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(03/02/2009 16:53:07)

Annuels Informatica : Les services tirent la croissance

L'éditeur américain Informatica, spécialisé sur les solutions d'intégration de données, a réalisé un quatrième trimestre légèrement supérieur aux attentes des analystes. Son chiffre d'affaires a progressé de 9,2%, à 124,4 M$, principalement grâce aux services, dont les revenus enregistrent une hausse de 14%, à 67,2 M$. Les services représentent 54% des revenus sur le trimestre, tandis que les ventes de licences ont progressé de 4%, à 57,2 M$. Sur l'année, le poids des services est encore plus important puisque les revenus liés à cette activité ont augmenté de 20% à 259,93 M$ et représentent 57% du chiffre d'affaires global (contre 55,2% l'an dernier). Les ventes de licences ont de leur côté progressé de 12%, à 195,77 M$. L'éditeur, qui cible les grandes entreprises, dit avoir renouvelé des contrats avec 279 clients en 2008 (dont les Français Canal Plus, La Poste et SFR). Il indique avoir gagné 84 nouveaux clients au nombre desquels figurent, sur l'Hexagone, Banque Accord, Franfinance, le ministère de l'Immigration, Printemps et Schneider Electric. Un rachat dans la qualité des données Au printemps 2008, Informatica a racheté Identity Systems (pour 85 M$) pour ses solutions de gestion de la qualité des données. Il a livré en juin la version 8.6 de sa plateforme unifiée (intégrant en standard les fonctions temps réel), enrichie d'outils d'échange de données non structurées, et renforcé les services « On demand » destinés à l'application hébergée de CRM (gestion de la relation client) de Salesforce.com. En France, Informatica compte environ 175 clients, principalement sur les secteurs de l'énergie, de la banque, des biens de grande consommation, de l'industrie manufacturière et du secteur public. Sa plateforme d'intégration de données est utilisée pour les projets d'analyse décisionnelle (environ 50% du chiffre d'affaires en France), mais aussi pour les projets de modernisation du SI, la mise en place d'ERP et de référentiels d'entreprises. A l'automne dernier, Informatica a renforcé ses équipes en Europe du Sud en rachetant PowerData, son distributeur sur l'Espagne et le Portugal. La filiale locale, Informatica Iberia, est sous la responsabilité de Didier Guyomarc'h, directeur général d'Informatica France et vice-président des ventes pour l'Europe du Sud. (...)

(03/02/2009 16:43:12)

Le PDG d'Adobe relance le buzz au sujet de Flash sur l'iPhone

En termes de buzz, on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même. C'est sans doute pourquoi le PDG d'Adobe, Shantanu Narayen, a profité de son exposition médiatique au Forum mondial de Davos pour raconter à des journalistes de Bloomberg que le portage de Flash sur l'iPhone est « un challenge technique difficile », mais qu'Apple et Adobe collaborent sur le sujet, et que « la balle est dans notre camp ». La petite phrase a rapidement fait le tour du Web, beaucoup de sites s'extasiant même sur cette collaboration, et sur l'arrivée prochaine de Flash sur l'iPhone. Dans les faits, voilà plusieurs mois qu'Adobe laisse entendre que la solution technique est prête, et que l'arrivée de Flash sur l'iPhone n'attend plus que le feu vert de Steve Jobs. En novembre dernier, l'accord avec ARM confirmait d'ailleurs cette information. Or, le patron d'Apple a lui aussi des ambitions en termes de plateforme de format de contenu multimédia, et n'a aucune intention de faciliter la tâche d'Adobe. La tactique de Shantanu Narayen s'apparente donc davantage à une démonstration de force - voyez comme l'attente des utilisateurs est grande - qu'à une véritable volonté d'informer. (...)

(03/02/2009 12:53:16)

Marché des PC : La France finit 2008 en beauté avant de souffrir en 2009

Alors que les principaux cabinets d'analystes ont récemment fait état d'un marché mondial des PC en récession au quatrième trimestre 2008, Gartner annonce des chiffres autrement plus réjouissants pour la zone Europe, et notamment pour la France. Avec 20,1 millions de machines vendues au cours du dernier trimestre 2008, le marché européen enregistre ainsi une croissance de 12,1% sur un an. « De façon surprenante, note Gartner, c'est en Europe de l'Ouest qu'a été observée la plus forte progression de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). » Les netbooks ont largement contribué à cette dynamique, avec 2,5 millions d'unités écoulées au quatrième trimestre, contribuant à compenser le recul de 5% sur le marché professionnel. Sans les netbooks, estime Gartner, les ventes de PC en Europe occidentale auraient reculé. Mais, même si les mini-PC ont sauvé les meubles, leur faible prix de vente a participé du recul du marché en valeur. L'institut estime ainsi à 15% la baisse des prix moyens sur un an. La France en grande forme En France, le marché des PC s'est montré encore plus dynamique, avec une croissance de 13% en volume (3,2 millions d'unités vendues au quatrième trimestre). Une performance réalisée en partie à l'occasion des fêtes de fin d'année sur le segment grand public, où les ventes ont bondi de 32% sur un an. Comme pour l'ensemble de l'Europe occidentale, ce sont les PC portables - et notamment les netbooks - qui ont alimenté cette demande (+41%). Ainsi, près de deux PC sur trois vendus au T4 étaient des laptops. A l'inverse, les machines de bureau ont continué de séduire de moins en moins de consommateurs : leurs ventes reculent de 15% sur un an, en dépit de l'apparition des PC tout-en-un, présentés par Gartner comme une possible bouée de sauvetage des desktops. Même tendance sur le marché professionnel, avec des livraisons en baisse de 5%, notamment en raison d'une piètre demande des PME. Au palmarès des constructeurs, Acer conserve sa première place avec près de 25% de parts de marché, mais croît moins rapidement que l'ensemble de ses concurrents. HP en profite pour le talonner (24,2% de parts de marché) et creuse l'écart avec Dell. Le Texan n'enregistre que 1,2% de croissance, à des années-lumière des 172,4% d'Asus. Ce dernier, qui s'arroge 8,1% du marché, a su profiter de l'engouement pour les netbooks avec sa gamme Eee PC (60% de l'ensemble de ses ventes) pour ravir la quatrième place à Toshiba. Ces bons résultats concernant la France ne doivent cependant pas éclipser la réalité de la situation économique. En progressant de 13% au T4, le marché français pourrait simplement avoir livré son baroud d'honneur avant une période de vaches maigres. « Nous n'avons pas encore vu l'impact de la récession et le pire est à venir », note Gartner. (...)

(03/02/2009 11:51:01)

Divalto a poursuivi sa progression en 2008

« C'est pour nous la sixième bonne année consécutive et nous venons de franchir le cap des 10 M€ de chiffre d'affaires, se félicite Thierry Meynlé, directeur général de l'éditeur. Si une partie de la progression est expliquée par l'acquisition des progiciels du Centre Technique du Décolletage en avril dernier, notre croissance organique a tout de même été de 18% ». Deux évolutions expliquent la bonne performance de Divalto. La première est que l'éditeur a recruté 30 nouveaux partenaires. « C'est plus qu'un réseau, c'est devenu un « écosystème », qui mobilise au total plus de 1 000 personnes et qui génère un chiffre d'affaires de 97 millions d'euros si l'on tient compte des prestations commercialisées par nos 150 distributeurs », explique Thierry Meynlé. Et grâce à son réseau de distribution, Divalto a convaincu près de 400 nouveaux clients en 2008. La seconde évolution concerne la progression de Divalto dans des entreprises de plus en plus importantes : les quatre principales nouvelles références de l'éditeur pour 2008 ont à elles seules permis la vente de plus de 2 000 licences. Un bénéfice record qui représente près de 28% du CA Dans ce contexte, Divalto peut également afficher un résultat d'exploitation record de 2,8 M€, soit près de 28% du chiffre d'affaires. Cette manne permet à l'éditeur de poursuivre ses investissements en R&D et il lancera d'ici l'été la version 6.2 de son ERP. « Cela va aussi nous permettre de renforcer nos investissements en communication et en animation du réseau. Entre autres actions, nous emmènerons cette année nos partenaires sur l'île de La Réunion ». De fait, les événements partenaires de ce type se feront rares cette année sur le marché IT. Divalto affirme par ailleurs que son offre de SaaS, lancée en 2006, commence enfin à décoller : « La progression a été de 654% en 2008, et même si cette activité ne représente encore que 1% du chiffre d'affaires, les projets en préparation confirment que le développement de cette formule va effectivement s'accélérer », conclut Thierry Meynlé. (...)

