Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 4981 à 4990.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(10/12/2008 17:51:25)
Business & Decision va créer plus d'une centaine d'emplois en Picardie
Business & Decision, société de conseil en informatique décisionnelle et en e-business, va ouvrir début 2009 un centre de production en Picardie, à Amiens plus précisément. La SSII française compte sur ce pôle de compétences, axé multi projets et TMA (Tierce maintenance applicative), pour contribuer à dynamiser l'emploi des départements de la Somme et de la Picardie. Avec la création de ce nouvel ensemble, Business & Décision s'est en effet engagé à créer plus d'une centaine de postes dans la région d'ici trois ans. Pour l'heure, la SSII prévoit de recruter une trentaine d'informaticiens en 2009. « Nous recherchons des profils bac +5 de tous niveaux, des juniors et également des profils plus expérimentés, précise Jean-Marie Demoulian, responsable du projet d'implantation à Amiens. La présence de ressources universitaires et technologiques de proximité, auxquelles nous sommes associés en tant que partenaires devrait nous aider à concrétiser nos embauches. » La région Picardie compte en effet bon nombre d'établissements technologiques, parmi lesquels l'université technologioque (UTC)de Compiègne, celle de Picardie (Jules Verne), l'Esieee ou encore Sup de Co Amiens. Disposant d'un espace de 1000 m2 au coeur du programme d'aménagement urbain situé à proximité de la gare d'Amiens, le nouveau site de Business & Decision s'installera dans l'ensemble immobilier flambant neuf Terralia, amorce du parc tertiaire et technologique de l'agglomération de la ville picarde. L'immeuble Terralia, inauguré en octobre dernier, héberge une pépinière d'entreprises baptisée « Amiens Le L@b ». (...)
(10/12/2008 17:38:09)HP rassemble ses outils de virtualisation des postes clients dans Virtual Clients Essentials
Changement de nom et améliorations s'affichent au menu d'annonces de HP sur la virtualisation du poste client. Dans sa logithèque désormais baptisée HP Virtual Clients Essentials, le constructeur propose un ensemble de logiciels pour la gestion des sessions, le streaming et le support des contraintes du multimédia. HP est particulièrement fier de deux protocoles, RDP enhancements et RGS (Remote Graphic Software). Le premier, présenté comme une optimisation du protocole RDP (Remote Desktop Protocol) de Microsoft permet le support des ports USB locaux et du streaming multimédia (décodage en local). Ce protocole sera pré installé gratuitement sur la gamme de clients légers HP sous Windows XPe à partir de janvier prochain, et sur ceux sous Linux un peu plus tard dans le trimestre. Il s'insère dans les environnements VMware View et Microsoft Terminal Services. RGS voit son prix fondre Quant à RGS (Remote Graphic Software), il est destiné aux applications les plus voraces en ressources graphiques (CAO, 3D...). Amélioré, RGS sera facturé 35 $ aux 20% des utilisateurs qui, selon HP, ont besoin des performances de ce protocole et de sa faculté à gérer l'affichage multi-écran. Jusque-là, RGS était vendu au moins 80% plus cher et dans des configurations exclusivement HP. RGS fonctionne avec des clients sous Windows XP, animés par des processeurs qui intègrent l'extension SSE2 du jeu d'instruction X86. HP souligne sa compatibilité avec l'offre VMware. Refondu, SAM (Session Allocation Manager), son gestionnaire de sessions utilisateurs, est paré de nouvelles fonctionnalités d'administration et supporte désormais les clients sous Linux et l'authentification par carte à puce. SAM est capable de supporter plusieurs types de clients : PC en VDI, clients sur lame et clients légers. Il sait déconnecter les clients inactifs et établir des rapports de consommation de ressources. Il est aussi discrètement question de HP Neoware Image Manager pour le streaming du système d'exploitation et des applications. Un logiciel récupéré avec le rachat fin 2007 de la société Neoware. Les composantes essentielles d'HP Virtual Client Essentials, seront disponibles au mois de janvier. (...)
(10/12/2008 17:18:58)Intel met la dernière main à son outil de production en 32 nm
Certes, il faudra encore attendre un an avant que les premiers processeurs gravés avec un pas de masque de 32 nm sortent des usines d'Intel, mais le fondeur vient d'annoncer qu'il avait achevé la phase de développement de cet outil de production. Par rapport à une gravure en 45 nm, celle en 32 nm permet de créer le même composant sur une surface de silicium presque deux fois plus petite. Celui-ci est censé aussi être 22% plus rapide. Il est prévu que ce soit les processeurs Core i7 qui sortent les premiers des chaînes de production 32 nm. Intel, qui table sur la production de composants en 22 nm vers 2013, semble, pour l'instant, avoir un an d'avance sur AMD. (...)
(10/12/2008 17:14:20)Record de rustines pour finir l'année avec Microsoft
Vingt-huit failles, la plupart "critiques", le dernier patch Tuesday pour 2008 de Microsoft prend des allures de (triste) record. On n'avait pas vu un emplâtre (40 Mo) de cette envergure depuis cinq ans. Microsoft en donne le détail dans huit différents bulletins. Au moins deux correctifs empêchent l'exploitation à distance de failles dans le noyau de Windows, dont celui de Vista, ce qui va se traduire par une phase de redémarrage des systèmes ainsi corrigés. A l'installation de ces rustines, il convient d'ajouter en priorité celles qui concernent Internet Explorer. Mais, le pire, c'est qu'installer l'intégralité de la palanquée de rustines du jour n'empêche pas d'être exposé à deux autres failles "zero day". L'une dans SQL Server 2000 et l'autre dans IE 7. Cette dernière est, en effet, déjà exploitée et son utilisation est expliquée sur les forums chinois. Pour ceux qui auraient choisi d'utiliser IE 7, il n'y a qu'une solution : désactiver les scripts. Tous les logiciels vedettes de Microsoft concernés En auscultant les rustines à télécharger, on constate bien que Vista, présenté comme un parangon de la sécurisation, figure parmi les logiciels qui souffrent de failles critiques, de celles qui permettent de s'arroger les fameux droits d'administration sur le système attaqué. Il est, lui aussi, menacé par les failles qui empoisonnent toujours le GDI (Graphic Device Interface) de la famille Windows. D'autres logiciels de dernière génération - Word 2007 et IE 7- souffrent aussi de failles critiques. Le discours de Microsoft autour de son Security Development Lifecycle (SDL), sur la certification du code de ses logiciels, est donc encore loin d'être passé dans ses pratiques de développement. Aux côtés de ces trois vedettes, on trouve la quasi-intégralité des logiciels Microsoft : toutes les générations d'Internet Explorer (de la 5.01 à 7), de Windows (de 2000 à 2008 en passant par XP), idem pour Office (y compris sur Macintosh) et pour Windows Media Player (de la version 6.4 à celle d'aujourd'hui, en 32 et 64 bits). Les outils de développement VB, Visual Studio et Project ont aussi leurs rutines. La longue liste s'achève par Sharepoint Server, 2007 et 2008, 32 et 64 bits. (...)
(10/12/2008 17:14:37)Netbook : Les clés pour faire le bon choix
Acer et Asus devant, les autres loin derrière. Les deux Taïwanais sont les champions du marché des netbooks, selon les chiffres publiés par Display Search. A eux deux, les constructeurs ont enregistré 68,3% des ventes sur le troisième trimestre, soit plus de 3,8 millions d'unités. Acer caracole en tête, avec 38,3% de parts de marché, contre 30,3% pour Asus. Ces chiffres confirment les prévisions des analystes, tous instituts confondus, qui tablent sur une dizaine de millions de machines écoulées en 2008. Un incroyable succès pour ces micro-PC dont personne, ou presque, n'était équipé il y a encore un an. Si ces ordinateurs qui misent tout sur la mobilité ne dégagent que peu de marge pour les constructeurs, ils ont au moins le mérite de maintenir le marché des PC - très affecté par la crise économique - à flot. A quelques jours de Noël, les fabricants s'attendent à enregistrer de très fortes ventes. C'est l'occasion, pour LeMondeInformatique.fr, de faire le point sur ces petites machines dans un dossier qui répondra aux questions que vous vous posez. Vous découvrirez que les netbooks commencent à trouver leur place dans le cadre de l'entreprise et, à travers un guide d'achat et une sélection de huit machines, nous vous donnerons des pistes pour choisir votre futur netbook. (...)
