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(19/12/2008 09:26:32)

Le Brésilien Positivo ne veut pas être racheté par Lenovo, mais veut bien d'une alliance

Lenovo n'achètera pas le fabricant de PC brésilien Positivo. Du moins, pas tout de suite. Le constructeur chinois, 4e fournisseur mondial, avait fait une offre pour acquérir la majorité du capital de Positivo Informatica, mais les deux entreprises ont finalement expliqué qu'étant donné le contexte incertain, les négociations s'arrêtaient là. Visiblement, la somme offerte par Lenovo n'était pas suffisante aux yeux de Positivo, et le Chinois n'a pas souhaité surenchérir. Pour IDC, il est probable que les actionnaires n'aient pas souhaité vendre, alors que l'action est au plus bas : Positivo a perdu plus de 80% de sa valeur boursière en un an, et même avec la hausse liée aux spéculations sur un éventuel rachat, sa capitalisation est restée sous la barre du milliard de reals (moins de 280 M€). En revanche, le constructeur brésilien s'est dit ouvert à des propositions de partenariat, et Lenovo a déclaré en examiner l'opportunité. D'après la presse brésilienne, Positivo serait aussi considéré comme une cible potentielle par Dell. Confrontés à des marges qui diminuent de façon drastique sur les PC, les fabricants cherchent en effet à étendre leur volume d'affaires. Lenovo - dont le rapport annuel 2007/2008 fait apparaître une réserve nette en cash de 1,6 Md$ - serait ainsi en pourparlers avec Fujitsu-Siemens : il semblerait que Fujitsu, désormais seul capitaine à bord, cherche à se désengager du marché des PC. (...)

(18/12/2008 15:04:24)

VMware se dote d'un nouveau patron Europe

Maurizio Carli arrive à la tête de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) de VMware en tant que directeur général. Ses responsabilités semblent plus importantes que celles qu'avait Mark Stradling, qui a quitté ce poste à la fin de l'été. Selon VMware, il aurait en charge les ventes, la distribution, les services et le marketing. Maurizio Carli, qui a fait un passage éclair de quelques mois chez Google au poste d'Enterprise managing Director EMEA, a travaillé auparavant deux ans chez IBM et cinq ans chez Business Objects. La nomination de Maurizio Carli s'inscrit dans le projet de Paul Maritz, PDG de VMware, de donner plus d'autonomie aux activités internationales de sa société. Au dernier trimestre, l'international, essentiellement constitué de l'activité en Europe, a généré 47% du CA total (472 M$, +32%). Le CA de 224 M$ réalisé à l'international est en hausse de 42%, presque deux fois la croissance de celui en provenance des Etats-Unis (+24%). Premier acteur sur un marché en hausse de 53% par an au niveau mondial, VMware doit internationaliser sa structure encore très centrée sur les Etats-Unis. L'obligation d'appliquer un modèle économique américain aux réalités européennes, l'étroite dépendance des décisions prises depuis le siège social -y compris au niveau juridique- une facturation exclusivement en dollars, tels sont les thèmes de réforme que devra engager Maurizio Carli. (...)

(18/12/2008 14:52:18)

Le responsable de Live Search de Microsoft fait ses valises

Brad Goldberg, responsable des activités de recherche en ligne de Microsoft, quitte son poste. Sur son blog, il précise qu'il rejoint la société de capital-risque Peak6. Ce départ intervient quelques jours après l'annonce de la nomination de Qi Lu en tant que directeur de la division Services en ligne de Microsoft. Qi Lu était auparavant vice-président chargé des technologies de recherche et de publicité en ligne chez Yahoo. Brad Goldberg est à l'origine de l'initiative Search Cashback de Microsoft, un système qui permet d'attribuer des promotions aux internautes qui auraient trouvé et acheté un produit via Live Search. Microsoft n'est pas parvenu à trouver un accord avec Yahoo pour tenter de contrer l'hégémonique Google sur le marché de la recherche en ligne (65 % des parts de marché pour Google, contre 9% à peine pour le géant de Redmond). En attendant une alliance qui pourrait finalement aboutir, selon les propos de Steve Ballmer, Microsoft ne lâche pas le morceau pour redynamiser un pôle qui lui apporte peu de revenus et n'hésite pas à débaucher chez Yahoo, qui détient 20% des parts de marché. Avant Qi Lu, c'est en effet Sean Sutcher, vice-président des technologies de recherche de Yahoo depuis 2003, qui est passé chez Microsoft. (...)

