domaines." Depuis 2005, plus de 5 000 développeurs, soit indépendants, soit travaillant pour des entreprises dont le nombre dépasse 500, ont participé à l'évolution de Linux. Le noyau a augmenté de 2,7 millions de lignes de code pour aboutir à une version 2.6.30 avec 11,6 millions de lignes et 17 090 fichiers. Depuis avril 2008, date de parution du premier rapport de la Linux Foundation, le nombre de développeurs a augmenté de 10% environ, tandis que le rythme des évolutions s'est accéléré. Depuis le printemps 2008, le nombre de lignes de code ajouté au noyau chaque jour a été multiplié par trois. C'est grâce à cet effort que le noyau de Linux a pu progresser dans des domaines clés comme la sécurité et la virtualisation. 1 150 développeurs pour le noyau 2.6.30 Malgré cette augmentation de la production, le rythme de parution des versions reste établi sur la fréquence d'une toutes les douze semaines. 1 150 développeurs ont contribué au développement du noyau 2.6.30 proprement dit, soutenus par 240 entreprises. Il y a quatre ans et demi (noyau 2.6.11), ils étaient moins de 400, soutenus par moins de soixante-dix entreprises. Il n'empêche que la contribution des trente premiers développeurs représente à elle seule 25% du code. Si l'emblématique Linus Torvald ne figure pas parmi eux, c'est qu'il joue un rôle important de coordination. Lorsque l'on s'intéresse aux entreprises qui participent, la liste surprend peu. Red Hat arrive en tête avec 12 % des changements, suivi par IBM (6,3 %), Novell (6,1 %), Intel (6%) et Oracle (6,1%). (...)

(21/08/2009 17:35:34)

Microsoft rejoint le "Power IT Down Day"

Tout comme Citrix, HP et Intel précédemment, Microsoft a décidé de soutenir cette année le 'Power IT Down Day'. Le 27 août prochain, les utilisateurs seront invités à éteindre leur poste de travail, leur écran et leur imprimante avant de partir du bureau. Réservée aux habitants des Etats-Unis, et plutôt tournée vers les employés de la fonction publique, cette démarche se veut surtout une opération de sensibilisation. Simple mais clair, le site Power IT Down affiche un compteur en temps réel du nombre d'inscrits et surtout l'économie d'énergie qui sera réalisée s'ils éteignent tous effectivement leurs équipements de bureau. Une sensibilisation des utilisateurs individuels L'industrie informatique a beaucoup insisté sur la nécessité de réduire la consommation gargantuesque des datacenters, mais a quelque peu négligé les utilisateurs individuels. Power IT Down veut, entre autres, montrer que si un grand nombre de ces derniers éteignaient leurs configurations, l'énergie économisée pourrait se révéler colossale. Ainsi, les 1 928 inscrits de Power IT Down à l'heure où cet article est publié, représenteraient quelque 25 000 kWh économisés. En rejoignant l'opération, Microsoft -comme les autres sponsors- compte aussi mettre en avant ses propres technologies destinées à économiser l'énergie. Et, en particulier, les fonctions qu'il a ajoutées à son futur Seven. Le système d'exploitation proposera par exemple une gestion de la luminosité de l'écran en fonction de l'éclairage ambiant ou du temps d'utilisation, ainsi que le diagnostic de consommation des différents composants de la machine utilisée ou la désactivation automatique de services comme Bluetooth, inutilement gourmands. (...)

(21/08/2009 15:49:57)

Oracle lèvera le voile sur la version 2 de 11g en septembre

Oracle était jusqu'à présent resté plutôt discret sur la prochaine version de sa base de données, 11g Release 2. Son président Charles Phillips a simplement évoqué en mars dernier des améliorations du côté de sa technologie RAC (Real application clusters) qui permet de déployer une base de données unique sur un cluster. Il a aussi annoncé que la version 2 de 11g arriverait au deuxième semestre. L'éditeur californien devrait en dire davantage sous peu. Il a en effet programmé une session sur 11g R2 pour le 29 septembre prochain, à Bedford (Massachussetts), une semaine avant l'ouverture de sa grande conférence utilisateur annuelle Oracle Open World de San Francisco, qui se tient cette année du 11 au 15 octobre. Les utilisateurs de 10g pourraient être tentés par la 11g R2 La 11g R2 est entre les mains des bêta testeurs depuis quelques temps, mais en toute discrétion. Il semblerait qu'un certain nombre d'entre eux jugent cette version plus stable que la 11g lancée en juillet 2007, ce qui pourrait conduire les utilisateurs restés à la 10g à envisager cette fois une migration. C'est ce que laisse entendre Ian Abramson, président de l'IOUG (Independent Oracle users group), qui a participé au programme de bêta-test. Sur son blog, il rappelle la plaisanterie classique qui distingue l'administrateur de base de données (DBA) junior du DBA senior. Le plus jeune se précipite sur la première version du logiciel dès qu'elle arrive pour la mettre en production. Le second jette le CD à la corbeille et attend la version 2. En se basant sur ce qu'il a vu avec 11g R2, Ian Abramson pense qu'effectivement, le moment est peut-être venu d'envisager une adoption. (...)