(10/12/2008 16:16:24)Sun fait entrer les processeurs Shanghai dans sa gamme de serveurs
Sun vient de renouveler sa gamme de serveurs x64 en intégrant les processeurs Opteron quadri-coeur Shanghai conçus par AMD. Ils seront installés sur quatre produits seulement : un serveur lame - le module X6440 à quatre sockets - et trois serveurs rack Sun Fire, le X4240 à deux sockets, le X4440 à quatre sockets et le X4600 qui peut accueillir de deux à huit socket. Avec ces quatre nouveaux modèles, Sun annonce une amélioration des performances de l'ordre de 35 % par rapport à la génération précédente. Tous sont livrés avec au choix Solaris 10, Windows, Linux ou WMware. Ils sont disponibles immédiatement à partir de 2300 €. Grâce à l'offre « Try and Buy »de Sun, il est possible de tester le serveur gratuitement pendant 60 jours avant de finaliser l'achat. (...)
(10/12/2008 14:58:50)Comment Thales a perdu un contrat de 70 millions d'euros avec l'AP-HP
Lors de leur conférence de presse le 30 septembre 2008, les hôpitaux de Paris, ou AP-HP, ont présenté le nouvel attributaire de leur projet de système d'information dédié au dossier hospitalier patient. Il s'agit de l'imageur Agfa Healthcare associé aux sociétés Cap Gemini et à HP. Agfa hérite ainsi d'un confortable budget de 95 M€ sur cinq ans, et doit désormais convaincre sur un projet qui est au coeur de la rationalisation de la médecine hospitalière française. Ce montant considérable représente le plus gros effort financier de l'histoire de l'informatique hospitalière, sans compter l'apport des équipes internes à l'AP-HP, soit plus d'une centaine de médecins et d'experts. Mais les rebondissements auront été nombreux pour en arriver à cette attribution. Thales, premier attributaire pour 70 M€ Agfa Healthcare est en fait le second attributaire du marché. Initialement, c'est Thales, spécialiste de l'informatique sensible, du militaire et de la sécurité, associé aux sociétés Medasys et General Electric qui avait remporté l'appel d'offres. Le montant s'établissait alors aux alentours de 70 M€. Mais, premier coup de théâtre, dans les derniers jours de 2007, Thales s'est vu signifier la rupture du contrat le liant à l'AP-HP et a été écarté du projet. Comment expliquer ce revirement de situation ? Lors de la conférence de presse du 30 septembre, l'AP-HP a indiqué que « Le prestataire ne répondait ni au cahier des charges ni aux délais ». Thalès a lancé un contentieux contre l'AP-HP A présent, les deux protagonistes, Thales d'une part, et l'AP-HP de l'autre, tentent de préserver la confidentialité du dossier. Un contentieux a cependant été lancé par Thales à l'encontre de l'AP-HP. La cause du clash entre les deux entreprises n'a pas été officialisée. Au départ, tout semblait aller pour le mieux. Thales est une société française bien positionnée dans le domaine de la santé. Avec l'AP-HP, elle était aux commandes du plus grand projet du secteur, lui ouvrant l'immense ... [[page]] ... marché européen des systèmes d'information hospitaliers en plein essor. N'étant pas éditeur, Thales s'est associé au Français Medasys. A partir de là, deux interprétations des événements existent. Allant dans le sens de l'AP HP, certains évoquent une rupture à l'initiative univoque des hôpitaux. Les équipes de Thales auraient manqué de spécialistes dans le domaine de la santé, provoqué des changements de direction de projet à répétition et engendré des retards au démarrage. De plus, General Electric - associé à Thales pour la partie anesthésie et réanimation - aurait demandé un supplément budgétaire afin de réaliser certaines parties du contrat qui semblaient pourtant prévues dès l'origine. Quant à l'éditeur Medasys, il aurait été finalement de taille trop réduite pour servir un aussi gros projet destiné à équiper 37 grands hôpitaux. Des modifications trop nombreuses Mais selon d'autres sources, lors des réunions de cadrage entre l'AP-HP et Thales, l'AP-HP aurait trop modifié ses demandes, conduisant à un périmètre d'action fluctuant au gré des jours. Ce syndrome est classique : un client ne sait pas forcément ce qu'il veut et il mûrit sa vision au cours du temps. Face à trop de modifications, la gouvernance du projet doit alors savoir filtrer. Encore faut-il qu'on lui en donne les moyens. Les modifications trop nombreuses auraient déclenché une incompatibilité entre Thalès et l'AP-HP et des conflits répétés jusqu'au clash. Une nouvelle attribution complexe Quoiqu'il en soit, l'AP HP a relancé une procédure d'appels d'offres. C'est finalement Agfa Healthcare qui l'aemporté. Cependant, cette victoire voit encore le jour dans des conditions complexes. En effet, le gagnant aurait dû être, semble-t-il, la société américaine Cerner. Mais, cette dernière aurait émis des conditions ou des réserves à la réalisation du contrat voulant s'assurer - peut-être un peu trop - que l'AP-HP ferait bien sa part du travail. Problème, ces réserves ne seraient pas juridiquement admissibles dans le cadre de ce type de marché public. Résultat, après un retard conséquent dans l'annonce des résultats, l'entreprise Cerner est écartée, et c'est Agfa Healthcare qui arrive première. En ce qui concerne l'avenir, de nombreuses questions restent à régler. Agfa est d'une taille largement inférieure à celle de Cerner. L'AP-HP est désormais dans une position délicate. Elle ne peut plus se permettre d'échouer après l'accident Thales. Même si lors de la conférence de presse, l'AP-HP a déclaré : « Nous avons mis en place les mêmes mécanismes de résiliation qu'auparavant », il lui faut absolument réussir avec Agfa pour un projet qui engage l'informatique de santé hexagonale pour les 10 ans à venir. Nouveau remède prévu : l'AP-HP réfléchirait à une restructuration pouvant contribuer à minimiser les risques dans la réalisation du projet, tout en faisant attention à ne pas dériver dans le temps. Affaire à suivre en 2009. (...)
(10/12/2008 14:40:25)Valtech lance son offre de tierce recette applicative Agile en France
Valtech Technology lance en France son offre de TRA (tierce recette applicative, qui consiste à valider le fonctionnement d'une application avant sa mise en exploitation) basée sur les méthodes Agiles. Déjà déployée en Inde (où Valtech possède une plateforme de test et de développement), en Grande-Bretagne et en Allemagne, cette offre répond aux attentes des maîtrises d'ouvrage qui espèrent éviter l' « effet tunnel » des approches traditionnelles de TRA. « Dans la gestion classique de la recette applicative, on avance souvent à l'aveuglette et c'est seulement en fin de phase de pilotage qu'on constate qu'il existe de nombreuses anomalies, explique Gilles Mantel, responsable de l'offre TRA de Valtech Technology en France. Avec les méthodes Agiles, nous mettons l'accent sur une collaboration permanente entre l'éditeur, le client et la société de conseil afin de limiter les surprises à l'arrivée. » L'offre de Valtech Technology est certifiée CMM (capability maturity model) de niveau 5, ISO 9001 et ISO 27001. Elle s'adresse plus particulièrement aux secteurs de la banque, de l'assurance et de la défense, mais Valtech ne cache pas son ambition de toucher également la grande distribution et les télécoms. En France, une dizaine de consultants sont chargés de proposer ces solutions de TRA Agiles. Elles sont ensuite testées à distance sur la plateforme de Bengalore en Inde. (...)
(10/12/2008 13:36:01)Neurones crée un pôle conseil en management et organisation
La SSII Neurones vient d'acheter un cabinet français spécialisé dans le conseil en management et organisation. Cette société, dont le nom n'a pas été communiqué, a réalisé un chiffre d'affaires de 15 M€ en 2008, pour un résultat opérationnel qui représente 13%. Cette opération permet à Neurones de créer un pôle conseil en management et organisation. Celui-ci sera constitué de la centaine de consultants de la société acquise par la SSII et des 10 consultants intégrés suite au rachat de Pragma Team en novembre 2007. « Cette activité de conseil en management se distingue de nos pôles de conseil traditionnels comme la sécurité du système d'information, l'architecture logicielle, l'intégration d'ERP ou l'infogérance... Mais elle vient parfaitement compléter notre offre », explique Luc de Chammard, PDG de Neurones. Selon lui, il est capital pour les SSII de proposer une palette de services allant au-delà du système d'information et ce pour deux raisons principales. D'une part les entreprises sont de plus en plus à la recherche de prestataires capables de répondre à une demande complète, et pas seulement en informatique. D'autre part, comme l'observe Luc de Chammard, les décisions budgétaires ont progressivement glissé des DSI vers les directions opérationnelles. Et qu'il s'agisse d'informatique ou d'autres pôles stratégiques, les clients préfèrent avoir à faire à un interlocuteur unique. Neurones compte désormais 2500 collaborateurs et espère réaliser un chiffre d'affaires de 180 M€ en 2008, pour une marge opérationnelle comprise entre 8,5 et 9%. Les modalités de la transaction n'ont pas été communiquées. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |