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(17/12/2008 17:30:26)

Orange regroupe ses activités pro au sein de l'entité e-lob

« Leader », « international » et « convergence » étaient les trois mots clés d'une conférence de presse tenue mercredi matin par Orange-France Telecom : l'opérateur a en effet profité de l'annonce d'une nouvelle organisation interne - la création de l'entité e-lob (Enterprise line of business) - pour marteler ses arguments et paraître beaucoup plus imposant qu'un BT ou un Verizon. A en croire la vulgate des communicants de France Telecom, « e-lob est la nouvelle force motrice du déploiement de la stratégie de convergence du groupe dans les activités B2B des pays Orange ». Concrètement, cela signifie que la marque Orange Business Services lancée le 1er juin 2006 chapeautera toutes les activités du groupe dans le monde auprès de toutes les entreprises, de la TPE à la multinationale. Ou, pour reprendre les propos de Jacques Demaël, vice-président exécutif e-lob, « de la boucherie Sanzot à Coca-Cola ». Pour Orange, il s'agit de capitaliser sur sa marque et sa présence à l'étranger. L'opérateur a ainsi fourni une avalanche de chiffres pour illustrer sa position de leader sur le marché professionnel : son offre pro représente plus de 30% des revenus du groupe (soit quelque 16 Md€, avec une croissance de plus de 2% et une marge opérationnelle brute de plus de 3%), plus de 30 000 collaborateurs répartis dans 166 pays, 340 000 téléphones IP gérés par Orange, 850 000 utilisateurs de Business Everywhere, des réseaux mobiles dans 27 pays, une place de numéro un en France, en Pologne, en Roumanie, en Slovaquie... Orange veut faire passer ses clients pro au « real-time business » Barbara Dalibard, directrice exécutive d'Orange Business Services (OBS), et Jacques Demaël expliquent vouloir continuer la transformation d'OBS, pour passer « d'un simple fournisseur de réseau à un opérateur de communication intégré », avec l'idée de « IP-transformer » les clients dans le même temps, pour les amener vers du « real-time business ». Dans cette évolution en « trois vagues », la première phase, qui représente les services classiques de connectivité, compte pour environ 70% du chiffre d'affaires. La deuxième phase (environ 20% du CA), implique d'amener les entreprises à utiliser les services de voix sur IP, d'IP Centrex (PBX hébergé), de convergence mobile/VoIP (offre Unik)... Enfin, la 3e phase vise à fournir une infrastructure adaptée à des processus et des applications en ligne (en mode Saas) s'appuyant sur des offres de convergence : communication unifiée, click-to-call, M2M, hébergement d'applications, courriels sur les mobiles... Dans tous les cas, si Orange s'affirme en opérateur d'infrastructure et confirme sa volonté de proposer de plus en plus de services logiciels et matériels avec ses offres (des suites de sécurité jusqu'aux PC) afin de répondre à la demande de ses clients, l'opérateur dit n'avoir aucune intention d'aller plus loin : le terme de 'cloud computing' n'évoque rien chez Barbara Dalibard et Jacques Demaël en dehors des offres d'infogérance déjà en place et d'une éventuelle solution de distribution d'applicatifs en ligne tel que l'AppStore d'Apple. (...)

(17/12/2008 17:00:28)

Apple abandonne Macworld Expo

Le 6 janvier prochain, Steve Jobs ne montera pas sur scène pour présenter les nouveautés d'Apple à l'occasion de la prochaine édition de Macworld Expo (du 5 au 9 janvier à San Francisco). Et l'année 2009 marquera la dernière apparition d'Apple sur ce salon, pourtant dédié à ses produits depuis 25 ans. Officiellement, cette décision, qui suit des mouvements similaires à l'Apple Expo de Paris et aux événements Macworld de New York et Tokyo, est justifiée par la part toujours décroissante des salons dans la stratégie marketing de la marque à la pomme. Les 3,5 millions de visites hebdomadaires sur l'iTunes Store, le succès de l'App Store et les innombrables connexions sur le site Web Apple paraissent désormais suffisants pour attirer l'attention sur les nouveautés du groupe. Plus encore que cette absence programmée pour 2010, c'est celle de Steve Jobs, le patron du groupe, lors de la prochaine édition, qui inquiète les analystes. Depuis l'annonce de son cancer en 2004, les rumeurs sur l'état de santé du co-fondateur d'Apple font fluctuer le cours de l'action de la société. Et si sa présence sur scène pour le lancement des derniers Macbook avait quelque peu rassuré les actionnaires, Apple semble bien décidé à prouver qu'il peut vivre sans son leader charismatique. Ainsi, c'est Philip Schiller, vice-président en charge du marketing, qui animera la traditionnelle conférence à la place de Steve Jobs. Pour Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Researche, « Apple veut montrer sa direction, qu'il ne repose pas sur le seul Steve Jobs, que la santé et la prospérité d'Apple et de son patron sont pas liées. » (...)

(17/12/2008 16:37:38)

Bouygues Telecom se fait incubateur de jeunes pousses

Bouygues Telecom veut accompagner les start-up dans leur développement et piocher, au passage, dans les bonnes idées concoctées par ces dernières. Pour cela, l'opérateur vient de lancer Bouygues Telecom Initiatives, un incubateur de jeunes pousses spécialisées dans les services de télécommunication. Sur le site mis en ligne pour présenter ce projet, Bouygues Telecom permet aux start-up de déposer leur dossier de candidature. Cinq à six entreprises seront retenues annuellement pour bénéficier du soutien de l'opérateur. Celui-ci signera un contrat le liant aux lauréats pendant 12 à 24 mois, une période au cours de laquelle les sociétés sélectionnées profiteront des moyens de Bouygues Telecom en matière de logistique, de plateformes de test, d'expertise juridique, financière ou marketing, etc. Les entreprises seront en outre hébergées dans les locaux de Bouygues Telecom. Pour l'heure, deux projets ont déjà été retenus, qui seront présentés dans les prochaines semaines. Bouygues Telecom, qui justifie son initiative par sa « volonté de se différencier par des services innovants et de s'appuyer sur la dynamique de créativité de start-up », prévoit également la constitution d'un fonds d'investissement. L'opérateur pourra ainsi prendre une participation dans le capital des entreprises qu'il épaule, une somme qui oscillera entre 100 000 € et 1 M€. (...)

(17/12/2008 16:28:50)

Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME

Viadeo, site français de mise en relation entre professionnels, vient d'ouvrir un espace dédié aux PME. Elles disposent ainsi d'une page personnalisable - une sorte de mini-blog dans le site - où elles peuvent décrire leur profil (adresse, métier, équipe dirigeante, forum...). « Jusqu'à présent, nous aidions nos membres à recruter le bon profil ou à trouver un emploi, explique Vanessa Raguin, ingénieur d'affaires chez Viadeo. Aujourd'hui nous allons plus loin dans notre offre de services. Nous leur proposons d'accroître leur visibilité sur notre site, non seulement vis-à-vis de potentiels futurs collaborateurs, mais également de fournisseurs, de partenaires financiers ou encore de clients. » Le nouveau service de Viadeo se décline sous forme de packs, comportant chacun un accès à l'Espace entreprise et un abonnement Premium pendant douze mois. Le premier pack (2000 € pour un an, avec une offre promotionnelle de 1490 € pour tout abonnement souscrit avant la fin de l'année) propose également l'envoi de messages ciblés à 1000 contacts sélectionnés par le moteur de recherche de Viadeo. Pour la deuxième offre (3000 € l'année et une promotion de 1890 € avant le 31 décembre) le nombre de contacts ciblés passe à 2000 et l'entreprise dispose - au choix - d'une place dans la rubrique « Ils recrutent » pendant 15 jours ou d'une annonce de recrutement accompagnée de 100 mails de push. Pour le moment ce service n'est disponible que pour les PME de province. En fonction de l'intérêt qu'il suscitera, Viadeo pourrait l'étendre dans les mois qui viennent à l'Ile-de-France. Le site compte actuellement cinq millions de membres, dont deux millions en France. Son principal concurrent est LinkedIn, qui vient d'ouvrir sa version française. (...)

(17/12/2008 15:07:36)

ITS Group recrute 270 informaticiens et encourage le reclassement des chômeurs

La société de conseil et de services informatiques ITS Group accélère sa politique d'embauche amorcée en 2008 (200 collaborateurs supplémentaires) en annonçant vouloir recruter 270 informaticiens en 2009. Les profils recherchés sont des chefs de projet techniques, des ingénieurs systèmes Unix et Microsoft, des ingénieurs de production confirmés, ainsi que des développeurs sur MySQL, .Net, Java et PHP. Un candidat sur six devrait être un junior (la SSII travaille étroitement avec des écoles comme l'Epitech ou encore l'ETNA - école des technologies numériques appliquées). Le pourcentage restant concernera des profils expérimentés et des séniors. ITS Group renouvelle sa contribution au reclassement de chômeurs La SSII a lancé en avril dernier un programme de reclassement destinées aux personnes en recherche d' emploi. Les candidats ayant répondu présents avaient des parcours très divers (chimistes, mathématiciens, biologistes, physiciens...), ITS Group s'est donc engagé à les former aux métiers de l'informatique. Devant le succès de l'opération (actuellement huit personnes sont en formation, cinq scientifiques et trois diplômés des sciences humaines), la SSII a décidé de réitérer l'expérience en 2009. ITS Group a réalisé un chiffre d'affaires de 50,3 M€ en 2007 (en hausse de 41%) et espère franchir le cap des 100 M€ d'ici à 2011. La société emploie actuellement 630 personnes en France dans cinq agences (Paris, Nantes, Lyon, Lille et Laval). (...)

(17/12/2008 14:59:25)

Adobe a dépassé en 2008 les 3,5 milliards de dollars

Sixième année consécutive de croissance à deux chiffres pour Adobe. L'éditeur a clos son année fiscale 2008 en dépassant les 3,5 Md$, contre 3,16 Md$ en 2007. La crise économique frappe finalement assez peu Adobe, qui avait pris la précaution d'avertir la Bourse que son quatrième trimestre fiscal serait juste un peu moins bon que prévu. Il est au final de 915,3 M$, soit dans le haut de la fourchette annoncée au début du mois, et assorti d'un bénéfice net de 246 M$ et d'une marge opérationnelle de 29,8%. L'avertissement s'était néanmoins accompagné du cynico-classique plan de suppression d'emplois (600 postes dans le monde, soit 8% des effectifs) à même de rasséréner les investisseurs. La croissance du chiffre d'affaires de l'éditeur est continue dans tous les domaines où Adobe est présent (cf. le tableau ci-dessous). La branche « Creative solutions », qui regroupe les outils de création multimédia, comme Premiere, Photoshop, Flash Professional ou Illustrator, représente ainsi 58% du chiffre d'affaires total, contre 60% en 2007 et 56% en 2006. La branche « Business productivity », qui regroupe les lignes « Knowledge worker » (gamme Acrobat) et « Enterprise » (gamme Livecycle), compte pour 30% du CA total, contre 29% en 2007 et 32% en 2006. Seuls les produits liés aux mobiles ont connu une progression certaine, et représentent désormais 3% du CA. Mais cela pourrait bientôt s'arrêter, Adobe préférant désormais que les opérateurs mobiles et fabricants de terminaux incorporent gratuitement sa technologie (initiative Open Screen). Le but étant de pouvoir revendiquer la plus large base installée d'appareils capables d'interagir avec du contenu Flash, qu'il s'agisse de PC ou de tout autre terminal ou smartphone connecté à Internet. (...)

(16/12/2008 17:16:22)

Toshiba et Sandisk réduisent d'un tiers leur production de mémoire flash

Conséquence de l'effondrement de l'activité des fabricants de mémoire, Toshiba et Sandisk s'apprêtent à réduire le volume de leur production. Toshiba prévoit de réduire de 30% la quantité de puces mémoire flash dès le mois de janvier dans son centre industriel de Yokkaichi, au Japon. « La récession économique globale et le ralentissement des dépenses dans la sphère grand public ont un effet significatif sur la demande en semiconducteurs, explique Toshiba. Cela est particulièrement remarquable en ce qui concerne la mémoire flash Nand où l'infléchissement de la demande de cartes mémoire et de lecteurs MP3 a engendré des stocks excessifs. » La durée pendant laquelle persistera cette moindre production reste incertaine, mais devrait, en toute probabilité, s'étaler au-delà du mois de janvier. Avant cette réduction drastique de la production, les deux lignes de fabrication les plus modernes du Japonais à Yakkaichi seront mises à l'arrêt pendant les fêtes de fin d'année. Conçues pour produire des puces mémoires à partir de galettes de 300 mm, elles cesseront de fonctionner pendant treize jours. Deux autres, utilisant des galettes de 200 mm, connaîtront quatre jours de repos forcé. Sandisk, qui fabrique ses mémoires dans les mêmes usines que Toshiba - les deux entreprises sont partenaires -, connaîtra le même ralentissement de sa production. Selon la SIA (Semiconductor industry association), la valeur des ventes de mémoire flash a reculé de 41% en octobre. Dans le même temps, les quantités produites ont progressé de 123%. Conséquence inévitable de cette surproduction, les prix se sont effondrés. La décision de Toshiba de réduire sa production semble logique - en raréfiant l'offre, les prix devraient remonter - mais son efficacité risque de se heurter à une demande extrêmement faible conjuguée à des stocks qu'il faut encore écouler. (...)

(16/12/2008 16:14:31)

Hitachi met des disques SSD dans ses baies de stockage

Après Sun, EMC et HP, Hitachi Data System (HDS) annonce à son tour qu'il mettra des disques SSD dans ses baies de stockage haut de gamme. Les baies en questions seront celles des séries Platform V et VM. Elles recevront des SSD de 73 Go ou de 146 Go. Aucun prix n'a encore été annoncé, et le fabricant des SSD n'a pas été nommé. Les analystes du secteur estiment cependant que Hitachi devrait s'approvisionner chez Intel, en attendant l'apparition des premiers SSD issus de sa collaboration avec ce même Intel. Pour Roberto Basilio, vice président des produits d'administration des plateformes de stockage chez HDS, cette décision se justifie par les gains de rapidité qu'apporte la technologie SDD. « Une baie de SSD - disons huit disques - peut vous donner jusqu'à 40 000 IOPS. Pour faire la même chose avec des disques en Fiber Channel, il faudrait réunir des centaines de disques », explique-t-il. Si pour l'instant, cette option SSD ne concerne que le haut de gamme, Roberto Basilio pense l'étendre prochainement au milieu de gamme. (...)

(16/12/2008 14:47:46)

SGI supprime 15% de ses effectifs pour mieux résister à la crise

Silicon Graphics (SGI) subit à son tour les effets de la crise économique. Jeudi dernier, 11 décembre, le constructeur a annoncé qu'il prévoyait de supprimer 225 emplois dans le monde, soit 15% de ses effectifs. SGI a précisé que des coupes seraient effectuées dans différentes fonctions de haut niveau, sans pour autant entrer dans le détail des postes concernés. « L'impact de la crise des crédits et une économie mondiale fragilisée contraignent le groupe, ses clients et également ses concurrents à réduire le niveau des dépenses », a justifié Robert Ewald, PDG de la société, dans un communiqué. Il a ajouté que « les décisions difficiles d'aujourd'hui nous aideront à conserver de l'élan et un modèle économique plus fort et durable ». Pour aller de l'avant, la société entend maintenir l'accent sur la fourniture de solutions qui répondent à l'évolution des besoins de ses clients. Outre l'adaptation de ses prévisions d'investissements à la réalité du marché et la réduction de ses coûts opérationnels, SGI compte également renforcer la couverture de ses services à l'international, en nouant des partenariats, comme il l'a déjà fait au Japon et en Corée. Enfin, le constructeur continuera d'investir dans des technologies clés, notamment dans sa prochaine gamme de serveurs ainsi que ses outils de visualisation. (...)

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