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(23/10/2008 17:12:28)
Microsoft, champion du monde de la R&D
Avec 5,583 Md€ de budget pour sa R&D en 2007, Microsoft prend la tête du classement mondial '2008 EU Industrial R&D Investment Scoreboard' établi par la Commission européenne, sur 2000 entreprises dans le monde. L'éditeur de Redmond a augmenté ses investissements de 14,6% en un an et ils représentent désormais 13,5% de son chiffre d'affaires. A l'heure de la crise financière, l'innovation technologique reste une valeur sûre. Chez Nokia, placé en 5ème position avec 5,281 Md€, elle s'épanouit telle une dame-d'onze-heures au soleil puisque de 2006 à 2007, le Finlandais, premier européen de la liste, a gonflé son budget R&D de 42,3%. Alcatel Lucent, premier français, augmente son budget de 69,4% Le Coréen Samsung obtient la douzième place avec 4,438 Md€ (+6,3%), et les deux géants américains Intel et IBM se suivent aux 15e et 16e places, avec près de 4 Md€ chacun. Il est à noter qu'Intel est une des rares entreprises du classement à réduire ses investissements en recherche (-2%). Le premier français du secteur informatique et télécoms est Alcatel Lucent, 21e avec 3,368 Md€ et un bond impressionnant de 69,4%. Le premier éditeur qui suit Microsoft au palmarès est Oracle, avec seulement 1,874 Md€ mais une augmentation de près de 25% de son budget (12% de son CA). L'ensemble des secteurs informatiques et télécoms sont parmi les plus actifs en R&D avec la pharmacie et les biotechnologies. Juste derrière, l'industrie pétrolière (+22,9%), les R&D des télécoms fixes (+15,6%) ainsi que du service et du logiciel (+13,1%) enregistrent les plus fortes croissances annuelles. (...)
(23/10/2008 15:05:37)Le principal actionnaire de Sun grimpe à plus de 20% du capital
Le fonds d'investissement Southeastern Asset Management a annoncé hier qu'il avait grimpé dans le capital de Sun Microsystems. Il détient désormais 160,6 millions d'actions, ce qui en fait le principal actionnaire du fournisseur informatique (21,2% du capital, contre 16,6% en juillet dernier). Ni la crise économique ni l'avertissement sur les résultats semestriels publié il y a quelques jours par Sun n'auront donc refroidi cet actionnaire, qui a déboursé plus de 2 Md$. Il faut dire que Southeastern Asset Management a également profité au passage de la baisse du titre consécutive à l'avertissement publié par Sun. En un an, le titre a perdu 80% de sa valeur. Schwartz n'exclut pas de privilégier davantage le logiciel « Sun Microsystems est une société intéressante car elle se tourne de plus en plus vers le logiciel et pas seulement les serveurs », explique Staley Cates, président de Southeastern Asset Management. Interrogé il y a quelques semaines par le New York Times sur l'éventualité de se défaire de l'activité matériel pour se concentrer sur les logiciels, Jonathan Schwartz, PDG de la société, a indiqué qu'il envisageait cette possibilité. Sun n'est donc pas aussi attaché à son pôle serveurs qu'un cycloptère à son rocher et se déclare prêt à évoluer si l'environnement économique le demande. (...)
(23/10/2008 14:47:56)Des salariés d'EDS France s'inquiètent du devenir d'Applications Services
Que va devenir la division Applications Services de la nouvelle entité HP/EDS ? Quel avenir pour les salariés d'EDS France qui travaillent à l'informatique de gestion ? Ces questions inquiètent certains salariés d'EDS France, après le rachat de la société de services par HP, et l'annonce, dans la foulée, de la suppression de 500 postes sur les 2000 de l'effectif d'EDS France. Ainsi un salarié du siège social d'EDS à Nanterre considère que la restructuration du nouvel ensemble risque fort d'impacter plusieurs divisions de la SSII dans l'Hexagone : « En premier lieu, HP ne s'intéresse pas aux activités de régie et pourrait donc se défaire de la division assistance technique. Ensuite, dans la mesure où elle n'est pas plus considérée comme stratégique, l'activité Services applications d'EDS France pourrait elle aussi disparaître. » Selon ce même salarié, sur les 500 suppressions de postes annoncées, 200 postes pourraient être supprimés en infogérance, une proportion équivalente dans les services applicatifs, et une soixantaine pourrait concerner les fonctions de support. Ni l'entreprise, ni les syndicats ne confirment ces informations pour l'instant. En revanche, les organisations syndicales valident le fait que certains collaborateurs d'EDS France ont été transférés dans l'organisation EMEA, les excluant de fait de la population visée par les suppressions de postes en France. Les applicatifs métiers ne font pas partie du modèle d'HP [[page]] Les syndicats partagent d'ailleurs ces mêmes craintes, sans pour autant entrer dans le détail des postes qui pourraient passer à la trappe. «Les applicatifs métiers d'EDS ne font pas partie du modèle HP, pas plus que les compétences qui y sont rattachées, expose Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central Sud pour EDS France. Sur la partie logiciels, on peut donc présager qu'HP ne cherchera pas à partager des savoir-faire, ni à mutualiser des compétences sur une activité que le groupe ne pratique pas. » En réaction aux 9300 suppressions de postes annoncées en Europe (dont 90% d'EDS), l'ensemble des organisations syndicales HP et EDS ont décidé d'appeler à manifester au niveau de l'ensemble des sites européens. En France, une journée d'action aura lieu le 13 novembre, devant le siège social d'EDS à Nanterre. HP n'aura toutefois pas à se soucier des effectifs de la division conseil EDS Consulting Services France : en septembre dernier, le cabinet de conseil en management et en stratégie opérationnelle Sia Conseil décidait de procéder à son acquisition.. (...)
