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(13/11/2008 11:04:24)

AMD respire, son Shanghai est en avance et plus performant que prévu

Plus jamais Barcelona. AMD se l'était promis. Et il ne cesse de se le rappeler et de le rappeler au monde. Alors pour l'arrivée de Shanghai, le fondeur insiste. La puce est en avance, plus performante que prévu et déjà portée aux nues par les OEM, les distributeurs et quelques clients qui le testent depuis près d'un mois. Shanghai devrait particulièrement apprécier la gestion de services Web ou de bases de données, et la virtualisation. Selon le fondeur, elle est « 30 à 35% plus performante que Barcelona mais 30 à 35% moins gourmande en énergie. » Shanghai devrait néanmoins coûter un peu moins cher que son prédécesseur. La puce est conçue en 45 nm et équipée de quatre coeurs, mais on le savait déjà. En revanche, alors qu'elle devait d'abord être disponible avec une fréquence de 2,5 GHz, elle atteint 2,7 GHz. Ce différentiel est dû à la technologie de fabrication de lithographie par immersion. Si elle n'est pas requise pour le 45nm, celle-ci le sera avec le 32 nm. L'utilisation de mémoire de type DDR-2 800 avec une bande passante plus grande et un système d'anticipation (prefetch) amélioré augmente les performances de Shanghai. Sans oublier les 8 Mo de cache total (interne et externe). Shanghai s'installe pour l'instant dans le même socket que Barcelona en attendant un nouveau modèle mi-2009 qu'il partagera avec l'hexa-coeur Istanbul. Un arrêt du coeur pour économiser l'énergie [[page]]AMD met l'accent sur deux technologies innovantes qui distinguent son nouveau bébé. Un peu de green IT, pour commencer. La fonction Smartfetch vise l'économie d'énergie lorsqu'un des quatre coeurs est sous-utilisé. Les coeurs ont chacun des mémoires cache de niveau 1 et 2, et partagent un cache externe de niveau 3 de 6 Mo. Le dispositif s'appuie sur ce dernier. Si un coeur reste inactif durant plusieurs cycles d'horloge, les données qu'il traite migrent vers ce cache de niveau 3. Et le coeur hérite tout simplement de la tension la plus basse possible. A noter que le temps de latence éventuel au « réveil » du coeur n'aurait pas d'incidence sur les performances. Lors du test SPECjbb2005 en environnement Java, Shanghai aurait réduit sa consommation énergétique de 21% grâce à cette fonction. Du côté de la très prisée virtualisation, Shanghai adopte RVI (Rapid Virtualisation Indexing), une gestion matérielle de la mémoire virtuelle et Tagged TLB qui réduit les délais de translation et de mapping des adresses pour accélérer la bascule d'une machine virtuelle à une autre. Mi-2009, AMD compte ajouter à cette liste la virtualisation des entrées/sorties. Au premier trimestre, il proposera aussi la version 3 de la connexion inter-processeurs Hypertransport dont le débit montera jusqu'à 17,6 Go/s. (...)

(12/11/2008 18:19:32)

