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(04/02/2009 16:50:08)
XenDesktop 3 de Citrix devrait gérer deux fois plus de clients
Citrix va livrer ce mois-ci la version 3 de XenDesktop, sa solution de virtualisation pour les postes clients. Par rapport à la précédente mouture, elle devrait gérer deux fois plus de clients, dans un environnement comparable. Ce progrès s'explique, selon l'éditeur, par l'exploitation des images systèmes centralisées et dédupliquées qui sont, soit activées sur le serveur, soit envoyées en streaming vers les clients capables de faire tourner en local l'OS et les applications. A cela s'ajoute HDX MediaStream pour l'optimisation de la gestion des fichiers multimédia. D'une part, cette technologie optimise la bande passante réseau pour les fichiers multimédias (HDX Broadcast) et, d'autre part, elle exploite les composants multimédias en local tels que les lecteurs MP3, les appareils photo numériques, les smartphones, les scanners etc. (HDX Plug-and-Play). HDX rappelle les protocoles RDP enhancements et RGS (Remote Graphic Software) que HP a annoncé mi-décembre dans le même but. L'hyperviseur est livré dans l'offre Delivery Center XenDesktop 3 est aussi annoncé avec des outils d'administration du profil des utilisateurs et le support de cartes à puce pour la sécurisation. Il s'intègre dans l'offre globale Delivery Center qui regroupe l'ensemble des briques de l'éditeur pour la virtualisation. Outre Xendesktop, on y trouve XenServer et App Receiver. Citrix fait monter Microsoft au front pour soutenir XenDesktop 3. Confronté à la montée en puissance de la virtualisation des postes clients, l'éditeur de Windows ne peut pas ouvertement prôner des technologies qui le menacent directement. Citrix lui permet d'être présent sur le créneau sans cannibaliser son offre. XenDesktop 3 est annoncé à un prix de départ de 75$ par poste client virtualisé. (...)
(04/02/2009 14:29:59)Les services informatiques ne sont pas incompatibles avec le développement durable (interview D2-SI)
Quand Laurent Hinault a créé sa société de services en informatique D2-SI en 2006, il a souhaité le faire dans l'esprit du développement durable. Une alliance étonnante pour un milieu, les services informatiques, peu réputé pour son intérêt pour ce type démarche. Encore plus étonnant, la SSII décline le développement durable sous tous ses aspects : environnemental, social, économique et même sociétal. Dans un entretien qu'il a accordé au MondeInformatique.fr, Laurent Hinault raconte sa société d'un nouveau genre. Pour commencer, le jeune dirigeant rappelle que le métier de D2-SI est bel et bien le service informatique. Mais simplement, avec Marc Roudier, co-fondateur, ils ont souhaité lui donner du sens. D'abord en accompagnant les ingénieurs recrutés dans leurs projets professionnels. Comme les deux fondateurs, les employés de la SSII cherchent à la fois à exercer leur métier dans les meilleures conditions et à lui trouver un sens au-delà de la seule compétence technologique ou commerciale. Mais D2-SI réserve aussi une partie de ses revenus et du temps de ses employés pour des projets à vocation sociétale comme l'accompagnement des enfants malades, par exemple. Pour ce qui est de l'environnement, outre que D2-SI le respecte au quotidien, la SSII aide aussi ses employés à le préserver durant leur temps libre. (...)
(04/02/2009 12:56:15)Le plan de relance du gouvernement inclut les grands centres de calcul
Le premier ministre François Fillon a présenté le 2 février à Lyon les 1 000 projets qui bénéficieront du plan de relance de l'économie annoncé en décembre dernier par Nicolas Sarkozy, président de la République Française. Les TIC ne sont pas directement impliquées, en dehors du financement de très grandes infrastructures de recherche (TGIR) et du soutien aux PME innovantes. Sur les 26 Md€ de crédits prévus, 4 Md€ sont destinés à un programme exceptionnel d'investissement public. 1,1% de cette enveloppe, soit 46 M€, sera consacré au financement de très grandes infrastructures de recherche. 1,75% (70 M€) viendra par ailleurs soutenir l'investissement dans les nanotechnologies. Ces financements représentent tout juste 0,18% et 0,27% du total de 26 Md€ de crédits prévus. Des crédits pour le Ganil et le Genci Ainsi, en Basse-Normandie, le Ganil (Grand accélérateur national d'ions lourds) bénéficiera d'un crédit de 4 M€. En Ile-de-France, le financement de TGIR totalise 27,3 M€. Parmi les opérations retenues figurent le Genci -grand équipement national de calcul intensif (2,6 M€), LLB-Orphee -spectromètre à neutrons (1,8 M€), Soleil -rayonnement synchrotron (6 M€), Renater -réseau national de télécommunication scientifique (1 M€), le CCRT et IDRIS -centres de calcul intensif (2 M€ et 1 M€), ou encore Neurospin -neuro-imagerie cérébrale (2 M€). Dans la région PACA (Provence-Alpes-Côtes d'Azur), le plan de relance a retenu l'ITER -installation expérimentale de fusion. Le crédit accordé s'élève à 5 M€. Et en Rhône-Alpes, 4 M€ sont répartis entre l'ESRF -rayonnement synchrotron (1,8 M€) et le centre de calcul intensif IN2P3 (2,2 M€). Dans la liste des opérations retenues figurent aussi Adonis -réseau numérisé de données SHS (1 M€). La capacité d'intervention d'Oseo Garantie étendue à 4 Md€ de plus [[page]] Le plan de relance prévoit aussi un soutien exceptionnel à l'activité économique et à l'emploi qui inclut des actions pour aider les PME et TPE. Ces mesures, qui ont été en partie détaillées le 4 décembre dernier prévoient 700 M€ d'aide à l'embauche dans les très petites entreprises. Parmi les autres apports du plan en faveur des PME innovantes, l'établissement public Oseo voit sa capacité d'intervention augmentée. Il peut garantir 4 Md€ de prêts supplémentaires, en plus des 5 Md€ qu'il pouvait déjà garantir ou réaliser depuis l'annonce, début octobre, du déblocage de 22 Md€ en faveur du financement des PME. Rappelons que les 17 Md€ restant proviennent des livrets de développement durable et d'épargne populaire et qu'un médiateur, René Ricol, a été nommé afin de s'assurer que ces crédits iraient effectivement aux PME et TPE. C'est vers lui que peut se tourner tout chef d'entreprise ou entrepreneur individuel qui rencontrerait des difficultés de financement auprès de sa banque. Un site Web propose des dossiers types pour faciliter les demandes de médiation : www.mediateurducredit.fr Paiement à 60 jours fin de mois depuis le 1er janvier 11,4 Md€ seront remboursés aux entreprises, pour « desserrer les contraintes pesant sur leur trésorerie, dans le cadre des dispositions prises par la loi de finances rectificative pour 2008 » et 11,1 Md€ passeront par des interventions directes de l'Etat comme le remboursement des créances au titre du crédit d'impôt recherche ou encore la mensualisation du remboursement des crédits de TVA. Rappelons par ailleurs que, depuis le 1er janvier, la loi prévoit que toute facture émise en France soit réglée sous 60 jours, et non plus 60 jours « fin de mois ». (...)
(04/02/2009 12:52:51)La Cour d'appel de Paris confirme la fin de l'exclusivité d'Orange sur l'iPhone
Les arguments d'Orange et d'Apple n'auront pas suffi. La Cour d'appel de Paris a confirmé, ce 4 février, le jugement du Conseil de la concurrence : l'accord d'exclusivité passé entre l'opérateur historique et Apple sur la distribution de l'iPhone doit cesser. Les juges ont fondé leur décision sur les dangers que cet accord fait planer sur la concurrence dans le marché de la téléphonie. Ainsi, la moitié des 450 000 acquéreurs d'iPhone auprès d'Orange sont de nouveaux clients de l'opérateur. Un phénomène qui constitue, estime la Cour d'appel, « une captation d'abonnés (...) quasiment irréversible » se faisant « au détriment des autres opérateurs ». Le Conseil de la concurrence avait avancé des arguments similaires, en indiquant que le contrat Orange/Apple était « de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence ». SFR et Bouygues prêts à adopter l'iPhone Cette confirmation de la décision du Conseil de la concurrence ravira évidemment Bouygues Télécom (qui avait initié l'affaire devant les tribunaux) et SFR (qui avait rejoint le banc des plaignants). Les deux opérateurs ont désormais toute latitude pour négocier directement un partenariat avec Apple afin de distribuer, à leur tour, l'iPhone. Les deux concurrents d'Orange n'ont d'ailleurs pas attendu le jugement de la Cour d'appel pour tenter d'attirer les consommateurs avec le smartphone à la pomme. Chez SFR comme chez Bouygues, il était ainsi possible depuis quelques mois de se voir rembourser une partie du prix du téléphone acheté nu (sans abonnement) auprès d'Orange. Et aujourd'hui, les rivaux de l'opérateur historique mettent les bouchées doubles : la page d'accueil du site Web de SFR rappelle que « la Cour d'appel de Paris a confirmé la fin de l'exclusivité de distribution de l'iPhone 3G en France » et lance un « Soyez prêt » aux consommateurs, leur proposant de laisser leurs coordonnées pour être contactés dès que le téléphone sera disponible dans le catalogue SFR. Même son de cloche chez Bouygues Télécom. Là encore, la page d'accueil du site Web ne rate pas le coche : « Nous avons le plaisir de vous informer que la Cour d'appel de Paris confirme la levée des exclusivités de la commercialisation de l'iPhone 3G. Nous poursuivons donc nos négociations avec Apple afin de pouvoir bientôt vous proposer ce mobile. » Orange, de son côté, n'entend pas clore ce dossier si rapidement. L'opérateur historique a en effet indiqué qu'il se pourvoira en cassation. Une démarche non suspensive, qui n'empêchera donc pas ses concurrents de finaliser leur accord avec Apple et de faire apparaître l'iPhone dans leurs offres. (...)
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