Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 5131 à 5140.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(13/11/2008 17:23:48)

Badaboum : Intel révise fortement ses prévisions à la baisse

Si les processeurs d'Intel donnent la cadence aux ordinateurs qu'ils animent, les prévisions de résultats du fondeur impriment son pouls à toute l'industrie. Et en ce moment, ce pouls ne bat pas fort. Alors qu'Intel tablait prudemment sur un CA au quatrième trimestre entre 10,1 et 10,9 Md$, lors de la publication de ses résultats pour le troisième trimestre, il ne prévoit plus que 8,7 à 9,3 Md$. En à peine un mois, la morosité de la demande a poussé le numéro un mondial des processeurs à transformer sa modeste prévision de 3% de hausse séquentielle du CA en une baisse de 12%. Ce trimestre sera, qui plus est, inférieur à la même période en 2007 (9,7 Md$). Cette baisse du CA s'accompagne d'une réduction de la marge opérationnelle. De 59% au troisième trimestre, elle passera à 55% environ. Intel rappelle que toute la planète et tous les secteurs sont touchés, mais il ne donne pas plus de détails. Une certitude, à l'approche d'une période de fêtes qui s'annonce morose, ses clients, les constructeurs réduisent leurs stocks. Une situation difficile à l'heure de la sortie de Nehalem [[page]]C'est dans ce contexte qu'Intel doit annoncer d'ici quelques jours son processeur Core 7i. Connue sous le nom de code Nehalem, cette ligne marque une rupture technologique importante chez Intel. Fondus en 45 nm, les quadri-coeurs seront les premiers à recevoir, en lieu en place de l'obsolète Front Bus, le contrôleur mémoire intégré QuickPath. Chez AMD, son équivalent, le bus HyperTransport, existe depuis plusieurs années. Cette mutation technologique, qui se traduit par un changement d'architecture, implique un redesign complet des cartes-mères. Dans les conditions économiques actuelles, les constructeurs seront-ils prêts à consentir à cet effort alors qu'AMD leur sert un Opteron Shanghai à la fois très performant et "pin-compatible" avec l'ancienne génération ? (...)

(13/11/2008 16:37:36)

Microsoft lifte sa plateforme Windows Live à la sauce Facebook

Microsoft veut donner un coup de jeune à sa plateforme Windows Live, dont la version bêta a été lancée il y a un an. A partir du mois de décembre, elle intégrera une quinzaine de nouveaux services sur une même page, comme la messagerie instantanée, les courriels, un diaporama, un agenda partagé, la possibilité de publier des photos ou des vidéos, ou encore de télécharger des applications. Microsoft a également revu l'interface graphique de sa plateforme. Moins encombrée, elle se présente sous la forme de blocs de contenu personnalisables. Ces services comprennent également la mise à jour d'Hotmail (qui offre depuis peu de temps un espace de stockage illimité et un filtre anti-spam amélioré) et de SkyDrive, son service de stockage en ligne, dont la capacité passe de 5 Go à 25 Go. Microsoft a par ailleurs noué des partenariats avec une cinquantaine de sites comme Digg, FlickR, Pandora, Twitter ou encore Wordpress afin de créer le « Quoi de neuf », un service qui permet aux utilisateurs de Windows Live de partager des documents avec des groupes d'amis. Dès qu'une modification est publiée sur l'un des sites partenaires, la mise à jour se fait automatiquement sur Windows Live sans que l'internaute soit obligé d'intervenir manuellement. Google, AOL, Facebook et MySpace ne font pas partie des sites partenaires de Microsoft - qui a pourtant investi 240 M$ dans Facebook en octobre 2007. Seul le partage de contacts est possible avec Facebook. Les nouveaux services comprennent Windows Live Profile (qui devrait être la page d'accueil du site), Windows Live Photo, Windows Live People (contacts et carnet d'adresses), Windows Live Groupe et Windows Live FrameIT (affichage des flux RSS). Ces améliorations propulsent Microsoft en concurrence directe avec des sites communautaires comme MySpace ou Facebook (120 millions de membres). (...)

