Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 4741 à 4750.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/01/2009 12:03:11)

Désormais SAP entre aussi dans les entreprises par les projets BI (interview)

L'éditeur allemand SAP vient de publier de bons résultats pour 2008 tout en annonçant 3 000 suppressions de postes d'ici à la fin de cette année. Pascal Rialland, directeur général de la filiale française, revient sur les succès et les creux enregistrés dans l'Hexagone par l'entreprise qu'il dirige : réussite de l'intégration avec Business Objects, grands clients repris aux concurrents sur les offres de gestion de la performance, baisse d'activité sur certains secteurs, sans oublier la hausse du tarif de la maintenance à 22% du prix des licences. L'acquisition de Business Objects est une réussite à plus d'un titre. « La BI nous a tirés vers le haut toute l'année, explique Pascal Rialland. Et, désormais, nous sommes capables d'ouvrir un compte SAP sur un projet de Business Intelligence alors qu'auparavant, cela se faisait sur l'ERP. » Sur la maintenance, le patron de SAP France explique que l'éditeur vend depuis deux ans des services complémentaires de maintenance à ses clients, le plus souvent lors de la phase de pré-mise en production d'un système, avec une capacité d'intervention en temps réel. Et rappelle qu'en France, la hausse du tarif sera très progressive et n'atteindra les 22%, au plus vite, que dans quatre ans. Voilà un peu plus de trois ans que Pascal Rialland, qui dirigeait SFR Entreprises, est à la tête de SAP France. Depuis 2005, le chiffre d'affaires de la filiale a doublé (+46% en 2008 par rapport à 2007). Néanmoins, l'année 2009 s'annonce difficile, d'autant que l'éditeur veut parvenir à améliorer sa marge opérationnelle, inférieure à celle de ses concurrents directs, Oracle et Microsoft. - Lire l'interview de Pascal Rialland, DG de SAP France (...)

(30/01/2009 08:05:27)

Mobilisation du 29 janvier : l'informatique aussi était dans la rue (vidéo)

C'est assez rare pour le noter. Hier, jeudi 29 janvier, les informaticiens étaient dans la rue aux côtés des électriciens, des postiers, des instituteurs ou des salariés d'EADS et de la Redoute. Notre journaliste Véronique Arène est allée à leur rencontre sous l'oeil de la caméra de Marien Ziller (vidéo). Les salariés de HP et EDS battaient le pavé côte à côte pour contester les conséquences de la fusion de leurs deux entreprises. Le secteur des télécoms était représenté par Alcatel Lucent, Neuf Cegetel et France Télécom. Tous ont pu croiser leurs collègues d'IBM ou de Cap Gemini. Autant de manifestants du monde des TIC qui protestaient contre des suppressions de postes massives, des transferts de personnels, des délocalisations et des conditions de travail et de rémunération qui se dégradent. Il faut dire que depuis quelques mois, la crise n'a pas épargné le secteur high tech et les réductions d'effectifs s'y succèdent. En ce mois de janvier 2009, il ne se passe quasiment plus une seule journée sans l'annonce de centaines, voire de milliers de suppressions de postes. Parmi les derniers en date : rien moins que SAP et Microsoft. (...)

(29/01/2009 17:24:41)

EMC France nomme son Monsieur Green IT

De plus en plus, le green IT entre concrètement dans la stratégie des grands acteurs de l'IT. Pour preuve, la nomination de responsables du sujet dans leurs maisons mères. Et, bien que plus rarement, la fonction est même relayée dans les filiales françaises qui se voient alors dotées de leur propre M. ou Mme Green. Chez EMC France, c'est Jean-Paul Bembaron, directeur des services et des solutions techniques depuis octobre 2007, qui prend la charge de ce que le constructeur appelle « l'efficient IT », en plus de sa fonction actuelle. Si le constructeur mène à bien sa stratégie durable, c'est l'accompagnement des clients dans leur propre démarche green IT qu'EMC lui confie. « On m'a demandé de réfléchir à cette mission il y a déjà plusieurs mois, raconte Jean-Paul Bembaron, et j'ai commencé par consulter nos clients, nos partenaires, pour savoir ce que le green IT représentait pour eux. Ma conclusion ? La motivation est écologique mais la justification reste économique. » Et pour le nouveau responsable green IT, EMC doit aider ses clients à combiner les deux. Et les aider à s'orienter dans un concept où ils sont souvent perdus. Pour ce faire, Jean-Paul Bembaron va travailler sur de nouvelles offres de services. Au delà des solutions technologiques, déjà en marche si l'on en croit EMC, avec des matériels moins volumineux, moins gourmands, etc., ce sont des prestations de conseil auxquelles Jean-Paul Bembaron souhaite réfléchir. « Nous allons essayer de proposer aux entreprises de définir des règles et des processus et ainsi leur donner une meilleure visibilité sur le green IT. Mais nous devons aussi leur enseigner la façon d'intégrer ce type de changements. » De véritables missions de consulting. Les moyens de justifier économiquement les investissements 'green' « Je suis parti d'un postulat, détaille Jean-Paul Bembaron. Aujourd'hui, les utilisateurs se posent des questions sur les émissions de chaleur des infrastructures, la consommation électrique, l'augmentation du montant des factures, leurs datacenters installés dans des endroits inadaptés, trop petits et trop chers... Par ailleurs, pour ce qui est de notre activité [le stockage], la quantité de données est de plus en plus importante et bon nombre ne sont pas utilisées, beaucoup sont redondantes. Rien n'est optimisé... » EMC veut réfléchir avec ses clients sur une meilleure gestion des gros volumes avec, en sus, une consommation énergétique et un impact environnemental moindres. Par ailleurs, EMC a déjà des offres de service green IT au niveau international. Mais la France, comme les autres pays, présente certaines différences qui imposent un travail local. Alors que, par exemple, l'Ouest américain souffre de la pénurie et du prix élevé de son courant électrique, l'Hexagone reste préservé - pour l'instant. En France, réduire la consommation énergétique des infrastructures informatiques ne signifie pas encore systématiquement diminuer la facture d'électricité, en particulier dans l'esprit de responsables informatiques à qui ces frais n'incombent pas. (...)

(29/01/2009 14:36:57)

Dell annonce une charge exceptionnelle de 285 M$ sur son dernier trimestre 2008

A un mois de la publication des résultats de son année fiscale, Dell prévient qu'il va inscrire 280 M$ de charges exceptionnelles sur son dernier trimestre. Cette somme provient, pour 135 M$, des coûts de réorganisation de son outil de production et de distribution ainsi que, pour 145 M$, du coût de rémunérations à base d'actions. Début janvier, le constructeur avait annoncé la délocalisation d'une usine d'Irlande vers la Pologne. Selon Dell, ces 280 M$ inscrits en perte sur ses comptes vont contribuer à atteindre les 3 Md$ d'économie promis dans un plan annoncé en mars 2008 . Sans surprise, le constructeur a aussi prévenu qu'il continuerait de se réorganiser au cours de son année fiscale qui débute en février prochain. (...)

(28/01/2009 18:15:08)

Les netbooks contribuent à la baisse du marché informatique français, d'après GfK

