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(28/05/2009 18:25:31)

HP va externaliser sa production européenne de serveurs

Pour réduire les coûts, HP envisage d'externaliser sa production européenne de systèmes de stockage et de serveurs d'entreprise. Le constructeur compte transférer sa production actuellement située en Allemagne et en Ecosse vers un partenaire tchèque pour optimiser ses coûts de structure. HP avance par ailleurs dans ses plans de réduction d'effectifs sur le Vieux-Continent. Après des mois de discussions avec ses représentants du personnel, il vient de proposer un plan de restructuration à son 'European Works Council'. Ce plan concerne 5 700 des 80 000 employés par le groupe en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Annette Nachbar, porte-parole d'HP, a précisé que ces suppressions de postes, étalées sur deux ans, affecteraient toutes les activités, toutes les fonctions et tous les pays. Elle a ajouté que, pour l'instant, la répartition par pays et par division n'était pas encore faite. HP doit encore discuter avec les représentants du personnel pour se conformer aux législations en vigueur dans certains pays. Ces discussions devraient démarrer fin juin et le détail des suppressions de postes sera communiqué au cours des semaines suivantes. Dans le courant de l'année prochaine, HP supprimera quelque 6 000 postes, soit 2% de ses effectifs dans le monde. Malgré une chute de son chiffre d'affaires de 3% au deuxième trimestre 2009 (clôture 30 avril), à 27,4 Md$, l'entreprise reste rentable (avec un bénéfice de 1,7Md$). (...)

(28/05/2009 17:07:27)

La nouvelle patronne de Yahoo accepterait une offre de Microsoft, mais seulement à un prix élevé

A l'occasion de la conférence All Things D qui se tient en Californie cette semaine, Carol Bartz, CEO de Yahoo a déclaré qu'elle regarderait avec intérêt une nouvelle offre de Microsoft sur son entreprise. Citée à cette occasion dans le Wall Street Journal, elle précise néanmoins que « si d'importantes sommes d'argent et les bonnes technologies entrent en ligne de compte, nous conclurons un deal, c'est certain. C'est aussi simple que cela. » Elle a aussi confirmé qu'elle continuait de parler « un peu » avec Microsoft d'un achat concernant uniquement son moteur de recherche. Une option plus plausible que le rachat complet de Yahoo qui, là encore, exigerait une somme d'argent importante et un arrangement juste autour du partage des données récoltées par le moteur. « Dans tout cela, il y a deux parties prenantes, a précisé Carol Bartz. L'une a l'argent, l'autre détient les données. » Microsoft avait fait une première offre de 45 Md$ à Yahoo, à 31$ l'action, en février 2008 avant de monter jusqu'à 33$. Mais Jerry Yang, alors PDG du moteur de recherche, avait finalement refusé toutes les avances du géant de Redmond. Ce qui allait finalement lui coûter son poste. Aujourd'hui, l'action Yahoo plafonne péniblement à 15$. Depuis ces tractations avortées, les deux firmes ont tenté tant bien que mal de rester dans le sillage de Google, leader incontesté de la publicité dans les moteurs de recherche. A l'occasion du remplacement de Jerry Yang par Carol Bartz début 2009, nombre d'observateurs avaient estimé que l'ancienne patronne d'Autodesk n'aurait jamais pris les rênes de Yahoo simplement pour procéder à une vente à Microsoft. En revanche, Yahoo pourrait procéder de son côté à des acquisitions. « Nous sommes très intéressés par les réseaux sociaux et la vidéo, a ainsi précisé la CEO. « Ce n'est que le début. Tout le secteur de la vidéo est vraiment passionnant, avec des ventes publicitaires qui seront multipliées par quatre d'ici 2011. » (...)

(27/05/2009 17:29:11)

Intel dévoile un peu plus ses Nehalem EX, pour 2010

Deux jours avant l'annonce de l'hexacoeur Opteron (Istanbul) de son concurrent AMD, Intel a tenu à occuper le terrain. Bien qu'il ait confirmé que la déclinaison octocoeurs de son architecture Nehalem EX ne sera pas disponible avant l'an prochain, le numéro un du silicium a tenu à en divulguer opportunément quelques détails. Avec six à huit coeurs par puce et la possibilité de s'insérer dans des serveurs avec quatre à trente-deux processeurs, les Nehalem EX repoussent les limites d'une architecture déjà présente dans les Core i7 (machine de bureau) et dans les Xeon 5500 (quadricoeurs pour serveur biprocesseur). Intel positionne ses Nehalem EX par rapport à ses Xeon 7400, des quadri et hexacoeurs pour serveurs acceptant 16 processeurs qui ont été annoncés en septembre dernier. Les premiers Nehalem EX, connus sous le nom de code Beckton, seront gravés en 45 nm et embarqueront, parmi leurs 2,3 milliards de transistors, 24 Mo de mémoire cache de niveau 3, contre seulement 8 Mo sur les Xeon 5500 et 16 Mo sur les Xeon 7400. Ils supporteront l'Hyperthreading et le TurboBoost. Ils gèreront quatre QPI (QuickPath Interconnect, l'équivalent de l'Hypertransport d'AMD). Par rapport aux Xeon 7400, les Nehalem EX devraient avoir 9 fois plus de bande passante mémoire. La possibilité d'utiliser des barrettes DDR3 moins chères Bien sûr, les Nehalem EX exploiteront de la mémoire DDR3. Mais il semble qu'Intel s'oriente vers des barrettes "unbuffered", ce qui sous-entend que l'on trouvera sur les cartes-mères des tampons mémoires séparés et que le prix des barrettes DDR3 nécessaires sera moins élevé que celles requises pour les Xeon 5500. Un élément important quand on sait qu'un quadri-Nehalem EX pourra accepter jusqu'à 512 Go de mémoire en barrettes de 8 Go. Le fondeur insiste aussi beaucoup sur l'intégration de MCA Recovery (Machine Check Architecture), une technologie de correction des erreurs internes propre jusque-là à ses processeurs Itanium. Si tout se passe comme Intel l'indique, le Nehalem EX arrivera sur le marché en même temps que son Itanium quadricoeur (Tukwila), dont la sortie vient d'être encore différée. Ce dernier n'aura plus beaucoup d'atouts face à ces Nehalem EX survitaminés, sauf sa capacité à s'intégrer dans des systèmes très haut de gamme comptant jusqu'à 128 processeurs. Seul HP commercialise ce type de systèmes dans sa gamme Integrity. Itanium, présenté en son temps (en 2001) comme la voie d'évolution royale des processeurs Pentium vers le 64 bits, s'oriente irréversiblement vers une fin de carrière comme processeur propriétaire. (...)

(27/05/2009 15:41:17)

L'appel à projets numériques du plan de relance est ouvert

La secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, a lancé officiellement ce matin l'appel à projets de R&D du volet numérique du plan de relance du gouvernement. Cet appel concerne les deux sujets que NKM souhaite voir se développer grâce à cette mesure : les serious games et le web 2.0. "Les fonds seront débloqués en 2009" Pour commencer, dès aujourd'hui et jusqu'au 6 juillet, les structures candidates peuvent déposer un dossier de réponse à l'appel d'offre dont tous les détails se trouvent sur telecom.gouv. Dans un second temps, à l'automne, des commandes publiques viendront compléter le dispositif. « Les dossiers d'appel d'offre seront dépouillés entre le 7 juillet et le 30 août et les conventions de financement signées dans la foulée, insiste la ministre. Quoiqu'il en soit, les fonds seront débloqués en 2009. » Les initiatives de 'serious games' se voient allouer un total de 30 M€ dont 20M€ par appel d'offre et 10M€ par le biais de commandes publiques, alors que 20 M€ reviennent au web 2.0, répartis à parts égales entre les deux dispositifs. Selon NKM, les subventions d'un projet devraient être comprises entre 100 k€ et 1 M€. Une PME engagée dans un projet avec d'autres acteurs pourra se voir attribuer un montant représentant jusqu'à 45% de son investissement (30% pour une entreprise plus importante dans le même cas). Pour les candidats qui postulent seuls, les aides atteindront 45% de l'investissement pour un effectif inférieur à 50 personnes, 35% jusqu'à 250 personnes, et 25% au delà. Les demandes doivent concerner le développement d'un service innovant du web et les projets ne pas avoir démarré avant la demande d'aide. Capitaliser sur des compétences technologiques qui ignorent leur potentiel économique [[page]]« Par cet appel à projets, nous cherchons aussi à capitaliser sur des compétences technologiques qui ne sont pas forcément formalisées, ajoute Nathalie Kosciusko-Morizet. Les acteurs eux mêmes ne sont pas conscients de la valeur économique de leur projet. » Pour la ministre, le web 2.0 est sans doute celle des deux thématiques identifiées qui est la plus porteuse d'avenir car elle ne concerne pas des produits finis, fermés, mais au contraire des innovations évolutives. « J'attends de cette démarche que l'on capitalise sur les acteurs du web, mais aussi un électrochoc pour l'administration. » NKM aimerait entre autres voir émerger des interfaces d'accès aux nombreuses données disponibles dans les services publics comme l'empreinte carbone de certains produits ou des comparatifs de prix. A cet égard, les projets proposés à l'appel d'offre pourront tout aussi bien concerner des applications que des interfaces d'accès vers ses données pour développer des applications. A la recherche d'innovations d'usage autant que d'innovations technologiques La démarche vise les « éditeurs de logiciels et de jeux vidéos, les entreprises productrices et agrégatrices de contenus en ligne, les centres de recherche, établissements publics à caractère industriel et commercial, les entreprises du secteur de la formation et enfin, les associations. » Quant aux publics ciblés par les projets proposés, il s'agit des « entreprises désireuses de moderniser leurs outils de formation interne et leurs systèmes d'information internes, voire leurs interfaces clients; les administrations pour les mêmes raisons de formation et pour la modernisation des services rendus aux administrés par l'utilisation de plateformes collaboratives, et enfin le grand public en tant qu'utilisateur de certaines applications de 'serious gaming' et en tant qu'internautes. » Les projets seront jugés en particulier pour leur caractère innovant puisque le financement est destiné aux dépenses de R&D. Fidèle aux convictions qu'elle affiche depuis son arrivée au ministère, NKM a cependant rappelé que cette innovation pourra aussi bien provenir de l'usage que de la technologie. Certains types de projets seront privilégiés comme ceux engageant une collaboration entre plusieurs parties prenantes, ceux portés par les PME, ceux comportant en leur sein de futurs utilisateurs, etc. La labellisation par un pôle de compétitivité sera aussi un atout. En attendant "une deuxième étape en plus forte rupture" Par leur nature même, les aides ne peuvent néanmoins revenir qu'à des structures déjà existantes. On pourrait le regretter dans la mesure où, dans le monde bouillonnant du web 2.0, les idées innovantes naissent la plupart du temps dans les esprits de leurs inventeurs avant même que ceux-ci aient songé à créer une entreprise. Etant donné le délai de quelques semaines pour le dépôt de dossiers, difficile pour eux de même imaginer utiliser le statut d'auto-entrepreneur. Pour postuler, reste à ces porteurs de projets à aller chercher l'appui d'une entreprise existante, d'une association ou encore d'une collectivité locale. Il semble que les adeptes du web 2.0 puisse néanmoins compter sur la ministre du numérique. « Cet appel d'offre, ce n'est pas la fin de l'histoire, affirme-t-elle ainsi. Au contraire, ce n'est que le début. Je veux ensuite une deuxième étape en plus forte rupture. » (...)

