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(22/09/2008 12:39:42)
Une version d'AIX 6.1 à prix réduit
Lancé en novembre 2007, le système d'exploitation AIX 6.1 d'IBM dispose désormais d'une nouvelle mouture plus complète, baptisée Entreprise Edition. Au système classique, celle-ci ajoutera des produits vendus jusqu'ici séparément, comme les partitions par charge de travail (WPAR) et le Workload Partition Manager pour les administrer et les transférer d'un serveur physique à l'autre. Trois produits de la gamme Tivoli seront également intégrés : Tivoli Application Dependency Discovery Manager (pour savoir quelle application utilise quelle ressource et à quel taux), Tivoli Monitoring, et IBM Usage and Accounting Manager Virtualization Edition for Power Systems. Le tout pour un prix allant de 595 dollars à 3 999 dollars par coeur, soit le prix normal d'Aix 6.1 Standard Edition et de Workload Partition Manager, les trois logiciels de Tivoli. (...)
(19/09/2008 17:32:46)Cisco s'empare du concepteur de messagerie instantanée Jabber
Cisco a annoncé aujourd'hui qu'il allait procéder à l'acquisition de Jabber, créateur d'un protocole ouvert de messagerie instantanée (également connu sous le nom de XMPP), concurrent direct de MSN Messenger. La transaction, dont le montant n'a pas été divulgué, devrait permettre à Cisco de se renforcer sur le marché de la communication en entreprise, et de marcher sur les plates-bandes de Microsoft. Cisco s'est d'ailleurs offert en août dernier la messagerie PostPath, concurrent direct d'Exchange Server, qu'il a intégré dans Webex Connect, sa plateforme collaborative à la demande. Basé à Denver, Jabber a développé une plateforme de communication basée sur des standards ouverts, capable de fonctionner sur divers systèmes de messagerie (AOL Instant Messenger, Google Talk, Yahoo Messenger ou encore Office Communications Server). Avec ce rachat, Cisco a l'intention de se présenter comme une « référence de l'interopérabilité dans les espaces collaboratifs », a déclaré Doug Dennerline, vice-président sénior de Cisco. A l'issue de l'opération, les salariés de Jabber intégreront le pôle CSG (Collaboration Software Group) de Cisco. (...)
(19/09/2008 16:45:09)Seedcamp 2008 retient sept start-up dont la Française Stupeflix
A l'issue de la semaine Seedcamp qui vient de s'achever à Londres le 19 septembre, sept start-up, dont la Française Stupeflix, ont été retenues pour participer au programme 2008. Elles pourront, pendant trois mois, séjourner dans la capitale britannique afin d'y rencontrer un réseau d'experts (entrepreneurs, avocats, recruteurs, investisseurs, experts produits, responsables marketing...) qui les aidera à valider leur projet, à constituer des équipes et à lever des fonds. L'objectif du programme se concentre en effet sur le développement des petites entreprises Internet sur le marché européen.
Stupeflix transforme les photos en vidéos
Parmi les sept jeunes pousses sélectionnées cette année figurent six équipes basées en Europe et une installée à San Francisco. La Française Stupeflix développe une solution permettant de transformer des photos en vidéos. De son côté, la Roumaine uberVU aide les internautes à garder la main sur leurs contenus distribués. La Galloise Basekit propose un service pour faciliter la création de sites Internet complexes et l'Anglaise Kyko s'est investie dans un service de jeux sociaux multi-joueurs. Basée à Vienne (Autriche), Soup simplifie le partage de contenus en ligne. Quant à Toksta, de Berlin, elle propose un service de messagerie instantanée et de vidéo en direct pour les réseaux sociaux. Enfin, l'Américaine Mobclix, de San Francisco, a constitué une plateforme de publicité ciblée et d'optimisation d'applications pour l'iPhone, le téléphone mobile d'Apple. (...)
Google impatient de mettre en application son accord avec Yahoo
Après Hal Varian, économiste en chef de Google, c'est au tour d'Eric Schmidt, son PDG, de défendre mordicus l'accord publicitaire conclu avec Yahoo. Estimant avoir suffisamment fait preuve de patience, Eric Schmidt n'entend plus ronger son frein à attendre le feu vert des organismes gouvernementaux chargés d'examiner la légalité de cette alliance. « Le temps, c'est de l'argent pour notre business », a-t-il déclaré, avant de préciser que Google maintenait le 11 octobre comme date butoir pour concrétiser son partenariat avec Yahoo, et ce quelle que soit l'avancée des enquêtes menées par les commissions antitrust américaine et européenne. Lors de la signature du contrat, les deux parties avaient en effet convenu de laisser passer trois mois avant de l'appliquer, afin de permettre aux autorités de se pencher sur le dossier. L'accord conclu en juin dernier par les deux géants d'Internet avait soulevé les protestions de certains acteurs du Web - Microsoft en tête -, qui craignaient l'émergence d'un mastodonte défiant toute concurrence sur le marché de la publicité en ligne. Sous la pression de ces sociétés ainsi que de l'Association of National Advertisers (qui regroupe les principaux annonceurs américains), le DoJ (équivalent américain du ministère de la Justice) a récemment fait appel à Sanford Litvack, un expert des questions antitrust, chargé de décortiquer les conséquences de l'accord Google/Yahoo. Lundi dernier, Bruxelles a également annoncé qu'il allait éplucher le dossier, même si l'accord ne concerne que les Etats-Unis et le Canada - du moins pour le moment. Dans son allocution, Eric Schmidt n'a pas manqué de dénoncer les agissements de Microsoft. Il accuse le géant de Redmond de vouloir saborder l'accord signé avec Yahoo. (...)
(19/09/2008 15:52:49)Bill Gates reprend la première place des fortunes américaines
Avec 57 milliards de dollars, Bill Gates repasse devant Warren Buffet au classement Forbes des plus grandes fortunes américaines. Mais, quand bien même Warren Buffet était désigné il y a quelques mois comme l'homme le plus riche du monde, Bill Gates n'hérite pas forcément du titre : le classement mondial ne sera connu qu'au printemps prochain. Bill Gates pourrait alors être de nouveau détrôné par Carlos Slim, qui a fait fortune dans la téléphonie au Mexique, ou Lakshmi Mittal, patron du géant indien éponyme de la sidérurgie. 30 milliards plus bas que Bill Gates et à la troisième place, on trouve Larry Ellison, patron d'Oracle et accessoirement patron le mieux payé des Etats-Unis, suivi de l'indétrônable famille Walton, propriétaire de la chaîne de magasins Wal Mart. Les patrons d'Amazon, SAS, eBay et Google entre la 33e et la 59e place Les places 11 à 14 sont trustées par les technologies informatiques avec, dans l'ordre : Michael Dell (17,3 milliards de dollars), Paul Allen (16 milliards, co-fondateur de Microsoft), Sergey Brin et Larry Page (Google, respectivement 15,8 et 15 milliards de dollars). Le quinzième ex-aequo est Steve Ballmer (actuel dirigeant de Microsoft, 15 milliards). [[page]] Toujours dans les TIC, plusieurs grandes figures sont dans des places très honorables : les ex-aequo à la 33ème place avec 8,7 milliards de dollars sont Jeffrey Bezos (Amazon) et James Goodnight (SAS Institute) ; le 54ème Pierre Omidyar (6,3 milliards, E-Bay) ; le troisième larron de Google, Eric Schmidt, émarge à la 59ème place avec 5,9 milliards de dollars... Steve Jobs 61e, Mark Zuckerberg 321e D'autres ont des rangs décevant au regard de leur ancienneté et de leur notoriété, comme Steve Jobs (Apple, Pixar) qui n'est que 61ème avec seulement 5,7 milliards de dollars ou Gordon Moore (Intel, 84ème, 4,4 milliards). Martha Ingram et sa famille, propriétaires du distributeur Ingram, sont 147ème avec 2,8 milliards de dollars. Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, est déjà dans le classement, à la 321ème place, avec 1,5 milliard de dollars. Juste après, Richard Egan, co-fondateur d'EMC, est 355ème avec 1,4 milliards de dollars, au même rang que Vinod Khosla, fondateur de Daisy Systems en 1980 et l'un des cofondateurs de Sun. Peter Thiel, impliqué dans Paypal et Facebook, n'est que 377ème avec 1,3 milliards de dollars. Patrick McGovern, dirigeant de IDG (propriétaire de la marque CIO), est 89ème avec 4,1 milliards de dollars, juste devant le cinéaste George Lucas (4 milliards de dollars). (...)
(19/09/2008 15:01:40)Amazon prépare un service mondial de livraison de contenu
Amazon se prépare à lancer un service en ligne de mise à disposition de contenu. Ce projet de "Content Delivery Service" (CDS) vient s'ajouter à la douzaine d'autres AWS (Amazon Web Services) déjà existants. AWS CDS s'adosse d'ailleurs sur le service S3 (Simple Storage Service) de stockage en ligne. Le coeur de cible d'Amazon se compose de sociétés qui distribuent des contenus numériques (MP3, photos, vidéos) ou des logiciels téléchargeables. Mais ces services s'adressent à toutes les entreprises qui ont besoin de diffuser d'importantes quantités de fichiers de par le monde. Opérationnel d'ici la fin de l'année Comme tout service en ligne, AWS CDS présente l'avantage de décharger ses utilisateurs de la gestion de ressources de stockage physique et de proposer une facturation à l'usage. Amazon affirme que son CDS est facilement accessible par l'entremise d'un jeu d'API. L'offre devrait passer du stade de bêta privée à celui de service opérationnel d'ici la fin de l'année. Amazon devrait alors donner des détails sur son coût. Il est prévu qu'AWS CDS soit proposé sur les continents américain, européen et asiatique. (...)