(17/12/2008 17:55:15)

France Télécom refuse de payer les RTT de ses salariés

France Télécom refuse de payer à ses salariés leurs jours de RTT (réduction du temps de travail) non pris, comme le permet pourtant la loi du 8 février 2008 sur le pouvoir d'achat. Et comme l'opérateur l'avait fait l'année dernière. Dans un courrier adressé le 24 novembre dernier au syndicat CFE-CGC, la direction des affaires sociales de France Télécom a en effet indiqué « qu'il ne lui semblait pas opportun de monétiser les jours de RTT de ses salariés, d'autant plus que les résultats obtenus par l'entreprise en 2007 avaient permis une augmentation de 25% de la participation et de l'intéressement. » Le responsable des affaires sociales insiste d'ailleurs dans ce courrier sur le caractère tout à fait « exceptionnel » du paiement des RTT l'année précédente. Des RTT impossibles à poser, selon la CFE-CGC Pour la CFE-CGC, cette décision devrait permettre à l'opérateur d'améliorer ses résultats financiers en évitant le report de trop nombreux congés non pris qui seraient provisionnés en charge. «En décidant de ne pas assurer le paiement des jours de RTT, France Télécom veut faire des économies, considère Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC pour France Télécom Orange. Entre 20 000 et 25 000 salariés de France Télécom souhaitent monétiser chacun un peu plus d'une dizaine de jours de RTT cette année, ce qui revient à environ 2 500 € par personne. » La décision est d'autant plus regrettable aux yeux des syndicats, que « les congés sont souvent refusés pour des raisons de gestion de service (présence programmée obligatoire, par exemple dans les centres d'appels). » En l'absence de réponse de la direction sur l'ouverture de négociations, la CFE-CGC et l'Unsa ont décidé d'alerter les pouvoirs publics. Dans un courrier adressé début décembre au président de la République, ils sollicitent son intervention pour que sa politique du « travailler plus pour gagner plus » soit appliquée au sein d'une entreprise dont l'Etat reste le premier actionnaire. Ils mentionnent le décret du 3 septembre 2008 qui autorise les entreprises dont l'Etat est actionnaire et dont la durée de travail relève d'un régime spécifique à appliquer la loi en faveur du pouvoir d'achat. Son cabinet a aussitôt répondu que la question relevait de la compétence du secrétariat d'Etat à la Fonction publique, André Santini, et du président de France Télécom, Didier Lombard, et qu'il ne manquera pas de le leur signaler. (...)

(17/12/2008 17:39:29)

L'iPhone n'est plus une exclusivité d'Orange

Saisi en septembre 2008 par Bouygues Telecom au sujet du monopole d'Orange sur l'iPhone, le Conseil de la concurrence a décidé de suspendre à titre conservatoire l'accord d'exclusivité entre Apple et Orange. « L'injonction prononcée vise à ce que les produits iPhone ne soient plus exclusivement commercialisés par Orange mais puissent l'être par tout autre opérateur souhaitant bâtir une offre avec ce terminal », précise la juridiction. Cette décision a été motivée par l'examen de plus de 200 points (voir le document intégral en pdf). Le Conseil de la concurrence résume sa position en indiquant que « l'exclusivité d'Orange sur l'iPhone est de nature à introduire un nouveau facteur de rigidité dans un secteur qui souffre déjà d'un déficit de concurrence ». Soulignant le développement d'offres associant téléphonie mobile et Internet illimité, l'Institution estime par ailleurs que la durée du contrat liant Apple et Orange porte sur une très longue période (5 ans) et que les moyens d'accès à un iPhone nu sont réduits. Le Conseil a même souligné que les accords d'exclusivité similaires passés entre SFR et d'autres constructeurs (Rim et HTC) n'amoindrissent pas la faute d'Orange. Quel que soit l'opérateur impliqué, ce type de pratique reste donc nuisible aux consommateurs. Orange interjette appel [[page]] Logiquement, Orange a interjeté appel de cette décision mais celle-ci reste néanmoins applicable. Bouygues Telecom, comme les autres opérateurs, peut donc, dès ce mercredi 17 décembre, proposer l'iPhone dans ses points de vente. Mais, cette autorisation de principe n'est pas, en l'état, applicable. « Cela va prendre du temps, il faut contacter Apple et négocier avec eux », nous a précisé Bouygues Telecom avant d'ajouter que « ce ne sera certainement pas pour Noël ». Toutefois, la disponibilité du terminal chez tous les opérateurs ne devrait pas traîner. Ces derniers disposent déjà de forfaits adaptés à l'iPhone (les abonnements comprenant l'Internet illimité) et la société de Cupertino ne semble pas s'orienter vers une résistance acharnée. « Les droits spéciaux accordés à certains opérateurs, dont celui liant Orange à Apple pour l'iPhone en France, sont donc résiduels mais ne correspondent pas à un modèle absolu et nécessaire pour Apple, qui bien au contraire, désire ne plus en accorder de nouveaux dans la configuration actuelle », a ainsi expliqué Apple au Conseil de la concurrence. Depuis plusieurs mois l'appareil est accessible hors du réseau Orange en passant par le Cybermarchand PhoneandPhone. SFR et Bouygues proposent également à leurs clients de leur rembourser une partie du prix de l'iPhone acheté chez Orange. (...)

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