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(11/08/2009 16:22:54)

Sous Windows, le SP2 de BusinessObjects XI 3.1 peine à s'installer

Inutile d'espérer installer le SP2 de BusinessObjects Enterprise XI 3.1 sur un serveur Windows rapidement. Les premiers à avoir tenté cette installation se plaignent de durées records pour y arriver. Certains évoquent 18 heures d'immobilisation complète du système. Qui plus est, sans avoir atteint le bout de la procédure. Chez SAP, on incrimine l'installer de Microsoft sous Windows. Tim Lang, vice president product management, indique que le SP2 s'installe sans difficulté sur les plateformes Linux et Unix. Il précise que le problème avait été souligné dans la documentation de la version Windows et que la procédure d'installation du SP3 empruntera une approche différente. La question "quand le SP3 sera-t-il disponible ?" est pour l'instant sans réponse. (...)

(10/08/2009 15:38:54)

SAP pourrait racheter Tibco et ses solutions d'intégration

D'après le site d'information financière allemand Euro am Sonntag, l'éditeur d'applications de gestion SAP porte actuellement son attention sur Tibco et ses solutions d'intégration. Un projet de revente de ces middlewares par SAP aurait été évoqué fin 2008 et aurait évolué vers un projet d'acquisition de l'éditeur américain par le fournisseur allemand. Ce dernier n'a pas souhaité commenter la rumeur. SAP possède déjà ses propres outils de middleware, développés au sein de sa plateforme technologique Netweaver. Néanmoins, ceux de Tibco lui permettraient d'élargir ses capacités d'intégration avec un plus grand nombre d'applications externes. Sur le terrain du middleware, Oracle, principal concurrent de SAP, a fait il y a un an et demi l'acquisition de BEA Software et de son offre WebLogic, pour la coquette somme de 8,5 Md$ (un montant supérieur aux 7,4 Md$ récemment que la société de Larry Ellison a récemment proposé pour Sun). SAP veut acheter SAF, éditeur de solutions logistiques Pour SAP, la dernière initiative de croissance externe remonte au 20 juillet et porte sur une offre faite au Suisse SAF, un éditeur de logiciels de planification logistique employant 90 personnes. Toujours selon Euro am Sonntag, SAP manifesterait également un intérêt pour Teradata et ses applications d'entrepôts de données (datawarehouses). En avril, les deux éditeurs ont déjà noué un partenariat pour constituer une offre commune. Dans ce domaine du décisionnel, le mois de juillet a été marqué par le rachat du spécialiste du datamining SPSS par IBM qui renforce ainsi l'offre de business intelligence qu'il s'est constitué avec Cognos. Fin juillet, SAP a présenté sur son deuxième trimestre fiscal un bénéfice net en légère progression (+4%), à 423 M€, en dépit d'un chiffre d'affaires en recul de 10% à 2,58 Md€ et de ventes de licences en baisse de 40% par rapport à l'an dernier. (...)

(10/08/2009 12:12:40)

Microsoft devient actionnaire de Publicis en lui vendant Razorfish

Si Microsoft a bien compris qu'il lui faudrait être fort dans le marché de la publicité en ligne, il sait aussi que son métier n'est pas d'être une agence de communication. L'éditeur est parvenu à concilier ce souci de positionnement en concluant un accord multifacettes avec Publicis. Premier étage de la fusée, Microsoft revend au groupe de publicité français Razorfish, pour un montant global évalué à 530 M$. Agence spécialisée dans le numérique, Razorfish est tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat du groupe de marketing et de communication aQuantive, en mai 2007, pour 6 Md$. Deuxième étage de la fusée, dans la mesure où Publicis règle une partie de cette acquisition avec 6,5 millions d'actions, Microsoft devient actionnaire du groupe à hauteur de 3,3% (un montant qui lui permet de figurer parmi les actionnaires importants, même si les trois premiers actionnaires totalisent plus de 30% des parts). Enfin, cette vente met en orbite « un accord d'alliance stratégique » d'une durée de 5 ans, pendant laquelle Microsoft s'engage à recourir aux services de Razorfish et Publicis à acheter des espaces publicitaires sur ses sites : « Publicis Groupe sera en mesure d'acheter auprès de Microsoft des publicités en ligne (display) et des liens sponsorisés (search) pendant cinq ans selon les modalités de l'accord et selon des termes favorables pour nos clients, en échange de certains niveaux d'achats minimum garantis par le Groupe Publicis. L'accord stipule aussi que Razorfish continuera d'être le fournisseur préférentiel pour Microsoft en matière de stratégie digitale et de services marketing créatifs ainsi que d'expertise sur l'expérience en ligne et il contient un engagement de la part de Microsoft d'investir un montant minimum pour de tels services chaque année pendant la durée de l'accord (cinq ans). » Après l'accord pour 10 ans conclu avec Yahoo, voilà une stratégie qui, si elle ne redresse pas d'emblée un chiffre d'affaires fortement ébranlé, devrait au minimum rassurer les investisseurs. (...)