L'année 2008 marque un tournant pour le secteur high-tech. Selon le cabinet d'études GfK, celui-ci a enregistré un chiffre d'affaires de 19,5 milliards d'euros, soit 3 % de moins qu'en 2007. Le seul secteur informatique, qui représente 34 % des ventes juste derrière l'électronique grand public, enregistre même une baisse plus forte de l'ordre de 5 %. Les ventes de PC de bureau, d'ordinateurs portables (y compris les netbooks) et de périphériques comme les imprimantes ont ainsi généré 6,63 milliards de chiffres d'affaires en 2008. Pourtant, la crise financière n'explique pas à elle seule ces mauvais résultats. En volume, les ventes ont progressé de 15 %. Pour Gfk, les causes sont avant tout structurelles : manque d'innovation, saturation du taux d'équipement et surtout guerre des prix acharnée entre les différentes marques. L'arrivée des netbooks a ainsi été désastreuse pour l'informatique. Avec un prix moyen constaté de 330 euros, ceux-ci ont fait baisser le prix d'achat d'un micro-ordinateur de 16 % par rapport à 2007, pour passer sous le seuil des 700 euros, à 652 euros. « Même si cette nouvelle offre a généré un nouveau marché, elle a instauré dans l'esprit des consommateurs de nouveaux seuils psychologiques de prix, » souligne Bertrand Huck, en charge des secteurs informatique, téléphonie et photographie chez GfK. En 2009, les PC seront aussi concurrencés par les smartphones Selon le cabinet, l'impact de la crise se fera réellement sentir en 2009, au moment où confrontés à une baisse du pouvoir d'achat, les acheteurs devront procéder des arbitrages. L'informatique sera l'un des secteurs les plus durement touchés. Elle devrait ainsi voir son chiffre d'affaires chuter encore de 10 %, dans un marché high-tech en baisse globale de 9%. En effet, les ventes de PC portables seront encore confrontées à la concurrence des « netbooks », mais également à celle des « smartphones » toujours plus puissants. En 2008, il s'en est vendu plus de 1,8 millions sur un total de 23,5 millions de téléphones. Et cette année, ils devraient représenter 30 % du chiffre d'affaires de la téléphonie. Les itinérants qui pouvaient envisager l'achat d'un PC portable pour consulter leurs courriels et accéder à Internet ont désormais le choix de passer par des netbooks, ou des smartphones, faciles d'utilisations. D'autant que de nombreuses applications d'entreprises s'installent désormais sur ces . (...)

(28/01/2009 17:21:46)

Les représentants du personnel de Microsoft face au plan de suppression de postes

L'annonce des 5000 suppressions de postes par Microsoft au niveau mondial, dont 1400 immédiatement, n'a pas provoqué l'émoi des syndicats français de l'éditeur. « Cette annonce n'a rien de bien nouveau, estime Pascal Vaché, délégué syndical CTFC et représentant du personnel chez Microsoft France. Dans l'entreprise, les taux de départs sont d'environ 7% : les démissions augmentent régulièrement et les licenciements secs sont supérieurs à 3% par an ». Pour étayer son argumentaire, le syndicaliste a fait un calcul : « Si l'on se réfère au chiffre de 5 000 postes supprimés sur 18 mois, et qu'on ramène ce taux sur 12 mois, on obtient un pourcentage de 3,7% de licenciements, un score conforme aux pratiques habituelles de l'éditeur. » Le PDG Steve Ballmer aurait lui-même évoqué, dans la presse américaine, une politique sociale qui consistait à supprimer 7% des effectifs par an afin de renouveler les effectifs : « Il était question, d'après certains articles, de 8,2% de départs volontaires dus à l'usure, et de 4% pour mauvaises performances », rapporte Pascal Vaché. Un seul poste supprimé dans la filiale française La firme aurait donc tendance à réduire régulièrement sa voilure, quitte à réembaucher derrière, de manière à maintenir le volume de ses effectifs. En fait, pour le syndicaliste, l'information à retenir ne porte donc pas sur les réductions de postes, mais sur le gel partiel des embauches dans l'entreprise : « Steve Ballmer a évoqué entre 2000 et 3000 postes non remplacés sur 18 mois C'est à notre sens ce chiffre qui constitue la véritable information », considère le syndicaliste. En France, pour l'instant l'impact est faible et ne concerne qu'un seul et unique poste supprimé. Les représentants du personnel étudient actuellement les possibilités de reclassement qui permettront au salarié concerné d'éviter de passer par la case licenciement. Sur les perspectives d'avenir, la CFTC espère que l'évolution de la crise ne conduira pas Microsoft à déployer un plan d'ampleur comme celui d'HP. En attendant, ils s'attendent à des gels de salaires, comme chez Yahoo, dans la filiale française, Microsoft ayant pour habitude de coller au marché en période de déflation. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >