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(11/12/2008 17:34:49)
Logica réduit son endettement en levant 90,5 M£ auprès de ses actionnaires
La SSII anglo-néerlandaise Logica (anciennement LogicaCMG) est parvenue à réduire sa dette grâce à une augmentation de son capital d'un montant de 90,5 M£ (133 M€ environ). En tout, ce sont 135 millions d'actions qui ont été émises par la SSII (soit 9,2% de son capital). Les principaux actionnaires de Logica ont mis la main à la poche au-delà même des espérances de la société, qui comptait engranger 85 M£. « Ce soutien de nos actionnaires ainsi que de deux banques (Schroders, Aviva Investors) est une excellente nouvelle pour Logica, a commenté David Tyler, président de la société, dans un communiqué. Cette somme vient compléter les 500 M€ que nous avons obtenus des banques en novembre dernier. » Logica est à en proie à des difficultés financières depuis le début de l'année. La SSII a publié des résultats décevants au premier semestre 2008 (bénéfice net en perte de 97%, à 5,2 M£) et a annoncé un plan de restructuration en avril dernier dans le but de redynamiser son activité. (...)
(11/12/2008 16:48:11)Les clients allemands de SAP obtiennent un sursis sur les tarifs de la maintenance
La grogne persistante des utilisateurs allemands de SAP contre la hausse du coût de la maintenance annuelle annoncée en juillet (de 17 à 22% du prix initial des licences) aura finalement porté ses fruits. L'éditeur d'ERP -progiciels de gestion intégrés- va finalement permettre à ceux d'entre eux qui le souhaitent de conserver en 2009 leur contrat de maintenance Standard à 17%. Il en ira de même pour les clients autrichiens. De fait, ces entreprises avaient vu SAP mettre un terme à leur contrat de maintenance en cours pour les faire passer à la nouvelle formule, Enterprise Support. Une formule très enrichie, certes, comme le souligne constamment SAP, mais beaucoup plus chère (même si l'éditeur affirme que le client doit y trouver son compte dans la durée et faire baisser son coût total de possession). La résiliation des contrats mal interprétée par certains clients allemands, selon SAP Volker Merk, le patron de SAP Allemagne, a reconnu mardi dernier lors d'une conférence téléphonique, que la résiliation des contrats avait été mal interprétée par certains clients qui l'ont, en quelque sorte, ressenti comme une rupture de la relation de confiance qu'ils avaient avec leur éditeur. SAP explique, dans un communiqué cité par nos confrères d'IDG News Service, que les modifications apportées aux contrats existants s'appuient sur les législations en vigueur, différentes dans chaque pays. En Allemagne et en Autriche, il aurait ainsi fallu résilier les contrats existants pour faciliter le passage au contrat Enterprise Support. C'était sans compter la levée de boucliers des utilisateurs locaux. Une centaine d'entreprises, parmi lesquelles Miele, Bahlsen ou encore Villeroy & Boch, se sont notamment regroupées pour protester contre cette politique de prix qu'ils jugent « irresponsable et injustifiée », selon l'édition locale du Financial Times. Jusque-là, SAP s'était montré inflexible, en dépit des offensives répétées des clubs utilisateurs pour qu'il révise la nouvelle tarification de son support. En novembre dernier, le Sugen, qui fédère ces clubs au niveau mondial, avait bien obtenu quelques aménagements (notamment l'allongement du support d'ERP 6.0 et la mise en place d'un contrôle de la satisfaction des utilisateurs), mais sans revenir sur la hausse programmée. une action en recul de 2,90% [[page]] Selon le DSAG, club des utilisateurs germanophones de SAP , les clients allemands et autrichiens vont avoir la possibilité de conserver leur ancien contrat ou d'y revenir pendant toute l'année 2009. Une décision qu'ils devront notifier d'ici le 30 mars prochain. SAP devrait sous peu leur écrire à ce sujet. Pour les clients qui choisiront de conserver le contrat Standard, l'augmentation de tarif n'interviendra alors qu'à partir du 1er janvier 2010 et se calera sur l'indice du coût de la main d'oeuvre (LCI, Labour cost index), un indice harmonisé au niveau européen. Cet aménagement, qui se limite aujourd'hui à l'Allemagne et à l'Autriche, ne fait évidemment pas les affaires de SAP. L'éditeur voit la croissance de ses ventes de licences ralentir. Et les revenus de la maintenance représentent à eux seuls plus de 40% de son chiffre d'affaires (sur les neuf premiers mois de l'année). D'autant plus que l'arrangement proposé aux utilisateurs germanophones risque d'inciter les clients des autres pays à maintenir leur demande de révision de tarif. Conséquence directe ou non, l'action de SAP le 11 décembre à 14h53 avait enregistré un recul de 2,90% à 25,82 euros. En France, l'augmentation du taux est progressive En France, comme l'a rappelé fin novembre Lionel Schwirtz, directeur des ventes de maintenance chez SAP, dans un entretien avec CIO-online.com, « le taux de 22% ne concerne pour l'instant que les nouveaux acquéreurs de solutions SAP, les anciens clients de la maintenance à 17% bénéficiant d'une période d'adaptation où la maintenance va progressivement passer de 17 à 22%, aujourd'hui 18,3% », en soulignant que l'augmentation est donc « similaire à ce que l'on constate dans l'indice Syntec ». (...)
(11/12/2008 15:45:09)LeWeb'08 récompense Viewdle, start-up ukrainienne spécialisée dans l'indexation vidéo
La conférence LeWeb'08 s'est terminée hier avec, en particulier, la clôture de son concours de start-up. Chritine Lagarde, ministre de l'Économie, de l'industrie et de l'emploi a remis son prix au vainqueur, l'entreprise ukrainienne Viewdle, née en 2006. A partir de technologies issues de la recherche militaire, celle-ci a mis au point un environnement d'analyse sémantique de vidéos. Le résultat est assez étonnant. Durant sa démonstration, Laurent Gil, président de Viewdle, a proposé de retrouver sur le Web un discours de Sarah Palin, dans lequel elle évoque le prix des carburants. Le logiciel a identifié une vidéo d'une heure dans laquelle l'ancienne colistière de John McCain évoquait ce sujet, mais surtout, il a repéré l'endroit exact où elle en parlait, évitant ainsi le visionnage de l'heure entière. Viewdle est un système d'indexation et de référencement de vidéo qui s'appuie sur l'analyse visuelle et la reconnaissance faciale ainsi que sur la recherche au sein même des vidéos : l'outil analyse le vrai contenu de la vidéo, image par image, et ne se contente pas de consulter les métadonnées. Le moteur d'indexation gère jusqu'à 55 images par seconde. « On cherche qui est dans la vidéo, de quoi les personnes parlent, et à quel moment elles en ont parlé, explique Laurent Gilles. » Viewdle compte 26 ingénieurs dont 6 (PhD) en mathématique. Les deux autres lauréats récompensés par LeWeb'08 sont le Tchèque Webnode et le Néerlandais Zoover. Wednode, deuxième prix, propose un environnement de création de site Web à la fois riche et extrêmement simple d'utilisation, pour tout un chacun. Le troisième, Zoover, est un site communautaire destiné à recevoir le point de vue des internautes sur leurs voyages. (...)
(11/12/2008 13:10:35)Yahoo supprime 1 500 postes et affronte la pression de ses actionnaires
Yahoo a confirmé hier, mercredi 9 décembre, qu'il comptait supprimer 1 500 postes dans le monde avant la fin de l'année. L'objectif est de réaliser des économies de 400 M$ par an, dans un contexte économique difficile (départ de plusieurs dirigeants, résultats financiers en berne...). Du côté de la direction, la pression augmente pour forcer la société à considérer la dernière proposition de Microsoft. Un nouvel actionnaire, Ivory Investment Management (qui détient 1,5% du capital de Yahoo), incite le site à accepter cette offre. Il y a quelques jours, Curtis Macnguyen, qui dirige ce fonds, a en effet adressé un courrier au conseil d'administration de Yahoo en l'encourageant vivement à ne plus reculer devant les avances de Microsoft. Steve Ballmer, PDG de Microsoft, a lui-même a déclaré il y a quelques jours qu'un accord entre les deux sociétés dans le secteur de la recherche en ligne avait toujours beaucoup de sens. Certains actionnaires de Yahoo, Carl Icahn en tête, n'entendent sans doute pas leur voir passer une nouvelle fois sous le nez une offre qui pourrait valoriser l'action à 25$ environ, soit plus du double de sa valeur actuelle. Yahoo a vu sa situation se détériorer au fur et à mesure de l'obstination de son dirigeant Jerry Yang à refuser l'offre de rachat par Microsoft formulée en février dernier, pour un montant de 44,6 Md$. Ce même Jerry Yang s'est vu plus ou moins contraint d'abandonner son poste de PDG de la société en novembre dernier. Yahoo se retrouve désormais sans capitaine à bord, et les actionnaires ne se privent pas pour guider le navire vers Microsoft. (...)
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