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(17/10/2008 14:44:11)

Wipro nomme un directeur général France pour accroître sa visibilité dans l'Hexagone

Depuis le 1er octobre dernier, Christophe Martinoli est directeur général de la SSII indienne Wipro en France. C'est une création de poste. Jusqu'alors, Ayan Mukerji le directeur Europe, pilotait la France et tous les autres pays du continent en direct. Mais l'essentiel de l'organisation se faisait par métier et depuis le siège en Inde. Wipro était donc très centralisée et n'était visible que par ses filières : industrie, retail, banque/assurance. La société s'est rendu compte des limites de son modèle, l'Europe étant plus compliquée que les pays dont elle avait l'habitude. C'est la raison de la création d'une direction générale par pays. Le développement et les ambitions de la SSII en Europe nécessitent une autre organisation pour mieux s'adapter aux clients. La France donne le coup d'envoi, l'Allemagne devrait suivre. C'est ainsi que Christophe Martinoli est devenu directeur général pour l'Hexagone. Il a passé dix huit ans dans les technologies essentiellement dans les services, par exemple chez Atos, et chez des constructeurs tels que Sun et Alcatel. Depuis trois ans et demi, il était responsable du secteur industriel de Wipro France. Trois centres de services créés en France [[page]] Désormais, il va devoir rendre Wipro plus visible en France. La filiale française a été créée en 2001. Depuis deux ans, plusieurs succès commerciaux l'ont médiatisée : Michelin, et selon notre confrère Les Echos, SFR . « Wipro va s'engager dans un deuxième palier d'organisation avec plus de maturité » nous explique Christophe Martinoli. Un centre de services est créé en Bretagne pour le secteur télécoms. Wipro compte deux autres centres, un à Clermont-Ferrand pour le compte Michelin, un à Sophia Antipolis en R&D sur la téléphonie sans fil et design semi conducteurs. « En terme d'offres, nous sommes au même niveau que nos grands confrères, précise Christophe Martinoli. En France, nous avons sélectionné quatre activités que nous mettons en avant : la maintenance applicative, les téléservices, les nouvelles technologies, le testing. » Christophe Martinoli veut encore renforcer les capacités de Wipro France en matière de consulting. Il compte aussi sur le concept de « global delivery model » de Wipro que ses confrères, selon lui, sont en train d'apprendre. Il s'agit de profiter de la couverture mondiale de Wipro en centres de services pour pouvoir accompagner un client à l'international ou au plus près de ses besoins en local. La SSII dispose de tels centres de services partout dans le monde, en Inde et en Chine principalement, mais aussi en nearshore comme les trois qui sont en France. D'autres existent au Caire, au Mexique, à Budapest. Ils regroupent chacun des managers, des directeurs de projet, des experts. A terme, Wipro aura aussi recours en France à la croissance externe. Pour l'heure, après la période d'apprentissage, elle entame le deuxième palier de structuration avec des centres de services et un directeur général. (...)

(17/10/2008 12:40:56)

Trimestriels Google : le mammouth surfe sur la crise

Rien n'arrête le mastodonte Google, pas même la crise économique qui sévit depuis quelques semaines. Le site a en effet annoncé des résultats trimestriels qui défient les attentes des analystes ainsi que les humeurs lunatiques de la bourse. Le chiffre d'affaires atteint 5,54 Md$, en hausse de 31% par rapport à la même période de l'année dernière. Le bénéfice net passe de 1,07 à 1,35 Md$, soit une hausse de 20,7%. D'après Eric Schmidt, PDG de la société, Google réussit en quelque sorte à surfer sur la crise : les entreprises sont contraintes de réduire leurs budgets marketing, et Google leur fournit une alternative financièrement avantageuse avec ses services publicitaires en ligne. Du côté des particuliers, même constat. La récession économique les pousse à utiliser davantage les moteurs de recherche et les comparatifs de prix pour trouver des produits à moindre coût. Un petit rhume de mammouth qui ne refroidit pas la bourse La croissance séquentielle - par rapport au trimestre précédent donc - est nettement moins impressionnante. Le chiffre d'affaires ne progresse en effet que de 3% sur cette courte période. Cela n'a pas empêché le titre de Google de grimper de 4% au Nasdaq hier. « Nous sommes très réalistes quant au climat économique actuel, mais nous sommes optimistes pour l'avenir », a déclaré Eric Schmidt. Google a d'ailleurs l'intention d'investir dans des secteurs en croissance, comme les services pour les entreprises ou la mobilité. En ce qui concerne l'affaire Yahoo, Eric Schmidt a déclaré que lorsque les sociétés ont signé en juin dernier, elles étaient conscientes que l'alliance serait controversée à la fois par la concurrence et par les autorités. « C'est la raison pour laquelle nous avons décidé de retarder sa mise en oeuvre , afin de donner au gouvernement américain la possibilité de l'examiner », a-t-il souligné. (...)

(17/10/2008 12:13:25)

Altran rallie le pôle de compétitivité Systeme@tic Paris-Region

Le groupe de conseil en innovation Altran vient de rejoindre le pôle de compétitivité System@tic Paris-Region qui rassemble quelque 380 acteurs (industriels, PME et scientifiques) autour de deux domaines technologiques, le logiciel libre et la conception de systèmes. Altran contribuera aux projets de recherche et développement portant sur les applications de télécommunications. La société indique que ses ingénieurs participeront à des réflexions sur les technologies émergentes telles que le très haut débit. Altran veut faciliter l'accès des marchés internationaux aux PME System@tic est par ailleurs impliqué sur deux autres marchés applicatifs, l'automobile et les transports d'une part, la sécurité et la défense, d'autre part. Le pôle francilien présente la particularité de compter de nombreuses PME dans ses rangs (167 en juillet dernier). Il en recrute une quarantaine chaque année et déploie des efforts particuliers pour les aider à se développer (trois d'entre elles siègent au bureau exécutif du pôle). En rejoignant System@tic, Altran dit vouloir s'engager aussi à faciliter l'accès de ces PME aux marchés internationaux auxquels son positionnement global lui donne accès. Sa collaboration aux activités de neuf autres pôles de compétitivité (Aerospace Valley, Cap Energies, SCS, Pégase, Mer Paca, EMC2, Images et réseaux, Mer Bretagne et Minalogic) permettra aussi d'étendre les interactions technologiques et commerciales. (...)

(17/10/2008 10:53:45)

L'April déplore l'absence du Libre du plan Besson

Même si le rapport France Numérique 2010 n'est pas encore officiellement dévoilé, l'April reproche au texte d'occulter le chapitre du logiciel libre. Préparé par Eric Besson, le secrétaire d'Etat chargé du Développement numérique, le texte n'est qu'un « plan timoré, édulcoré des propositions qu'il avait initialement faites en faveur du logiciel libre », estime l'association. Les 27 pistes de travail des Assises du numérique, présentées au mois de mai, prévoyaient pourtant une réflexion sur le Libre. Parmi les premières mesures soumises au débat, Eric Besson proposait de fixer un objectif de 20% des marchés publics 'logiciels' en Open Source et de considérer l'aide au Libre comme du mécénat. Deux idées issues du rapport Attali, sur la « libération de la croissance française », qui avaient d'ailleurs provoqué l'ire de l'Afdel. Le Libre « effacé du paysage de l'économie numérique » Cet été, le secrétaire d'Etat prêtait même une oreille à l'April en recevant deux de ses représentants venus lui réitérer les revendications de l'association. Peine perdue, semble-t-il, puisque le document final reste vierge de toute initiative relative au Libre. « A la lecture de son rapport, on a tout simplement l'impression qu'il a effacé le logiciel libre du paysage de l'économie numérique », regrette l'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre. Le rapport France Numérique 2012 sera présenté le 20 octobre, une semaine après la date initialement prévue , un retard dû à la priorité donnée à la lutte contre la crise économique. (...)

(17/10/2008 09:06:07)

Microsoft ne veut plus de Yahoo, comme ne le dit pas Steve Ballmer

Microsoft a tiré un trait sur l'acquisition de Yahoo après avoir fait feu de tout bois pendant plusieurs mois pour mettre la main sur le portail. C'est du moins ce qu'a affirmé l'éditeur de Redmond ce 16 octobre dans une communication laconique : « Il n'y a pas de discussion entre les deux entreprises. » Cette annonce est en réalité l'écho d'une sortie de Steve Ballmer, le patron de Microsoft, lors d'une conférence organisée par Gartner à Orlando. Un accord noué avec Yahoo « serait économiquement logique », selon le PDG du géant du logiciel, dont les propos sont rapportés par le Wall Street Journal. Conséquence immédiate de cette déclaration, le cours du titre Yahoo s'est envolé de plus de 15% au Nasdaq, au mépris de la crise économique affectant l'ensemble des valeurs technologiques. En fin de matinée, l'action Yahoo s'échangeait ainsi à 11,28$ avant de bondir à 13,58$ peu avant 13 heures. Dans sa vaine tentative de s'emparer de Yahoo, initiée au début de l'année, Microsoft proposait 33 $ par titre du portail, valorisant le groupe à 44,6 Md$. (...)

(16/10/2008 17:18:26)

Stéphane Negre prend les commandes d'Intel France

C'est désormais officiel : Stéphane Negre a été nommé directeur général d'Intel France le 8 septembre dernier. Il succède à Jean-Marc Dubreuil qui a quitté les rangs de l'entreprise. Présent dans le groupe Intel depuis 1990, le nouveau responsable de la filiale française était jusqu'ici directeur Europe des solutions logicielles. Un poste qui lui conférait la responsabilité des partenariats avec les ISV et les principaux intégrateurs de systèmes et SSII européens (...)

(16/10/2008 16:47:47)

Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée

Pour les 900 clients de SAP qui viennent de se réunir à Tours (15-16 octobre), la convention annuelle de l'USF (utilisateurs de SAP francophones) a abordé deux sujets majeurs : l'intégration de l'éditeur Business Objects au catalogue de SAP et la hausse du tarif des contrats de maintenance. Suite à la nervosité des clients de SAP sur la décision récente de l'éditeur de majorer le coût de son support, le Sugen, qui réunit la plupart des clubs SAP à travers le monde, a lancé en septembre une enquête pour sonder les utilisateurs sur cette évolution. Toutefois, les résultats, encore en cours de consolidation, ne seront communiqués par les clubs nationaux que début novembre. L'offre BW sera maintenue au moins quinze ans Lors de son intervention, Pascal Rialland, DG de la filiale française de SAP, a préféré longuement détailler le rachat de Business Objects, peu conflictuel, et ne consacrer que quelques minutes au sujet plus délicat de la maintenance. La fusion juridique entre BO et SAP a eu lieu en février 2008. SAP a rapidement voulu rassurer ses clients sur l'avenir de son propre module décisionnel BW et sur le futur de son offre en matière de décisionnel. La business intelligence sera clairement développée désormais uniquement sur BO, qui gardera sa transversalité et sa capacité à se connecter à des produits non-SAP, mais BW sera maintenu au moins quinze ans, permettant ainsi une migration en douceur au fil des besoins métier réels. Beaucoup de clients estiment ne pas utiliser à fond la maintenance standard [[page]] La disparition, le premier janvier prochain, de l'offre de maintenance dite « standard » à 17% du coût initial des licences et son remplacement d'office par une offre à 22%, dite « enterprise support », passe plus difficilement. Même si Pascal Rialland a voulu démontrer à quel point la mariée était belle : des conseillers accessibles en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, une prise en charge sous une heure avec un premier correctif sous quatre heures en cas de besoin, un engagement de niveau de service pour la solution SAP installée... Sans préjuger des futurs résultats de l'étude du Sugen, beaucoup de clients disent déjà ne pas utiliser tout ce que leur apporte l'offre « standard ». Ils estiment donc que l'augmentation de services est inutile pour eux et qu'elle génère un surcoût important. Devant la presse, le DG de SAP France a voulu se justifier davantage en mentionnant que certains clients, visiblement inconscients, ne voulaient pas couvrir convenablement par une maintenance de bon niveau leur installation SAP alors même que celle-ci était critique pour leur activité, obligeant (moralement ?) SAP à délivrer un service non-payé en cas de crash. Les mesures d'économie de SAP sans impact sur les clients, assure Léo Apotheker [[page]] En fin d'après-midi de cette première journée, Léo Apotheker, co-PDG de SAP, a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur pour apaiser les tensions Leo Apotheker a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur en fin de première journée pour apaiser les tensions sans vraiment apporter d'information nouvelle. Il a beaucoup insisté sur l'absence d'impact pour les clients de SAP des mesures d'économies décidées au sein de l'éditeur (dont des mesures sur l'emploi) et sur la solidité de l'entreprise. Rendant également un hommage appuyé à « l'écosystème SAP », Léo Apotheker a défini le réseau de partenaires de l'éditeur comme une des raisons de son succès. Après tout, il est vrai que, dans un écosystème, il y en a qui mangent et d'autres qui sont mangés, surtout si leur activité de maintenance est assurée par un éditeur en mal de prestations complémentaires pour justifier ses augmentations de tarif. « L'ancienne maintenance ne correspondait plus à notre monde » A propos de la nouvelle maintenance, Léo Apotheker a souligné qu'elle proposait une couverture globale de la « plate-forme » SAP, y compris les applicatifs non réalisés par SAP (notamment les personnalisations). « L'ancienne maintenance, celle de l'époque de R/3, ne correspondait plus à notre monde où la flexibilité et la complexité sont la règle » a-t-il indiqué. Et la nouvelle maintenance comprendra un outil qui tracera les impacts des patchs afin de ne pas obliger à des tests de non-régression complets à chaque évolution ou correction mineures. Mais cette approche « un seul service pour tout le monde » fait beaucoup grincer des dents parmi les utilisateurs et les dirigeants de l'USF ne se cachent pas de leur souhait d'un retour de l'éditeur à une variété dans son offre de maintenance, pour s'adapter aux besoins de chaque client. (...)

(16/10/2008 15:47:13)

Trimestriels : la crise n'épargne pas Cegid

A l'instar d'autres acteurs IT, l'éditeur de progiciels de gestion intégré Cegid voit ses résultats baisser au cours du troisième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires est en léger repli à 53,8 M€ contre 54,2 M€ un an avant (-0,75%). Sur neuf mois, le CA parvient tant bien que mal à se maintenir à 169 M€ (+1,3%). Le pôle matériels et installations est toujours en déclin (-6% pour le trimestre). Sur neuf mois, ce pôle a vu ses revenus passer de 17,9 M€ à 14,5 M€, soit une baisse de 19%. L'activité licences et services d'intégration auparavant rentable enregistre également une baisse de l'ordre de 6% au cours du troisième trimestre. Les autres services (conseil, formation et déploiement) continuent de progresser. Les rachats expliquent la baisse des résultats [[page]]L'éditeur lyonnais explique ces résultats par un « ralentissement de l'activité au mois de septembre et des décalages de décisions et d'investissements » ainsi que par les derniers rachats qu'il a réalisés (VcsTimeless pour se conforter dans la distribution et Civitas dans les collectivités territoriales et les établissements publics). L'éditeur estime que sur l'ensemble de l'année son excédent brut d'exploitation (Ebitda) ne devrait pas souffrir des remous économiques, sans toutefois donner de chiffres. (...)

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