(27/05/2009 13:33:41)

Le cloneur de Mac, Psystar, placé sous chapitre 11

L'assembleur américain Psystar, qui fabriquait depuis l'été 2008 des PC dotés de Mac OS X au grand dam d'Apple, a demandé à être placé sous la protection du chapître 11, la version américaine du redressement judiciaire. La société a accumulé plus de 250 000 dollars de dettes et subi des ventes médiocres. Il blame entre autres la hausse des tarifs du côté de ses fournisseurs. Mais pour nombre d'observateurs, Psystar s'était aussi engagé un peu à la légère dans une action en justice contre Apple, trop coûteuse au regard de ses moyens (le petit constructeur avait répondu par une action antitrust à une attaque en violation de propriété d'Apple). Le cabinet d'avocat Carr & Ferrell qui représente Psystar dans ce procès représente d'ailleurs le plus important de sa cinquantaine de créditeurs. Le placement sous chapitre 11 aura au moins permis de suspendre cette action en justice. Psystar affirme aujourd'hui qu'il devrait sortir de cette situation de redressement judiciaire avec un plan fort pour son avenir. (...)

(26/05/2009 17:03:56)

Microsoft investirait 100 M$ en publicité pour son moteur de recherche Bing (ex Kumo)

Finalement le nouveau moteur de recherche de Microsoft s'appellerait Bing, et non Kumo comme il était jusqu'ici connu. C'est du moins ce que croit savoir le magazine professionnel américain, Advertising Age, à destination des publicitaires. Selon lui, Microsoft s'apprêterait à lancer à l'occasion de sa sortie l'une des plus importantes campagnes publicitaires pour un produit grand public, avec un budget estimé entre 80 et 100 millions de dollars (pour le seul territoire américain) et des déclinaisons papier, TV, radio et Web. Ici, le grand méchant de ces publicités comparatives sera Google, même s'il n'est pas officiellement nommé. À titre de comparaison, Google, leader sur ce secteur, a dépensé 25 millions de dollars au total (dont 11,6 millions pour recruter des employés) en publicité l'an dernier. (...)