(02/02/2009 17:38:09)

Microsoft ouvre le code de son projet Web Sandbox

Un Web plus sûr, telle est l'ambition de Microsoft avec son Web Sandbox : un bac à sable isolant l'exécution du code des serveurs Web (mash-up, publicités, etc.) du reste de la machine. La technologie, indépendante des navigateurs Web, avait été présentée au public des développeurs Microsoft en octobre dernier. Elle est désormais accessible à tous, Microsoft ayant publié le code sous licence Open Source Apache. Encore en cours de développement, le projet Web Sandbox n'est pas encore prêt à être inclus dans des développements. Le but de cette ouverture de la part de Microsoft est surtout d'encourager des éditeurs tiers à utiliser cette technologie, afin d'en faire un standard « ouvert et interopérable », deux mots sur lesquels l'éditeur insiste beaucoup en ce moment. L'annonce de l'ouverture du code a d'ailleurs été faite par l'équipe de Sam Ramji, le grand ordonnateur de l'Open Source au sein de Microsoft. Il faut bien noter que, même s'il passe sous licence Apache, le projet reste un projet Microsoft et non un projet Apache - contrairement à Stonehenge (code pour le développement d'applications orientées services). (...)

(02/02/2009 17:07:58)

NEC va supprimer 20 000 postes dans le monde

Dans le cadre d'un des plus lourds plans de réductions d'effectifs annoncés ces derniers jours sur le secteur, le Japonais NEC prévoit de licencier 20 000 salariés, sur un effectif mondial d'environ 154 000 personnes. Le groupe d'électronique et d'informatique va fermer des usines et se retirer de certains secteurs d'activité. En fin de semaine, son compatriote Toshiba avait également annoncé 4 500 suppressions de postes. Au Japon, NEC va se séparer de 9 500 salariés et proposer un plan de retraite anticipée à 450 autres collaborateurs. A l'international, les suppressions de postes toucheront 9 000 personnes. Le fabricant n'a pas donné de détails sur les divisions qui seront touchées, mais il a indiqué qu'il allait poursuivre la restructuration de sa filiale NEC Electronics, spécialisée dans la fabrication de puces. NEC s'attend à une perte de 2,54 Md$ sur son exercice fiscal NEC avait originellement prévu de réaliser un bénéfice net de 166 M$ (15 Md¥) sur son année fiscale qui s'achèvera fin mars 2009. Désormais, il s'attend à enregistrer une perte nette de 2,54 Md$ (290 Md¥) en raison du ralentissement de son activité et des restructurations engagées. Le groupe prévoit un chiffre d'affaires annuel de 47 Md$ (4 200 Md¥), ce qui constituerait un recul de 9% par rapport à l'exercice précédent. Sur son troisième trimestre fiscal (échu fin décembre 2008), NEC a enregistré une perte de 1,47 Md$ sur un chiffre d'affaires de 10,6 Md$. L'an dernier, sur la même période, sa perte s'était établie à 60 M$ sur un chiffre d'affaires de 12,3 Md$. Les résultats de ses activités IT et solutions réseaux sont à peu près en ligne avec ce qui était attendu. En revanche, ses divisions téléphonie mobile et semi-conducteurs ont souffert en raison de la chute de la demande. Le Yen fort a également entamé les bénéfices réalisés sur les ventes du groupe à l'international. (...)

(02/02/2009 14:21:32)

Hewlett-Packard accorde des prêts à taux zéro aux PME nord-américaines

Pour soutenir la demande des PME nord-américaines, Hewlett-Packard (HP) met en place des prêts à taux zéro sur douze mois. Réservés aux entreprises privées, ces prêts pour des montants entre 1500 et 150 000 $ sont accordés pour l'acquisition de l'ensemble des produits professionnels, y compris les consommables. HP ne précise pas les conditions d'obtention de ces prêts. Quant à la filiale française, elle n'a reçu aucune instruction pour mettre en place de tels prêts. (...)

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