(13/11/2008 13:50:09)

L'action de Google passe sous la barre des 300 $

Pour la première fois depuis trois ans, le prix de l'action de Google est inférieur à 300 $. Il est passé de 311 $ à 288 $ en l'espace d'une journée, perdant ainsi 6,6% de sa valeur. Le titre Google n'a jamais été aussi bas depuis octobre 2005, lorsqu'il est tombé à 294 $. En novembre 2007, l'action de Google effleurait les 750 $, après une hausse de 30% en un mois. Comme d'autres acteurs IT, Google souffre de la révision du plan Paulson. L'actuel secrétaire d'Etat au Trésor américain Henry Paulson a en effet annoncé que les 700 Md$ d'aides financières votées par le Congrès américain seraient distribués au compte-gouttes. Ils serviront essentiellement à recapitaliser les institutions financières, le gouvernement n'entendant pas injecter de sommes pharaoniques dans des secteurs financiers à haut risque. La sanction de Wall Street ne s'est pas fait attendre : Yahoo a perdu 9,8% de sa valeur et flirte désormais avec les 10 $ (alors que Jerry Yang réclamait 37 $ par action à Microsoft), Sun chute de 10 % à 3,6 $, Microsoft perd 4,25%... A la veille de Noël, les investisseurs sont inquiets pour le marché de la publicité en ligne Ce sont également les estimations de grands groupes bancaires qui ont fait chuter l'action de Google. Malgré de bons résultats trimestriels (chiffre d'affaires en hausse de 31%, bénéfice net de 1,35 Md$, soit une progression de 20,7% par rapport au troisième trimestre 2007), Citigroup estime par exemple que le ralentissement économique finira par avoir un impact sur Google et sur le marché de la publicité en ligne, et ce malgré l'approche des fêtes de fin d'année. Il y a quelques mois IDC tablait pourtant sur un doublement de la publicité en ligne sur Internet d'ici à 2012. Mark Mahaney, analyste chez Citigroup, a déclaré « nous avons effectué plus d'une vingtaine de contrôles avec des acteurs du SEM (Search engine marketing, processus d'optimisation des liens sponsorisés sur Internet), avec des agences de publicité en ligne et des sites de vente en ligne. Nous sommes parvenus à la conclusion qu'au quatrième trimestre la croissance du marché de la publicité en ligne serait la plus faible jamais observée. » Toujours d'après Citigroup, la tendance ne devrait pas s'inverser avant 2010. Même son de cloche chez Best Buy, une chaîne de produits informatiques. Pour eux, le climat économique ambiant est « le pire jamais rencontré depuis 42 ans ». (...)

(13/11/2008 12:45:42)

Partenariat Sun/Microsoft : la barre d'outils MSN associée à JRE

Microsoft plus gros client de Sun, qui l'eut cru ? Microsoft vient en effet de bouter la barre d'outils de Google du package distribué avec la machine virtuelle Java de Sun Microsystems. Les internautes qui téléchargeront JRE (Java Runtine Environment) pourront donc désormais installer, en remplacement, la barre d'outils MSN de Microsoft, intégrant notamment dans Internet Explorer un champ de recherche Live Search. Cette information est la conclusion du partenariat qu'ont dévoilé Microsoft et Sun en début de semaine. Jonathan Schwartz, le CEO de Sun, explique sur son blog avoir voulu remettre en jeu l'accord passé en 2005 avec Google. Un appel d'offres a donc été lancé, et « Microsoft a travaillé dur pour présenter l'offre la plus attractive ». Le groupe de Redmond, outre le chèque (le montant n'a pas été précisé) qu'il signera à Sun, s'engagerait d'après le patron de Sun à promouvoir MySQL, l'outil de gestion de bases de données de Sun pourtant concurrent de son propre SQL Server (Sam Ramji, patron de l'Open Source chez Microsoft, interrogé par LeMondeInformatique.fr, a démenti cette dernière information). Objectif de Microsoft : grignoter des parts de marché dans la recherche en ligne Le jeu en vaut la chandelle pour Microsoft, qui garde en ligne de mire les 91% de PC connectés à Internet sur lesquels est installé le moteur d'exécution Java. De quoi doper l'adoption de la barre d'outils et, surtout, du moteur de recherche de Redmond. « Avec la grande quantité d'applications Web basées sur Java qui sont téléchargées chaque mois, cet accord permettra à Live Search de toucher des millions d'internautes et d'attirer davantage d'annonceurs », explique Angus Norton, à la tête de Live Search, qui précise que les annonceurs réclament une fréquentation en hausse. L'éditeur de Windows montre, à travers ce partenariat, son impérieux besoin de relever la tête sur le terrain de la recherche en ligne, où il se fait tailler des croupières par Google. En août, selon Hitwise, 70% des recherches en ligne étaient réalisées sur Google, contre seulement 5% sur les sites Microsoft. En janvier 2007, Microsoft parvenait encore à s'arroger 10% du marché de la recherche en ligne. (...)