(19/09/2008 12:34:49)Trimestriels : Oracle traverse la crise avec une croissance de 18%
Malgré la crise financière qui ébranle actuellement la plupart des acteurs IT, Oracle parvient à maintenir la barre et à surprendre les attentes des analystes. L'éditeur californien poursuit sa lancée prometteuse de 2008 : le chiffre d'affaires grimpe de 18% par rapport à la même période de l'année dernière, à 5,3 Md$, et le bénéfice net s'envole à 1,1 Md$, soit une hausse de 28%. Dans le détail, ce sont les ventes de licences et les revenus récurrents qui sont le moteur essentiel de cette croissance. Ils ont en effet généré un chiffre d'affaires de 4,3 Md$ (+21%), surtout grâce aux revenus de la maintenance, qui représente à elle seule plus de la moitié du chiffre d'affaires d'Oracle sur le trimestre. La vente de nouvelles licences permet à Oracle d'engranger 1,2 Md$ supplémentaires, soit 14% de plus que l'an dernier. La mise à jour et le support des produits enregistrent également une belle croissance de 24%, à 3 Md$. La progression des services est plus modeste, mais toujours dans le vert (1,2 Md$, soit une hausse de 9%). Pas de commentaires sur l'impact des hausses de tarifs Les résultats d'Oracle ne semblent donc pas être affectés par l'augmentation importante des tarifs de certaines solutions annoncée en juin dernier (entre 15% et 20% pour les SGBD et les infrastructures, jusqu'à + 50% pour les produits BEA acquis en janvier 2008). L'éditeur a toutefois refusé de s'exprimer sur l'impact de cette inflation sur les décisions stratégiques de sa clientèle, estimant qu'il était trop tôt. Selon Gartner, Oracle détient 49% du marché des bases de données, devant IBM, Microsoft, Teradata et Sybase. Cette position permet à l'éditeur « d'investir dans l'amélioration de ses produits », a commenté Larry Ellison, CEO d'Oracle, lors d'une conférence téléphonique. (...)
(19/09/2008 12:11:49)Nvidia va supprimer 6,5% de ses effectifs
Nvidia va supprimer plus de 6% de ses effectifs dans le monde. Mardi dernier, la direction du fabricant américain de cartes graphiques a en effet annoncé un plan de restructuration qui se soldera par 360 postes supprimés. Les premiers départs interviendront dès la fin du mois d'octobre. Les personnes concernées par ces réductions de postes pourront bénéficier d'importantes mesures d'accompagnement (conseil, outplacement), a indiqué le fournisseur californien, en précisant que le montant des charges de restructuration se situerait entre 7 M$ et 10 M$. Le fabricant a également ajouté, par voie de communiqué, que ces coupes lui permettraient de continuer à investir dans des domaines considérés comme stratégiques, tels que la technologie Nvdia Cuda (Computer Unified Device Architecture), développée en langage C, ou encore Tegra, puce tout en un pour mobile. Grâce à ce virage, Nvidia compte renforcer sa compétitivité et améliorer ses performances financières. Le remplacement des puces aura coûté 196 M$ Ce plan de suppression intervient alors qu'il y a à peine un mois, Nvidia annonçait que le remplacement de ses puces défectueuses sur des portables Dell et HPlui avait coûté la somme de 196 M$. Cette annonce s'ajoute à un contexte économique défavorable, aux réductions de prix destinées à résister à la concurrence et à certains retards dans le lancement de nouveaux produits. (...)
(19/09/2008 08:57:44)IBM étend son programme de migration de serveurs à ses System z
IBM a décidé d'étendre à ses grands systèmes son programme de migration depuis des serveurs concurrents vers sa propre gamme. Il ouvre ainsi au System z le Migration Factory Program, jusque là réservé à ses autres serveurs, les Power Systems. « Réduire la complexité de l'administration, rationnaliser les actifs et ... déployer une informatique plus verte ! » Les arguments de Big Blue reprennent les qualités connues de ses mastodontes, en repeignant certaines d'entre elles d'une indispensable petite couche de vert. Ainsi, comme le rappelle le géant, un System z10 EC équivaut en puissance à quelque 1500 serveurs x86 mais occupe 85% d'espace en moins et réduit d'autant les coûts énergétiques. De l'évaluation de la consolidation à la validation de la migration Le programme Migration Factory pour System z comprend des évaluations gratuites pour une démarche de consolidation de serveurs ou le support à une migration SAP. Il intègre des services de migration logicielle (portage, migration du code, contrôle des risques associés à une migration applicative) et l'intégration du middleware. Bien sûr, IBM y ajoute des mises à jour systèmes et applicatives vers de nouvelles plateformes, l'assistance technique aux clients et aux partenaires, et enfin les tests et la validation de la migration. Rien qu'en 2008, IBM aura consacré 200 M$ et 800 employés dans le monde à ses programmes de migration de serveurs. Il aurait tort de ne pas en investir une partie sur les mainframes. On ne cesse depuis le début du millénaire de répéter que le mainframe n'est pas mort. Pour le prouver, IBM rappelle que son C.A. dans le domaine a plus que doublé depuis 2000. (...)
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