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(11/03/2009 18:13:00)

Interview exclusive du DSI de Microsoft Corp.

« Je fais tout ce qu'on peut attendre d'un CIO, mais j'assure aussi un rôle clé : déployer et tester des logiciels Microsoft. » Tony Scott, « global CIO » de Microsoft, autrement dit responsable des systèmes d'information de l'éditeur au niveau mondial, était récemment de passage en Europe pour rencontrer les DSI européens de Microsoft et quelques grands clients triés sur le volet. Après une conférence de presse, il nous a accordé un entretien exclusif, à suivre en vidéo (VO sous-titrée) ou à lire ici. Par rapport à un DSI classique, Tony Scott a deux contraintes - qui semblent lui plaire énormément. La première est qu'il doit appliquer le « dog fooding » (de l'expression anglaise 'to eat its own dog food'). Autrement dit, ce que Microsoft propose à ses utilisateurs, l'éditeur se doit de l'appliquer en interne. « Nous avons les produits très en amont de leur cycle de développement, raconte Tony Scott. Non seulement nous les utilisons, mais en outre nous les déployons sur une échelle de plus en plus grande au fur et à mesure de leur maturation. » Un autre aspect de son métier : en tant que responsable haut placé de Microsoft - et placé aux premières loges en matière d'utilisation des logiciels - il doit assurer la relation avec les clients de Microsoft. « Je rencontre beaucoup de CIO tout au long de l'année, tant dans l'industrie que dans l'administration. J'en ai rencontré 60 ou 70 ces deux derniers mois. » On pourrait aussi ajouter une troisième contrainte : le fait d'utiliser de l'Open Source le moins possible. Toutefois, il y en a dans le système d'information de Microsoft, ne serait-ce, dit-il, que pour des raisons de « tests d'interopérabilité ». Mais Tony Scott s'empresse aussitôt de prendre un ton très sérieux pour expliquer que de son point de vue, et de par son expérience en tant que directeur technique de General Motors ou DSI de Disney, l'Open Source ne revient pas forcément moins cher. La tactique de Tony Scott : investir pour réduire les coûts Comme tout DSI, Tony Scott explique que sa première préoccupation est de réduire les coûts. « Il y a plusieurs stratégies face à cet impératif. Certains arrêtent de dépenser de l'argent. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. J'ai déjà vu ça, plus tôt dans ma carrière, et c'est un modèle intenable à la longue, les CIO qui le pratiquent se font virer après 3 ou 4 ans. D'autres choisissent d'investir. Mon propre budget est en baisse, alors qu'il était étal l'année dernière. Or, j'ai dû augmenter les salaires. J'ai donc investi dans des technologies qui permettent de réduire les coûts, de 10 à 15% l'année suivante ; cette stratégie se révèle productive année après année. » Parmi les postes cités pour réduire les dépenses figurent la virtualisation (qui optimise l'utilisation des serveurs) et les communications unifiées. Technologie sur laquelle Tony Scott insiste beaucoup. « Cela nous permet d'économiser 60% sur la téléphonie. Et en plus les gens adorent le fait de disposer de toutes ces fonctionnalités agrégées (voix, messages vocaux, messagerie instantanée, visioconférence, tableau blanc, etc.) sur leur poste de travail. » Le DSI de Microsoft dit aussi recourir aux services hébergés - pour le courrier électronique notamment - et fonde beaucoup d'espoir sur le cloud - et donc Azure en particulier - pour absorber les pics de charge. Et de ce point de vue, cela lui facilite en effet la tâche, puisque les services en ligne de Microsoft ne sont pas de son ressort : il n'est alors qu'un client parmi d'autres. « Comme lorsque j'étais CIO de Disney », dit-il. (...)

(11/03/2009 17:33:36)

Google Docs et Gmail à nouveau hors service pendant quelques heures

Les ennuis continuent pour les utilisateurs des services proposés par Google. Mardi, le géant du Web avertissait ainsi les internautes d'un « problème mineur » proscrivant l'accès à la messagerie Gmail. Si, quelques heures après cette alerte, la majorité du « petit sous-ensemble d'utilisateurs » affectés par ce bug avait de nouveau accès au service de courriel, Google indiquait qu'il faudrait encore 24 à 36 heures pour que tous les titulaires d'un compte Gmail puissent accéder sans encombre au service. Finalement, le pantagruélique moteur de recherche signalait ce matin que le dysfonctionnement n'était plus qu'un souvenir et que tous les utilisateurs avaient retrouvé l'accès à leur messagerie. Si Google a présenté ses plates excuses, il n'a en revanche avancé aucune explication sur la survenue du problème. Autre service, autre dysfonctionnement : la suite bureautique Google Docs a, elle aussi, pâtit d'un manque de stabilité. Le week-end dernier, une partie des utilisateurs a ainsi été informée par courriel que certains de leurs documents avaient été partagés sans leur consentement avec d'autres internautes. Seuls les fichiers texte et les présentations étaient concernés, les feuilles de calcul restant à l'abri. Là encore, Google a fait profil bas mais n'a pas communiqué sur les raisons ayant conduit à ce bug. Tout au plus sait-on que le partage involontaire ne s'est produit qu'avec des utilisateurs ayant préalablement été invités à collaborer sur des documents des internautes affectés. Au total, selon Google, 0,05% des documents auraient été concernés. Le succès du modèle Saas (Software as a service, ou services applicatifs en ligne), s'il ne se trouve pas remis en question par les troubles affectant Google, pourrait néanmoins être altéré si ce genre d'événements venait à se reproduire. D'autant que les services de Google semblent collectionner les avaries depuis plusieurs mois. En août 2008, presque toutes les entreprises utilisatrices des services Premier étaient déconnectées pendant deux heures. Le 6 et le 15 du même mois, certaines d'entre elles déploraient une interruption du service qui atteignait 24 heures. Mi-octobre, c'était au tour des utilisateurs de Gmail de se trouver privés de leur messagerie. Quelques jours après, les nouveaux inscrits au webmail ne pouvaient plus s'y connecter. Le mois dernier, le même Gmail était à nouveau indisponible pendant deux heures et demi. Pour rassurer les utilisateurs - et montrer que les pannes sont finalement peu courantes - Google a récemment mis en place un tableau de bord recensant le statut d'activité de ses dix principaux services en ligne. (...)

(11/03/2009 16:54:19)

Le processeur Rock entrera en scène cet automne, affirme Sun

En février 2008, Sun avait annoncé un retard d'un an pour Rock, son processeur à 16 coeurs. Cette fois, le constructeur devrait pouvoir tenir sa promesse. John Fowler, vice-président exécutif de Sun responsable de la division Systèmes, l'a affirmé : la puce équipera des serveurs maison dès cet automne. « Le processeur est dans des stades divers de débogage, nous nous approchons [de la commercialisation]. » Le Rock aura deux fois plus de coeurs que le plus puissant processeur actuel de Sun, l'Ultrasparc T2, et son architecture de multi-threading (exécution parallèle des tâches) a été complètement revue. Il est destiné aux serveurs manipulant de grandes quantités de données, typiquement des serveurs de bases de données. Les applications devront être réécrites Toutefois, les applications devront être revues afin de tirer parti de ce surcroît de coeurs. John Fowler indique ainsi que Sun s'est attelé à une réécriture de son SGBD Open Source MySQL « afin qu'il puisse prendre en compte de plus en plus de threads et de coeurs ». Alors que des tests commencent à montrer que les performances ne croissent pas forcément au-delà de 8 coeurs, John Fowler explique qu'il faut vraiment considérer ce sujet au cas par cas. « Tous les logiciels sont différents », dit-il. Quoiqu'il en soit, tous les fabricants de processeurs sont engagés dans une course au nombre de coeurs. Ainsi, alors qu'AMD prévoit un hexacoeur vers la fin de l'année, Intel espère livrer dans le même temps son Nehalem octocoeur. A noter qu'IBM préfère de son côté augmenter les performances de son processeur Power6 en assemblant des bicoeurs. (...)

(11/03/2009 16:39:53)

Nvidia crée un fonds d'investissements pour les start-ups

Nvidia, le fabricant de processeurs graphiques, a annoncé mardi le lancement d'un programme d'investissement, baptisé GPU Ventures. A l'instar des programmes Idées et Bizspark de Microsoft, cette initiative vise à identifier, soutenir et investir dans des start-ups qui s'appuient sur des GPU (graphic processing units, ou processeurs graphiques). Le montant des investissements devrait s'étaler entre 500.000 et 5 M$ et profiter aux entreprises qui utilisent des solutions GPU pour des applications à la fois grand public et professionnelles dans des secteurs comme l'amélioration de la vidéo et de l'image, le calcul scientifique, l'analyse financière et les interfaces 3D. Nvidia rappelle avoir investi dans des jeunes pousses qui ont rencontré un vif succès comme Acceleware, Keyhole (racheté par Google pour Google Earth), Mental Images (racheté par Nvidia), MotionDSP et Right Hemisphere. Le fabricant en a profité pour annoncer le lancement de GPU Venture Zone , un portail descriptif de toutes les applications GPU innovantes développées avec les partenaires de son écosystème. (...)

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