Guerre de la maintenance SAP : les utilisateurs se rangent derrière leur éditeur

Du 27 au 29 octobre, les responsables des principaux clubs d'utilisateurs SAP à travers le monde se sont réunis dans le cadre du Sugen (SAP user group executive network) à Palo Alto. L'un des sujets phares abordés a bien sûr été la fameuse évolution du contrat de maintenance de l'éditeur dont le coût annuel devient pour tous les clients de 22% des licences (faisant ainsi disparaître le taux « normal » de 17%). La seule piste abordée, lors de la réunion du Sugen, semble bien avoir été de justifier l'augmentation et non de la combattre. Notamment en promettant des indicateurs pour objectiver le contrôle du retour sur investissement lié à la nouvelle offre de maintenance SAP Enterprise Support. « Nous sommes conscients que le chiffre de 22% n'est pas négociable et nous avons préféré avoir une ligne de conduite réaliste avec, comme objectif, d'en avoir pour notre argent et de baisser le coût total de possession (TCO) des solutions SAP » a concédé Jean Leroux. Selon lui, la licence et la maintenance ne comptent que pour environ 10% de ce TCO. Il en déduit : « si, grâce aux nouveaux outils fournis dans le cadre de SAP Enterprise Support, les migrations sont des non-événements, par exemple, le TCO va chuter bien plus que si nous obtenons une baisse de 1% sur le le taux du contrat de maintenance. » Par exemple, parmi les apports attendus des nouveaux outils fournis par SAP, Jean Leroux cite la capacité à repérer les impacts d'une mise à jour de SAP sur les développements spécifiques afin de limiter les besoins en tests. De la même façon, les outils d'audit de performance peuvent aboutir à une optimisation du paramétrage du progiciel et des ressources informatiques, ce qui peut aboutir à limiter les besoins de nouveaux investissements. Pas de comparaison possible avec le conflit survenu autour de la Software Assurance de Microsoft[[page]] Jean Leroux a refusé d'assimiler l'actuelle crise autour de la maintenance de SAP au conflit surgi lors de la création de la Software Assurance par Microsoft : « la structure de TCO n'est pas du tout comparable entre SAP, où licence et maintenance ne constituent qu'une part limitée, et Microsoft, où la licence (éventuellement avec maintenance) est l'essentiel. La structure des revenus des éditeurs est d'ores et déjà dominée par la maintenance. La vraie question n'est donc pas le taux de celle-ci mais le TCO de l'implémentation d'un PGI. Cette notion de TCO sera au coeur de la réflexion de l'USF en 2009 ». Dans un sondage auprès des adhérents des différents clubs d'utilisateurs SAP, neuf répondants sur dix ne comprenaient pas soit ce que contient l'offre SAP Enterprise Support, soit l'intérêt de cette offre. « Le chiffre de 22% a braqué tout le monde et ça a sans doute occulté ce qu'il y a derrière, le tout dans un contexte de crise des budgets » regrette Jean Leroux. Pour démontrer la pertinence de SAP Enterprise Support, des indicateurs de retour sur investissement et de mesure de l'impact sur le TCO des implémentations de SAP vont être mis au point par les clubs comme l'USF en collaboration avec SAP. « SAP s'est engagé à ajuster son offre en fonction des mesures effectuées autour de ces indicateurs » a souligné Jean Leroux. Le président de l'USF a d'ailleurs rappelé : « il n'y aura pas de passage brutal de 17% à 22%, ce qui facilitera les ajustements en cours de route ». Des indicateurs de ROI définis conjointement par les clubs utilisateurs et SAP [[page]] Si ces indicateurs ne sont pas disponibles aujourd'hui, ils seront définis conjointement par les clubs utilisateurs et l'éditeur d'ici la fin de l'année, c'est à dire avant le début de la nouvelle offre de maintenance de SAP, le 1e janvier prochain. Parmi les indicateurs de qualité de service, Jean Leroux et son homologue japonais plaident pour un « taux de locuteurs d'une langue nationale au centre de support de SAP lorsque les bureaux utilisant cette langue sont ouverts ». D'ici la mise au point de ces mesures, l'USF et SAP communiqueront sur le contenu de l'offre SAP Enterprise Support afin de tenter de rassurer les clients mécontents de l'éditeur. Mais, la structure des revenus de l'éditeur étant de plus en plus dominée par la maintenance, la tendance naturelle du taux du contrat n'est-elle pas à l'augmentation continue ? « Les entreprises peuvent néanmoins se protéger en incluant dans les contrats les liant aux éditeurs des clauses bordant ce genre d'évolution » explique Jean Leroux. Pour le président de l'USF, « l'intérêt des utilisateurs n'est pas d'abattre SAP qui est d'ailleurs condamné à collaborer sans cesse davantage avec les utilisateurs pour que les futurs développements couvrent de réels besoins. » Malgré tout, l'attitude arrogante des éditeurs dominants n'est-elle pas la meilleure promotion de solutions alternatives, notamment open-source ? Pour Jean Leroux, « Les éditeurs auront leurs place tant qu'ils apporteront plus de valeur, plus de stabilité, pour un coût moindre que l'opensource. En matière de PGI, la question ne se pose pas encore aujourd'hui, les solutions libres n'étant pas actuellement au niveau. En revanche, en bureautique, des expériences intéressantes se multiplient... » Le premier bilan de SAP Enterprise Support sera tiré lors du prochain Sapphire en juin 2009, à la lumière des fameux indicateurs. (...)

