Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 4481 à 4490.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(26/03/2009 17:36:40)

Nehalem et virtualisation au coeur de l'offre Dell

Après Cisco, c'est au tour de Dell d'adopter le Nehalem dans sa nouvelle gamme de serveurs Poweredge, 11e du nom. Mais l'effet est plutôt tombé à plat car Intel compte encore garder le secret sur le détail de ses puces jusqu'à la semaine prochaine. Le Nehalem, devenu Xeon 5500, est un quadri-coeur plus performant et moins gourmand en énergie, il est conçu en 45 nm, gère davantage de mémoire et est optimisé pour la virtualisation. C'est à peu près tout ce que l'on sait du nouveau bébé. Dell a donc enrichi sa gamme de serveurs, mais aussi son offre de stockage et enrobe le tout avec un ensemble d'outils d'administration. L'arrivée de Cisco sur le marché, quelque peu effacée par les rumeurs de rachat de Sun par IBM, a néanmoins poussé les constructeurs, dont Dell, à procéder à des annonces groupées. Un moyen sans doute de notifier au nouveau venu qu'ils sont toujours bel et bien dans la place. Cinq serveurs plus adaptés à la virtualisation Une tour (T610), deux lames (M610 et M710) et deux serveurs en rack (R610 etR710). Ainsi se décline la nouvelle offre PowerEdge de Dell qui, comme le Unified connected system de Cisco, parie sur la virtualisation. Pour ce faire, les nouveaux serveurs disposent au choix d'un hyperviseur Citrix, Microsoft ou VMware. Dans le même but, ils sont dotés d'une quantité de mémoire maximum de 192 Go pour les configurations les plus puissantes et d'une capacité d'entrées/sorties accrue. Dell a aussi amélioré la performance énergétique de ses nouveaux modèles avec un design approprié et des ventilateurs plus efficaces. Le serveur en rack R710 consomme ainsi en moyenne 46 watts de moins que la gamme précédente. Le constructeur explique enfin avoir mis l'accent sur un design plus convivial. Ainsi, dans les cinq nouveaux modèles, les composants sont disposés de la même façon. Par ailleurs, sur tous les PowerEdge, Dell propose désormais DMC (Dell management console), une console d'administration unique pour l'ensemble de ses actifs matériels ou virtuels (contre neuf produits différents précédemment). Celle-ci s'appuie sur la technologie Altiris de Symantec. Elle gère les serveurs matériels et virtuels, réalise des diagnostics, surveille les OS et réalise des mises à jour applicatives. Les serveurs embarquent aussi, sur une simple carte SD, des pilotes, des mises à jour et des outils d'administration et de roll back évitant la livraison des CD avec la machine. Une fois définies, les configurations peuvent être sauvegardées chez Dell pour un déploiement jusqu'à deux fois plus rapide selon le constructeur. Du SSD dans les EqualLogic PS6000 Les cinq nouveaux systèmes de stockage EqualLogic PS6000 ont eux-aussi été conçus pour s'adapter aux environnements virtualisés. Ils disposent ainsi de contrôleurs de nouvelle génération. Dédiés, ils tirent le meilleur parti de disques SSD qui ne sont pas forcément parmi les plus chers et gèrent jusqu'à 4 ports Gigabit Ethernet. Les systèmes s'appuient sur des processeurs plus rapides et disposent de deux fois plus de mémoire cache. Ils adoptent le Raid 6 et sont prêts pour le vStorage de VMware. Enfin, l'administration SAN HQ est capable par exemple d'une intégration avancée de SAN dans Hyper-V de Microsoft. (...)

