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(13/08/2009 16:09:37)
+27% de smartphones vendus au 2e trimestre, selon Gartner
Entre avril et juin, plus de 40 millions de smartphones ont été achetés dans le monde, ce qui représente une progression de 27% par rapport à l'an dernier, vient d'indiquer Gartner. En tête des fournisseurs, Nokia se maintient encore loin devant ses deux grands concurrents avec, à lui seul, près de 18,44 millions de terminaux vendus. Les 45% de parts de marché (en volume) du Finlandais se sont légèrement effritées par rapport à l'an dernier (47,4%) au profit de RIM et d'Apple. Le fabricant américain du Blackberry a augmenté légèrement sa position avec 18,7% de parts et 7,68 millions de terminaux écoulés (contre 5,59 millions d'exemplaires et 17,3% au deuxième trimestre 2008). Quant à Apple -sur le podium depuis le troisième trimestre 2008, il s'octroie 13,3% de parts (2,8% l'an dernier) avec un peu plus de 5,4 millions de smartphones vendus. Une performance qui a d'ailleurs dopé le chiffre d'affaires trimestriel du fabricant de l'iPhone. Les ventes du modèle iPhone 3G S, livré fin juin, ne pèseront significativement dans les chiffres qu'au second semestre. Derrière le Californien suivent HTC et Fujitsu avec 6% et 3% de parts. Symbian et Windows Mobile cèdent du terrain Sur ce deuxième trimestre, Gartner fait à l'inverse état du recul de 6,1% des ventes de téléphones mobiles, à 286,1 millions d'exemplaires. Le créneau des smartphones permet aux fournisseurs de réaliser des marges plus élevées, avec un niveau de prix moyen qui résiste mieux que sur le terrain des mobiles. La progression du Blackberry et de l'iPhone a réduit de 57% à 51% la domination du système d'exploitation Symbian -celui qu'utilisent les gammes de Nokia en particulier. Android, l'OS de Google récemment mis en fonction dans des terminaux, n'avait encore gagné que 2% du marché sur ce deuxième trimestre. Quant au système d'exploitation de Microsoft, Windows Mobile, il réduit sa part à 9%. Pour regagner du terrain, la société de Steve Ballmer et Nokia viennent tout juste d'annoncer que la suite bureautique Office allait être portée sur Symbian, mais sans indiquer de date précise. Parmi les fabricants exploitant des licences Windows Mobile, HTC et Samsung continuent d'ajouter des fonctions à leurs propres interfaces au-dessus de l'OS de Microsoft pour livrer des modèles plus attractifs, rappelle Roberta Cozza, analyste chez Gartner. Enfin, le Palm Pre, sorti ce trimestre, ne s'est écoulé qu'à 205 000 exemplaires et l'analyste s'interroge sur la capacité de son fabricant, Palm, 10e au classement des vendeurs de smartphones, à s'imposer au-delà du marché américain. (...)
(13/08/2009 14:47:53)Violet, le créateur du Nabaztag, cherche un repreneur
Après six ans d'existence, les lapins communicants Nabaztag sont en voie d'extinction. Depuis la fin du mois de juin, la société Violet, qui propose le mammifère à grandes oreilles - capable de se connecter au Web, d'enregistrer des messages... - et toute une gamme d'objets connectés, est en effet en redressement judiciaire. Et si aucun repreneur n'est trouvé d'ici septembre, l'ancienne start-up créée par Rafi Haladjian et Olivier Mével devrait disparaître. Le succès des premiers Nabaztag n'en aura donc pas appelé d'autres. L'inventivité de Violet, reposant notamment sur l'utilisation des technologies sans-fil et en particulier le RFID, n'a pas permis aux autres objets communicants de la marque (comme le Mir:ror ou le Book:z) de trouver son public. (...)
(13/08/2009 11:38:56)Apple vaut plus cher que Google en bourse
Chi va piano va sano. Sur les cinq dernières années, c'est la valeur boursière d'Apple qui s'est la plus appréciée parmi les grandes sociétés high-tech cotées aux Etats-Unis. Sa capitalisation a été multipliée par douze (+1150%) à 148 Md$ (à la clôture du 10 août). Cette performance lui permet de valoir plus cher aujourd'hui que Google, qui n'a progressé "que" de 530%, à 145 Md$. Estimé à 254 Md$, Microsoft caracole toujours en tête, malgré une dépréciation de 29%. IBM, qui n'a augmenté que de 11%, reste deuxième avec une valeur de 156 Md$. Bien sûr, ce genre d'instantané n'a qu'un intérêt limité. Comparé au cours le plus haut sur cinq ans, le cours d'Apple pris en référence a baissé de près de 17%. Celui de Google a, quant à lui, chuté de près de 36%. En revanche, il montre que les boursiers voient toujours un bel avenir pour Apple. Même si ils ne lui accordent un PER (Price Earning Ratio - cours de l'action / bénéfice par action) que de 28,4 alors que celui de Google est de 31,63. A l'inverse, Microsoft, avec un PER de 14,4, et IBM, avec un PER de 16,67, ont beaucoup moins la cote. (...)
(13/08/2009 11:30:21)Google : « App Engine rend l'offre Google Apps encore plus attractive »
Google avait créé l'événement en annonçant un serveur d'applications Java hébergé, gratuit, destiné à un usage professionnel. Quelques mois après, Mike Repass, chef produit Google App Engine, détaille dans une interview exclusive pour LeMondeInformatique.fr les motivations de ce projet et la raison des choix techniques effectués. Google avait d'abord sorti une version Python de son App Engine. La version Java n'a été réalisée qu'après que l'équipe eut gagné en maturité sur ce type d'offre, dans le but de séduire les entreprises. Pour Mike Repass, le but est d'inciter les entreprises à mixer les offres App Engine et Google Apps. Il y voit deux grands avantages : la possibilité de réaliser des développements à façon, pour implémenter des processus internes par exemple, en s'appuyant sur des services applicatifs déjà en place et sans se soucier de toute la partie hébergement ou dimensionnement des machines. Cela ouvre d'ailleurs des perspectives à des éditeurs qui souhaiteraient s'appuyer sur cette infrastructure (de type Paas, Platform as a service) pour proposer leurs propres services applicatifs en ligne, en mode Saas (Software as a service). Google n'a en revanche, pour l'instant du moins, pas envisagé de constituer un catalogue de solutions de ce type : l'App Store pour Google App Engine reste à inventer. Les explications de Mike Repass sont à lire ici. (...)
(13/08/2009 10:48:08)L'édition européenne de VMworld 2010 reportée de plusieurs mois
L'édition européenne de VMworld 2010, la conférence annuelle du géant de la virtualisation VMware, n'aura pas lieu au premier trimestre comme d'habitude, mais seulement au quatrième trimestre, quelques semaines après l'édition américaine. Chaque année, l'éditeur organise une édition américaine de sa manifestation en été avant de réunir les européens en début d'année suivante. Deux rendez-vous qui sont devenus des événements phares du monde de la virtualisation. Mais après la prochaine édition de VMworld qui se déroulera du 31 août au 3 septembre à San Francisco, il faudra donc cette fois attendre un an pour assister à une nouvelle édition. Sur Internet, les expressions de mécontentement sont quasi unanimes. Elles se cristallisent autour du fait que cette décision délaisse les acteurs européens. Non seulement, il n'y aura eu aucune manifestation d'envergure consacrée à la virtualisation pendant plus de 18 mois en Europe mais, de plus, l'édition européenne 2010 se tiendra dans l'ombre de sa grande soeur américaine. Si la motivation de VMware est de réaliser des économies, elle aura aussi des conséquences pour les acteurs européens de ce marché. Seront-ils nombreux à pouvoir s'offrir le déplacement aux Etats-Unis ? Sinon, pourront-ils voir leurs confrères américains et auront-ils la possibilité de rencontrer tous les fournisseurs ? Certains n'auront pas les ressources pour être présents à deux manifestations coup sur coup. Enfin, le quatrième trimestre est le moment ou se tient la manifestation TechEd de Microsoft. Même en bénéficiant du don d'ubiquité, d'un patron compréhensif et d'un budget illimité, difficile d'être en trois endroits à la fois : chez VMware, chez Microsoft et... au bureau. (...)
(12/08/2009 14:42:09)Microsoft condamné à stopper les ventes de Word aux Etats-Unis
Mardi 11 août, un juge du Texas a ordonné à Microsoft de stopper les ventes de Word aux Etats-Unis dans sa forme actuelle pour violation volontaire d'un brevet de la société i4i. La fonction incriminée dans le traitement de texte d'Office permet de créer des documents XML personnalisés. Microsoft est aussi sommé de verser près de 80M$ de dommages à i4i qui viennent s'ajouter aux 200M$ exigés lors d'un premier jugement début 2009. La cour a donné 60 jours à Microsoft pour se conformer à cette injonction. L'éditeur compte cependant faire appel, ce qui rend plus qu'improbable l'arrêt de la commercialisation de Word. Même si l'appel échoue, l'éditeur pourra toujours retirer la fonction de son traitement de texte ou développer des contournements techniques. Pour Michael Cherry, analyste chez Directions on Microsoft, il y a peu de chance que ce jugement affecte qui que ce soit à court terme : « Ce genre d'opération met très longtemps avant d'être résolu. » i4i espère bien entendu de son côté que le jugement sera maintenu et que les utilisateurs de Word seront obligés de se tourner vers des entreprises comme elle-même pour réaliser des formulaires. I4i édite en effet x4o, un logiciel d'édition XML pour Word. (...)