(26/05/2009 12:19:06)

Liquidation de Nortel Networks SA : le tribunal de commerce rend sa décision le 28 mai

C'est jeudi prochain, 28 mai, que le Tribunal de commerce de Versailles rendra sa décision dans le cadre de la procédure de liquidation judiciaire avec poursuite d'activité demandée par les co-syndics de Nortel Networks SA. Dans un communiqué, l'équipementier télécoms insiste sur le fait que cette filiale ne nécessite pas l'intervention d'un liquidateur français et continue à exercer ses activités pendant la période d'administration. Nortel Networks SA se distingue de Nortel Networks France. L'une et l'autre sont bien filiales du groupe canadien Nortel et ont leur siège à Châteaufort près de Guyancourt dans les Yvelines. Mais leur sort est différent. Nortel Networks France, la filiale commerciale, compte 130 collaborateurs en France et échappe, pour l'instant, au couperet de la restructuration. Sa soeur, Nortel Networks SA (NNSA) en revanche, dédiée à l'équipement des réseaux mobiles, verra disparaître 500 de ses 700 collaborateurs actuels. Et ce, d'ici à mi-juin. Les salariés restant, 200, maintiendront les réseaux GSM équipés par Nortel en attendant un repreneur. Des procédures dirigées depuis l'Angleterre Une réunion s'est tenue hier, lundi 25 mai, dans l'après-midi, au Tribunal de commerce de Versailles pour entériner cette double décision : licenciements et procédure judiciaire permettant la revente. Une réunion totalement inédite au plan juridique. En effet, les filiales de Nortel France sont placées pour l'opération liquidative sous l'autorité de la filiale anglaise. Une procédure autorisée par la directive européenne 1346/2000 par laquelle une société peut diriger une procédure judiciaire depuis un pays pour l'ensemble de l'Europe. Nortel utilise ce biais pour ses 17 filiales en Europe qui sont dirigées pour les procédures juridiques par l'Angleterre et par le cabinet Ernst & Young. C'est l'administrateur judiciaire anglais qui discute avec le Tribunal de commerce français. Le droit national sera appliqué dans chaque pays [[page]] Nortel a en fait cherché à appliquer la même procédure partout dans le monde. Utilisant le CCAA au Canada, le Chapter 11 aux Etats-Unis et le Insolvency Act en Grande-Bretagne. Ne trouvant pas d'équivalent pour le reste de l'Europe, Nortel, « bien conseillé », a donc dégoté la directive 1346/2000 pour engager des procédures dites secondaires dans toute l'Europe, sachant que la procédure principale était ouverte en Grande-Bretagne. Le Canadien Nortel préfère logiquement un pays anglo-saxon. Toutefois, l'article 10 de la directive européenne garantit que le droit national sera appliqué dans chaque pays. Une sécurité, notamment en France où le droit du travail et les dispositions relatives aux licenciements sont plus favorables que dans les pays anglo-saxons. Les salariés de Nortel France recevront ce qui est prévu dans les textes de lois français. Nortel évite le plan de sauvegarde de l'emploi Le délégué central CFTC que nous avons interrogé a indiqué vouloir se battre pour obtenir en plus des primes de licenciements. Il estime également que Nortel s'en tire à bon compte, faisant remarquer que la société ne supportera qu'à minima le coût des licenciements (qui sera assuré par l'AGS, Association pour la gestion du régime de garantie des créances des salariés). Le plan social sera également allégé, la procédure demandée par Nortel évite en particulier le PSE. Il n'y aura par exemple qu'une seule consultation du comité d'entreprise obligatoire au lieu de deux. La CFTC attire également notre attention sur deux autres points. D'abord les délais demandés. Le Tribunal accorde deux fois trois mois à Nortel pour trouver un repreneur à NNSA. Le délai pour une telle procédure est plutôt de neuf mois, fait remarquer le délégué central CFTC. Des représentants CFTC de Nortel reçu par le cabinet de Christine Lagarde [[page]] Ensuite, le syndicat relève que des sommes ont été transférées de NNSA France vers NNSA Grande-Bretagne. La France est en effet l'un des quatre centres mondiaux de R&D de Nortel dans le monde. Un contrat permettait à la maison mère d'injecter de l'argent dans ces quatre centres en cas de profit, mais en cas de pertes, c'est l'inverse qui s'applique, permettant à Nortel de rapatrier des fonds. Or, tous les fonds transférés échappent à la procédure en cours et ne serviront pas à indemniser les salariés français. Le dossier Nortel contient d'autres volets. Les opérateurs télécoms clients de Nortel sont nécessairement très vigilants sur le compte du repreneur. Il en va de la maintenance de leurs réseaux. Quant aux partenaires distributeurs, ils sont déjà inlassablement sollicités par les concurrents du Canadien. Les représentants CFTC de Nortel ont rencontré vendredi dernier le cabinet de Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi, pour expliquer la situation et montrer l'ampleur du dossier. (...)

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