(12/11/2008 17:11:53)

Open Text commence son année fiscale avec un bénéfice en hausse de 28%

Open Text, spécialiste canadien de la gestion de contenu, s'estime satisfait des ses résultats. Au lendemain de la clôture comptable de ce trimestre il a finalisé l'acquisition pour 131 M$ de Captaris qui édite un logiciel de gestion de flux de documents. A la suite de cette acquisition, l'éditeur, qui compte environ 2000 salariés, annonce un plan de réduction de ses effectifs de 10% ce qui entraînera une charge de 20 M$. Open Text vient d'annoncer la version 2.0 de Employee Information Management (EIM) son logiciel de gestion des informations des salariés. Elle apporte en particulier des améliorations au niveau de l'intégration avec SAP ERP Human Capital Management (SAP ERP HCM). Par ailleurs, Open Text a été un des premiers éditeurs à réagir à la présentation d'Azure, l'environnement 'cloud' de Microsoft, en promettant pour début 2009 l'extension de ses services d'archivage et de gestion des versions à cet environnement. Open Text revendique 46 000 clients et 17 millions d'utilisateurs. (...)

(12/11/2008 16:47:23)

Trimestriels : GFI Informatique peu affecté par la crise

GFI Informatique a publié des résultats trimestriels conformes aux attentes : le chiffre d'affaires est en progression de 13,5% à 180,6 M€. La SSII française affirme être capable de traverser la crise grâce à la mise en place d'un plan de « développement durable et profitable » dès le mois d'avril, à l'issue d'un premier trimestre difficile. GFI Informatique avait alors dû faire face à des frais inattendus (5 M€) pour contrer l'OPA hostile de Fujitsu Services lancée en mai 2007. Pour accompagner sa croissance, GFI recrute 200 collaborateurs qui iront renforcer les agences du grand Sud (Lyon, Grenoble, Aix-en-Provence, Montpellier) et de l'Est de la France (Belfort, Metz, Nancy, Strasbourg). Les profils recherchés sont variés. Pour le pôle Intégration de systèmes (nouvelles technologies J2EE, .Net, PHP, Java, grands systèmes, ERP), GFI recrute des chefs de projets, des consultants SAP et Business Objects, des développeurs, des ingénieurs études et développement, des techniciens helpdesk... En Infrastructure et production (dans les environnements Windows, Unix, Linux et Oracle), GFI recherche des analystes programmeurs, des architectes et des analystes fonctionnels. Deux sessions de recrutement sont organisées au sein du siège social de GFI Informatique, dans le 8e arrondissement de Paris, les 14 et 28 novembre prochains. Le groupe compte actuellement 10 051 salariés contre 9 484 il y a un an. En France, GFI Informatique emploie 6 096 collaborateurs, soit 204 personnes de plus qu'en septembre 2007. (...)

(12/11/2008 14:42:36)

AMD rattrape nVidia sur les processeurs graphiques

Si sa position est fragile face à Intel sur le marché des processeurs, AMD s'en tire nettement mieux en ce qui concerne les puces graphiques. Selon l'analyste Jon Peddie, « AMD a dépassé toutes les attentes avec sa série Radeon HD 4000 (conçue par sa filiale ATI, ndlr). Vendue à un prix agressif mais délivrant des performances solides, la nouvelle ligne d'AMD a non seulement récupéré des parts de marché - passant de 35% à 40% en un trimestre - elle a également forcé nVidia à baisser ses prix sur sa récente ligne de produit GTX 200 ». Pour autant la situation n'est pas rose sur le marché des composants graphiques. Si les ventes en volume ont augmentée de 11%, en valeur elles ont perdu 27% sur un marché estimé au total à 3,8 milliards de dollars. (...)

(12/11/2008 12:46:51)

Même la Silicon Valley est affectée par la crise, montre le Mercury News

La crise financière n'épargne pas les acteurs de la Silicon Valley, cette zone de Californie où se concentrent les plus grands noms de la high tech mondiale. Après la vertigineuse perte trimestrielle de 1,67 Md$ annoncée par Sun et la baisse de 10% anticipée par Cisco sur son chiffre d'affaires du prochain trimestre, voilà qu'un analyste de FBR Capital Markets, Craig Berger, vient d'évaluer, il y a quelques jours, qu'Apple (encore auréolé de ses excellents résultats annuels) allait réduire de plus de 40% sa production d'iPhone au quatrième trimestre, par rapport au troisième trimestre 2008. Craig Berger pense que le constructeur californien pourrait opérer une baisse de production du même ordre au premier trimestre 2009. Des révisions relayées par plusieurs publications californiennes, notamment le Mercury News et le Silicon Alley Insider. D'autres licenciements pourraient intervenir Si l'industrie IT n'a pas été aussi touchée que les autres secteurs par la crise financière, il faut se rappeler que, dans la Silicon Valley, elle pèse (selon certaines estimations) quasiment la moitié des revenus professionnels générés. Les remous qui l'atteignent peuvent donc entraîner de sérieuses répercussions sur la région, rappelle le Mercury News. Et le magazine de citer le PDG d'Intel, Paul Otellini, qui jeudi dernier a averti que les Etats-Unis traversaient une récession qui pourrait être la pire de celles qu'il a vécues jusque-là. Pourtant, Intel a réalisé un bon trimestre et le fabricant de processeurs devrait rester en bonne santé jusqu'à la fin de l'année, mais la société n'a pas précisé comment elle envisageait son premier trimestre 2009. Parmi les autres signes de tangage dans la Valley, le Mercury News rappelle que Yahoo a annoncé 1 500 licenciements il y a trois semaines et que Google a discrètement réduit ses contrats de sous-traitance. « Nous pourrions assister à une autre série de licenciements [dans la région], » estime Dean Freeman, analyste du Gartner cité par le magazine californien. Selon lui, personne n'a anticipé la vitesse avec laquelle les consommateurs allaient trancher dans leurs dépenses. Les prévisions optimistes alternent avec les analyses plus réservées En dépit de tout cela, la plupart des observateurs restent confiants sur les capacités de la Silicon Valley à surmonter la récession. Le patron d'Oracle, Larry Ellison, n'a jamais douté, quant à lui, des capacités de sa société à traverser les turbulences économiques, fussent-elles sérieuses. En conclusion, le Mercury News alterne prévisions optimistes et analyses réservées. Il cite Bill Kreher, analyste pour Edward Jones, qui rappelle que les poids lourds de la région, tels que HP, Cisco ou Apple, ont d'énormes réserves de trésorerie qui leur permettent de continuer à investir quand d'autres ont adopté un mode de survie. Alors que pour Stephen Minton, analyste chez IDC, les mauvaises conditions économiques que traverse l'industrie technologique ne se limiteront certainement pas à deux mois. Il entrevoit un marché américain passablement étal sur l'année à venir, voire en recul. (...)

(12/11/2008 12:40:42)

Les SSII indiennes réduisent leurs prévisions de recrutement de 38%

Les SSII indiennes recruteront moins de personnes que prévu. Ganesh Natarajan, président du Nasscom (syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques) a déclaré que les SSII et les opérateurs de centres d'appels comptaient embaucher 200 000 personnes d'ici à mars 2009 contre les 276 000 initialement annoncées, soit une baisse de 38%. Cela représente par ailleurs une chute de 20% par rapport à l'exercice précédent (250 000 recrutements). « Ce ralentissement reflète la baisse des prévisions de croissance des grandes SSII indiennes, suite à la crise économique qui sévit aux Etats-Unis », a expliqué Ganesh Natarajan. Ces entreprises sont fortement positionnées sur le marché américain de l'externalisation de processus métier, notamment dans le secteur de la banque et de la finance. Pas étonnant donc qu'elles soient directement touchées par la crise financière. Le Nasscom prévoit un taux de croissance des logiciels et services situé entre 21% et 24% pour les SSII indiennes en 2008, contre les 28% enregistrés il y a un an. Wipro repousse l'ouverture d'un centre de développement logiciel à Atlanta [[page]]Ce tassement des embauches traduit également les craintes des SSII indiennes quant aux déclarations de Barack Obama. Le futur président américain n'a pas caché lors de sa campagne électorale qu'il envisageait de supprimer les allègements fiscaux aux entreprises qui externalisent leurs emplois. Wipro, troisième SSII indienne, a par ailleurs annoncé qu'il allait retarder l'ouverture de son centre de développement logiciel à Atlanta , annoncé en février 2007. Ce centre, qui était censé permettre à la SSII d'asseoir sa présence outre-Atlantique, devait employer 1000 personnes d'ici trois ans (Wipro compte déjà 6000 salariés aux Etats-Unis). « Nous avons besoin de connaissances précises des métiers de nos clients, et nous devons géographiquement nous rapprocher d'eux », déclarait alors la SSII. Frappé par le ralentissement économique (si le CA a progressé de 36% au deuxième trimestre, à 1,38 Md$, le bénéfice ne gagne qu'un petit point) Wipro revoit donc son calendrier. (...)