(26/03/2009 17:21:59)

Hervé Novelli et NKM relancent le Passeport pour l'économie numérique avec Microsoft et Google

Hervé Novelli et Nathalie Kosciusko-Morizet, respectivement secrétaires d'Etat aux PME et à l'Economie numérique, en ont appelé à Microsoft et Google, ce matin à Bercy, pour donner une nouvelle impulsion au Passeport pour l'économie numérique, créé en novembre 2006. Eric Boustouller, PDG de Microsoft France, déjà partenaire de l'initiative, et Mats Carduner, directeur général Europe du Sud de Google, sont venus présenter leur contribution. Celle-ci se concrétise par la fourniture d'outils et de formations mises à la disposition du Cefac, le centre de formation qui anime le programme. Au menu, des sessions pour créer un site Internet, faire connaître sa marque, attirer plus d'audience, améliorer la performance de son site, ou faire du commerce sur Internet. Pour ces deux grands acteurs, c'est une occasion de plus de renforcer leur visibilité auprès des petites entreprises. Destiné à accélérer l'informatisation des très petites entreprises, le Passeport ne se diffuse pas aussi vite que souhaité dans le tissu des TPE françaises. Lors de son lancement, Renaud Dutreil, prédécesseur d'Hervé Novelli, espérait que 200 000 TPE s'inscrivent en deux ans à cette démarche de sensibilisation et de formation gratuite, donnant accès à des offres packagées promotionnelles pour s'équiper. Or, au 5 mars 2009, un peu moins de 42 000 entreprises avaient ouvert un compte. Et parmi elles, seules 22 212 s'étaient vu délivrer un passeport, après avoir suivi au moins trois modules de formation parmi les dix-huit proposés (*). Hervé Novelli reconnaît que « la mise en place a été très progressive ». Il convient donc de relancer la machine à un moment où, en outre, les acteurs de l'IT et les pouvoirs publics aimeraient convaincre que l'outil informatique bien maîtrisé peut contribuer à accroître la productivité et la réactivité des entreprises. Un référentiel des offres pour tirer la qualité vers le haut Le 4 février dernier, sur le salon des entrepreneurs, Hervé Novelli a donc prolongé jusqu'au 31 décembre 2011 la convention d'engagement avec le Cefac, qui orchestre la mise en oeuvre du programme. Et ce matin, Nathalie Kosciusko-Morizet a rappelé les mesures prévues dans le plan France numérique 2012 pour renforcer les actions autour du Passeport pour l'économie numérique. Le nombre de conseillers et d'animateurs chargés de sa promotion et de son encadrement va passer de quelque 700 à un millier et les formations vont être approfondies : « Nous allons dépasser l'initiation pour aborder des sujets plus pointus ». La secrétaire d'Etat a également annoncé la mise en place d'un groupe de travail avec les CCI, les chambres de métiers et les associations de formation, à partir d'avril, en vue de constituer un référentiel métier pour augmenter la visibilité des offres proposées : « Nous voulons tirer la qualité vers le haut et mieux présenter les compétences des accompagnateurs TIC. » Il s'agit aussi identifier les points de blocage du programme et les raisons pour lesquelles les TPE n'y vont pas. Un tableau de bord pour suivre l'avancée de France numérique 2012 « Nous voulons toucher l'ensemble des TPE, mais toutes ne sont pas reliées à un réseau. Si 100 000 à 150 000 d'entre elles ont un passeport dans trois ans, ce sera bien », a admis Hervé Novelli. « Nous avons un problème de communication dans ce domaine, a reconnu dans la foulée Nathalie Kosciusko-Morizet. Nous avons beaucoup d'éléments macro-économiques [sur l'écart entre les économies très informatisées et les autres], mais pas assez d'éléments micro-économiques pour démontrer à la TPE ce que l'équipement informatique peut lui apporter en termes de compétitivité et de développement du chiffre d'affaires. Il nous manque des chiffres qui parlent à ce public. » Dans le même esprit, la secrétaire d'Etat rappelle par ailleurs son intention de communiquer régulièrement sur l'avancée du plan France Numérique 2012 en donnant accès à un tableau de bord qui permettra de cliquer sur les différentes actions pour juger de la progression effectuée. (...)

