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(28/01/2009 16:50:30)

Sun réalise la plus importante optimisation de datacenter de son histoire

Sun a transféré le principal datacenter de StorageTek (acquis mi-2005) de Louisville sur son site de Broomfield, à quelques kilomètres de là. Sun s'enorgueillit d'avoir réalisé le plus impressionnant "donwsizing" de datacenter de son histoire, passant d'une surface de 32 000 m² à 11 000 m². Près de 2200 serveurs ont été remplacés par 1240 et le nombre de baies de stockage est passé de 738 à 225. Le tout (serveurs + baies de stockage) est contenu dans 65 racks. Il y en avait 550 auparavant. Résultat, Sun compte économiser 1,1 million de dollars par an en énergie pour un site qu'il présente comme 456% plus performant que son prédécesseur. (...)

(28/01/2009 16:36:46)

L'ex-IBM autorisé à travailler sur les iPhone et les iPod d'Apple

Aux termes d'un accord amiable, Mark Papermaster, vétéran d'IBM, pourra commencer à travailler chez Apple fin avril. Au cours de sa première année à Cupertino, il devra prêter serment par deux fois pour assurer à IBM qu'il n'exploite pas ses technologies secrètes dans son rôle de directeur de la division en charge des développements de l'iPhone et de l'iPod. Cette annonce clôt un feuilleton qui débuta en novembre dernier, lorsque Mark Papermaster, un des 300 cadres membres de l'Elite Integration and value d'IBM, tenta de rejoindre Apple. IBM avait alors excipé d'une clause de non-concurrence signée en 2006 lui interdisant de travailler pour un concurrent pendant un an après sa démission. Dans un premier temps, un juge fédéral avait rendu une décision favorable à IBM. La procédure d'appel lancée par Mark Papermaster se solde donc par un accord amiable. Et deux serments sur la Bible. (...)

(28/01/2009 14:40:54)

Annuels SAP : une belle croissance qui n'empêche pas la suppression de 3 000 postes en 2009