(10/11/2008 17:10:58)

Satyam rachète un centre de développement de Motorola

Satyam, quatrième SSII indienne, va racheter le centre de développement logiciel de Motorola situé en Malaisie. Les 128 salariés que compte celui-ci intégreront le pôle télécommunications de la SSII, où ils continueront à travailler sur les problématiques liées aux normes GSM et CDMA (Code division multiple access). L'acquisition devrait être conclue à la fin de l'année. Son montant n'a pas été communiqué. Avec une perte de 397 M$ au troisième trimestre 2008 (contre un bénéfice de 60 M$ un an plus tôt), Motorola cherche des moyens de faire des économies. La société américaine souhaite réduire ses coûts de 800 M$ en 2009, notamment en taillant dans les effectifs. 3000 emplois sont concernés, ce qui porte le nombre total de suppressions de postes à 13 000 depuis janvier 2007. Les prochaines coupes pourraient toucher le site de R&D rennais (150 salariés). La direction envisage purement et simplement de le fermer. Motorola s'est par ailleurs récemment défait de son activité de biométrie, qu'il a revendu à l'équipementier aéronautique et télécoms français Safran. Dans un marché de la mobilité en léger repli, Motorola souffre d'un important ralentissement de son activité. Il a vu sa part de marché fondre de près d'un tiers, passant de 14,5% à 10% en un an, selon Gartner. Il perd ainsi sa troisième place, détrôné par Sony Ericsson. Motorola cherche à se séparer de son activité « terminaux mobiles » pour se concentrer sur les plateformes Android de Google et Windows Mobile de Microsoft. (...)

(10/11/2008 16:58:50)

Steve Ballmer favorable à une boutique en ligne à la AppStore

Les rumeurs couraient depuis septembre dernier, et Steve Ballmer vient de les renforcer. Face aux succès de l'AppStore d'Apple et de la plateforme Facebook ouverte aux développeurs tiers depuis mai 2007, Microsoft songe également à lancer sa propre boutique pour la diffusion d'applications tierces. S'adressant à un parterre de développeurs le 6 novembre dernier à Sydney en Australie, Steve Ballmer a précisé : Apple et Facebook « ont rendu plus facile la mise en avant de vos applications. Il n'y a pas beaucoup d'argent à y gagner, mais le concept général de donner aux développeurs une façon non seulement de voir leur code distribué, mais de lui donner une vraie visibilité, est une bonne idée ». En septembre dernier, une annonce parue sur un site d'emploi de la région de Seattle, et vite retirée depuis, mentionnait déjà une telle boutique. Celle-ci s'appellerait Skymarket et serait liée à la sortie de la prochaine version de Windows Mobile. Steve Ballmer n'a pas confirmé toutes ces informations. Il s'est contenté d'affirmer qu'il avait failli présenter quelque chose lors de la PDC (conférence développeurs à Los Angeles) mais avait finalement conclu qu'il n'était « pas encore prêt à en parler ». Le CEO de Microsoft a ajouté que ses équipes travaillaient dur pour proposer prochainement un résultat plutôt dans l'esprit de la plate-forme de Facebook. En revanche, il y a un point sur lequel Microsoft n'imitera pas Apple, c'est sur l'utilisation de WebKit, un moteur de rendu Open Source pour les navigateurs Web (voir notre actualité dans la rubrique micro). (...)

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