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(06/04/2009 17:55:31)

Les ventes de composants en chute libre, selon iSupply et la SAI

iSuppli a révisé à la baisse ses chiffres définitifs sur le marché des semiconducteurs au quatrième trimestre 2008. En novembre dernier, le cabinet tablait sur une baisse du chiffre d'affaires du secteur de 2%. Elle a été en fait de 5,2%. Et, si l'on en croit l'estimation de la SIA (Semiconductor Industry Association) sur le mois de février, le secteur s'installe dans la récession. iSuppli constate que la demande de mémoire s'est effondrée fin 2008 ; des composants omniprésents dont la demande donne le pouls de toutes les industries électroniques et informatiques. Samsung, numéro un des mémoires a ainsi vu ses ventes 2008 fondre de 14,2%. Intel, focalisé sur les processeurs, n'a dû supporter qu'une baisse de 0,7% de son chiffre d'affaires. Les 10 acteurs parmi les 25 premiers qui ont échappé à une baisse de leur CA le doivent soit à des opérations de croissance externes, pour quatre d'entre eux, soit, pour les six autres, au fait qu'ils sont "fabless". Autrement dit, qu'ils sous-traitent leur production et qu'ils ont pu, pour les Japonais, profiter d'un taux de change favorable avec le dollar. -30,4% sur les semiconducteurs en février iSuppli indique, par ailleurs, qu'il s'est vendu 77,9 millions de micros au dernier trimestre 2008, soit à peine 2,2% de plus qu'au quatrième trimestre 2007. Pour donner une idée de l'ampleur du ralentissement subi en fin d'année, le cabinet indique que, sur l'ensemble de l'année 2008, les livraisons ont progressé de 11,6% à 299,4 millions d'unités. Le mois de février dernier n'a apporté aucun signe de reprise. Bien au contraire. La SAI estime que les ventes de semiconducteurs ont chuté de 30,4% à 14,2 Md$ par rapport à l'an dernier. Elle constate même une baisse séquentielle par rapport au mois de janvier, -7,6%, lequel était déjà en baisse de 28,6% par rapport à 2007 et de 11,9% par rapport à décembre 2008. En moyenne glissante sur trois mois, la baisse dépasse les 32% à 14,17 Md$. La SIA indique que son industrie s'enfonce dans "une des plus profondes corrections de son histoire". (...)

(06/04/2009 17:40:47)

Télécom Paristech récompense les patrons d'Eutelsat, de Dibcom et de Gemalto

Comme chaque année, Télécom Paristech et son association d'anciens élèves ont récompensé trois entrepreneurs dans le cadre de leur Prix des technologies de l'information. Les personnalités sélectionnées oeuvrent dans le domaine des TIC depuis longtemps et ont en général marqué le secteur de leur empreinte, d'une façon ou d'une autre. Pour l'édition 2009, c'est Giuliano Berreta, PDG d'Eutelsat Communications, qui obtient le titre de promoteur de la société de l'information. Sa personnalité, son soutien à l'innovation mais aussi la couverture en haut débit de zones inaccessibles ont amené le jury à lui décerner ce prix. Dans son discours de remerciements, il a fièrement annoncé la mise en orbite la semaine dernière du satellite W2A qui servira entre autres à la télévision mobile par satellite. Un sujet sur lequel un autre des lauréats travaille. Yannick Levy, prix du créateur d'entreprise, est le PDG et fondateur de Dibcom, fabricant de circuits intégrés de haute performance sans usine (fabless), se concentre ainsi en particulier sur la télévision numérique. Après la TNT (Télévision numérique terrestre), ses prochains projets le conduisent à court terme vers la TMP (Télévision numérique personnelle). « Nous espérons qu'elle va trouver son modèle économique », a déclaré Yannick Levy avant d'ajouter, à propos du scepticisme qui accueille l'idée aujourd'hui, « j'ai l'impression de revivre l'époque de l'arrivée de la TNT ». Enfin, il rejoint donc Giuliano Berreta en évoquant l'aube de la télévision mobile par satellite. Un jury aux méthodes volontairement souples Pour terminer, parce que l'entreprise qu'il dirige est « devenue un symbole français » et parce qu'il a mené à bien la fusion entre Gemplus et Axalto, le prix du manager d'entreprise a été remis à Olivier Piou, DG de Gemalto. ll a rappelé que l'entreprise, spécialiste français de la sécurité sur carte à puces, comptait plusieurs milliards de ses produits de par le monde. « Nous passons très bien à travers la crise, a insisté le lauréat, expliquant que les années difficiles de la société étaient plutôt derrière elle. Le monde devient numérique et sans fil, et ce n'est pas la crise qui va changer ça. Il ne faut pas avoir peur, il faut changer. » Comme l'a précisé le président du jury, Jean-Michel Hubert, président délégué du Comité stratégique pour le numérique, la sélection est réalisée selon une méthode des plus simples. Aucune candidature spontanée ni présélection n'entre en jeu. Les membres du jury se réunissent tout simplement et échangent autour de noms de personnalités qui leur semblent éligibles avant de s'accorder sur un trio. «C'est une méthode qui peut apparaître souple, voire artisanale, a conclu Jean-Michel Hubert, mais nous travaillons avec la diversité des experts qui composent le jury. » (...)