(07/08/2009 17:33:55)

Acer monte en flèche dans un marché européen du PC qui s'écroule

Avec 13,3 millions d'unités vendues au deuxième trimestre 2009, le marché européen des PC a baissé de 3,3% selon le Gartner. Derrière ce chiffre global, le cabinet d'étude distingue deux tendances fortes et opposées. Dans les entreprises, le marché a baissé de 21% alors que pour les consommateurs, c'est une croissance de 21% qui est enregistrée. Mais les netbooks constituent à eux seuls 25% des ventes. « Selon que vous tenez compte ou pas de ces netbooks, la photographie du marché n'est pas du tout la même, souligne Ranjit Atwal, analyste principal pour le Gartner. « Sans les netbooks, le marché aurait décliné de 15% ». Acer s'envole avec 38,6% de croissance et près d'un quart des ventes Toujours très attendu, le classement par constructeur laisse place à de grandes différences. Si le n°1 Acer affiche une forte croissance de 38,6%, avec 3,214 millions de PC vendus et 24,3% de parts de marché, les autres leaders font grise mine. Même le second, HP, est de plus en plus loin avec pourtant 10,3% de croissance et 3,014 millions d'unités vendues. Ces chiffres mettent en relief les contre performances de trois autres constructeurs du top 5. Le troisième au classement, Dell, affiche même -23,7% pour 1,553 millions de PC vendus. Toshiba est à - 31,1 % avec 767 000 unités commercialisées. Asus est à - 20,1%, toutefois il ne vend que 679 000 unités. L'évolution des parts de marché est tout aussi significative. Par rapport au même trimestre de l'année précédente, Acer bondit de 18,9 à 24,3% des parts, HP passe de 21,7% à 22,7%. Derrière, les reculs sont sévères pour des trimestriels. Dell passe de 14,3% à 11,7% de parts de marché, il perd 400 000 unités, Toshiba passe de 5,9% à 5,8% de parts de marché, Asus de 5,8% à 5,1%. Toshiba perd 50 000 ventes, Asus 120 000. Le marché français relativement épargné Le marché français se distingue par une baisse plus faible, de 1,2% avec un total de 2,6 millions de PC vendus. « Le marché des PC en France ne baisse pas aussi fortement que prévu, note Isabelle Durand, analyste principal au Gartner, le déclin est essentiellement du à la baisse des dépenses en entreprises et au prolongement du cycle de vie des desktops ». Le marché des entreprises en France a baissé de 20% alors que celui des consommateurs a crû de 17%. Les netbooks jouent également un rôle particulier. Le Gartner estime qu'il s'en est vendu 324 000 en France, représentant 23% des ventes de PC en France. Sans les netbooks, le marché des PC aurait baissé de 10% entre le deuxième trimestre 2008 et le deuxième trimestre 2009. Par constructeur, on retrouve des tendances semblables à celles observées sur l'ensemble de l'Europe. Acer reste en tête (31,3% de parts de marché, en hausse de 16,3%) et augmente son avance. « La croissance d'Acer est principalement due à ses performances sur le segment des netbooks où il occupe la première place » note le Gartner. HP est deuxième dans l'Hexagone, comme sur l'ensemble de l'Europe (24,7% des parts, croissance de 16,1%), essentiellement pour ses performances auprès des consommateurs Asus (5,4% des parts, en recul de 17,8%) qui était seul sur le marché des netbooks il y a un an, lutte désormais en particulier contre Acer et Samsung. Une mention spéciale pour Dell qui, en France comme en Europe, recule fortement (-27,8% avec 10,2% des parts de marché). (...)