(13/11/2008 11:23:24)

L'Afdel laisse entrer le logiciel libre et le SaaS

En clôture de son assemblée générale annuelle, l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) a confirmé la création de deux nouvelles commissions. Mais pas n'importe lesquelles. Signe des temps, la première sera consacrée au SaaS et la seconde au logiciel libre. « La création de ce groupe Open Source, sujet qui n'a pas toujours été abordé sereinement dans notre pays, est conforme aux principes fondateurs de l'Afdel, insiste Patrick Bertrand, président de l'association. Il s'agit de développer la R&D, l'innovation et la création de logiciels en France, quel que soit le modèle économique ou technologique retenu. » L'Afdel semble avoir décidé de se défaire de l'image qui lui colle à la peau, celle d'une association d'éditeurs de logiciels propriétaires défendant corps et âme les brevets logiciels. La situation du logiciel en France, véritable puzzle de petites entreprises qui n'arrivent pas à croître (à l'exception des seuls Cegid et Dassault Systèmes), est sans nul doute une des raisons qui la pousse à une telle ouverture. La commission logiciel libre sera présidée par Bertrand Diard, CEO de Talend. La start up est devenue le premier membre Open Source de l'Afdel. Le SaaS pour faciliter l'accès des PME au logiciel Comme le Libre, le Saas remet en question le monde du logiciel traditionnel, techniquement mais surtout économiquement. « Pour les entreprises, cela transformera l'investissement en charge et fera baisser le coût d'accès logiciel », a rappelé Eric Besson, le secrétaire d'État chargé de la prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, venu clôturer la réunion. Le ministre rappelle que pour rattraper le retard numérique de la France, il sera essentiel d'améliorer « l'accès des petites entreprises au logiciel, et le SaaS peut être un moyen d'y arriver. » Pour présider la commission, l'Afdel a nommé Olivier Novasque, PDG de Sidetrade, éditeur de solutions d'optimisation de la relation financière clients en mode SaaS. L'Afdel se fend d'une charte du green IT [[page]]Décidément, l'Afdel bouge. Au Saas et à l'Open Source, l'association ajoute le green IT. Elle ne crée pas encore de groupe de travail sur le sujet, mais a rédigé une charte signée par tous les membres. Ce texte compte quatre points : la prise de mesures proactives pour augmenter l'efficacité carbone ; l'amélioration des produits des éditeurs pour que leurs clients participent mieux à la réduction des émissions carbone ; la participation en tant que profession au débat du green IT autour des normes et standards ; le développement de la prise de conscience par l'industrie des questions du développement durable. Eric Besson a profité de son allocution pour rappeler les mesures de son plan France Numérique 2012 consacrées au logiciel. « Lors de la préparation du plan, nous nous sommes penchés sur l'écosystème éditeurs, et nous avons identifié trois points à améliorer qui l'empêchent de se développer : la formation, l'accompagnement international et le financement du risque. » Une université du logiciel pour pallier le déficit de compétences informatiques [[page]]Ainsi, pour pallier le déficit de compétences auquel se heurtent les éditeurs, l'Afdel accompagne la création dans le plan France Numérique 2012 d'une 'Université du Logiciel'. Ce dispositif n'est pas un nouvel établissement d'enseignement mais prévoit une formation professionnalisante à l'issue des filières initiales de formation (licence et mastère dans un premier temps) dans un cadre d'alternance formation et entreprise. Des enseignements complémentaires aux seules technologies seront dispensés, tels que le marketing, le commerce et le droit associés à l'informatique et aux télécoms. Pour ce qui est de l'accompagnement international, via l'agence Ubifrance, dans dix villes clés du marché mondial du logiciel, le plan crée des postes de correspondants pour aider les entreprises dans leur développement. Enfin, le financement du risque sera étudié au travers du programme France Investissement lancé en 2006 pour accompagner les PME et qui va dresser un premier tableau de son action en faveur des jeunes pousses. L'Afdel évolue au coeur d'un écosystème toujours aussi fragile L'Afdel compte aujourd'hui 160 membres et devrait en réunir 200 dans les prochains mois, selon Patrick Bertrand. Elle évolue dans un marché français qui compte 2 500 sociétés employant 69 000 personnes pour un CA total de 7,5 Md€. Mais après les récents rachats de Business Objects par SAP et d'Ilog par IBM, elle ne compte plus que deux 'grands', Cegid et Dassault Systèmes. Moins de 20 sociétés ont un CA qui dépasse 50 M€. Pis encore, moins d'une centaine franchissent les 10 M€. Pourtant, véritable creuset d'innovation, ces éditeurs consacrent entre 20 et 30% de leur CA à la R&D. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >