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(18/09/2008 17:21:16)
La crise bancaire américaine n'épargnera pas l'informatique
Comme le nuage de Tchernobyl avait sagement longé les frontières de l'Hexagone, on a pu croire que la crise dite « des subprimes " laisserait de marbre le marché de l'informatique. Mais finalement, elle pourrait bel et bien avoir des conséquences sur le secteur. De gros acteurs comme Dell, Ingram ou Nortel la subissent déjà et tirent la sonnette d'alarme (lire encadré). Le cabinet d'études américain Financial Insight, filiale du groupe IDC, confirme. Selon ce dernier, la banque Lehman Brothers, actuellement en faillite, représentait approximativement 3,1% des dépenses informatiques sur le marché des actions, obligations et services financiers, outre-Atlantique, en logiciels matériels et services. Chez Merryl Linch, la part se montait à un peu moins, soit 2,9% de la dépense informatique du marché des services financiers. Le cabinet considère que Merryl Linch pourrait réduire ses dépenses informatiques de 6% à partir du week-end prochain, suite à son rachat par Bank of America. Des opportunités sur le court terme pour les SSII Pour les entreprises de la IT, le secteur des services financiers qui a longtemps été une de ses vaches à lait, pourrait devenir un marché de moindre ampleur. Si l'on tient compte de la faillite de Bear Sterns, la cinquième banque d'investissement aux Etats-Unis, le cabinet estime que les opportunités de vente de logiciels matériels et services informatiques des 10 premiers établissements bancaires aux Etats-Unis pourraient diminuer d'un tiers. Seules les SSII pourraient y trouver leur compte sur le court terme : en effet, l'intégration des systèmes d'informations de Merryl Linch et Bank of America, suite au rachat de la première par la seconde, créera des opportunités pour les sociétés de services. (...)
(18/09/2008 14:10:15)Les PME innovantes restent calmes dans la tempête financière
Un sondage express conduit par le Comité Richelieu révèle que de nombreuses PME innovantes détectent déjà certains effets de la crise financière dans leurs relations avec leur banquier. Mardi dernier, 16 septembre, l'organisation constituée de PME a interrogé par courriel les 2 470 entreprises inscrites à son Pacte PME. Une seule question leur était posée : « Ressentez-vous dans vos relations avec vos banques les effets de la crise financière ? ». Sur les 468 réponses reçues en 24 heures, 43% de dirigeants avaient répondu « oui » et 57% « non ». Les commentaires associés nuancent le verdict, précise le Comité Richelieu. Pour les uns, le resserrement des crédits est sensible. L'organisation cite sur ce point Armand de Vasselot, directeur général d'Optimprocess, une société qui édite des logiciels destinés à simplifier l'analyse et l'optimisation des procédés industriels. « Les banques ne sont déjà pas généreuses avec des start-up comme la nôtre », rappelle ce dirigeant. La banque est rarement un partenaire financier en TPE D'autres patrons entrevoient tout de même une ouverture. Le Comité Richelieu cite Thierry Leroux, PDG de la société Eldim. Ce fabricant de caméras numériques haute performance note qu'avec la disparition des revenus financiers sur les produits dérivés, « les revenus des banques vont maintenant dépendre plus fortement des revenus 'entreprises' ». Ce qui peut amener certains établissements financiers à s'intéresser de plus près aux petites structures innovantes. Même nuance du côté des « non ». Certains répondants font remarquer que le banquier est rarement un partenaire financier pour les TPE. La crise financière n'a donc pas encore de répercussions sur leurs relations. Danone, 50ème grand compte signataire du Pacte PME[[page]] Très actif dans le soutien aux PME, le Comité Richelieu a créé le pacte PME avec Oseo fin 2005, avec l'objectif de faciliter les relations des PME innovantes avec les grands donneurs d'ordre. A ce jour, 50 grands comptes ont signé ce pacte, le dernier en date étant le groupe agro-alimentaire Danone. La semaine dernière, la CGPME (confédération générale des petites et moyennes entreprises) a rejoint l'initiative du Comité Richelieu pour une réflexion concentrée sur le développement du financement aux PME et sur la mise en valeur de l'innovation. Les deux partenaires vont constituer un groupe de travail autour des pôles de compétitivité, du crédit d'impôt recherche, de la nouvelle politique d'innovation d'Oséo, de l'accès des PME innovantes aux marchés publics et, donc, du financement, sans lequel les petites entreprises, toute dynamiques qu'elles soient, ne pourront pas croître comme il le faudrait. (...)
(18/09/2008 10:45:13)Dell s'inquiète d'une demande qui ne redémarre pas
Dell s'est inquiété, mardi dernier, d'une baisse de la demande persistante sur le marché informatique qui devrait être plus importante que prévue. Au cours de la conférence annuelle d'investisseurs de la Bank of America organisée à San Francisco (Californie), le directeur financier Brian Gladden a ainsi déclaré que l'entreprise s'attendait à un ralentissement de la demande mondiale du marché informatique au cours de ce troisième trimestre tout en visant une croissance de ses ventes supérieure à celle du secteur sur l'année. A la suite de cette annonce, le marché a sanctionné l'action Dell qui a plongé de plus de 10%. Au 2e trimestre, l'américain avait publié un bénéfice en baisse de 17% à 616 millions de dollars. A l'occasion de cette annonce, Dell avait déjà fait part de la prudence persistante en matière de budget en informatique aux Etats-Unis, prudence qui a gagné les marchés d'Europe de l'Ouest et certains pays d'Asie. Pas de reprise de la demande en septembre Selon Brian Gladden, aux Etats-Unis, dans les PME et bien évidemment le secteur de la finance, la tendance à la baisse continue. Et les budgets de certaines administrations sont gelés. En Europe, le Royaume-Uni et l'Europe du Sud sont particulièrement touchés, alors que l'Allemagne reste plutot faible. L'Europe de l'Est et le moyen Orient demeurent, eux, satisfaisants. Le directeur financier de Dell a cependant insisté sur un recul particulier des affaires depuis le début de l'été. Selon lui, le mois de juillet a été faible tout comme le mois d'août. Mais, comme il le rappelle, août est toujours un mois difficile à cause des vacances en Europe. A cela, cette année, se sont ajoutés les JO en Chine. Mais le problème, comme le constate le directeur financier de Dell, c'est que nous sommes à mi septembre, et que la demande ne redémarre toujours pas. Il est à noter, en dehors de la conjoncture économique internationale, que le constructeur qui peine à assurer le virage du PC de bureau au portable, a aussi subi la baisse des prix du marché sur ce type de produits. Au point qu'il envisagerait de fermer certaines de ses usines . Parmi les raisons qui expliquent une telle démarche, les mauvais résultats récents figurent en bonne place . (...)
(18/09/2008 09:35:42)Résultats Ingram : avertissement sur le 3ème trimestre
Ingram Micro annoncera les résultats définitifs de son troisième trimestre le 23 octobre prochain. Ce trimestre se clôture le 27 septembre, mais dès le 16 septembre, le grossiste a lancé un avertissement. Il avait prévu un chiffre d'affaires trimestriel compris entre 8,5 et 8,8 milliards de dollars (au plan mondial), et les analystes tablaient en moyenne sur 8,7 milliards de dollars. Il sera finalement compris entre 8,3 et 8,6. Le dividende par action sera compris entre 18 et 23 cents par action, au lieu de 31 à 36 comme annoncé par le grossiste et de 37 prévus par les analystes. Un mois de septembre anormalement mauvais Le CEO d'Ingram, Greg Spierkel a dû se livrer à une explication difficile. Il invoque des résultats plus mauvais que prévus pour le mois de septembre, un mois traditionnellement très fort en termes de ventes par rapport aux mois d'été. La mauvaise passe actuelle concerne aussi bien les Etats-Unis que l'Europe alors que beaucoup d'entreprises américaines souffrent d'abord sur leur territoire national. Pour l'Europe, Ingram n'a pas connu en septembre la hausse des ventes qui succède traditionnellement à une période d'été particulièrement morne. Aux Etats-Unis, où les vacances ne se traduisent pas en parenthèse commerciale, les ventes de septembre sont aussi plates que celles de l'été. [[page]] Conséquence, Greg Spierkel annonce une amplification de son plan de réduction des coûts, annoncé à l'automne 2007. « Nous allons réduire les coûts aussi vite que possible, notre programme de restructuration en cours prévoit de générer 18 à 24 millions de dollars de réduction des coûts en rythme annuel ». Déjà, plusieurs commentaires aux Etats-Unis, comme ceux de l'agence Reuters, rapprochent le cas d'Ingram de celui de Dell pour souligner que la demande des consommateurs étant en berne, le secteur des technologies devrait logiquement souffrir à son tour. Le directeur financier de Dell, Brian Gladden, a souligné cette baisse de la demande devant la conférence des investisseurs de Bank of America. Son discours a été prononcé le 16 septembre en même temps qu'était publié l'avertissement pour résultats de Ingram Micro. (...)