Malgré la crise, certains acteurs de la IT ont pu tirer leur épingle du jeu en 2008, en partie grâce à leur stratégie de croissance externe. C'est le cas de SAP, dont l'action a progressé de 6% à la bourse de Frankfort, après l'annonce de ses résultats. Son chiffre d'affaires annuel s'établit à 11,57 Md€ pour l'année 2008, en progression de 13% en incluant l'activité de Business Objects dans sa comparaison avec l'année 2007. Le résultat opérationnel progresse en valeur absolue de 4% à 2,84 Md€. En revanche, la marge opérationnelle est impactée par le rachat de BO, dont les coûts de fonctionnement étaient supérieurs à ceux de SAP : elle tombe à 24,6% du chiffre d'affaires, contre 26,7% l'an dernier. Le bénéfice net recule de 2% à 1,88 Md€ (1,91 Md€ en 2007). L'exercice 2009 de SAP sera beaucoup plus incertain et le numéro 1 mondial des logiciels d'ERP prévoit, d'ici à la fin 2009, de supprimer 3 000 postes sur un effectif mondial de 51 500 salariés (en octobre dernier, il avait déjà réduit ses dépenses et gelé ses embauches). Pour y parvenir, il va réduire au minimum ses recrutements et tabler sur les départs « naturels ». Mais il prévoit aussi un plan de départs volontaires. Pour l'instant, aucun détail n'est fourni sur la répartition des suppressions par zone géographique ni par domaines d'activité. On en saura sans doute davantage sous peu puisque l'éditeur s'apprête à entamer les discussions avec les partenaires sociaux. En passant de 51 500 à 48 500 collaborateurs, il prévoit d'économiser de 300 à 350 M€ sur ses coûts annuels pour commencer 2010. +30% sur les ventes de licences et de maintenance en France au 4e trimestre Sur l'année 2008, SAP a réalisé globalement une croissance de 14% sur ses ventes de licences logicielles et de maintenance qui s'élèvent à 8,457 Md€ (calculées suivant les normes US GAAP). Mais ces performances sont, là aussi, atteintes à périmètre courant, c'est-à-dire en tenant compte de l'absorption du Français Business Objects, le 21 janvier 2008. A périmètre constant, c'est-à-dire sans tenir compte du rachat, les ventes de licences et de maintenance de SAP n'ont progressé que de 6% d'une année sur l'autre (un calcul réalisé en outre à taux de change constant et sans s'appuyer sur les normes US GAAP). En France, SAP a réalisé une progression de 46% sur le chiffre d'affaires total en 2008. « La fin d'année a été forte, avec une progression de 30% des ventes de licences et de maintenance au quatrième trimestre », détaille Pascal Rialland, DG de la filiale française. « Après une période de grave incertitude entre le 15 septembre et fin octobre, il y a eu un apaisement et un effet d'amortisseur dans l'économie française qui nous a permis de rester sur une dynamique très positive », explique le dirigeant. Depuis son arrivée à la tête de SAP France, il y a trois ans, le chiffre d'affaires de la filiale française a doublé (300 millions d'euros en 2005). Le succès non démenti du décisionnel de BO [[page]] Toujours dans l'Hexagone, l'activité liée aux solutions décisionnelles de Business Objects a, à l'évidence, tiré les revenus vers le haut, alors même que BO avait déjà des parts de marché importantes sur le secteur. Au printemps dernier, l'éditeur a recomposé son catalogue BI en conjuguant ses propres produits et ceux réunis par BO. Quatre offres ont très bien fonctionné : Profit & Cost Management (héritée de BO/ALG), la planification budgétaire acquise par SAP avec le rachat d'OutlookSoft, Financial SCM qui permet d'optimiser la gestion de la trésorerie (une offre BO/Cartesis) et, enfin, la gestion des risques et de la conformité (rachetée avec Virsa Systems). De gros contrats avec Areva et Schneider Electric D'autres domaines ont bien marché. « Le manufacturing, l'un de nos secteurs historiquement fort, a beaucoup investi ces derniers temps, même s'il est par ailleurs touché par la crise, souligne Pascal Rialland. D'une part, parce que ces entreprises ont voulu réduire les temps de déploiement de leurs projets pour en réduire les coûts. D'autre part, parce qu'elles ont souhaité accélérer l'alignement de leurs équipes sur les mêmes outils informatiques et les mêmes processus ». Parmi les contrats remportés, le DG de SAP France cite notamment Areva et Schneider Electric. Les ventes ont moins bien marché sur le secteur public, en comparaison de 2007, année de Chorus. En revanche, sur 2009, la filiale a de gros projets en ligne de mire (notamment l'Opérateur national de paye ou ONP pour les fonctionnaires civils). « Il y a énormément à faire dans la réforme de l'Administration », pronostique Pascal Rialland. +39% sur les PME, mais 2009 sera difficile Du côté des PME, la filiale française a réalisé une progression de 39% en 2008 sur l'ensemble de cette activité qui vise les entreprises réalisant moins de 500 M€ de chiffre d'affaires. Dans cet ensemble, il convient de distinguer l'augmentation de 116% sur sa ligne de produits Business One, destinée aux PME de moins de 200 personnes (où dont le CA est inférieur à 150 M€). En 2009, en revanche, Pascal Rialland estime que le marché des PME ne sera pas facile pour en France. « Ce secteur va souffrir. Nous voyons des PME qui ne peuvent pas investir car elles doivent gérer des problèmes de trésorerie ». Enfin, concernant l'offre hébergée SAP Business ByDesign, proposée aux PME en mode SaaS (software as a service), l'éditeur continuera à se focaliser sur les six pays sur lesquels elle a déjà été commercialisée, dont la France, qui compte plusieurs clients. L'éditeur a prévu d'attendre avant de la lancer sur de nouveaux pays. (...)

(28/01/2009 14:19:07)

Annuels ST Microelectronics : pertes records et suppression de 4 500 emplois dans le monde

ST Microelectronics subit de plein fouet les revers de la crise. Le fabricant de composants électroniques - qui emploie actuellement 52 000 salariés, dont 11 000 en France - a accusé une perte nette de 366 M$ sur son quatrième trimestre 2008, conséquence de la baisse de ses ventes de produits à destination du marché automobile, outils de communications sans-fil et périphériques informatiques compris. Lors de la même période l'année précédente, le groupe franco-italien avait dégagé un bénéfice net de quelque 20 M$. Une restructuration qui permettra de dégager 700 M$ d'économies Le chiffre d'affaires réalisé au cours du trimestre recule de 17% à 2,276 Md$, contre 2,742 Md$, l'année précédente. Sur l'ensemble de l'année 2008, le groupe affiche 786 M$ de pertes nettes, soit bien plus que les 477 M$ de pertes engrangées un an plus tôt. Le constructeur a donc décidé de se restructurer pour pouvoir réduire ses coûts de plus de 700 M$ en 2009. Cette réorganisation passera par la suppression de 4 500 postes au niveau mondial en 2009. Le groupe a également prévu de réduire ses investissements de moitié, à 500 M$. En France, les syndicats s'attendent au pire : d'après la CGT, la DRH française de ST Micro aurait annoncé un probable alourdissement du chômage partiel, une extension à d'autres catégories, et de nouvelles modifications des plans de congés. L'intersyndicale appelle donc les salariés à participer à la manifestation pour la défense de l'emploi, prévue demain jeudi 29 janvier. (...)

