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(05/02/2009 17:01:35)

L'Afdel demande plus de numérique dans la relance économique

Il n'y a pas assez de numérique dans le plan de relance du gouvernement, estime l'Afdel, Association française des éditeurs de logiciels, au lendemain de la présentation, par le Premier ministre, des 1 000 projets qui seront financés par le plan de relance de l'économie. Tout en notant la volonté du gouvernement de relier ces mesures de relance au plan France numérique 2012, l'association regrette que les sources d'économie et les gains de productivité que permettent les technologies numériques et, en particulier, le logiciel, ne soient toujours pas pris en compte comme la situation l'exigerait. L'importance de l'enjeu a bien été identifiée dans le cadre de la mission confiée en 2008 à Eric Besson, alors secrétaire d'Etat chargé du numérique. Pour autant, cette prise de conscience ne se traduit pas suffisamment en initiatives permettant d'étendre l'adoption et l'utilisation des TIC sur le territoire, dans les écoles et universités et dans les entreprises. Le Rapport sur l'Université numérique, rendu l'an dernier par Henri Isaac à la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pointait déjà du doigt le déficit d'outils pour accueillir dans les établissements supérieurs les « digital natives », cette génération ayant toujours vécu avec les nouvelles technologies. Les technologies comme leviers d'économies L'Afdel rappelle aussi que, selon le Sessi (service des études et des statistiques industrielles, désormais intégré à l'Insee), les entreprises françaises se situent au-dessous de la moyenne européenne sur le plan de l'usage des outils informatiques par leurs salariés. Et l'association d'énumérer toutes les technologies qui pourraient constituer des leviers d'économie et de développement pour les entreprises : e-business, dématérialisation, production collaborative, e-learning, mobilité, etc. A l'issue de la concertation tous azimuts qui a débouché sur le plan France numérique 2012, l'Afdel avait remis à Eric Besson un ensemble de propositions en faveur du développement de l'industrie du logiciel en France. Pour inciter et aider les PME à investir dans ce domaine, l'association suggérait notamment une campagne de communication nationale sur l'impact du logiciel sur la croissance des entreprises. Elle évoquait également la création d'un portail public ouvert pour référencer les offres logicielles, ou encore la mise en place dans les budgets de formation continue d'un pourcentage obligatoire consacré à l'utilisation des TIC. L'Afdel souhaite aussi un crédit d'impôt en faveur de l'équipement logiciel des entreprises en solutions métiers ou en e-business. Enfin, l'association rappelle qu'outre-Atlantique, l'administration Obama a pris des mesures à la hauteur de ce que le numérique peut apporter à la relance de l'économie. (...)

(05/02/2009 16:10:47)

Google News désormais disponible sur tous les sites

Personne ne sait vraiment comment cela fonctionne, mais désormais tout le monde peut l'avoir sur son site : Google News, service du moteur de recherche agrégeant les flux d'information des sites de médias, est disponible pour tout un chacun. Il suffit pour cela de se rendre sur le site de Google, et de suivre les instructions, voire de copier-coller les exemples de code fournis. Un assistant offre même la possibilité aux gestionnaires de sites les moins férus de technique de réaliser la chose en quelques clics. Le service s'affiche alors sur la page Web, avec la mention « powered by Google News ». Google News n'en finit pas de susciter la polémique chez les éditeurs de presse. Ces derniers le voient autant comme une bénédiction - grâce au trafic qu'il génère - que comme une calamité, car il est impossible de savoir à l'avance si telle ou telle information sera reprise par le service, et à plus forte raison si elle sera mise en avant ou pas. L'algorithme utilisé par Google News semble en effet privilégier la masse d'informations identiques sur un même sujet par rapport au scoop, mais nul ne sait comment il tient compte de l'heure de la publication ou d'autres détails sur la rédaction de l'information. En d'autres termes, une grande partie de la popularité des sites de médias tient aux caprices d'un logiciel impénétrable. Il faut noter que Google n'est pas le premier à rendre ce type de service accessible gratuitement à tout le monde : Wikio le fait déjà, par exemple. Mais le service de l'éditeur français est loin d'avoir la même popularité. (...)

(05/02/2009 16:11:13)

Annuels Atos Origin : Les activités de conseil reculent fortement au quatrième trimestre, surtout en France

