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(17/11/2008 15:48:44)

Thierry Breton prend les commandes d'Atos Origin

Le conseil de surveillance d'Atos Origin a nommé à l'unanimité Thierry Breton président du directoire de la SSII, à l'issue d'une réunion qui s'est déroulée hier, dimanche 16 novembre. Il remplace Philippe Germond, qui quitte définitivement le Groupe, un an à peine après avoir été nommé PDG. Ce départ est surprenant, Philippe Germond étant enfin parvenu à composer avec Pardus et Centaurus à l'issue d'un bras de fer qui a opposé la direction générale aux deux fonds d'investissement durant des mois. Un plan de transformation avait même été voté il y a un peu plus d'un mois. Il prévoyait la génération de trésorerie par l'optimisation des investissements, une accélération du recours à l'offshore, une réduction des sous-traitants, un gel de tous les recrutements indirects ainsi qu'une réduction des dépenses (voyages et formations). Avec la nomination de Thierry Breton, Atos Origin souhaite donner un coup de fouet à la mise en place de ce plan de repositionnement. La SSII s'est toutefois refusée à tout commentaire en ce qui concerne le départ précipité de Philippe Germond, se contentant de le remercier laconiquement pour sa contribution au développement de la société. Thierry Breton a dirigé Bull et France Télécom avant de devenir ministre des finances [[page]] Dans un communiqué, la SSII précise également qu'elle proposera lors de la prochaine assemblée générale annuelle une modification des statuts de l'entreprise. Atos Origin deviendrait une société anonyme et l'actuel conseil de surveillance serait remplacé par un conseil d'administration. Thierry Breton devrait alors prendre le poste de PDG d'Atos Origin. Thierry Breton a plusieurs fois été appelé à la rescousse pour redresser de grandes entreprises publiques. Entre 1993 et 1996 il a occupé le poste de vice-président et administrateur délégué chez Bull, avant de prendre les rênes de Thomson, puis de devenir PDG de France Télécom. Il a ensuite été ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie entre 2005 et 2007, dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Il a également été pressenti, sans que cela aboutisse, pour remplacer Patricia Russo ou Serge Tchuruck à la tête d'Alcatel-Lucent. (...)

(14/11/2008 16:41:25)

Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes

Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)

(14/11/2008 16:40:26)

Six entrepreneurs français créent un fonds d'aide à l'amorçage pour les start-up

Six entrepreneurs français se sont associés afin de créer un fonds d'investissement pour aider les start-up en particulier lors de la phase d'amorçage. Pierre Kosciusko-Morizet (fondateur de PriceMinister), Tariq Krim (créateur de Netvibes), Ouriel Ohayon (TechCrunch), Orianne Garcia (Terrafemina), Stéphane Treppoz (Sarenza) et Geoffroy Roux de Bezieux (Virgin Mobile) on ainsi fondé le regroupement de business angels ISAI. Son nom a été inspiré aux fondateurs par le « kanji japonais qui veut dire différent, remarquable, unique, talentueux », etc. Le fonds a pour vocation de soutenir des projets français (et ponctuellement européens) à hauteur de 500 000 € à 1,5 M€ ainsi que de les accompagner dans leur développement. Les startups seront sélectionnées en fonction de plusieurs critères, comme leur stade de développement (création, amorçage - avec un premier test de commercialisation en cours - et développement présérie, avec un chiffre d'affaires supérieur à 1 M€), la localisation géographique, les perspectives de croissance et le secteur d'activité (e-commerce, services Internet aux entreprises ou aux particuliers, applications mobiles et plateforme d'intermédiation). ISAI propose également des conseils pour réussir une levée de fonds. Un appel aux contribuables ISF qui cherchent des déductions d'impots A noter que, comme nombre de chasseurs de fonds à investir, les membres d'ISAI en appellent aux contribuables soumis à l'ISF (l'Impôt de solidarité sur la fortune). La loi Travail, emploi, et pouvoir d'achat, dite TEPA, permet en effet à ces derniers de bénéficier d'une réduction d'impôt s'ils investissent dans des entreprises innovantes (75% de leur investissement est déductible du paiement de leur impôt dans la limite de 50 k€ par an). (...)

(14/11/2008 16:05:04)

Capgemini présente des résultats qu'il juge satisfaisants

Deux façons de lire les résultats de Capgemini. La première, mise en avant par le groupe, consiste à les apprécier déconnectés de la réalité économique mondiale. " A taux et périmètre constant", le CA du troisième trimestre progresse ainsi de 6,1%. La seconde façon de voir les résutats ramène la croissance du CA à un petit 0,5%. Toutefois, Capgemini affirme que l'infogérance, sa principale activité, connaît une croissance "organique" de 8,6%. Et c'est toujours à " à taux de change et périmètre constants" que la SSII, confirme une croissance "organique" annuelle entre 4 et 5%. La marge opérationnelle est prédite à 8,5%. Elle était de 7,4% en 2007. La société précise que son carnet de commande est en hausse de 3,4%. (...)

(14/11/2008 14:25:51)

Deuxième grève depuis la rentrée chez GFI Informatique

Les salariés de GFI France étaient en grève hier, jeudi 13 octobre, suite à un appel de l'intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO et SUD. Ils protestaient pour la seconde fois en un peu plus d'un mois contre les disparités de conditions de travail d'une agence à l'autre. Les salaires sont également remis en question, certains employés n'auraient pas été augmentés depuis 15 ans et des inégalités de traitement persistent entre les hommes et les femmes (un écart de 10% en moyenne). Statu quo sur le dispositif d'écoute Lors de la rencontre entre syndicats et direction qui a eu lieu le 6 novembre, Jacques Tordjman, PDG de GFI Informatique, a confirmé qu'il allait redistribuer 25% du résultat net de la société aux actionnaires et qu'il n'entendait pas revoir la politique salariale de la SSII. « Les relations avec la hiérarchie se sont dégradées au cours de ces derniers mois», déplore Alexis Zadounaïsky, délégué syndical SUD du groupe GFI. Quant à la mise en place du dispositif d'écoute des employés, suite à trois suicides, « il est resté à l'état d'annonce », regrette Alexis Zadounaïsky. (...)

(14/11/2008 12:58:06)

CA acquiert Eurekify et ses solutions de contrôle d'accès

L'éditeur américain CA rachète Eurekify, éditeur israélien de solutions de gestion d'identités et de contrôle d'accès reposant sur des rôles d'utilisateurs. L'acquisition, dont le montant n'a pas été précisé, devrait être effective à la fin de ce mois. Depuis mai dernier, CA et Eurekify sont déjà partenaires, le premier revendant l'offre ERM (Enterprise Role Manager) du second. Combinée à la solution Identity Manager de CA, l'offre Eurekify ERM permettait d'améliorer la gestion du cycle de vie des identités. Le rachat conduira à une meilleure intégration des deux produits. Le contrôle d'accès basé sur les rôles, que les analystes voient comme la deuxième vague de solutions de gestion d'identité, permet de mieux sécuriser le système d'information sans pour autant réduire la productivité des utilisateurs. En octobre, CA avait déjà renforcé son portefeuille de solutions de sécurité avec le rachat d'IDFocus, éditeur de solutions de contrôle d'accès aux ressources IT. (...)

(14/11/2008 12:41:58)

Grève HP/EDS : "même les cols blancs se mobilisent"

« Mieux suivie que ce qu'on attendait », c'est ainsi que Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central SUD pour EDS France qualifie la grève HP / EDS d'hier, jeudi 13 novembre. Les rassemblements ont eu lieu un peu partout en Europe, essentiellement à Issy-les-Moulineaux (92), siège social d'HP (200 personnes), à Grenoble (450 personnes), à Sophia-Antipolis (150 personnes) ou encore à San Cugat en Espagne (450 personnes, soit près de 75% des salariés). « Même les cols blancs d'HP, peu adeptes de ce genre de manifestation, ont répondu présent », insiste Jean-Paul Garagnon. Suite à l'annonce de la suppression de 9 330 postes en Europe (sur 24 600 dans le monde), dont 580 en France, les salariés des deux sociétés se sont mobilisés pour manifester leur inquiétude et leur colère. Pour les employés des deux groupes, aucun argument économique ne justifie la stratégie du groupe, les résultats d'HP étant dans le vert. EDS se sépare de son centre de services iSeries et AS/400 [[page]]EDS a par ailleurs officiellement annoncé qu'il cédait son centre de services iSeries et AS/400 (environnements directement concurrents de ceux d'HP) à ECS, filiale à 100% du groupe Société Générale. Ce centre emploie actuellement 43 personnes. Prévue depuis le printemps dernier (soit avant la finalisation du rachat d'EDS), cette vente correspond - selon les syndicats - à un abandon progressif des activités ne faisant pas partie de la stratégie de développement d'HP. D'autres pôles pourraient ainsi être touchés en France, pour les mêmes raisons. Cela pourrait être le cas par exemple de l'assistance technique, de la régie en clientèle (site de Rennes, qui emploie 280 personnes) ou encore de la gestion d'infrastructures, autant d'activités pour lesquelles une mutualisation des compétences ne présente aucune valeur ajoutée pour HP. Les employés attendent désormais avec impatience, le 24 novembre, date à laquelle le constructeur publiera ses résultats annuels. (...)