(12/08/2009 11:16:28)Les fournisseurs prennent de plus en plus le contrôle de l'Open source, selon le Gartner
Si le logiciel libre gagne du terrain, c'est, selon le Gartner Group, au prix d'une prise de contrôle par les grands fournisseurs. Selon le cabinet, d'ici 2012, la moitié au moins du CA généré par les logiciels open source et les services associés proviendra de projets "sponsorisés" par un seul fournisseur. Le Gartner, qui ne s'aventure pas à citer de noms, explique ce phénomène par le développement d'une offre open source qui propose des logiciels à un stade précoce, sans soutien d'une réelle communauté, dont les quelques membres actifs sont, en fait, tous salariés d'une seule et même entreprise. Le cabinet souligne un des aspects du phénomène Open Source. Désormais incontournable, il est aussi devenu protéiforme. Sans pour autant renier sa définition originelle (un code source disponible et gratuit), l'ensemble de l'industrie l'a accommodé sous différentes formes au point que l'on peut se demander si l'esprit de départ ne s'est néanmoins pas perdu en route. OpenOffice, par exemple, doit son existence à l'effort d'entreprises telles que Sun et IBM pour empêcher Microsoft de verrouiller définitivement le marché bureautique. De même, Firefox a pour principal bailleur de fonds Google qui, là aussi, cherche un moyen de contrer Internet Explorer. L'Open Source doit aussi son succès à des entreprises qui se sont construites sur du code ouvert. Red Hat et MySQL sont les deux meilleurs exemples de ces sociétés qui ont prospéré en jonglant entre gratuité et profits. Le premier, qui se pose en leader de Linux, est connu pour lancer des projets libres corollaires à son système d'exploitation. L'hyperviseur Xen étant par trop sous la coupe de Citrix, Red Hat n'a, ainsi, pas hésité à "s'approprier" le projet KVM. Quant à la société MySQL, qui s'était bâtie en solution de rechange face à Oracle, elle vient d'être absorbée par celle-ci à la faveur de son rachat de Sun. Et si Postgres reste le seul SGBD "libre" d'envergure, c'est bien grâce au soutien, y compris financier, d'IBM... (...)
(11/08/2009 16:40:29)VMware achète SpringSource avec le cloud en perspective
VMware s'offre pour 420 M$ (86% en liquidités, le reste en action) SpringSource, éditeur de Spring, framework de développement d'application Java très largement utilisé, et du serveur d'applications modulaire dm Server. Fondés il y a cinq ans, SpringSource et les communautés qui gravitent autour sont aussi des contributeurs importants aux projets Apache et Eclipse. Le savoir-faire de SpringSource vient renforcer VMware dans le domaine du Paas "Platform as a service", autrement dit, du cloud computing. Dans la logithèque de SpringSource, la Tool Suite Eclipse de SpringSource devrait s'intégrer à VMware Workstation. Cela devrait donner un bel outil de paramétrage multi-environnement pour les développeurs. Quant à l'intérêt des appliances logicielles (serveurs virtuels) dm Server et tc Server (serveur Apache Tomcat), il tombe sous le sens : une entreprise disposant de machines en interne ou en externe pourra disposer d'une plateforme logicielle standardisée, redimensionnable à volonté. Au cours des mois précédant son rachat par VMware, SpringSource avait procédé à d'intéressantes emplettes. En novembre dernier, l'éditeur avait mis la main sur G2one, qui développe le langage dynamique Groovy, et, en mai dernier, SpringSource avait acheté les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision sous Java des performances applicatives. Un peu plus tôt en 2008, SpringSource avait aussi acquis Covalent (support Apache). Tant chez VMware que chez SpringSource, on affirme que ce rachat d'une entreprise fondée sur l'Open source par une autre très attachée au secret de ses lignes de code ne pose aucun problème. A preuve, SpringSource sera intégré sans être démantelé dans VMware. Il faudra attendre quelque temps avant de voir si l'opération réussit mieux que dans d'autres cas tel que celui de MySQL avec Sun, qui affichait pourtant l'Open Source sur son plastron. La transaction sera close au troisième trimestre et les premiers produits communs sont attendus pour janvier 2009. (...)