(21/08/2009 12:49:41)

Les autorités américaines approuvent le rachat de Sun par Oracle

Le département américain de la Justice (DoJ, Department of Justice) a approuvé le rachat de Sun Microsystems par Oracle pour 7,4 Md$. L'autorité américaine avait prolongé son examen du dossier en juillet pour étudier en particulier le sujet des licences Java. Reste au géant californien à obtenir également l'aval de la Commission Européenne, qui a annoncé qu'elle rendrait son avis en septembre. Oracle avait annoncé son intention d'acheter Sun en avril. Le 16 juillet, les actionnaires de ce dernier lui ont donné leur approbation, après que quelques-uns d'entre eux s'y soient pourtant opposé en mai. En absorbant Sun, l'éditeur intègrera dans son offre une gamme matérielle, mais surtout la base de données Open Source MySQL et la responsabilité du langage Java. Et même si Oracle est un habitué de la croissance externe, l'opération a soulevé nombre de questions et d'inquiétudes en particulier dans le monde du Logiciel Libre. (...)

(21/08/2009 12:10:07)

Le Tribunal de commerce prolonge de trois mois l'activité de Nortel Networks SA

Le Tribunal de commerce de Versailles a décidé hier, jeudi 24 septembre, de prolonger de trois mois l'activité de Nortel Networks SA France. Il répond ainsi à la demande et aux arguments de son PDG français, Michel Clément. Cette société de l'équipementier canadien Nortel est un centre de R&D pour les réseaux mobiles. Basée à Chateaufort dans les Yvelines, elle compte 680 salariés. Déclaré en faillite en janvier, Nortel est dépecé : les mobiles d'Amérique du nord pour Ericsson, la partie entreprises Europe pour Avaya. La France constitue un cas à part. Après un sévère conflit social, la filiale française aurait trouvé les moyens de continuer jusqu'à sa revente. L'une de ses porte-parole, Isabelle Tadmoury, a déclaré à l'agence Bloomberg qu'avec la prolongation que vient d'accorder le tribunal de commerce à Nortel Networks SA France, la société était en mesure de dégager une solution sécurisante pour ses affaires. « Les discussions seraient avancées avec des repreneurs » a-t-elle encore précisé, sans toutefois vouloir nommer ces possibles repreneurs. Cette déclaration se veut rassurante et le PDG et le délégué syndical CFTC, Elie Bensaci, ont abondé dans ce sens. Pourtant, aucune offre n'a été déposée avant la date limite prévue, celle du 19 août. Une nouvelle date sera fixée pour la remise des copies des repreneurs, mais pas avant le 24 septembre. La maison mère aurait injecté des fonds A cette même date, le Tribunal de commerce de Versailles statuera également sur les indemnités de licenciements dues aux salariés licenciés. Le plan actuel de réduction d'effectifs, celui de Nortel, prévoit en effet le départ de 467 salariés sur les 680 présents dans l'entreprise. La maison mère de Nortel a dû affronter une vive réaction des salariés en juillet après ses propositions initiales d'indemnisation (le strict minimum légal). Des bonbonnes de gaz ont été placées sur le site avec menace d'explosion, les salariés entamant 15 jours de grève. Un protocole d'accord a finalement été signé le 21 juillet dernier entre les représentants des salariés et ceux de Nortel. Il reste au Tribunal à valider cet accord. Après un mois de juillet difficile, le feuilleton Nortel Networks SA France prend donc une tournure plus apaisée. La maison mère aurait injecté les fonds nécessaires pour assurer une trésorerie minimale jusqu'à l'arrivée d'un repreneur, Nortel Networks SA France assurant la maintenance de nombreux réseaux pour opérateurs mobiles, sa disparition pure et simple semble exclue. (...)

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