(28/01/2009 15:16:43)

Antitrust : l'UE refuse le délai demandé par Intel

Intel n'aura pas de délai supplémentaire pour préparer sa défense dans le procès antitrust intenté par Bruxelles. Le Tribunal de première instance de l'UE (TPI) vient ainsi de rejeter le recours formé par le fondeur, qui exigeait l'accès à plusieurs documents issus d'AMD. Selon Intel, ces pièces seraient prépondérantes pour l'élaboration de sa défense. Au contraire, AMD estime que cette requête ne visait qu'à gagner du temps. Le mis en cause accompagnait en effet son recours d'une demande de prolongation du délai qui lui était octroyé pour répondre aux accusations de la Commission européenne. Lancée en 2000 après une plainte d'AMD, l'enquête de l'exécutif européen vise à faire la lumière sur de prétendues pratiques anticoncurrentielles mises en place par Intel sur le marché des processeurs x86. Celui-ci aurait notamment offert des rabais aux constructeurs de PC pour qu'ils n'intègrent pas de puces AMD dans leurs machines. La décision du Tribunal de première instance de rejeter le recours d'Intel laisse désormais le champ libre à la Commission pour poursuivre son enquête. Si Intel finissait par être reconnu coupable des charges pesant contre lui, il serait exposé à une amende susceptible d'atteindre 10% de son chiffre d'affaires mondial. L'année dernière, le fondeur avait enregistré des ventes de presque 40 Md$. Sans surprise, Intel ne se laisse pas abattre par la décision du TPI. Selon le porte-parole du groupe, ce jugement ne signifie rien quant au fond de l'affaire. Et Intel laisse entendre qu'il pourrait continuer à tenter de retarder le travail judiciaire de l'UE en interjetant appel auprès de la Cour de justice. (...)

(28/01/2009 12:11:04)

Prodware intègrera le développement durable dans ses applications

Signe des temps, même les prestataires informatiques s'intéressent au développement durable. Ainsi, l'éditeur et intégrateur français d'environnements de gestion Prodware a-t-il décidé de mettre en oeuvre une politique globale en la matière. Pour sa propre stratégie, il vient de recruter Anne Baer au poste de chargée de mission développement durable. Mais il prépare aussi l'évolution de ses applications métiers, notamment conçues pour les PGI de Sage et de Microsoft, afin que d'ici à la fin 2009, elles génèrent des tableaux de bord pour faire le point sur la 'durabilité' des activités des entreprises. « L'une de nos actions va consister à faciliter la génération des bilans carbone. Au lieu de faire la chasse aux factures et autres tableaux Excel renfermant les informations nécessaires à leur élaboration, les entreprises pourront marquer à la base les données saisies dans leur PGI pour les exploiter le moment voulu », explique Philippe Bouaziz, président de Prodware. Certes, seules quelques entreprises ont aujourd'hui l'obligation légale de faire le point sur leur consommation énergétique et leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais la loi dite du Grenelle 1, votée en 2008, envisage déjà l'extension progressive de ce devoir à d'autres structures, notamment celles qui comptent plus de 250 collaborateurs d'ici à la fin 2013. Prodware se prépare aussi à l'explosion du marché du bilan carbone en tant que prestataire de services. Dans le courant de ce semestre, certains de ses consultants seront formés par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) à la certification de ces bilans carbone d'entreprise. Ne pas se cantonner au bilan carbone Mais Prodware ne souhaite pas se limiter au bilan carbone, ni même au volet environnemental du développement durable. Pour Philippe Bouaziz, « Le développement durable touche à de nombreux autres domaines parmi lesquels on peut citer l'équité salariale, l'égalité entre hommes et femmes ou encore les processus d'achat.» Afin de mettre à la disposition des entreprises un ensemble de critères à partir desquels elles vont pouvoir marquer leur données, Prodware se base sur la Global reporting initiative. Créé en 1997, ce référentiel, non contraignant, a été conçu pour aider les entreprises à évaluer la performance de leur activité en termes économiques, environnementaux et sociaux, à travers six grandes familles d'indicateurs : économie, environnement, droits de l'homme, emploi, relations sociales et travail, responsabilité du fait des produits, social. Les premiers tableaux de bord orientés vers le développement durable seront disponibles dans certaines applications de l'éditeur dès le mois de février prochain. Dans le courant du deuxième trimestre, ce sera au tour de la plupart des indicateurs de la GRI d'être intégrés. Et fin 2009, l'ensemble des offres verticales de l'éditeur auront leurs indicateurs sectoriels et métiers. L'une des prochaines évolutions des logiciels de Prodware dans le sens d'une meilleure prise du développement durable interviendra suite au vote de la prochaine loi sur les nouvelles régulations économiques (NRE). Selon Prodware, le nouveau volet d'obligations qu'elle comprendra devrait inclure des notions de développement durable. Toutefois, aucun agenda n'a encore été fixé par le gouvernement pour son examen. (...)

(28/01/2009 12:05:45)

Annuels Yahoo: des pertes mais toujours pas d'envie de vendre

Deux semaines après son arrivée à la tête de Yahoo, Carol Bartz a dû se plier à un exercice difficile : annoncer les résultats peu reluisants de l'année 2008, et présenter les perspectives pour l'avenir. La nouvelle patronne du portail Internet a d'ailleurs réaffirmé à cette occasion qu'elle n'avait pas accepté le poste dans le but de vendre l'entreprise (son prédécesseur, Jerry Yang, avait fermement refusé toutes les offres de Microsoft). En revanche, Carol Bartz s'est dite ouverte à d'éventuels partenariats. Les résultats financiers montrent en effet que Yahoo doit infléchir sa tactique. Le portail a terminé l'année sur un trimestre en baisse de 2%, à 1,37 Md$ (frais de commissionnement déduits), ce qui est en ligne avec les projections des analystes. De même, la perte nette de 303 M$ n'est pas une bonne nouvelle (comparée aux 206 M$ de bénéfice net du dernier trimestre 2007), mais elle est due à des frais exceptionnels, et elle reste en phase avec les attentes du marché. Le dernier trimestre a été marqué notamment par un important plan de suppressions de postes - Yahoo est passé de 15 200 à 13 600 collaborateurs - et Carol Bartz vient juste d'annoncer un gel des salaires. 487 M$ de frais d'amortissement et 107 M$ de frais de restructuration Sur l'année, le chiffre d'affaires a légèrement augmenté, à 7,2 Md$ (+3%). La croissance est un peu plus forte lorsqu'on considère le CA après déduction des frais de commissionnement (la rémunération des partenaires): +6% à 5,4 Md$. Le bénéfice net est quant à lui en baisse de près de 36% à 424 M$. Une chute expliquée par des frais d'amortissement (487 M$) et des frais de restructuration (107 M$). Pour 2009, Carol Bartz annonce un premier trimestre dont le chiffre d'affaires devrait se situer entre 1,52 et 1,72 Md$, un chiffre qui ne tient pas compte, précise-t-on chez Yahoo, d'éventuelles charges de restructuration dans le cadre du plan d'économies en cours. La nouvelle CEO de Yahoo, connue pour être une femme à poigne, a expliqué qu'elle entendait s'attaquer très rapidement à plusieurs chantiers, dont celui de l'organisation de la société, qu'elle juge inutilement complexe. Elle a en revanche soigneusement évité de donner des indications précises sur la stratégie à venir, se contentant de formules marketing habituelles: « Nous devons rendre notre stratégie plus transparente, alimenter l'innovation, être focalisés de façon obsessionnelle sur nos utilisateurs et leurs usages, et toujours nous rappeler que ce sont les produits géniaux qui amèneront les utilisateurs et les annonceurs à Yahoo. » (...)

(28/01/2009 11:18:34)

Les licenciements pour motif personnel ont augmenté dans les SSII

En 2007, près de 10 000 licenciements ont été recensés dans les sociétés de services informatiques et chez les éditeurs de logiciels, soit environ 3% des effectifs de la branche. C'est ce qu'indique l'association d'informaticiens Munci, qui s'est procuré, auprès de l'Unedic, et comme à son habitude , les chiffres des motifs de ruptures de contrat de travail ayant donné lieu à une entrée en indemnisation pour les sociétés du secteur des activités de services informatiques, SSII, et éditeurs. « Ces chiffres sont relativement stables en 2007 par rapport à 2006, relève le président de l'association Régis Granarolo. Dans le détail, on note cependant une hausse des licenciements pour motif personnel et une baisse des licenciements économiques ». Les chiffres 2008 n'ont certes pas été encore publiés, mais les licenciements pour causes économiques devraient nettement augmenter sur cette période, en conséquence du nombre élevé de plans sociaux qui ont frappé le secteur IT au niveau mondial. (...)

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