(23/10/2008 13:24:21)EMC a fait plus que résister au troisième trimestre
Certes, la profitabilité d'EMC a baissé au troisième trimestre par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent (-17%), mais moins qu'attendu. Alors que le résultat du troisième trimestre 2007 avait été gonflé par la vente, pour 150 M$, d'actions de sa filiale VMware à Cisco. Le résultat opérationnel progresse d'ailleurs de 3,7% et la marge brute reste stable à 55%. De plus, EMC semble mieux se comporter que l'activité stockage d'IBM, son principal concurrent. Alors que les ventes d'IBM dans ce domaine fléchissent, celles d'EMC progressent de 11% à 2,9 Md$. L'activité d'EMC en Europe progresse plus vite (+20%) qu'aux Etats-Unis (+19%). L'activité Sécurité, née de l'achat de RSA, a augmenté de 11% à 147 M$. En revanche, celle centrée sur la gestion et l'archivage de documents stagne à 188 M$. EMC, qui détient toujours 84% du capital de VMware, consolide ses résultats (472 M$ de CA et 83 M$ de bénéfices nets). La direction a prévenu que l'activité au quatrième trimestre devrait pâtir du contexte économique général et ne progresser que de quelques pour cent. Il n'y aura donc pas de vingt-deuxième trimestre consécutif de croissance à deux chiffres. (...)
(23/10/2008 12:46:51)VMware enregistre une croissance trimestrielle de 32%
Beau troisième trimestre pour VMware. Le dernier avant que Microsoft n'ait fini de déployer ses premières batteries et que la crise ne déferle sur "l'économie réelle". Le CA sur le territoire américain a progressé de 24% à 249 M$. Il représente 53% de l'activité de VMware. Tiré par l'Europe, l'international a augmenté de 42% à 224 M$. Les ventes de licences (60% du CA) ont crû de 15% à 285 M$. Dans le même temps, les services ont bondi de 70% à 187 M$. Cette activité provient essentiellement de la maintenance logicielle (147 M$, +71%), un domaine où VMware est réputé pour pratiquer des prix supérieurs à ceux habituellement pratiqués. La marge opérationnelle s'établit à 101 M$, en hausse de 53%. Paul Maritz explique que VMware n'a perdu aucun client face à Microsoft et que ce dernier "est toujours derrière en terme d'annonces et qu'il ne comblera ce retard que d'ici 12 à 24 mois. D'ici là, nous espérons bien avoir continué d'avancer." La société, qui a subi le départ de trois dirigeants fondateurs au cours de ce trimestre, affirme qu'elle a su se réorganiser. Paul Maritz, le PDG de la société, pormet pour ce trimestre la disponibilité de VMware View 3.0, outil de gestion de la virtualisation des postes clients. En revanche, tout en confirmant l'arrivée d'annonces significatives pour 2009, il ne donne aucun détail complémentaire sur les trains d'annonces qui doivent constituer, à terme, Virtual Datacenter Operating System (VDC-OS). Malgré la crise, VMware maintient sa fourchette de prévisions de croissance pour l'année fiscale en cours entre 42% et 45%. Le rythme de ses embauches a toutefois été réduit. (...)
(22/10/2008 15:12:28)Dans le rouge, SanDisk n'intéresse plus Samsung
Temps difficiles pour SanDisk, spécialiste des médias de stockage sur mémoire Flash. Encore courtisée mi-septembre, lorsque Samsung lançait une OPA sur ses titres pour 5,85 Md$, la société clôt son troisième trimestre sur une situation totalement différente. Elle vient d'annoncer des pertes plus importantes que prévues. Samsung a retiré son offre et Toshiba, allié de SanDisk, lui rachète sa part dans leur société commune qui représentait 30% son outil de production. SanDisk va recevoir un milliard de dollars et compte réduire de façon drastique son train de vie : les investissements vont être divisés de plus de moitié à 1,3 Md$ et les autres dépenses réduites à minima. Sur un marché de la mémoire flash victime de surproduction, c'est la seule issue lorsque les pertes opérationnelles atteignent 250 M$ (contre un résultat positif de 109 M$ il y a un an). (...)
(22/10/2008 14:52:05)Trimestriels : le bénéfice de Wipro au point mort
Après Infosys, c'est au tour de son compatriote Wipro d'annoncer des résultats trimestriels en demi-teintes. La troisième SSII indienne a réalisé un chiffre d'affaires de 1,36 Md$ lors de son deuxième trimestre fiscal, en hausse de 36% par rapport à l'année dernière, mais le bénéfice stagne à 177 M$, soit à peine 1% de plus que le deuxième trimestre 2007. Comme d'autres SSII indiennes , Wipro subit la crise économique observé notamment aux Etats-Unis, où la société compte la majorité de sa clientèle. La SSII a par ailleurs souffert de l'augmentation des salaires en Inde, ce qui l'a poussée à ralentir sa politique de recrutement. Elle compte actuellement près de 100 000 employés. Prudent, Wipro note que « l'environnement économique mondial s'est dégradé de manière significative ces derniers mois, nos prévisions restent donc prudentes à court terme ». Wipro a récemment annoncé qu'il allait structurer sa présence en Europe, en créant des filiales par pays, afin de mieux s'adapter aux besoins spécifiques de sa clientèle, alors qu'auparavant tout était centralisé. La SSII a commencé par nommerun directeur général en France, Christophe Martinoli. (...)
(22/10/2008 12:43:03)Apple publie des résultats trimestriels historiques
« Apple vient tout simplement d'annoncer l'un des meilleurs trimestres de son histoire, avec une performance spectaculaire de l'iPhone - nous avons vendu plus de téléphones que RIM ». Steve Jobs, le CEO d'Apple ne cache pas sa joie suite à la publication des résultats du quatrième trimestre fiscal du constructeur (clos le 27 septembre). Sur la période, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de 7,9 Md$ en croissance de 27% à période comparée de l'exercice précédent. Son résultat net est passé quant à lui de 904 M$ à 1,14 Md$. S'agissant du trimestre qu'il vient d'entamer, le constructeur reste toutefois prudent face à la conjoncture économique difficile. Il table sur des revenus compris entre 9 et 10 Md$. Dans le détail, on constate que les ventes de l'iPhone, le téléphone mobile maison d'Apple, ont progressé de 515% pour atteindre 6,9 millions d'unités au quatrième trimestre. S'élevant à 11 millions d'unités, les ventes d'iPod sont elles aussi impressionnantes. Leur croissance se situe à 8% en volume et 3% en valeur. Enfin, le Macintosh reste une valeur sure pour le constructeur qui a écoulé 2,6 millions de ses ordinateurs, soit une hausse de 21% en volume et 17% en valeur. Au final, les excellents résultats trimestriels du constructeur lui permettent de publier un chiffre d'affaires annuel en hausse de 35% à 32,5,1 Md$. S'agissant de l'exercice qu'il vient d'entamer le constructeur reste toutefois prudent face à la conjoncture économique difficile. (...)
(21/10/2008 16:38:40)SQLI intègre les Google Apps avec le système d'information
Après avoir expérimenté et lui-même installé en interne les logiciels Google Apps, le groupe français SQLI propose maintenant des services d'intégration et d'accompagnement autour de la mise en place de ces outils de collaboration en ligne. Par rapport aux autres intégrateurs des applications bureautiques de Google, parmi lesquels figure Cap Gemini, SQLI peut ainsi s'appuyer sur son propre retour d'expérience, fait remarquer Guillaume Plouin, responsable de la veille IT du groupe, « en particulier sur tous les aspects de gestion du changement, d'adoption des solutions et de réaction de la DSI ». La résistance peut effectivement venir des départements informatiques qui ne voient pas toujours d'un bon oeil l'arrivée d'outils hébergés qui les court-circuitent quelque peu. SQLI a d'abord mis à l'épreuve l'agenda, le carnet d'adresses, le calendrier et les outils bureautiques de Google dans le cadre de son programme d'industrialisation de l'innovation 6mmx (bâti pour tester des technologies ou des applications innovantes avant de les proposer aux clients). « Google propose aussi du stockage de fichiers et de vidéos « qui s'apparente à un YouTube privé », rappelle Guillaume Plouin. Sans oublier Google Apps Engine pour développer des applications et les héberger sur la plateforme de Google. Ou encore Google Site, présenté comme un outil de wiki, utilisé comme espace de partage documentaire dans le cadre de projets. Intégration autour des API de Google SQLI a déployé les Google Apps auprès d'une centaine de ses collaborateurs. D'ici à la fin de l'année, le déploiement devrait concerner les 2 000 salariés du groupe. Parmi les prestations proposées par la SSII autour de ces applications figure l'intégration avec le système d'information de l'entreprise, par le biais de trois interfaces de programmation développées par Google. D'une part, l'API de provisionning qui permet à une entreprise de créer un compte chez Google quand un nouveau collaborateur arrive et de le supprimer à son départ ; « une mise en oeuvre qui n'a rien de trivial », souligne Guillaume Plouin. D'autre part, une API de synchronisation permettant de relier le calendrier de Google à d'autres calendriers, MS Outlook, notamment. Enfin, l'API de reporting qui servira à établir des statistiques d'utilisation des Apps. Outre son offre d'intégration et de gestion du changement, SQLI a élaboré un plan de migration vers les Google Apps ; un plan en plusieurs étapes (pilote, expérimentation, déploiement progressif) qui inclut la synchronisation d'applications sensibles telles que la messagerie. (...)
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