(06/04/2009 17:31:12)

Parallels et Nvidia virtualisent les ressources graphiques de stations de travail

Intéressant saut technologique dans le monde de la virtualisation des postes de travail : Parallels, en collaboration avec Nvidia, ouvre la voie de la virtualisation des ressources graphiques des stations de travail. Une intéressante réponse aux "power users" tels que les architectes, les graphistes et les financiers qui survivent encore dans les salles de marché. La configuration se présente ainsi : installé sur une station de travail à base de Xeon 5500 (Nehalem), Parallels Workstation Extreme, nouvel hyperviseur de type 2 qui peut être hébergé sur les versions 64 bit de XP et de Vista ou sur RHEL, exploite la couche logicielle SLI Multi OS implantée par Nvidia sur ses dernières cartes graphiques multi-écrans Quadro FX (3800, 4800 et 5800). L'ensemble, qui tire profit de l'extension VT-d (pour Directed I/O) du jeu d'instruction des Xeon 5500, permet d'obtenir des performances graphiques à peine dégradées par rapport à une configuration non virtualisée. La première station de travail à embarquer le tandem Workstation Extreme /LSI-Multi OS sera la HP Z800, attendue pour la fin du mois. (...)

(06/04/2009 17:20:19)

Twitter veut garder son indépendance face à Google

Non, Twitter n'est pas sur le point d'être racheté par Google, contrairement aux rumeurs qui ont circulé la semaine dernière. Inondé par les mails interrogatifs, Biz Stone, co-fondateur du site de micro-blogging, est sorti du silence vendredi dernier afin de mettre les points sur les i. Dans un billet de cinq phrases à peine (mais plus de 140 caractères, contrairement au principe des 'tweets') il précise que le but de Twitter est de construire une société « rentable » mais aussi « indépendante ». A propos d'éventuelles transactions avec Google il indique qu'il n'y a « rien de surprenant à ce que Twitter engage régulièrement des discussions avec d'autres sociétés sur des sujets variés », sans apporter davantage de détails sur les thèmes abordés. Biz Stone n'exclut donc pas formellement une collaboration ou un partenariat entre les deux sociétés. Rumeurs ou pas, Twitter attire les convoitises. Au mois de septembre dernier Twitter avait déjà refusé une offre de rachat de Facebook, qui en proposait pourtant 500 M$. Créé en 2006, Twitter permet aux utilisateurs de poster des messages de moins de 140 caractères. Parfois dénués d'intérêt pour la communauté, ces messages peuvent se transformer en pépites pour l'actualité. Le site regorge en effet d'informations concrètes et exploitables, comme ont pu le montrer les événements qui se sont déroulés à Bombay en décembre 2008. Des utilisateurs de Twitter avaient alors publié des milliers de messages sur le site, depuis leur téléphone portable, permettant ainsi aux internautes de suivre les événements quasiment en temps réel, voire même d'aider les secours à porter assistance aux victimes. Pour Google, dont le moteur de recherche est capable d'indexer des informations datant de quelques minutes, Twitter apporterait une dimension en temps réel à ses requêtes. D'après Greg Sterling, analyste chez Sterling Market Intelligence, « cette capacité à capturer le flux des tweets devrait constituer un important développement des médias sociaux ». Pour Karsten Weide, analyste chez IDC, Twitter pourrait en outre apporter à Google du trafic supplémentaire. Selon lui, le micro-blogging est en passe de devenir un nouveau canal de communication en ligne, au même titre que le mail ou la messagerie instantanée. Ne pas reproduire l'erreur de Google avec Youtube Néanmoins, les analystes ne s'attendent pas à l'annonce d'un rachat dans les semaines à venir. Pour le géant du Web, il n'y a pas urgence. D'une part « Twitter n'est pas un Google-killer », comme l'indique Greg Sterling et, d'autre part, les deux sociétés ont d'autres chats à fouetter, à savoir affronter la crise. Google, toujours bénéficiaire, se voit contraint de réduire les coûts et même de fermer certaines de ses activités, à l'instar de Jaiku, un site spécialisé dans les messages instantanés en provenance de mobiles - exactement comme Twitter. Quant à Twitter, bien que populaire, il est toujours à la recherche d'un modèle économique lui permettant de générer des recettes. Racheter Twitter en ce moment reviendrait donc, toujours selon les analystes, à reproduire l'erreur commise par Google lors de l'acquisition de YouTube, en octobre 2006, pour un montant de 1,65 Md$. Si le site de partage de vidéos rencontre un franc succès auprès des internautes, il n'a toujours pas trouvé le moyen de monétiser son audience. Biz Stone a également profité de son billet pour indiquer que Twitter était en plein développement et recrutait une quinzaine de personnes pour accompagner son évolution. Tous les postes à pourvoir sont basés à San Francisco. Twitter emploie actuellement trente personnes. (...)