(07/08/2009 16:54:28)

Cisco termine son année fiscale sur un trimestre très morose

Cisco a clos son quatrième trimestre sur un CA en baisse de 17,6% à 8,5 Md$ et sur un net en chute de 42,4% à 1,1 Md$. Sa marge brute s'est maintenue à 64%. La comparaison avec le quatrième de l'exercice précédent est d'autant plus douloureuse qu'il demeure le meilleur trimestre jamais réalisé par le groupe. Sur l'année, le lissage entre les trimestres avant la crise qui a explosé à l'automne et les suivants, permet à Cisco de n'annoncer que 8,7 % de baisse de CA et 24% sur le bénéfice net à 6,1 Md$. Les résultats non-Gaap présentés par Cisco, lui permettent d'annoncer un bénéfice net de 1,8 Md$ au quatrième trimestre (-23%) et de 8 Md$ sur l'année (-17%). Le PDG du groupe, John Chambers a déclaré que le climat actuel est "clairement le plus difficile défi économique depuis notre création." C'était il y a 25 ans. Au quatrième trimestre, Cisco a -enfin- commencé à livrer les serveurs lames au coeur de son offre "Unified Computing", présentée en grande pompe en mars dernier. Au cours de ces trois mois, l'Amérique du Nord a vu son CA baisser de 13% à 4,8 Md$, tandis que l'Europe enregistrait une baisse de 19% à 1,7 Md$ et l'Asie -20% à 1 Md$. Sur l'ensemble de l'année, la vente de produits a représenté 80% du CA et les services 19% (en hausse de 8%). Au sein des produits, les switches ont généré 33% du CA total de Cisco (en baisse de 11%), les routeurs 17% (en baisse de 21%) et ce que le groupe appelle "Advanced technologies" 25% (en baisse de 4%). Advanced technologies englobe des lignes de produits comme la vidéo, les communications unifiées, la sécurité, les réseaux individuels, etc. (...)

(07/08/2009 15:55:02)

Google va racheter On2, spécialiste de la compression vidéo

Accéder aux vidéos depuis les téléphones mobiles reste aujourd'hui encore un challenge. Auquel Google a décidé de s'attaquer en proposant 106,5 M$ pour racheter On2, un spécialiste de la compression vidéo. Ce petit éditeur, qui a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 16,3 M$ (et une perte de 51,2 M$), vend sa technologie à plusieurs grands noms, dont Adobe, qui recourt au codec VP6 d'On2 pour compresser les vidéos en Flash. De son côté, TF1 a achté à On2 une licence de sa technologie d'encodage, pour convertir les vidéos de son site communautaire Wat.tv au format 3GP, standard pour les téléphones mobiles. L'acquisition devrait être finalisée avant la fin de l'année. En tout cas, Google n'expliquera pas avant cela ce qu'il compte faire exactement de ces technologies. Etant donné l'ambition de l'éditeur dans la téléphonie mobile (avec Android) et la vidéo sur le Web (Youtube, racheté fin 2006 pour 1,65 Md$, est toujours en quête de rentabilité), on peut s'attendre à ce qu'il offre un accès à tout Youtube depuis les mobiles, et pas simplement une version de Youtube avec quelques vidéos en 3GP. A noter que MySpace a choisi une autre option : le site communautaire a fait confiance à Ripcode, qui convertit les vidéos à la volée en fonction du système client. (...)

(07/08/2009 10:03:47)

HP réduit les salaires d'EDS pour les aligner sur les siens

A la suite de l'acquisition d'EDS, HP égalise les salaires américains en les tirant vers le bas. Selon la presse texane (le siège d'EDS est à Plano, au Texas), les réductions de salaire pourraient atteindre 50% pour les plus anciens salariés de l'entreprise. Un porte-parole d'HP a précisé que ces réductions visaient à rémunérer équitablement les salariés des deux sociétés occupant des postes et des fonctions similaires. De manière générale, on indique de sources syndicales françaises que les baisses de salaires aux Etats-Unis se situeraient en moyenne autour de 20%. En France, où la loi interdit d'imposer une révision unilatérale de la rémunération, le millier de salariés ex-EDS France a reçu mi-juin un courrier recommandé. Le document proposait des baisses de salaires oscillant entre 10% pour une dizaine de managers et 2,5% pour les non-cadres. Les cadres se voyant proposer une baisse de 5%. Sauf refus explicite de la proposition, la réduction de salaire était considérée comme acceptée à la mi-juillet. Une majorité de managers aurait accepté. En revanche, il semble que, parmi les autres salariés, le refus ait été majoritaire. (...)