Atos Origin a réalisé, au cours du quatrième trimestre, un chiffre d'affaires en recul de 9,1% à 1,407 Md€, mais en progression de 3,6% à périmètre constant (sans tenir compte des rachats) par rapport à la même période l'année précédente. Sur la totalité de l'année 2008, le chiffre d'affaires a baissé de 4% à 5,479 Md€, mais la SSII préfère mettre de nouveau l'accent sur les +5,5% de croissance organique. Si les activités de la branche infogérance d'infrastructures (+6%) et la filiale Atos Worldline (+9,1%) sont parvenues à progresser à périmètre et taux de change constants, les activités conseil et intégration de systèmes, à l'inverse, ont particulièrement souffert à la fin 2008. Au cours du quatrième trimestre, le chiffre d'affaires de l'activité conseil s'est élevé à 87 M€, en décroissance organique de -2,4% comparé à +2,1% sur les neuf premiers mois de l'année 2008. Le Royaume-Uni et la zone Asie Pacifique ont connu une croissance organique positive, à l'inverse de la France qui été affectée par des conditions de marché plus difficiles dans la demande de conseil. Egalement à la baisse (-9,2% au total par rapport au quatrième trimestre 2007), la branche intégration de systèmes, avec 565 M€ de CA totalisé au cours du quatrième trimestre 2008 et une croissance organique de seulement 1,6% (contre 6,8% au cours des neuf premiers mois de l'année), en raison d'une baisse de l'activité aux Pays-Bas. 7,4 Md€ de prises de commandes Sur l'ensemble de l'exercice 2008, l'activité conseil a connu une croissance organique de +1%, mais une baisse globale de 2,1% par rapport à 2007, avec un chiffre d'affaires de 349 M€. En intégration de systèmes, le chiffre d'affaires 2008 s'est élevé à 2, 202 Md€ (+5, 3% de croissance organique, et +2,5% au global par rapport à 2007). Enfin la branche infogérance affiche un CA à 2,928 Md€, (+6,1% de croissance organique, et +3,1% au total). Fin 2008, le carnet de commandes représentait 7,4 Md€, a précisé Atos Origin dans un communiqué, sans donner plus de précisions sur ses perspectives pour 2009, qui seront dévoilées le 18 février, date de la publication des résultats consolidés du groupe pour 2008. Le 10 février, Atos Origin devrait, par ailleurs, convoquer sa prochaine assemblée générale, afin de structurer sa nouvelle gouvernance, suite à la nomination de Thierry Breton, son nouveau PDG. (...)

(05/02/2009 15:04:55)

Satyam s'est trouvé un patron et des fonds

Le nouveau patron de Satyam a été désigné. Il s'agit d'un vétéran de la maison, A.S. Murty, avec 15 ans d'ancienneté. Le conseil d'administration de la SSII indienne, dont plusieurs membres avaient été désignés par le gouvernement suite au scandale financier ayant provoqué la déroute de la société, avait pour tâche principale de désigner un successeur au dirigeant et cofondateur du groupe aujourd'hui derrière les barreaux. L'autre tâche consistait bien sûr à assurer la survie et la continuité des opérations - en d'autres termes, payer les salaires. Pour ce faire, il fallait injecter de l'argent frais: le groupe a réussi à emprunter 130 M$, certainement en faisant valoir le soutien obtenu la semaine dernière de Goldman Sachs, et le recours aux conseils du Boston Consulting Group qui, avec deux mandataires spéciaux désignés par ailleurs par le conseil d'administration, devra encadrer le nouveau CEO. Le fait d'avoir nommé un ancien de la maison a relancé les spéculations, parmi les analystes, sur l'intention du conseil d'administration de vendre Satyam à un groupe concurrent. Sinon, dit-on, c'est un CEO plus renommé qui aurait été désigné. (...)

(04/02/2009 16:56:44)

IBM baisse les revenus fixes de ses commerciaux en France

Les équipes commerciales d'IBM auront beau travailler plus, elles gagneront... moins. Fin décembre, la direction de Big Blue a pris la décision de réduire la part des revenus fixes de ses commerciaux et de relever leur salaire variable. « Jusqu'à l'an dernier, les rapports de rémunération fixe/variable se montaient à 60/40 pour les commerciaux et les technico-commerciaux d'IBM, or, ils sont passés à 55/45, s'indigne Gérard Chameau, délégué CFDT et élu du comité d'entreprise. En clair, la partie fixe du salaire pourra baisser de 6% à 15% (si l'on se réfère au salaire maximum théorique de référence, NDLR), alors que la part variable liée à la réalisation des objectifs augmente, ce qui n'est pas idéal en temps de crise. » Cette mesure concerne l'ensemble des filiales du fournisseur, y compris la division française qui emploie environ 2 000 commerciaux et technico-commerciaux (sur un effectif mondial de 10 000 forces de vente). Elle a été annoncée lors d'un CCE (Comité central d'établissement) le 10 décembre, et une nouvelle grille des salaires est donc entrée en vigueur au 1er janvier. Objectifs revus tous les six mois IBM a également décidé de revoir la fréquence de ses « quotta letters » - les contrats fixant les objectifs de ses commerciaux - à six mois, contre un an auparavant, ce qui pourrait entraîner des diminutions sur la part variable : « Si les objectifs des commerciaux sont relevés tous les semestres, leur réalisation sera de plus en plus difficile, voire impossible à atteindre ! », s'insurge le syndicalise. Même si la direction se dit flexible sur les modalités de cet aménagement, on ne voit pas comment les commerciaux pourront y échapper. C'est pourquoi, suite à cette mesure, une pétition intersyndicale (récoltant plus de 500 signatures à ce jour) a été adressée à la direction d'IBM France. Rappelons que mai et juin 2008 avaient été marqués par la mobilisation résolue de nombre de salariés IBM sur la question des salaires. Au début de l'année 2008, le fournisseur indiquait avoir réduit de 15% la rémunération de 7 600 techniciens de support aux Etats-Unis, soit 6% de ses effectifs Outre-Atlantique Reste que tous les salariés d'IBM, dans le monde comme en France, sont toujours dans l'attente d'une annonce de la direction sur d'éventuelles suppressions de postes : « Aucune déclaration officielle n'a été effectuée à ce jour sur des réductions d'effectifs dans notre zone géographique », assure le représentant syndical Gérard Chameau. (...)

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