(06/04/2009 12:19:21)

Les constructeurs de PC mal notés par Greenpeace

Dell, HP et Lenovo sont montrés du doigt dans le dernier classement Guide to Greener Electronics en date, publié par Greenpeace. Les trois constructeurs perdent des places par rapport au précédent palmarès pour être revenus sur leur engagement de ne plus utiliser de PVC et de retardateur de flamme bromé d'ici à 2009. De fait, les principaux fabricants de PC pointent dans la seconde partie du classement et, selon l'ONG, seuls Acer et Apple - félicité pour ses efforts en termes d'élimination de substances chimiques et d'amélioration du processus de recyclage - ont confirmé leur engagement à proscrire l'usage des produits polluants précités. L'étude de Greenpeace fait apparaître une tendance à la baisse similaire pour Sony Ericsson - qui doit « travailler davantage au recyclage » de ses produits -, LG - qui prévoit lui aussi de remettre à plus tard l'abandon de tout produit toxique -, Toshiba - qui se montre peu ambitieux dans ses efforts de réduction d'émission de CO2 - et Motorola. Les habitués aux première et dernière places conservent leur position : Nokia trône en haut du classement après avoir annoncé de nouveaux objectifs de réduction de CO2 ; Nintendo reste abonné à la queue de peloton, fidèle à sa décision de ne pas communiquer les informations nécessaires à Greenpeace pour l'établissement de son classement. (...)

(06/04/2009 11:04:27)

Sun aurait rejeté la proposition d'achat d'IBM

Ce week-end n'a pas été de tout repos pour IBM et Sun. Ce dernier aurait rejeté l'offre d'acquisition du premier, samedi 4 avril, considérant le prix proposé comme trop bas, selon le Wall Street Journal. L'offre se monterait à 9,40$ par action, soit près de 7 Md$. Selon le quotidien américain en ligne, Sun voulait aussi l'assurance d'une négociation exclusive et finalement, dimanche, IBM aurait menacé de retirer complètement sa proposition. Les pourparlers qui se dérouleraient depuis le 18 mars seraient alors presque tombés à l'eau. Le Wall Street Journal ajoute que, quand IBM a proposé pour la première fois d'acquérir Sun, les banquiers de ce dernier ont fait le tour des grands du marché IT et aucun fournisseur n'aurait été intéressé. Une situation qui pourrait contraindre le Californien à accepter l'offre de Big Blue, même dans des termes qui ne le satisfont pas complètement. Il est à noter que les deux firmes persistent à ne pas vouloir commenter ce qu'elles qualifient de « rumeurs ». (...)

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