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(02/02/2009 12:44:24)

Trimestriels CA : L'éditeur résiste mieux sur son marché qu'à l'international

L'éditeur américain CA a réalisé un chiffre d'affaires de 1,042 Md$ sur son troisième trimestre fiscal (clos au 31 décembre 2008), en recul de 5%. Il dégage néanmoins sur la période un bénéfice net de 213 M$, en hausse de 30,6%, et une marge opérationnelle qui progresse dans des proportions équivalentes et représente 30% du chiffre d'affaires (soit +7% par rapport à l'an dernier). Les ventes sur le marché nord américain ont progressé de 1%. A l'international, elles reculent de 13% par rapport à la même période l'an dernier. L'éditeur de logiciels d'infrastructure, toujours très axé sur les opérations de croissance externe a procédé le 5 janvier dernier à une acquisition de plus, celle d'Orchestra. Ce dernier viendra compléter son portefeuille de logiciels de gestion des accès et des identités, déjà enrichi en novembre dernier avec le rachat d'Eurikify. Sur les neuf premiers mois de son exercice, le chiffre d'affaires de CA n'a progressé que de 1,38%, à 3,2 Md$, tandis que son bénéfice net enregistre une hausse de 45%, à 622 M$. Sur les neuf mois, la marge opérationnelle atteint 29,2% du chiffre d'affaires. (...)

(02/02/2009 12:36:44)

Une erreur humaine paralyse Google pendant près d'une heure

« Ce site risque d'endommager votre ordinateur ». Samedi 31 janvier, les internautes qui ont effectué des requêtes sur Google ont invariablement obtenu des résultats frappés de cet avertissement. A en croire le moteur de recherche, tous les sites Internet - quels que fussent leur objet et leur origine géographique - présentaient le risque de contenir un malware. Et pas question de braver l'avertissement de Google : en cliquant sur les résultats des recherches, les utilisateurs aboutissaient sur une page leur proposant invariablement de modifier leurs critères, de sélectionner un autre site ou de consulter le site StopBadware.org, qui liste les sites malveillants. De fait, vers 14h30 (heure de Paris), l'ensemble des sites Web était inaccessible à partir de l'hégémonique moteur de recherche. Rapidement, Google a réagi à ce dysfonctionnement. Sur son blog officiel, le moteur a ainsi confessé qu'il s'agissait « tout simplement d'une erreur humaine ». Dans un premier temps, Google a reporté la faute sur le site StopBadware.org, qui lui fournit une série de critères permettant de dresser une liste des sites dangereux. Mais, contrairement à ce que Google a indiqué, StopBadware.org ne lui communique pas un catalogue d'URL à placer en liste noire. « Google génère sa propre liste », explique le site injustement mis en cause, pour dissiper tout malentendu. Dans la foulée, Google a rectifié le tir en expliquant que l'erreur prenait sa source dans une manipulation malheureuse. Dans la liste noire des sites malicieux établie par le moteur, une main maladroite aurait en réalité coché l'URL « / », contribuant à y placer l'ensemble des pages Web recensées par Google. Rapidement débusquée, la défaillance a été corrigée en une quarantaine de minutes. Google a félicité ses équipes pour avoir mis le doigt sur l'origine du problème et a « présenté [ses] excuses à tous ceux qui ont été gênés (...) ainsi qu'aux propriétaires de sites dont les pages ont été injustement étiquetées. Nous allons enquêter méticuleusement sur cet incident et mettrons en place des moyens de vérification plus solides pour empêcher que cela se reproduise. » (...)

(30/01/2009 18:19:03)

Les réductions de postes chez Toshiba touchent 4 500 salariés à temps partiel

Touché par la crise économique, mais aussi par un Yen fort, Toshiba s'apprête à enregistrer cette année sa première perte depuis sept ans. Le constructeur japonais prévoit de réduire ses dépenses de R&D de 20%, à 320 Md¥ (3,55 Md$) sur 2009. Il va poursuivre ses réductions d'effectifs et encourager le travail en temps partagé. Dans un premier temps, les réductions toucheront 4 500 salariés à temps partiel dans ses divisions semiconducteurs et technologie LCD. Sur son troisième trimestre fiscal, la perte nette enregistrée par Toshiba s'élève à 1,3 Md$ (121 Md¥) sur un chiffre d'affaires en baisse de 21%, à 16,66 Md$ (1 500 Md¥). Les ventes de produits numériques ont diminué de 27% et celles des composants et des équipements électroniques de 31%. Ces deux divisions ont enregistré des pertes sur le trimestre. En raison de la chute des ventes de mémoire et de la baisse du prix des puces, la division composants/équipements électroniques a subi une perte de 134 Md¥, soit cinq fois plus que la division produits numériques. (...)

(30/01/2009 18:18:31)

VMware sauve la rentabilité d'EMC

C'est aux 514 M$ de CA sa filiale VMware qu'EMC doit d'avoir passé pour la première fois le cap des 4 milliards de dollars au quatrième trimestre. De même, c'est la contribution du numéro un de la virtualisation à hauteur de plus de 100 M$ aux bénéfices trimestriels qui évite aux résultats de sa maison mère de ne pas s'effondrer de plus de 45%. Sur l'exercice, l'activité d'EMC se répartit entre le stockage pour 11,6 Md$ (+ 9,4 %), la gestion de contenu et l'archivage pour 785,7 M$ (+ 1,6 %) et la sécurité pour 581 M$ (+ 10,5 %). Joe Tucci, président d'EMC, a annoncé qu'il anticipait une réduction de 5 à 9 % de la demande en informatique professionnelle et qu'il comptait économiser 350 M$ sur les charges opérationnelles de son groupe. Le géant a aussi annoncé une réduction de ses effectifs de 7% (soit 2400 personnes). Cette mesure ne touchera pas, toutefois, sa filiale VMware. (...)

(30/01/2009 17:57:50)

Les applications en mode hébergé confortent l'assise de Generix

Ce sont les applications de gestion en mode hébergé qui ont enregistré la plus forte croissance dans l'activité de Generix sur les neuf derniers mois. Elles ont généré 4,5 M€ (+32%) du chiffre d'affaires total de 51,1 M€ sur la période. Ces solutions regroupent l'ERP Generix Collaborative Enterprise, la plateforme d'intégration B2B TradeXPress On demand et les portails fournisseurs/clients de la distribution rachetés avec Influe, ainsi que la solution de gestion de la chaîne logistique (SCM, supply chain management) acquise avec Infolog. Ces applications fournies à la demande ne pèsent encore que 15,8% du chiffre d'affaires total sur les neuf premiers mois de l'exercice. Mais leur développement est très prometteur. En effet, la part des nouveaux contrats signés en mode SaaS (software as a service) connaît une progression à 3 chiffres chez Generix. Des contrats qui sont généralement signés sur 3 à 5 ans, selon Jean-Charles Deconninck, président de Generix Group. Par comparaison, les ventes de licences traditionnelles ont reculé de 8% sur les neuf mois écoulés, à 8,5 M$. Les revenus de la maintenance ont augmenté de 11%, à 15,4 M€, et ceux du conseil ont baissé de 3%, à 22,6 M€. Une croissance ralentie par le rachat d'Infolog [[page]]Le rachat d'Infolog, spécialiste de la gestion d'entrepôt, du transport et de la traçabilité, a pesé sur la croissance de Generix en 2008. En incluant cette activité, la progression du chiffre d'affaires du groupe français plafonne à +3%, alors qu'elle atteint +38% à périmètre constant. « Certains de nos clients ont levé le pied en septembre sur leurs déploiements logistiques, explique Jean-Charles Deconninck. Mais nous voyons maintenant une reprise de ces projets. » Il rappelle qu'Infolog a été racheté avec un objectif d'ordre industriel : couvrir la globalité de la chaîne de valeur dans le monde du commerce. La plateforme logistique développée dans le cadre de ce projet commence à être déployée auprès de certains clients. Elle propose des fonctions applicatives à la demande, sur la base d'une architecture multitenant, et sera officiellement lancée à la fin du premier semestre de cette année. « Elle permet de facturer véritablement à la demande, en tenant compte de la variabilité de l'activité des clients, des modules fonctionnels qu'ils utilisent et des volumes gérés », souligne le président du groupe. La supervision des événements de Systar intégrée dans l'offre A noter que Generix vient d'intégrer la technologie de supervision des événements (BAM, business activity monitoring) du Français Systar à sa plateforme d'intégration B2B TradeXpress Entreprise. « Nos clients opèrent dans les métiers de la logistique, sont fournisseurs de la grande distribution ou transporteurs, rappelle Jean-Charles Deconninck. 70% du flux de commandes de la grande distribution française passent par nos serveurs. On doit donner à nos utilisateurs les moyens de piloter leur processus critiques de façon extrêmement serrée. D'où la nécessité de mettre en place une architecture événementielle afin d'associer un niveau de service élevé à nos applications en mode SaaS. » (...)

(30/01/2009 17:37:30)

174 000 emplois informatiques supprimés dans le monde en 2008

Crise financière oblige, le secteur informatique et télécoms est sous pression et depuis début 2008, les annonces de plans de restructurations se multiplient. Le tableau des entreprises contributrices aux plans sociaux en France et dans le monde en 2008 est plutôt noir (voir le tableau ci-dessous). On comptabilise un peu plus de 174 000 postes supprimés dans le secteur de la high-tech dans le monde. La liste des entreprises qui mènent à bien des plans sociaux est édifiante et rassemble des acteurs de tout bord : des entreprises en souffrance mais également celles qui ont dégagé des bénéfices. Au total, on compte plus d'une trentaine de groupes, constructeurs, SSII, éditeurs, opérateurs télécoms ou portails. La palme revient à HP et EDS avec 24 000 postes supprimés dans le monde, dont près de 600 en France. Autant de raisons qu ont conduit les informaticiens français à battre le pavé lors de la manifestation interprofessionnelle du jeudi 29 janvier (vidéo).
Cliquez pour agrandir
(...)

(30/01/2009 15:58:42)

Annuels Amazon : Le cybermarchand se joue de la crise

Dans un contexte économique défavorable à la majorité des revendeurs - qu'ils officient en boutique ou sur le Web - Amazon détonne en présentant des résultats impressionnants pour le compte de son 4e trimestre 2008. Le cybermarchand rapporte ainsi un chiffre d'affaires en hausse de 18% sur un an, à 6,7 Md$, marquant la meilleure période de fin d'année de l'histoire du groupe. La croissance des ventes aurait même pu être plus élevée (Amazon évoque un taux de 24%) si les effets de change avaient été moins défavorables. Les ventes de livres, disques et vidéos - qui constituent l'activité originelle d'Amazon - progressent de 9%. Mais c'est surtout dans le domaine des produits électroniques que l'e-commerçant réalise la plus belle envolée : la valeur des ventes dans ce secteur bondit de 31%. Le bénéfice net, sur les trois derniers mois de l'année, croît de 9%, pour atteindre 225 M$. Cette somme, tout comme le chiffre d'affaires, dépasse largement les attentes des analystes. « Nous restons concentrés sans relâche sur le service aux consommateurs, en proposant des prix bas, un large choix et des frais d'expédition offerts », explique le PDG, Jeff Bezos, qui se félicite par ailleurs de « la demande particulièrement élevée » pour Kindle, l'e-book conçu par Amazon. En dépit de ces indicateurs largement dans le vert, Amazon est néanmoins contraint de faire état d'une marge opérationnelle en léger repli : alors qu'elle était de 4,8% au quatrième trimestre 2007, elle ne s'élève qu'à 4,1% un an plus tard. Sur l'ensemble de l'exercice 2008, Amazon a vu ses revenus progresser de 26%, à 19,17 Md$. Le bénéfice net, quant à lui, bondit de 36%, à 645 M$, au-dessus des attentes des observateurs. Pour le premier trimestre de son exercice 2009, le cybermarchand table sur un chiffre d'affaire entre 4,53 Md$ et 4,93 Md$, et un bénéfice dans la fourchette 125 M$-210 M$. (...)

(30/01/2009 14:23:26)

Annuels Citrix : La réussite de la virtualisation s'est fait attendre en 2008

Citrix clôt son exercice 2008 sur un CA en hausse de 14%, à 1,5 Md$, et un net en baisse de 17%, à 178 M$. Les résultats du quatrième trimestre (CA +4% et bénéfice net -4%) sont en phase avec les données annuelles. L'éditeur, qui fournit un effort de communication remarqué pour se hisser aux premières places des marchés de la virtualisation, entame toutefois cette année fiscale en annonçant le départ de 10% de ses effectifs, soit quelque 460 personnes. Le but est de réduire les coûts de 50 M$. L'éditeur compte aussi réorganiser ses forces vives. L'exercice qui s'achève montre d'ailleurs que Citrix n'est pas encore parvenu à gagner son pari de passer du statut de spécialiste du client léger à celui de "virtualisateur" des systèmes d'information. Tant sur l'année que sur le trimestre, la part des produits pour la virtualisation des applications a baissé dans le CA sous la barre des 70%. La catégorie "Other", où sont regroupés XenServer et Xen Desktop avec d'autres produits, contribue encore de façon marginale à l'activité de Citrix. Même si elle a doublé au quatrième trimestre, cette catégorie ne génère que 4% du CA total (3% sur l'année). La ligne de produits de Citrix qui se comporte le mieux est celle des "Online Services" (Go To...). Sur un an, elle progresse de 22% et atteint désormais 16% du CA total. Les services (+23%, à 116 M$ de CA) se distinguent également. Ce fléchissement de la demande sur certaines lignes de produits a des répercussions sur les ventes de licences. En hausse de 7,5% sur l'année, elles progressent moins vite que le CA et sont même en baisse au quatrième trimestre (-8,8%). En revanche, les renouvellements de licence (+15%) sur l'année montrent que Citrix parvient à fidéliser sa base installée. L'activité en Europe, la plus dynamique sur l'année (+17%), a plus marqué le pas au quatrième trimestre (+1,6%) que celle aux Etats-Unis (+3,2%). (...)

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