(11/08/2009 16:21:17)Facebook s'offre l'agrégateur de réseaux sociaux Friendfeed
Facebook a annoncé lundi son intention de racheter Friendfeed. Créée fin 2007, cette entreprise propose aux internautes d'agréger le contenu que leurs « amis » publient en ligne. Ils retrouvent ainsi des liens, des images, des vidéos ou encore des articles signalés directement par leurs contacts sur Friendfeed. Mais ils peuvent aussi y lire les publications Facebook, Twitter, YouTube, Flickr ou autres de leurs amis, sans être contraints de passer de l'un à l'autre. Les termes financiers de l'opération n'ont pas encore été dévoilés même si la presse américaine évoque un montant de 50 M$. Les quatre créateurs de FriendFeed sont tous des anciens de Google (l'équipe compte 12 personnes au total). L'un des fondateurs, Paul Buchheit, est tout simplement l'un des ingénieurs à l'origine de Gmail et d'un des premiers outils de publicité en ligne du moteur de recherche. Bret Taylor, lui, était l'un des directeurs produits de Google Maps. Interrogés par nos confrères d'IDGNews, Paul Buchheit et le vice-président de l'ingénierie de Facebook, Mike Schroepfer, ont expliqué que, contrairement à ce que pouvaient penser les observateurs du marché, les recouvrements entre leurs deux environnements étaient une des explications du rapprochement. « Il s'agit de travailler ensemble sur notre vision commune visant à aider les gens à échanger et communiquer sur le Web, et à partager leur identité personnelle et celle de leur communauté à travers le monde », complète Mike Schroepfer. Une façon pour Facebook d'éloigner la menace Twitter ? Mais le vice-président de l'engineering Facebook a tenu à préciser que son entreprise avait aussi un très grand respect pour l'équipe de FriendFeed et souhaitait l'intégrer. Selon lui, les employés des deux firmes sont à la fois des « amis et des admirateurs les uns des autres depuis longtemps, qui se sont empruntés des fonctions les uns aux autres. « Apporter à la communauté Facebook tout ce que nous avons appris dans l'aventure Friendfeed » est aussi une formidable opportunité, estime de son côté le co-fondateur Paul Buchheit. A noter que Friendfeed était aussi en passe de devenir le meilleur endroit pour les internautes qui souhaitaient suivre à la fois leurs flux Twitter et Facebook sans forcément passer de l'un à l'autre. Or, Twitter commence, au moins en termes de notoriété, à chatouiller Facebook. Si ce dernier est sans nul doute intéressé au plus haut point par les têtes bien faites de Friendfeed, la possibilité d'empêcher la progression du petit oiseau bleu qui monte ne lui est sans doute pas indifférente. (...)
(11/08/2009 16:22:16)Seedcamp Week : une formation accélérée à Londres à gagner pour 20 start-up
Du 21 au 25 septembre prochain, à l'University College de Londres, le programme Seedcamp Week offrira à vingt start-up IT présélectionnées l'opportunité de se frotter à des professionnels expérimentés du marché des nouvelles technologies. Quelque 400 investisseurs, 'serial entrepreneurs', développeurs, concepteurs de produits et spécialistes du marketing, mais aussi recruteurs, juristes et gestionnaires, dispenseront leurs conseils à ces porteurs de projets, principalement basés sur le modèle Internet. Au programme se succèderont cours magistraux et débats, entrecoupés de sessions individuelles plus personnalisées. A la fin de la semaine, les cinq start-up ayant présenté les projets les plus convaincants pourront recevoir jusqu'à 50 000 euros correspondant à une entrée de 5 à 10% dans leur capital. Leurs équipes accéderont ensuite à la deuxième phase du programme, un parcours de formation de trois mois à Londres pour poursuivre les échanges avec les professionnels rencontrés lors de la Seedcamp Week. L'objectif est de glaner le maximum de conseils pratiques pour concrétiser son projet de façon viable. Ce « suivi continu », ponctué de dîners, déjeuners thématiques et conférences, comportera deux colloques, Demo Day et Investor Day. Sans oublier le traditionnel déplacement dans la Silicon Valley californienne, promettent les organisateurs, Reshma Sohono, la PDG de Seedcamp, et Saul Klein, ancien vice-président de Skype, associé de l'investisseur Index Venture et co-fondateur du programme. Dépôt des dossiers jusqu'au 23 août L'édition 2008 de la Seedcamp Week avait distingué une start-up française, Stupeflix, dont le fondateur, Nicolas Steegmann, a bénéficié de ce parcours. Depuis le début de l'année, plusieurs Seedcamp d'une journée se sont déjà tenus à Paris, Tel Aviv, Varsovie, Londres, Helsingborg, Lubiana et Berlin, apportant une visibilité à quelque 150 start-up européennes. En février dernier, le mini Seedcamp parisien avait distingué : cinq projets Internet parmi lesquels une plateforme de gestion vidéo (Brainient), des services de gestion des courriels (Kwaga et MxM) et de favoris dynamiques (Wozaik). Les équipes souhaitant tenter l'aventure de Londres peuvent déposer un dossier de candidature sur le site de Seedcamp jusqu'au 23 août prochain. (...)
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