(06/08/2009 17:40:36)

Un nouveau patron des mainframes IBM pour redorer leur blason

Nommé en juillet à la tête de la division grands systèmes d'IBM, Tom Rosamilia va avoir la tâche difficile de relancer la demande pour ce type de machines dans le contexte de crise économique. Une mission d'autant plus difficile que les clients ont déjà, pour la plupart, mis à jour leur parc avec les modèles z10, annoncés en 2008. Alors qu'au deuxième trimestre de l'an dernier, les ventes de ces nouvelles machines avait fait bondir l'activité grands systèmes de 34%, au deuxième trimestre de cette année, IBM a enregistré une baisse de 39% du CA de cette division. En terme de Mips livrés, la baisse représente 20%. Pris dans la masse d'IBM, les ventes de grands systèmes représentent moins de 5% du total, mais le profit généré par l'ensemble de l'écosystème (logiciels, périphériques, maintenance) atteint encore près de la moitié des profits. D'ici la mi-août, Big Blue devrait procéder à un train d'annonces qui visera à proposer des configurations clés en main. Les domaines visés seraient la sécurité, les entrepôts de données et la reprise après désastre. IBM pourrait aussi souligner le rôle que ses grands systèmes peuvent jouer dans des environnements de cloud. (...)

(06/08/2009 11:36:09)

Un premier semestre difficile pour les SSII françaises

A l'évidence, ces six premiers mois marquent d'abord une chute des chiffres d'affaires. Quasiment toutes les SSII, quelle que soit leur taille, sont dans le rouge. Groupe Open affiche - 2,9% en organique à 153,6 millions d'euros (M€). Le deuxième trimestre atteint même - 6,5% alors que le premier restait à + 0,8%. Dans la même catégorie, Devoteam est stable avec 228,4 M€ de CA au premier semestre, le même chiffre que pour les six premiers mois de 2008. Mais le deuxième trimestre, là encore, marque une chute avec - 4%. Les acteurs de taille plus petite sont logés à la même enseigne. Aedian est ramené à -2% pour 40,1 ME au semestre. Proservia est en recul avec -2,4% pour son chiffre d'affaires organique. Umanis plonge même avec - 11,7% pour 26,9 millions d'euros de CA. Coheris reste presque stable à 15,12 M€ contre 15,15 un an auparavant. Mention spéciale à Ausy dont le CA semestriel se monte à 72,1 M€ en croissance de 3,3%, dont 1,6% en organique. Les Atos et Cap Gemini ne sont pas épargnées Le poids lourd, Atos, ne réchauffe guère l'ambiance avec - 2,4 % à 2,589 milliards d'euros de CA au 1er semestre. La SSII présidée par Thierry Breton n'est pourtant pas sanctionnée en bourse après l'annonce de ses résultats. Le PDG a apparemment su convaincre de la crédibilité de sa stratégie. Le numéro un Cap Gemini est dans les mêmes eaux avec - 2,2% à 4,4 milliards d'euros de CA. Lui non plus n'est pas sanctionné en bourse. Il affiche pourtant un résultat net de 78 M€ contre 231 un an auparavant et une marge opérationnelle de 6,6% du CA semestriel (en recul d'un point). Ares reste un cas à part. A plusieurs titres. La SSII publie ses résultats annuels et non pas semestriels, sort d'une période d'observation (huit mois achevés au 30 mars dernier) et a réduit ses activités de manière drastique. Le CA (90,1 M€ contre 99,2) était connu, la perte nette du périmètre conservé se monte à 23,1 M€ contre 21,3 un an auparavant. Elle se réduit quand même passant de 17,5 au 1er semestre à 5,6 au second. Les SSII préfèrent parler des mesures déjà en place plutôt que de la crise [[page]]Reste à expliquer de tels chiffres. Les SSII invoquent le contexte de crise économique, sans surprise, mais il ne saurait tenir lieu d'excuse. Elles préfèrent mettre en avant les mesures déjà mises en place pour contenir les effets de ce tsunami économique et financier. Elles avaient adopté ce même mode de communication lors de l'annonce des résultats annuels 2008 il y a quelques semaines. L'ampleur de la crise les incite visiblement à insister sur ces plans de restructuration. Atos parle ainsi de l'impact déjà visible de son plan TOP (Total operationnel performance) qui ne devait faire sentir ses effets qu'au deuxième semestre. Groupe Open met en avant la simplification de ses structures et l'optimisation de son système d'information et l'intégration réussie des sociétés fusionnées. Devoteam met en relief son bon positionnement : la société n'est pas présente sur l'automobile, elle a réussi l'intégration de Danet en Allemagne et d'ailleurs son activité internationale affiche un + 8% qui rattrape le - 8 % enregistré en France. Les SSII ont plus de mal à parler de l'avenir. Seule Atos se risque à diagnostiquer la fin de la dégradation de la situation économique. Juin serait même son meilleur mois depuis un an. Les analystes vont attendre l'annonce des taux de marge et des résultats opérationnels dans quelques semaines pour se faire une idée plus claire de la solidité des SSII. Soit ces chiffres compensent la dégradation des chiffres d'affaires, soit les sociétés de service confirment leurs mauvais CA semestriels avec une mauvaise rentabilité. Les prévisions pour 2010 restent pessimistes Les SSII vont également devoir se risquer aux prévisions de résultats annuels. 2010 permettra d'enregistrer les effets de la restructuration de 2009 mentionne simplement Groupe Open. Devoteam se veut plus concret en mentionnant les points sur lesquels les clients peuvent se décider à investir dès maintenant : optimisation des infrastructures (Itil et virtualisation), plans de continuité d'activité, services de communication (infrastructures unifiées, systèmes collaboratifs). Pour sa part, Atos s'attend à une décroissance de 2 à 3% de son chiffre d'affaires organique sur l'année. Le taux de marge opérationnelle serait compris entre +0,5 et +1. Le cash flow étant positif. Cap Gemini en revanche prévoit une baisse de 4% de son CA annule, alors que la société ne prévoyait « que » - 2% en début d'année. Rappelons que le Syntec Informatique a prévu en début d'année un croissance moyenne du secteur (SSII et éditeurs) comprise entre -2 et +2%. Depuis 2003, la prévision s'est toujours vérifiée. Les résultats semestriels publiés ces derniers jours et l'absence de perspectives positives sur le second semestre avivent les craintes d'un dérapage. Les SSII communiquent d'ailleurs moins sur les perspectives du marché que sur leurs efforts de restructuration. En l'absence de croissance, il faut réduire les coûts, seule manière d'être crédible. (...)

