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(24/12/2008 15:29:43)

Unisys supprime 1 300 emplois dans le monde

Les réductions d'effectifs deviennent monnaie courante dans le secteur de la high-tech. Dernier contributeur à la longue liste des plans de suppressions d'emplois, le fournisseur de services informatiques Unisys. L'américain vient en effet d'annoncer qu'il supprimait 1 300 de postes au niveau mondial, dans le cadre d'une politique agressive de réductions descoûts et de retour à la rentabilité. Gel des salaires et arrêt des contributions aux plans de retraite Les réductions ont déjà commencé et elles se poursuivront en 2009, a précisé la direction d'Unisys, lundi dernier, dans une déclaration. Pour économiser environ 225 M$ par an, le groupe a également prévu de geler les salaires de ses collaborateurs sur l'ensemble de l'année 2009. La contribution de l'entreprise aux plans de retraite sera également arrêtée. La plupart des employés qui ne seront pas touchés par des réductions de postes ne percevront pas d'augmentation de salaires avant un bon moment. Au cours du troisième trimestre 2008, Unisys avait affiché une perte nette de 34,7 M$, encore plus importante que les 31 M$ de déficits réalisés sur la même période l'année précédente. (...)

(24/12/2008 14:09:34)

Bilan 2008 : le feuilleton de l'OPA de Microsoft sur Yahoo

Tout commence en janvier dernier, lorsque Microsoft lance une offre d'achat sur Yahoo. Le montant proposé est alléchant : 44,6 Md$ pour l'ensemble de la société. Pourtant, Jerry Yang, PDG de Yahoo, refuse. Pour lui, la proposition sous-évalue le potentiel de la société. Mais plusieurs actionnaires de la société ne sont pas du même avis : d'une part, la somme proposée par Microsoft leur semble plus qu'honnête, d'autre part, ils reprochent à Jerry Yang de faire passer ses ressentiments vis à vis de Microsoft avant les intérêts de l'entreprise. Microsoft pose un ultimatum S'engage alors un véritable jeu du chat et de la souris. Tout y passe : Microsoft courtise Yahoo, qui joue les effarouchées et cherche refuge auprès d'AOL et de Google. Face à de telles réticences, Microsoft finit par poser un ultimatum. Jerry Yang joue alors toutes les cartes dont il dispose. Il tente ainsi de convaincre ses actionnaires de la pertinence de sa stratégie et prédit le pire à ses employés en cas de succès de l'OPA de Microsoft. En avril, Yahoo crie victoire : Google, le géant du Net, ennemi juré de Microsoft, le prend sous son aile en lui proposant un contrat autour de la publicité en ligne sur son moteur de recherche. Contrat sensé apporter à Yahoo un revenu de 800 M$ par an. Une chance pour l'éditeur car début mai, l'ultimatum de Microsoft qui avait augmenté son offre à 33$ par action, valorisant la société à plus de 50 Md$, expire sans qu'un accord ait pu être trouvé. En novembre, l'accord entre Yahoo et Google tombre à l'eau Mi-novembre, blâmé d'avoir refusé une telle proposition, Jerry Yang est discrètement poussé vers la sortie. Il abandonne son poste de PDG mais reste officiellement au sein du conseil d'administration de Yahoo. L'action s'écroule sous les 10$. Début décembre, patatras. Sous la pression du département américain de la justice (DoJ), Google laisse tomber Yahoo. Penaud, Jerry Yang se tourne à nouveau vers Microsoft, le suppliant de revenir sur sa décision. En toute logique, Steve Ballmer répond par le dédain : Microsoft n'est plus intéressé et peut même poursuivre son chemin seul dans le monde des moteurs de recherche en ligne. Mais le géant de Redmond pèse bien peu sur ce secteur (9%) face au mastodonte Google (65 %). Un rapprochement avec Yahoo (20%) semble donc inéluctable. Reste à savoir quand. A lire sur le sujet : Le 8 décembre : Steve Ballmer à propos d'un accord avec Yahoo : « le plus tôt sera le mieux » Le 5 décembre : L'accord Google/Yahoo abandonné juste avant que la justice américaine ne s'y attaque Le 18 novembre : Après une gestion désastreuse de Yahoo, Jerry Yang quitte son poste de PDG Le 7 novembre : Microsoft reste de marbre face aux supplications de Jerry Yang Le 6 novembre : Yahoo à Microsoft : « au secours, revenez nous rachetez ! » Le 22 octobre : Trimestriels Yahoo : hémorragie du bénéfice et des effectifs Le 7 juillet : Microsoft trépigne d'impatience à l'approche de l'AG de Yahoo Le 13 juin : Yahoo abandonne définitivement Microsoft pour Google Le 16 mai : Carl Icahn veut renouveler le conseil d'administration de Yahoo Le 14 mai : Microsoft/Yahoo : un épilogue en forme de proxy fight Le 6 mai : Sous pression, Jerry Yang joue une dernière carte Le 5 mai : Microsoft retire son offre sur Yahoo Le 28 avril : Yahoo/Microsoft : l'accord expire sans accord trouvé Le 24 avril : Microsoft / Yahoo : Steve Ballmer soigne son bluff Le 18 avril : Yahoo et Google prolongent leur accord Le 10 avril : Microsoft et Yahoo multiplient les alliances chacun de leur côté Le 6 mars : Yahoo est décidé à dégoûter Microsoft Le 20 février : Microsoft se tourne vers les actionnaires de Yahoo Le 11 février : Yahoo pourrait se retourner vers AOL pour esquiver Microsoft Le 11 février : Yahoo rejette officiellement l'offre de rachat de Microsoft Le 7 février Yahoo traîne des pieds devant l'offre de rachat de Microsoft Le 4 février : OPA sur Yahoo : Google s'inquiète, Microsoft le rassure Le 1er février : Microsoft veut racheter Yahoo pour 44,6 Md$ (...)

(24/12/2008 12:43:15)

HP EDS : les syndicats appellent à une grève européenne début janvier

Les syndicats du nouvel ensemble HP/EDS ont décidé d'organiser une nouvelle journée d'action à l'échelle européenne au début du mois de janvier 2009. Les fédérations Uni-Europa et FEM comptent sur ce mouvement pour obtenir un véritable processus d'information et de consultation qui permettrait d'aboutir à une solution acceptable pour l'ensemble des salariés. Les salariés du nouvel ensemble HP/EDS sont extrêmement inquiets pour leur avenir depuis que la groupe a annoncé la suppression de près de 10 000 emplois, dont 90% côté EDS. Pourtant, la direction refuse toujours de communiquer les chiffres précis concernant les futurs licenciements et la manière dont sera mis en application le plan de restructuration dans chaque pays, En outre, le constructeur aurait annoncé que ce processus, qui devait se dérouler sur une période de deux ans, serait raccourci à trois mois, soulevant l'indignation des fédérations syndicales. (...)

(24/12/2008 12:32:54)

Citigroup revend son activité informatique indienne à Wipro

L'américain Citigroup se sépare de sa filiale indienne de développement logiciel et d'outsourcing d'infrastructure, Citi Technology Services. Il la revend à Wipro, numéro trois du service informatique en Inde pour 127 M$. L'opération s'assortit d'un contrat spécifique dans le cadre duquel Wipro s'engage à fournir à Citigroup des services de maintenance, de développement d'applications et de gestion d'infrastructures durant six ans. Cet accord devrait se monter au moins à 500 M$. Nombre d'entreprises américaines, en particulier dans le monde de la finance, préfèrent disposer de leurs propres centres offshore en Inde ou ailleurs, plutôt que de faire appel à des prestataires externes. En effet, Citigroup n'utilisait pas sa filiale uniquement pour le développement logiciel et le support technique, mais aussi pour la gestion d'infrastructures à distance (réseaux, postes de travail, serveurs, mais aussi bases de données). L'entreprise a « démontré que l'outsourcing d'infrastructure était réalisable en offshore, explique Soumitro Ghosh, vice-président senior des solutions de finance chez Wipro. Ce que nous voulons, c'est faire monter cette activité en puissance, pas seulement pour Citigroup, mais aussi pour d'autres clients. » Citigroup s'était déjà délesté en octobre de sa filiale indienne de BPO Installé depuis 2005 à Bombay et Chennai, Citi Technology Services, compte environ 2 000 employés, tous formés aux processus et aux technologies de Citigroup. La transaction devrait être finalisée avant la fin du premier trimestre 2009. En octobre, le géant de la finance avait déjà vendu à Tata Consultancy Services (TCS) ses intérêts dans Citigroup Global Services, son activité indienne de business process outsourcing (BPO), pour environ 505 M$. Là-encore, TCS s'est engagé à fournir des services de BPO à Citigroup dans le cadre d'un contrat de neuf ans et demi d'un montant de 2,5 Md$. A noter que Citigroup a annoncé le mois dernier la suppression de 52 000 postes.. (...)

(23/12/2008 16:28:00)

Bilan 2008 : SAP augmente ses tarifs de maintenance, ses utilisateurs se rebellent

Au premier trimestre 2008, l'éditeur allemand SAP, numéro un mondial des ERP (progiciels de gestion intégrés), propose à ses nouveaux clients un contrat de maintenance aux fonctions étendues. Jusque-là, ceux-ci pouvaient opter pour un support de base, dit « Basic », facturé annuellement 17% du prix de la licence payée, ou bien choisir le contrat « Premium » à 22% pour bénéficier d'un service plus avancé. Or, à partir d'avril 2008, le contrat Enterprise à 22% devient le seul support possible pour les nouveaux clients : une formule accessible 24h/24 et 7j/7, incluant des engagements sur les temps de réponse. L'éditeur explique que les nouvelles applications composites qui intègrent des solutions SAP et non SAP nécessitent un support avancé. Pourtant, certains analystes font remarquer que tous les clients n'auront pas besoin d'un tel niveau de service et qu'ils risquent de trouver la note un peu salée. Sur les forums, les réactions fusent. En mai, sur sa conférence Sapphire de Berlin, l'éditeur allemand réaffirme pourtant l'intérêt de sa démarche. Le contrat Enterprise aurait déjà convaincu 200 clients. SAP veut faire passer tous ses utilisateurs au contrat à 22% En juillet, l'éditeur va encore plus loin. Il annonce soudainement qu'il invitera finalement l'ensemble de ses clients à basculer sur le support à 22% dès le 1er janvier 2009. A la grande stupeur de la majorité des clubs utilisateurs. Même s'il est prévu que le passage du contrat à 17% au contrat étendu soit progressif, beaucoup d'entreprises sont certaines qu'elles n'auront pas l'utilité d'un tel niveau de support. Pour preuve, elles estiment déjà ne pas utiliser pleinement le contrat Basic. Assez rapidement, les clubs utilisateurs se mettent en ordre de marche pour parler d'une seule voix à SAP et tenter de le faire revenir sur sa décision. En novembre, l'éditeur accepte d'envisager un allongement du support sur ERP 6.0 et de mettre en place une mesure de satisfaction des utilisateurs. Cela ne suffira pas aux utilisateurs allemands qui, en raison d'une législation particulière, ont vu leur contrat brusquement interrompu. Face à leur grogne qui s'amplifie, SAP lâche du lest et leur accorde un sursis d'un an. Cet arrangement préfigure-t-il d'autres assouplissements en 2009 ? A lire sur ce sujet : - Le 11 décembre : Les clients allemands de SAP obtiennent un sursis sur les tarifs de la maintenance - Le 27 novembre : Le club américain des utilisateurs SAP se sépare de son président - Le 12 novembre : Guerre de la maintenance SAP : les utilisateurs se rangent derrière leur éditeur - Le 07 novembre : Les utilisateurs de SAP obtiennent un geste sur la maintenance - Le 16 octobre : Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée - Le 13 octobre : Hausse de la maintenance SAP : Forrester suggère des parades - Le 10 octobre : Entretien avec Jean Leroux, président de l'USF, club des utilisateurs SAP francophones - Le 30 septembre : Les clubs d'utilisateurs de SAP sondent les clients sur le contrat Enterprise Support - Le 14 août : Hausse des tarifs SAP : les clubs utilisateurs en ordre dispersé - Le 22 juillet : Interview de Jean Leroux, président de l'USF, club des utilisateurs SAP francophones - Le 21 juillet : Les utilisateurs de SAP déçus mais attentifs à la valeur - Le 16 juillet : Tous les clients de SAP paieront la maintenance au prix fort - Le 28 mai : SAP affirme le succès de sa maintenance facturée 22% du prix des licences - Le 13 mars : Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP (...)

(19/12/2008 16:14:12)

Le statut de l'auto-entrepreneur prêt pour démarrer le 1er janvier

C'est dans le grand amphithéâtre de l'Université Paris Dauphine qu'Hervé Novelli, secrétaire d'état aux PME, a présenté hier, jeudi 18 décembre, le très attendu statut d'auto-entrepreneur. Celui-ci permettra à tout un chacun (à partir de 18 ans), étudiant, chômeur, salarié, fonctionnaire ou retraité, de lancer une activité professionnelle en s'inscrivant en ligne à partir du 1er janvier prochain. L'un des grands atouts du statut, c'est qu'aucun prélèvement social ni fiscal n'est effectué tant qu'il n'y a pas de chiffre d'affaires. Celui-ci sera déclaré chaque mois ou chaque trimestre et c'est sur son montant que seront alors calculées les charges sociales et fiscales, dans un prélèvement fusionné et forfaitaire : 13% pour les activités d'achat et de revente (sur un chiffre d'affaires annuel qui doit être inférieur à 80 000 €) et 23% pour les activités de service (sur un CA annuel inférieur à 32 000 €). Parmi les activités libérales concernées par ce statut figurent, notamment, le conseil en informatique et en organisation, les informaticiens et les formateurs. Un prélèvement groupé et libératoire « Nous avons été un peu dépassés par le succès », a reconnu Hervé Novelli devant quelques 300 auditeurs, en expliquant que le site de l'auto-entrepreneur, ouvert le 17 novembre, avait déjà enregistré plus de 24 000 pré-inscriptions. Le secrétaire d'Etat n'hésite pas à qualifier le nouveau statut de révolutionnaire tant par le mode d'enregistrement de l'activité que par la mise en place d'un prélèvement libératoire pour les charges et taxes. « Il s'agit d'un régime ultra-simple pour démarrer une activité, ouvert à tous et puissamment démocratique », a-t-il affirmé avant de prendre les questions des candidats à l'auto-entreprise réunis dans l'amphithéâtre. Aux côtés d'Hervé Novelli, se tenaient François Hurel, auteur du rapport remis en septembre 2007 pour une meilleure reconnaissance du travail indépendant -première étape du parcours qui a mené au statut, Jean-Claude Volot, président du conseil de l'APCE (agence pour la création d'entreprises) et Maria Novak, présidente de l'Adie (association pour le droit à l'initiative économique) ; chacun d'entre eux ayant défendu avec conviction la nécessité de simplifier enfin et au plus vite le processus de création d'entreprise en France. « Toutes les questions complémentaires peuvent être adressées à l'APCE », a proposé Jean-Claude Volot. La mise en place du statut ayant été menée très rapidement, certains points sont encore imprécis. On ne sait pas encore avec certitude, par exemple, si le dispositif permet un cumul avec l'Acre (aide à la création ou la reprise d'entreprise). « Le statut peut intéresser deux types de consultants », selon le CICF La possibilité de créer une auto-entreprise étant ouverte aux salariés, le cumul d'activité s'envisage donc facilement. Les risques d'usages abusifs du statut ont également été évoqués hier. Ils sont divers. « Il ne s'agit pas d'exercer une activité sans en avoir les compétences, a évoqué avec évidence François Hurel, ni de proposer ses services aux clients de son employeur ». Un kit de l'auto-entrepreneur a été édité. Il comprend, outre un guide récapitulatif, des modèles de facture et un livre chronologique des recettes complété d'un registre des achats, pour tenir une comptabilité allégée. Les formulaires de déclaration doivent être mis à disposition à partir du 1er janvier 2009 sur le site. Interrogé sur le nouveau statut, Jean-Claude Tremintin, président de CICF-Management et administrateur de la CICF (chambre de l'ingénierie et du conseil de France), reconnaît que ce nouveau dispositif « facilite de manière générale l'exercice d'une activité indépendante, en complément de son activité première ». Il souligne toutefois que cette situation existait déjà, à condition que le chiffre d'affaires réalisé ne dépasse pas 10 000 à 12 000 euros Pour Jean-Claude Tremintin, le nouveau statut peut intéresser deux types de consultants, d'une part « les personnes déjà salariées qui souhaitent s'adjoindre une activité partielle de conseil », et d'autre part « les retraités qui veulent utiliser leurs compétences à temps partiel ». Le président de CICF-Management note par ailleurs que, « pour la profession, ce n'est que l'expression légalisée d'une concurrence déjà existante, soit par le biais du portage salarial », soit en recourant aux dispositions déjà prévues. Par ailleurs, tout en reconnaissant pour les personnes concernées l'intérêt de pouvoir exercer totalement légalement, il juge tout de même que « ces personnes ne s'impliqueront jamais comme de véritables entrepreneurs dans notre profession en maintenant ce statut ». Sur l'évolution de l'activité, le guide de l'auto-entrepreneur évoque effectivement une « sortie en douceur du régime de la micro-entreprise, en particulier si le chiffre d'affaires augmente. (...)

(19/12/2008 15:24:15)

Sun conduit le projet Aegis pour l'accessibilité des handicapés aux contenus numériques

Sun vient d'annoncer être officiellement à la tête du consortium Aegis, un projet soutenu par l'Union européenne destiné à améliorer l'accessibilité des personnes handicapées aux contenus numériques. Sun - et plus exactement Peter Korn, « accessibility architect » chez Sun et directeur technique du projet Aegis - se retrouve ainsi diriger un effort auquel contribuent une vingtaine d'entreprises en Europe et au Canada. En fait, Peter Korn avait déjà annoncé la chose il y a deux mois sur son blog. Et notamment le fait que sur les 12,6 M€ du projet, l'Union européenne fournissait 8,2 M€. Aegis - pour open Accessibility Everywhere : Groundwork, Infrastructure, Standards - vise à développer un standard pour que les ordinateurs, les appareils mobiles sous Java et les « applications Internet riches » (RIA) soient accessibles facilement aux personnes handicapées. Ce standard, baptisé Open Accessibility Framework (OAF), sera basé dans la mesure du possible sur des technologies Open Source, a expliqué Sun. Il existe déjà plusieurs initiatives allant dans ce sens pour divers logiciels, dans la communauté Gnome, dans la communauté OpenOffice, et bien sûr chez Microsoft. Sun précise d'ailleurs à ce propos qu'il ne cherche pas à les concurrencer, mais à fournir un standard sur lequel chacun pourra s'appuyer. (...)

(19/12/2008 15:03:11)

SAP juge les Xeon X5570 deux fois plus performants que les X5470

Au banc d'essai Ventes et distribution en architecture multi niveaux de SAP, un système animé par deux processeurs Nehalem (Xeon X5570 à 2,93 GHz) délivre une capacité de traitement presque deux fois plus importante qu'un autre, à configuration similaire, mais équipé de deux Xeon X5470 à 3,33 GHz. Plus intéressant encore, un serveur à base de deux Xeon X5570 à 2,93 GHz Nehalem délivre une capacité de traitement à peine inférieure à celle d'un système animé par quatre Xeon X7460 à 2,66 GHz. Pour l'instant, SAP n'a publié de mesure avec des serveurs équipés de processeurs Shanghai d'AMD qu'en configuration octoprocesseur. Il faudra encore attendre pour connaître les performances en configurations biprocesseur de ces Opterons 8384 gravé en 45nm à 2,7 GHz et les comparer avec celles des Xeon X5570. (...)

(19/12/2008 12:51:50)

La hausse du dollar émousse le deuxième trimestre d'Oracle

Oracle a annoncé jeudi des résultats légèrement en deçà de ses prévisions pour son deuxième trimestre clos le 30 novembre. La faute principalement à la remontée du dollar, selon l'éditeur. Sur ce trimestre, le chiffre d'affaires global d'Oracle a atteint 5,6 Md$ en normes Gaap, en hausse de 6% par rapport au même trimestre l'an dernier (non Gaap : 5,7Md$, +6%). Le bénéfice trimestriel, lui, a perdu 1% sur l'an dernier, avec 1,3 Md$ (non Gaap : 1,7 Md$, +8%). Le revenu Gaap par action se contente de 0,25 $ alors qu'il aurait atteint 0,29$ sans la hausse de la monnaie américaine (le revenu non-Gaap atteint 0,34$, en phase avec les prévisions des analystes). Par rapport à la même période l'an dernier, les ventes de licences ont cru de 8% ce trimestre, mais les nouveaux logiciels ont perdu 3%. Là-encore, face aux analystes, Oracle a blâmé les fluctuations des taux de change avec le dollar qui ont mécaniquement réduit la valeur de certaines ventes réalisées hors des Etats-Unis. Le chiffre d'affaires de la maintenance a augmenté de 20% et les services de 5% (Gaap). Plusieurs contrats emportés face à Salesforce L'éditeur a profité de l'annonce de ses résultats trimestriels pour se féliciter de sa plus importante signature de contrat de gestion des forces commerciales en ligne. Une opération qui lui aurait permis de dépasser son rival en la matière, Salesforce.com. Selon le PDG d'Oracle, Larry Ellison, le client concerné, dont il n'a pas dévoilé le nom, aurait même quitté Salesforce pour Oracle. Il a ajouté qu'il ne s'agissait pas du seul succès emporté sur son concurrent ce trimestre. L'éditeur a également vendu sa première Database machine, une offre couplant serveurs et base de données, concoctée avec HP. Larry Ellison a aussi évoqué la poursuite de sa série d'acquisitions. « Certaines sociétés sont évaluées à des prix beaucoup plus attractifs aujourd'hui, a-t-il expliqué, mais je ne suis pas sûr qu'elles soient particulièrement enthousiastes à l'idée d'une vente. Oracle recherche des opportunités de grosses acquisitions si le prix est juste. » (...)

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