(17/09/2008 09:31:44)Greenpeace : encore trop de retardateurs de flamme bromés
Dans la neuvième édition de son 'Guide to Greener Electronics', Greenpeace explique que les constructeurs de PC ne sont toujours pas parvenus à concevoir une machine dénuée de PVC (polychlorure de vinyle) et d'agents ignifuges bromés (des additifs aux plastiques destinés à résister au feu), deux catégories de substances particulièrement polluantes. Pourtant, certains acteurs de l'électronique grand public sont désormais capables de produire de petits appareils sans ces substances toxiques. Au sommet du classement trône Nokia, une place que le constructeur retrouve après un an passé loin des premières places. Pourtant, le Finlandais n'a pas modifié les substances utilisées dans ses produits : le fabricant profite en réalité de l'amélioration apportée à son programme de collecte des appareils usagés, notamment en Inde. De plus, le classement récompense Nokia pour la faible consommation d'énergie de plusieurs produits, un nouveau critère retenu par Greenpeace. Sur ce terrain de l'économie énergétique, Apple, Sony Ericsson et Samsung sont également félicités par l'organisation. L'institution de défense de l'environnement s'inquiète en revanche de ce que les constructeurs continuent d'utiliser des retardateurs de flamme bromés et d'isolants à base de PVC. Aucun constructeur, indique Greenpeace, ne s'est montré en mesure de produire un ordinateur exempt de ces substances, même si certains tendent à en réduire l'usage. Des constructeurs, tels Dell ou HP, se défendent en arguant de l'absence d'une alternative non polluante qui soit suffisamment efficace pour empêcher la surchauffe. Nintendo abonné à la dernière position Fujitsu-Siemens passe ainsi de la 15e à la 3e position après avoir promis de cesser toute utilisation du PVC ou de brome dans la fabrication de ses produits d'ici à 2010. Même engagement du côté d'Apple : la marque à la pomme promet que sa nouvelle ligne d'iPod ne contient ni PVC, ni brome, ni mercure. Carton rouge en revanche pour le groupe de Steve Jobs, qui rend toujours aussi difficile et onéreux le changement de batterie dans ses baladeurs, ce qui incite les consommateurs à acquérir un nouvel appareil plutôt qu'à simplement remplacer la batterie. En queue de peloton, Nintendo fait figure de mauvais élève et semble abonné de cette dernière place. Les seuls points sur lesquels le constructeur japonais redore partiellement son blason concernent sa gestion des produits chimiques, ses projets pour réduire les substances polluantes (PVC et brome non compris), ses engagements à réduire les émissions de gaz à effet de serre et la publication de son empreinte carbone. (...)
(17/09/2008 09:43:33)Google monte au créneau pour défendre son partenariat avec Yahoo
Alors que les régulateurs américain et européens - pressés par de nombreux annonceurs - s'interrogent sur l'éventuel abus de position dominante susceptible de naître de l'accord publicitaire tissé entre Yahoo et Google, ce dernier reprend la main. Dans un billet publié sur le blog officiel du géant du Web, Hal Varian, son économiste en chef ( 'chief economist', un poste chargé de superviser les analyses financières d'une entreprise) se livre à un démontage de ce qu'il qualifie de « fausses idées » et de malentendus entourant le partenariat entre les deux géants du Web. Si Google restait plutôt silencieux alors que des salves de critiques s'abattaient sur cet accord et que les instances antitrust américaines recrutaient un expert pour préparer une éventuelle action juridique, ce mutisme prend désormais fin. Le gargantuesque moteur prend le pas sur ses détracteurs et présente ses éléments de défense en s'escrimant à démonter un rapport publié en juin par SearchIgnite, l'éditeur de solutions de gestion de campagnes publicitaires en ligne. Dans ce document, SearchIgnite affirmait que l'accord Yahoo/Google pourrait entraîner une augmentation de 22% des coûts de la publicité contextuelle sur Yahoo. Rappelons que ce partenariat prévoit l'affichage des publicités de l'un des acteurs dans les pages de résultats de l'autre. Un rapport qui n'avait pourtant pas fait de bruit [[page]] Les conclusions de SearchIgnite sont erronées, assure Hal Varian. Et d'expliquer en substance que les annonceurs seront les premiers bénéficiaires de l'association. Surtout, Google rappelle qu'il ne sera, pas plus que Yahoo, en mesure de fixer les coûts des publicités. Ils sont en effet déterminés à l'issue d'un processus d'enchères auquel se livrent les annonceurs. Dès lors, « les prix reflètent en définitive la valeur qu'accordent les annonceurs » à ce pour quoi ils enchérissent. Aux yeux de John Timmer, contributeur au blog Ars Technica, spécialisé dans l'analyse de l'actualité IT, il est étonnant de voir Google s'exposer autant pour répondre à des arguments avancés par une entreprise spécialisée dans le marketing. D'autant que le rapport en question n'avait pas vraiment fait sensation : « une recherche rapide sur Google News indique que 'SearchIgnite' apparaît seulement quatre fois, et une seule des réponses concerne l'accord avec Yahoo ([ces chiffres ont augmenté depuis, NDLR] », commente John Timmer. Pour le blogueur, le comportement de Google s'explique par « une hypersensibilité concernant tout ce qui dépeint défavorablement l'accord avec Yahoo, à l'heure où les régulateurs menacent de le saborder. » (...)
(17/09/2008 09:31:48)Seedcamp soutient activement les start-up Internet en Europe
Le programme Seedcamp, qui se tient à Londres jusqu'au 19 septembre, donne à vingt-trois start-up européennes l'opportunité de finaliser leur modèle économique, basé sur Internet, au contact d'acteurs reconnus de l'industrie informatique et des nouvelles technologies. Des représentants de Google, Microsoft, Mozilla et Cisco, par exemple, participent à cette initiative. Pendant une semaine, les participants à ce programme londonien vont bénéficier du regard avisé qu'une brochette d'ingénieurs et de spécialistes de la finance et du marketing portera sur leur projet. Des échanges fructueux qu'ils n'auraient jamais pu récolter dans un délai aussi court. Objectif n°1 : faire croître les talents en Europe Au milieu de start-up venant de France, d'Ukraine, de Slovénie, de Pologne, de Roumanie et du Royaume-Uni, on trouve aussi des projets d'origine américaine. Mais peu importe aux organisateurs de Seedcamp que le candidat s'engage à lancer et bâtir son activité en Europe. Car l'objectif de cette initiative, c'est bien de développer les talents en herbe de ce côté-ci de l'Atlantique, pour les conduire sur les traces de prédécesseurs européens de renom tels que MySQL ou Skype. L'initiative Seedcamp a été lancée l'an dernier par Saul Klein, ancien vice-président de Skype et partenaire de l'investisseur Index Ventures (très engagé auprès des jeunes pousses Internet), sur le constat évident que l'Europe attire moins les capitaux que les Etats-Unis. Comparée à la Silicon Valley, le « Vieux continent » est d'un abord moins facile, tant il mêle de cultures, de langues et de contextes réglementaires différents. « Pour beaucoup d'investisseurs, l'Europe constitue davantage une destination touristique agréable qu'une cible d'investissement », décrit Danny Rimer, d'Index Venture. Pour les fondateurs de Seedcamp, au contraire, l'Europe dispose de tous les ingrédients -environnement, talents, capitaux, modèles- pour servir de socle au développement d'acteurs technologiques de tout premier ordre. Une allocation de 50 000 euros pour cinq start-up [[page]] Lundi dernier, les start-up participant au programme 2008 de Seedcamp ont effectué l'une après l'autre une brève présentation de leurs projets. On y trouve des sites de voyage, des messageries instantanées, des solutions de développement d'applications Web, des outils analytiques pour l'iPhone... A l'issue des six jours du programme (14-19 septembre), cinq équipes seront sélectionnées. Elles recevront une allocation de 50 000 euros qui leur permettra de rester trois mois dans la capitale britannique pour engranger de façon intensive les conseils de juristes, gestionnaires, responsables produits et autres experts qui leur permettront de guider leur start-up entre les écueils jusqu'à la pleine mer. Alistair Hann, fondateur de la Britannique Zoombu, apprécie de rencontrer à Seedcamp des responsables ayant dirigé des activités très importantes. « On glane ici des retours d'expérience que l'on aurait mis plusieurs mois à recueillir autrement », reconnaît-il. Sa société de trois personnes a construit un site Web pour organiser un voyage de bout en bout en agrégeant les services de différents prestataires. Primoz Rome, lui, est responsable informatique de la société slovène Uniki. Cette start-up, qui a développé un système d'affichage interactif, rencontre des problèmes de croissance. Elle compte trouver des réponses à Londres. (...)
(17/09/2008 09:32:43)La SSII indienne Satyam pourrait supprimer 4 500 emplois
Satyam, quatrième SSII en Inde, pourrait supprimer 4 500 emplois. Selon la presse locale, qui s'est basée sur des sources internes à l'entreprise, ces réductions représenteraient 9% des effectifs de la société de services indienne. Vendredi dernier, 400 salariés de l'entreprise auraient déjà reçu une lettre de licenciement, rapporte The Times of India. Le quotidien économique précise que 1 500 autres salariés de Satyam seraient actuellement sur la touche, pour n'avoir pas atteint les objectifs fixés dans le cadre d'un plan interne d'amélioration des performances. La direction aurait également menacé 3 000 autres collaborateurs, en leur supprimant une prime, et en les sommant de s'améliorer ou à défaut de quitter l'entreprise. Des SSII tributaires des entreprises américaines Pour certains, la crise américaine des « subprimes », la volatilité du dollar auxquelles s'ajoute la menace d'une crise économique européenne, ont provoqué une baisse des investissements des entreprises vers les SSII indiennes. Du coup, celles-ci n'hésitent pas à explorer différentes pistes qui leur permettraient de réduire leurs coûts. Des SSII comme Tata Consultancy Services, Wipro ou Infosys, notamment, sont tributaires du marché américain, où elles réalisent les deux tiers de leur chiffre d'affaires. (...)
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