(05/08/2009 16:07:56)

Face à l'incompréhension du marché, Yahoo précise son accord avec Microsoft

Afin, entre autre, d'éclairer la lanterne des analystes du marché, Yahoo a dévoilé hier dans un document déposé à la SEC (Securities and change commission, le gendarme de la Bourse américaine) quelques informations complémentaires concernant l'accord qu'il a signé la semaine dernière avec Microsoft sur la recherche en ligne. Durant 10 ans, d'une part, Microsoft sera le fournisseur exclusif de technologie de Yahoo pour le moteur de recherche et la publicité en ligne ; d'autre part, Yahoo deviendra la force de vente mondiale exclusive pour Microsoft et lui-même en ce qui concerne les annonceurs 'premium' en ligne. Durant les cinq premières années, Yahoo recevra 88% des revenus de vente de publicité générées sur ses sites par Microsoft. Après cette période, le géant pourra revenir sur l'exclusivité donnée à Yahoo sur les annonceurs premium. Dans ce cas, sa rémunération passera à 93%, sauf si il souhaite absolument conserver cette exclusivité, auquel cas sa part des ventes tombera à 83%. Si Microsoft décide de conserver l'exclusivité de Yahoo, le pourcentage de revenu de ce dernier sera de 90%. Microsoft versera aussi 50 M$ par an sur trois ans à son partenaire afin de couvrir d'éventuels frais de transition et d'implémentation (le site de recherche de Yahoo passera désormais par le moteur Bing de Microsoft). L'éditeur de Redmond devrait par ailleurs embaucher 400 employés de son partenaire. Carol Bartz, PDG de Yahoo avait de son côté annoncé des suppressions d'emploi consécutives à l'accord, sans donner davantage de détails. L'entreprise a déjà procédé à un plan de 700 suppressions au printemps 2009 et s'était séparé de 2400 employés en 2008. Ses effectifs représentent aujourd'hui un peu moins de 13 000 personnes. L'accord devrait être définitivement signé entre les deux parties le 27 octobre prochain et sa concrétisation devrait intervenir dans deux ans. (...)

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