(14/11/2008 11:08:29)

IDC révise à la baisse ses prévisions de dépenses IT pour 2009

Nouveau coup de bambou sur l'industrie IT mondiale. Selon IDC, les dépenses en high tech sur l'ensemble de la planète ne progresseront que de 2,6% en 2009. L'institut révise donc ses prévisions précédentes à la baisse et vient confirmer que la crise, un temps financière, est sans conteste systémique et affecte tous les secteurs économiques. Une nouvelle peu surprenante pour les observateurs, qui pouvaient légitimement douter que les 5,9% de croissance des dépenses IT avancés en août par IDC soient finalement atteints. La dépense des pays émergents moins affectée que celle des pays développés L'évolution des dépenses IT sera plus largement positive dans les pays émergents et les économies les moins développées (Europe centrale et orientale, Moyen-Orient, Afrique, Amérique Latine) mais ne parviendra pas aux taux de croissance à deux chiffres jusqu'alors pronostiqués. En queue de peloton, les grandes puissances - Etats-Unis, Europe de l'Ouest, Japon - atteindront tout juste une croissance de 1%. Au-delà de ses expectatives pour l'an prochain, IDC se lance dans des prophéties en prédisant l'évolution des dépenses IT à plus long terme. Ainsi, estime-t-il que les effets de l'actuelle crise ne seront qu'un mauvais souvenir dans trois ans. En 2012, la croissance du secteur devrait en effet approcher 6%. Néanmoins, les revenus de l'industrie auront, entre temps, été amputés de 300 Md$ en raison du séisme qui bouscule l'économie mondiale. (...)

(14/11/2008 09:03:34)

Google lance l'indexation à la demande pour ses clients professionnels

Les pages des sites Web mieux indexées par Google. C'est ce que promet le géant de Mountain View aux clients de son service Site Search, une fonction permettant d'ajouter un champ de recherche sur un site, les requêtes et l'indexation étant prises en charge par les serveurs de Google. Ce dernier vient d'annoncer que les clients de Site Search auront dorénavant la possibilité d'intervenir sur la fréquence de rafraîchissement de l'indexation réalisée par Google, alors que cette étape - essentielle pour un référencement pertinent et efficace - était jusqu'alors réalisée automatiquement et périodiquement. Les éditeurs de sites Web souscrivant au service verront donc apparaître un bouton 'index now' sur la page de configuration de leur compte Site Search. « L'indexation à la demande permet à nos clients - les éditeurs de sites Internet - de venir dire à Google 'je viens d'ajouter 100 ou 1000 nouvelles pages, indexez les maintenant' », explique Nitin Mangtani, chef de produit des outils de recherche professionnelle du groupe. A l'issue d'une demande d'indexation, il ne faudrait que 24 heures pour que le nouveau contenu soit accessible à partir d'une requête. Google propose l'accès à Site Search à partir de 100 $ par an pour des sites comptant jusqu'à 5000 pages. L'addition atteint 2250 $ à partir de 100 000 pages. En dopant les capacités d'indexation de ce service, le géant du Web illustre sa volonté d'attirer à lui les entreprises pour reposer de moins en moins sur les recettes publicitaires. Une source de revenu qui devrait pâtir de la crise économique mondiale : Citigroup estime ainsi que le marché de la publicité en ligne devrait ralentir et, in fine, affecter Google. En prévision de cette éventualité, les investisseurs ont commencé à bouder les titres du pharaonique moteur de recherche : l'action Google est au plus bas depuis octobre 2005. (...)

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