(25/03/2009 13:17:35)

Un conseiller d'Obama insiste sur la nécessité d'investir dans l'IT pour sortir de la crise

Le plan de relance économique mis au point par Barack Obama doit prévoir d'investir davantage dans les nouvelles technologies. C'est ce que préconise Robert Atkinson, l'un des conseillers du président américain, fondateur et également dirigeant de la Fondation pour l'innovation et les technologies (Technology & Innovation Foundation) : il souhaite, en effet, que le gouvernement consacre davantage de fonds au secteur des nouvelles technologies, ce qui, selon lui, permettrait à l'économie américaine de sortir plus rapidement de la crise. Il insiste également sur la nécessité d'agir vite, pour que les effets de stimulation de ces investissements puissent se réaliser sur du court terme. Pour lui, le fait d'investir dans les technologies de l'information pourrait avoir des incidences économiques beaucoup plus importantes que dans d'autres secteurs d'activités. Il se justifie en rappelant que les investissements en technologies ont été largement responsables des gains de productivité aux États-Unis au cours de la dernière décennie, et que de nouveaux investissements dans ce domaine apporteraient encore plus. « Lorsqu'on produit des infrastructures technologiques en période de ralentissement économique, non seulement on crée de nouveaux emplois sur du court terme, mais en plus, on améliore la productivité des entreprises sur du long terme », a t-il déclaré. Le plan de relance économique américain a pourtant prévu d'allouer des fonds importants au secteur des nouvelles technologies, avec quelque 7,2 Md$ investis notamment dans la construction de réseaux. Mais Robert Atkinson estime que ce n'est pas suffisant : pour lui, le marché IT pourrait absorber pas moins de 15 milliards de dollars. (...)

(25/03/2009 11:56:22)

Annuels Lefebvre Software : +11,6% sur le chiffre d'affaires sans inclure ASGroupe

L'éditeur français de solutions de gestion Lefebvre Software a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 23,4 M€, en progression de 11,6% à périmètre constant, sans tenir compte du rachat de l'éditeur ASGroupe, réalisé en novembre dernier. Sur l'année, son résultat opérationnel courant s'élève à 2,6 M€ (11% du chiffre d'affaires) et le résultat net à 2,8 M€. Lefebvre Software s'est engagé dans un plan de développement ambitieux depuis l'arrivée à sa tête, il y a deux ans, de Viviane Ribeiro, précédemment présidente de l'éditeur Geac France où elle avait passé 17 ans. La société compte doubler son chiffre d'affaires d'ici à 2010 et poursuivre sa croissance externe. L'acquisition d'ASGroupe, spécialiste de la consolidation et du reporting, vient compléter sa suite de gestion intégrée (redéveloppée en architecture J2EE) et ses solutions de gestion des ressources humaines, qui s'adressent à des entreprises du mid-market (la base installée conserve une forte proportion d'utilisateurs de l'AS/400 d'IBM). En incluant ASGroupe, Lefebvre Software totalise un chiffre d'affaires de 31,7 M€ en 2008 dont 10% réalisés à l'international (notamment en Italie, Belgique, Espagne, Portugal et au Royaume Uni). Ensemble, les deux éditeurs rassemblent une base installée de 2 500 clients. (...)

(24/03/2009 17:36:28)

Les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher, prédit Gartner

Selon le cabinet d'études Gartner, les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher en 2009 et 2010. Gartner a mesuré la baisse sur quatre métiers : services datacenter (-5 à -10%), services de desktop et de help desk (-5 à -10%), services réseaux (-10 à -15%), applications externalisées (-10 à -20%). Le cabinet attribue cette baisse des prix à la concurrence entre anciens acteurs de l'outsourcing et nouveaux entrants. La crise a eu pour effet de reporter un certain nombre de décisions, observe le cabinet. Mais les clients sont bien décidés à entrer dans d'intenses discussions et à renégocier les termes et conditions des contrats, les niveaux de services, les volumes de l'outsourcing. Un exemple est donné avec le marché indien : Gartner explique que les SSII ont dû baisser leurs prix, leurs clients se plaignant des attaques terroristes de Bombay, du scandale Satyam, des fluctuations du cours de la roupie, etc. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >