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(16/12/2008 12:09:48)

Google se défend de mettre à mal la neutralité d'Internet

Son le nom de projet OpenEdge, Google négocierait des accès privilégiés pour ses serveurs sur les réseaux des opérateurs américains. C'est du moins ce qu'a affirmé le Wall Street Journal en se fondant sur l'analyse de documents échangés entre Google et des opérateurs réseau. L'un d'entre eux se serait ému du fait qu'un accord de ce type signé avec le fournisseur californien pourrait faire tiquer la FTC (Federal Communications Commission). Google dément et pointe l'intérêt d'économiser de la bande passante Cette information fait peser sur le géant des moteurs de recherche le soupçon d'un contournement du principe de "Net neutrality" qui consiste en un accès équitable pour tous les fournisseurs de contenu. Ce qui serait en totale contradiction avec le discours de Google. Mais ce dernier s'est très rapidement fendu d'un démenti très sec dans lequel il insiste sur la différence entre la mise en cache des informations à proximité de ceux qui en ont besoin et une priorité exclusive des flux sur Internet. La mise en cache en local est le lot quotidien de sociétés comme Akamai, Limelight et du service CloudFront d'Amazon. A la différence près, soulignent les critiques, que, dans le cas de Google, il transfère en exclusivité des données sous son contrôle. Google rétorque en expliquant que la mise en place de ses serveurs-cache permet d'économiser de la bande passante. Par exemple, dès lors qu'il est mis en cache, un flux vidéo populaire n'a pas à être retransféré sur tout le réseau autant de fois qu'il est demandé. Des sommes colossales investies par Google dans ses centres serveurs [[page]] Le procès d'intention qui est fait à Google repose sur un débat très technique. La mise en place de serveurs-cache à des points stratégiques de l'infrastructure d'Internet est le pendant logique de l'effort que le Californien consent dans le déploiement de centres serveurs. La société de Larry Page et Sergey Brin investit des sommes colossales dans son infrastructure serveur. De plus, depuis fin 2005, elle se porte régulièrement acquéreur de "fibre noire" et tisse un réseau privé très performant entre ses datacenters. Des sites sur lesquels Google ne communique aucune information précise. On estime toutefois leur nombre à près d'une quarantaine de par le monde. Chacun contient a minima 150 racks ce qui donne un nombre de serveurs situés entre 200 000 et 250 000. (...)

(16/12/2008 09:49:31)

Les DSI pourraient réduire leurs frais d'achats de licences de 10% à 20%

Selon le cabinet Sia Conseil, les DSI (directions des systèmes d'informations) gèrent très mal leur parc de licences de logiciels. Trois raisons sont invoquées : l'inventaire physique du matériel est peu fiable ; les directions métiers continuent d'avoir une certaine autonomie dans leurs achats de logiciels, ce qui empêche la DSI de piloter l'ensemble de façon cohérente ; et enfin, le périmètre de l'entreprise varie régulièrement (cession d'activités, croissance externe...). « Le budget de licences informatiques est un poste difficile à maîtriser ; les facteurs de dérive sont multiples et tiennent tant à l'accroissement rampant de la part des logiciels achetés, au détriment des logiciels produits en interne, qu'aux évolutions continues du nombre de fournisseurs et de leurs stratégies d'offre, de marketing et de facturation » dénoncent, Louis Catala, Nicolas Goldberg et Vincent-Joseph Laurent, auteurs de l'étude. Cette dérive repose sur le caractère de plus en plus indispensable des logiciels achetés, répartis en trois groupes par les auteurs de l'étude : ceux intimement liés aux matériels (gestion du stockage...) et à l'infrastructure de base (bases de données...) ; la bureautique au sens large (messagerie incluse notamment) ; et enfin les applicatifs métier (PGI, CAO...). [[page]] A cela s'ajoute l'attitude très agressive des éditeurs de logiciels, qui aboutit à faire peser une épée de Damoclès sur les entreprises : la moindre erreur de comptage des licences nécessaires peut se traduire par des pénalités importantes voire des actions en justice très préjudiciables à l'image de l'entreprise. Or les éditeurs adoptent des politiques très variables en la matière (y compris et surtout sur la manière de comptabiliser le nombre de licences nécessaires), ce qui complique à loisir le travail des DSI. Les licences d'entreprises permettant un nombre illimité d'installations, lorsqu'elles existent, peuvent certes séduire par leur apparente simplicité mais Sia Conseil dénonce leur coût exorbitant direct ou indirect (notamment via la maintenance). Les DSI acceptent donc aisément de céder aux injonctions amicales des éditeurs et d'acheter des licences inutiles. En effectuant des estimations sur les comptes du CAC 40, Sia Conseil considère qu'il peut être gagné de 10 à 20% sur les frais d'achats de licences. Quatre piliers ont été identifiés pour réaliser ces économies : créer des tableaux de bord par logiciel pour suivre au plus près les licences effectivement consommées selon la métrique de l'éditeur mais tenus par les clients et non par les vendeurs ; la gestion des licences « en retour » (inutilisées et pouvant être réaffectées au lieu d'en acheter de nouvelles) ; l'optimisation des contrats ; et enfin un meilleur pilotage de la maintenance. Sur une estimation réalisée au sein d'un grand compte du domaine de l'énergie, les économies possibles étaient de l'ordre de 14% du budget logiciel (soit 13 millions d'euros), la répartition des économies sur chaque pilier était, dans l'ordre, de 5,6 millions d'euros (43%), 4,6 millions (35,4%), 1,9 million (14,6%) et 0,9 million (7%). (...)

(15/12/2008 17:49:19)

Altran ajoute NSI à son pôle informatique embarquée

Altran renforce son pôle informatique embarquée en se portant acquéreur de 52% du capital de NSI. Ce dernier est un spécialiste des systèmes électroniques embarqués clefs en main destinés aux secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et de l'industrie. Altran a d'ores et déjà acquis 20,8% du capital de NSI. Fondé en 1993, à Annecy, NSI compte 160 salariés et réalise un CA annuel de 12 M€ en 2007 (-11%). Son CA baisse d'année en année depuis 2005. 14% du capital est coté sur le marché libre de Paris, 33% est aux mains d'investisseurs et les fondateurs en détiennent 53%. Cette opération suit celle de la reprise par Altran fin octobre du centre d'expertise en logiciel embarqué du groupe Continental. Un centre que Continental a acheté en décembre 2007 à Siemens VDO Automotive. Altran ne communique pas les montants des deux transactions. (...)

(15/12/2008 14:40:50)

Infor réduit ses effectifs de 5% au niveau mondial

Après Lawson Software en novembre dernier, c'est au tour de l'éditeur Infor de réduire ses effectifs pour, dit-il, se mettre en phase avec les 'réalités' du contexte économique global. Considéré comme le troisième fournisseur mondial d'ERP -progiciels de gestion intégrés- derrière SAP et Oracle, cet éditeur américain (basé en Géorgie) indique que ces réductions touchent 5% de son effectif mondial (environ 9 000 salariés). La direction française ne sait pas encore dans quelle mesure ces dispositions affecteront la filiale hexagonale. Celle-ci emploie 410 personnes. Infor, qui fait actuellement évoluer son offre vers une architecture orientée services (SOA), a présenté à ses utilisateurs français les dernières mises à jour de ses gammes à l'occasion de sa conférence Inforum, organisé à Paris en novembre. En France, 3 700 entreprises sont sous contrat de maintenance avec l'éditeur, dont la base installée mondiale ne compte pas moins de 70 000 clients. Une entreprise rentable Le communiqué diffusé pour confirmer les réductions d'effectifs mentionne qu'Infor est une entreprise saine et rentable. La société, non cotée, prévoyait en 2008 un chiffre d'affaires global de 2,2 milliards de dollars. Détenu par le fonds d'investissement Golden Gate Capital, Infor s'est constitué par croissance externe au cours des récentes années (avec un coup d'accélérateur en 2006) en récupérant les offres et bases installées d'éditeurs comme SSA, Baan, Mapics, Epiphany, Extensity, Systems Union... Le fournisseur se trouve donc à la tête d'un vaste catalogue qui rassemble non seulement des ERP (très implantés dans le monde AS/400-System i d'IBM), mais également des offres de gestion de la performance financière, du cycle de vie des produits (PLM), de la relation client (CRM) et des ressources humaines (notamment en France, avec Anaël). (...)

(15/12/2008 12:45:08)

Firefox et Flash en tête des applications classées les moins sûres pour les entreprises par Bit9

Entreprises, redoutez Firefox, Flash Player et VMware. Ces applications arrivent en effet en tête du top 12 des programmes les moins sûrs dans le cadre d'une utilisation professionnelle... d'après un classement établi par Bit9, spécialisé dans la confection de listes blanches d'applications et éditeur de Parity, un programme permettant la détection de code malveillant. Les douze applications recensées par Bit9 ont comme caractéristiques communes qu'elles fonctionnent sur Windows, sont populaires auprès du grand public et présentent au moins une faille critique depuis janvier 2008. Elles sont en outre souvent installées sur les postes de travail des salariés sans que le service informatique en ait connaissance ou puisse surveiller leur mise à jour. Elles constituent par conséquent, selon l'éditeur, les maillons faibles du SI, lequel étant dans l'impossibilité de déployer des correctifs de façon centralisée via les services Systems management server ou Windows Server Update Services de Microsoft, par exemple. Peu importe donc que les éditeurs des applications montrées du doigt par Bit9 mettent régulièrement en ligne des mises à jour pour leurs produits puisque l'installation de ces dernières ne repose que sur les utilisateurs - ce qui induit bien évidemment un biais dans le classement. Le top 12 des applications à redouter selon Bit9 1 - Mozilla Firefox 2 - Adobe Flash et Acrobat 3 - EMC VMware Player, Workstation et autres produits 4 - Sun Java Runtime Environment 5 - Apple QuickTime, Safari et iTunes 6 - Symantec Norton 7 - Trend Micro OfficeScan 8 - Citrix DNE, Access Gateway et Presentation Server 9 - Aurigma Image Uploader, Lycos FileUploader 10 - Skype 11 - Yahoo Assistant 12 - Microsoft Windows Live Messenger (...)

(12/12/2008 17:53:10)

SanDisk réduit ses effectifs de 10% dans le monde

SanDisk a annoncé, mercredi 10 décembre, qu'il prévoyait de réduire ses effectifs de 10% au niveau mondial, selon Reuters. Le fabricant de cartes mémoire flash, qui emploie 3 172 personnes, a également précisé qu'il poursuivrait la révision de ses dépenses à la baisse en 2009 pour mieux résister au ralentissement de la demande sur le marché des cartes mémoires, consécutivement à la crise économique actuelle. Sandisk investira 900 millions de dollars au cours de l'exercice 2009, à comparer aux 1,3 milliard de dollars prévus par le groupe au cours du mois d'octobre. Cette annonce a fait monter le cours de l'action SanDisk au Nasdaq, en hausse de +3,5%, celle-ci a atteint les 9,87 dollars. (...)

(12/12/2008 17:51:23)

Le nouveau DG d'Alcatel-Lucent détaille son plan stratégique

L'équipementier télécoms entame une nouvelle restructuration et taille dans ses effectifs. Il devrait arrêter certaines activités jugées non stratégiques. Il prévoit également la suppression de 1000 postes de managers. Ben Verwayyen, le nouveau directeur général d'Alcatel-Lucent a détaillé vendredi 12 décembre, le plan stratégique qu'il avait annoncé en septembre dernier peu après sa nomination. Conçu pour « renouer avec la profitabilité et faire d'Alcatel-Lucent, une entreprise normale », ce plan ne manque pas d'ambition mais il engage l'entreprise dans une vaste restructuration, la troisième depuis le rapprochement d'Alcatel et de Lucent en 2006. L'objectif est d'abord de « réduire le point d'équilibre financier du groupe d'un milliard d'euros par an en 2009 et 2010 » et de parvenir à « un résultat d'exploitation ajusté proche de l'équilibre en 2009». L'équipementier devrait supprimer 1000 postes de managers Comment Ben Verwayyen compte-t-il faire dans un marché des télécoms qu'il prévoit lui-même en baisse de 8 à 12% en 2009 et guère plus favorable en 2010 ? En réduisant les coûts partout où cela est possible. Ainsi, malgré les coupes claires déjà réalisées dans les effectifs (près de 16 500 personnes) par les dirigeants précédents -Serge Tchuruk et Patricia Russo - l'équipementier devrait supprimer près de 1000 postes de managers. Ben Verwayyen a refusé de préciser quelles régions seraient touchées par ces suppressions de postes mais la France ainsi que les Etats-Unis qui comptent la majorité des managers ne devraient pas être épargnés. Alcatel-Lucent souhaite également réduire son nombre de sous-traitants d'environ 5000 (sur un total de 10 000 environ) et estime pouvoir faire des économies en améliorant sa chaîne logistique et en diminuant ses coûts de production. Restructurer un porte-feuille d'activités trop diversifié [[page]]Par ailleurs, l'équipementier devrait récupérer un peu de liquidités grâce à la vente à Dassault de sa participation de 20,8% dans Thales, dont Ben Verwayyen a dit qu'elle était « bien engagée ». Mais c'est surtout en restructurant son portefeuille d'activités, jugé trop diversifié, que l'équipementier espère gagner en profitabilité et en compétitivité. « Nous allons investir sur quatre activités : l'IP, l'optique, le haut-débit fixe et mobile et les logiciels applicatifs ». L'accent sera mis sur les technologies IMS, GPON, VDSL, WCDMA (3G +) et surtout sur le LTE (Long Term Evolution), le réseau mobile de quatrième génération qui, selon Ben Verwayyen, « est la suite naturelle du GSM et du WCDMA ». Oublier le Wimax mobile pour l'instant Alcatel-Lucent veut également développer son offre de services à destination de ses clients entreprises et opérateurs. Par ailleurs, le groupe compte « rationaliser fortement » son offre de produits matures comme le GSM, l'ATM ou l'ADSL et veut réduire ses dépenses dans « le coeur de réseau traditionnel, les éléments du portefeuille NGN (new generation network) fixe qui ne sont pas basés sur l'IMS (IP multimedia subsystem) et dans le Wimax». Cette décision vise surtout le Wimax mobile car selon Ben Verwayyen « sur cette technologie, on ne voit rien venir d'ici plusieurs années ». Cette réorganisation du portefeuille devrait se traduire par une restructuration des centres de recherche d'Alcatel-Lucent. Si le nouveau directeur général a répété qu'il misait beaucoup sur la R&D, certains laboratoires pourraient néanmoins fermer ou être fusionnés afin de réduire les coûts administratifs. Reste que l'annonce de ce plan n'a guère convaincu les investisseurs. Ce soir l'action Alcatel-Lucent enregistre le plus mauvais score du CAC 40 en perdant près de 12%. (...)

(12/12/2008 17:05:32)

Passe d'arme entre opérateurs sur le déploiement de la fibre

Le ton monte entre l'Arcep et France Télécom sur le dossier de la fibre optique. Comme le soulignait en début de semaine Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la Consommation, le déploiement du très haut débit piétine en raison des divergences techniques opposant les opérateurs. Orange et SFR, signataires d'un accord en septembre, misent sur la technologie de fibre unique pour relier les logements, alors qu'Iliad table sur une approche multifibre. Le président sortant de l'Arcep ne veut pas de la fibre unique Interrogé par nos confrères du magazine Challenges, le président de l'Arcep a jeté de l'huile sur un feu déjà violent. Paul Champsaur, qui cèdera son fauteuil le 1er janvier prochain, estime ainsi que France Télécom « veut imposer sa solution : la pose d'une fibre unique à laquelle se raccorderaient les concurrents. » Or, ce choix, explique-t-il, empêcherait une concurrence saine entre les acteurs, en handicapant ceux qui ont fait d'autres choix technologiques. Et Paul Champsaur de citer Iliad - à qui il attribue ainsi implicitement le statut de victime de l'opérateur historique. Le président de l'autorité de régulation poursuit sa diatribe en stigmatisant le « blocage [...] des discussions sur le câblage terminal » résultant du comportement de France Télécom. Un blocage « entretenu [qui] freine le branchement effectif des domiciles. » France Télécom : c'est pas nous, c'est Free Réaction immédiate du mis en cause. Dans un communiqué, France Télécom souligne qu'« une offre d'accès [à son] génie civil, sans équivalent en Europe, est opérationnelle depuis plusieurs mois. » Selon l'opérateur, il n'existe qu'un coupable dans ce dossier : Iliad. « Free a refusé jusqu'à présent les propositions d'accord qui lui ont été faites, en exigeant le déploiement systématique de la solution multifibre non encore expérimentée », tempête France Télécom. Le blocage du groupe de Xavier Niel découlerait, explique le communiqué, sur l'impossible conclusion d'un « accord général sur la mutualisation du fibrage vertical, préalable indispensable au déploiement à grande échelle de la fibre. » La conclusion à en tirer est alors évidente, selon Orange : « Rien ne peut justifier d'imposer aujourd'hui aux acteurs du marché la solution [...] exigée par Free. » Le gouvernement propose une concialiation Face à des opérateurs incapables de s'entendre, la solution pourrait venir du gouvernement. Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique vient en effet de convier les acteurs de la fibre à un comité de pilotage, qui débutera mardi prochain et poursuivra ses travaux jusqu'au 31 mars 2009. Selon les Echos, rapportant une source restée anonyme, « chaque opérateur s'engage à participer à l'une et/ou à l'autre des deux expérimentations de déploiement », c'est-à-dire le mutifibre ou le monofibre. Une phase, pilotée par l'Arcep, à l'issue de laquelle sera retenu l'un ou l'autre de ces modèles, voire les deux. (...)

(12/12/2008 14:29:04)

Lenovo cherche un constructeur à acheter

Le numéro quatre mondial de la micro Lenovo l'admet, il est en quête d'une opération de croissance externe. En réponse à des rumeurs insistantes sur un éventuel rachat du constructeur brésilien Positivo Informatica, le constructeur chinois a confirmé qu'il abordait la phase préliminaire des négociations en vue d'un investissement éventuel. Mais il n'a pas confirmé si c'était avec Positivo Informatica. Le Brésil fait partie des pays désignés par l'acronyme Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui connaissent la plus forte croissance au niveau mondial. D'où l'intérêt pour Lenovo de mettre la main sur le champion national Positivo qui jouissait d'une part de son marché local de 57% en juin 2007, mais qui est descendue à 27% cette année. Sa capitalisation boursière, qui a chuté de 87% en un an, est de 215 M$. Des rumeurs évoquent le rachat d'une partie de Fujitsu Siemens Faute d'informations confirmées, les supputations vont bon train. D'un côté, on cite Dell parmi les autres candidats intéressés à la reprise de Positivo. De l'autre côté, on dit que la très probable mise en vente d'une partie de Fujitsu Siemens qui pourrait aussi intéresser Lenovo. Fujitsu, qui vient de reprendre l'intégralité de sa coentreprise à Siemens, aurait en effet le projet de se séparer de l'activité micro pour se concentrer sur la partie serveur et stockage. En tout cas, l'imminence d'une opération de croissance externe par Lenovo (qui dispose de 2 Md$ de liquidités) a fait bondir son titre de 27%. Quoi qu'il en soit, ce n'est pas une acquisition, qu'elle soit de Positivo ou de Fujitsu Siemens, qui permettra à Lenovo de rattraper Acer. Le numéro trois de la micro, dont les derniers résultats montrent qu'il fait mieux son métier que Lenovo, talonne Dell et HP. Et distance largement Lenovo. (...)

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