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(10/09/2008 17:24:11)

Et si la condamnation d'Arena faisait jurisprudence dans les SSII

Une délocalisation ne justifie pas toujours des suppressions de postes. Une question sensible en France, surtout dans le secteur informatique, et plus précisément dans les SSII Mais rare est la jurisprudence sur le sujet, par manque d'informations sur le mécanisme, la durée, le coût et les risques d'un éventuel procès. Or, le conseil des prud'hommes de Libourne (Gironde) vient de rendre une décision intéressante dans un tout autre secteur qui pourrait présager d'une évolution dans le secteur des services informatiques. La société Arena, qui a décidé de délocaliser son activité en Chine pour augmenter ses marges, vient d'être condamnée à verser 4,8 millions d'euros de dommages et intérêts à 91 ex-salariés, soit 50.000 euros chacun, pour licenciement économique abusif. Difficultés économiques, mutations technologiques, sauvegarde de la compétitivité La condamnation d'Arena pourrait-elle faire jurisprudence pour les salariés des services informatiques ? Selon le juge, en fermant son activité française pour la sous-traiter en Chine, l'industriel du textile cherchait à augmenter ses marges et non à les « rétablir » comme il l'avait affirmé. « Cette circonstance ne saurait à elle seule constituer un motif économique de licenciement suffisant », précise le jugement. Pour Philippe Lejard, l'un des avocats des ex salariés d'Arena, le licenciement économique n'est valable que si la suppression de poste est justifiée par des difficultés économiques présentes ou à venir, des mutations technologiques ou la sauvegarde la compétitivité de l'entreprise. «Le fait d'augmenter ses dividendes peut constituer une amélioration de la compétitivité, mais pas une sauvegarde, assure l'homme de loi. Pour une entreprise qui délocalise, faire fabriquer à moindre coût dans l'unique but d'augmenter sa profitabilité, n'est pas défendable. En revanche, celle-ci pourra faire valoir que l'augmentation de ses marges a pour but de la rendre concurrentielle par rapport aux prix et d' accroître ses investissements au titre de la R&D. » Les entreprises l'ont bien compris, d'après l'avocat. : « elles cherchent à contourner ces difficultés en privilégiant les départ volontaires en lieu et place d'un Plan de sauvegarde de l'emploi. » (...)

(10/09/2008 15:49:01)

La Cnam TS dématérialise 200 millions de documents

Les feuilles de soin papier reçues par les caisses d'assurances maladie rattachées à la CNAM-TS (Caisse Nationale d'Assurance Maladie des Travailleurs Salariés) étaient déjà dématérialisées depuis 2004 grâce à une solution fournie par l'éditeur Itesoft. Désormais, c'est la totalité des 200 millions de documents entrants qui sera dématérialisée, toujours grâce aux solutions de l'éditeur. Les documents numérisés seront traités grâce aux applicatifs de GED de EMC² Documentum et c'est Cap Gemini qui s'occupera de l'intégration. Le coût des licences et services fournis par Itesoft, versés sur l'exercice 2008 de l'éditeur (dont le chiffre d'affaires annuel en 2007 n'était que de 17,4 millions d'euros), sera de 1,8 million d'euros, soit le dixième de son chiffre d'affaires annuel. Le budget global du projet, nommé Diadème, n'a pas été communiqué. 25000 utilisateurs et 250 sites concernés Outre le volume global de documents traités (200 millions d'unités !), le projet est également remarquable par la complexité et la taille de l'organisation où il s'intègre : 25 000 utilisateurs et 250 sites rattachés à 132 caisses et 9 centres informatiques. L'objectif est de gagner en productivité, d'accroître le pilotage de l'activité et d'améliorer la qualité du service rendu. La diminution du coût du traitement des courriers n'est pas mentionné, contrairement à ce qui est habituel dans ce genre de projets. (...)

(10/09/2008 15:37:06)

Un expert antitrust se penche sur l'accord Google/Yahoo

L'accord publicitaire signé entre Google et Yahoo, alors que Microsoft cherchait encore à mettre la main sur le portail, serait-il appelé à connaître un sombre avenir ? C'est ce que les observateurs sont en droit de craindre à la lecture des informations révélées mardi par le Wall Street Journal. Selon nos confrères, le DoJ (équivalent américain du ministère de la Justice) aurait fait appel à un expert des questions antitrust pour étudier le dossier. Sanford Litvack, ancien vice-président de Walt Disney et, auparavant, en charge des problèmes d'abus de position dominante au DoJ sous la présidence de Jimmy Carter, va ainsi se pencher sur les conséquences de l'accord Google-Yahoo sur la concurrence. Rappelons que ce partenariat prévoit l'affichage de publicités issues de Google dans les pages de résultats de Yahoo. L'irruption d'un tel expert dans le dossier, les auditions de témoins et l'examen de nombreux documents pourraient, d'après le WSJ, laisser suggérer que le DoJ serait proche de faire tomber l'accord sous le coup des lois antitrust. Une position pour laquelle se bat l'Association of National Advertisers, qui regroupe les principaux annonceurs américains. Dans une missive adressée au DoJ, le groupement explique ainsi que l'association entre Google et Yahoo risque fort de nuire à la concurrence et d'entraîner une augmentation des tarifs publicitaires. De leur côté, les deux principaux intéressés se veulent rassurants. « L'accord est légal, explique Yahoo, et nous attendons avec confiance que les régulateurs le jugent favorable à la concurrence et au marché. » (...)

(10/09/2008 15:36:08)

Pléthore de revendeurs français prêts pour la virtualisation

Quels sont les revendeurs en Europe qui peuvent répondre à des projets de virtualisation ? Une étude de Compubase permet d'apporter des éléments de réponse à cette question. Le cabinet estime que sur 115 000 revendeurs, 20 000 ont une compétence en la matière. Avec 5400 revendeurs, la France serait la mieux lotie, devant l'Allemagne (3900) et le Royaume-Uni (2500). Le profil de ces revendeurs se dessine comme suit : 60% sont des prestataires de services (30% des revendeurs traditionnels) et 49% sont des PME. Ils s'adressent en priorité à des clients de taille moyenne (PME) dont beaucoup sont actifs dans le secteur des services en ligne. Signe de l'effort de formation à réaliser auprès des clients, la part de l'activité générée par les ventes sur le terrain est très prédominante (75%). En moyenne, ce type de vente ne dépasse pas les 60%. Ces acteurs évoluent sur un marché dont la forte croissance au cours des trois dernières années (+50%) ne devrait pas se démentir à court terme. Compubase propose une interface en ligne pour choisir parmi ces fournisseurs à partir de plusieurs critères. (...)

(10/09/2008 09:49:33)

Ares publie ses résultats trimestriels alors que le Tribunal prolonge la période d'observation

Ares publie ses résultats trimestriels. Ils concernent le premier trimestre de son exercice 2008/2009 et la période avril-mai-juin dernier. La société réalise un chiffre d'affaires (CA) de 24,6 millions d'euros (ME) dans le nouveau périmètre (services, PLM, intégration et solutions applicatives). Dans l'ancien périmètre, elle aurait réalisé 59,4 ME de plus. Prolongation de la période d'observation Parallèlement, le Tribunal de commerce d'Evry a prolongé la période d'observation de quatre mois supplémentaires. Une période au cours de laquelle seront connues les cessions du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) et de la société Databail. Le plan de départs et le nombre de licenciements devraient être également connus, jusqu'à présent le chiffre avancé portait sur 700 départs pour un total de 2 000 salariés. Ares a finalisé le 18 juillet dernier les cessions de SIS Ile-de-France à SCC, du pôle SIS Régions à Cheops Technology, Adequat a été mis en location-gérance à D.FI (avant une cession à 100% dans les mois à venir). La cession du pôle Aquitaine ne s'est pas finalisée. (...)

(09/09/2008 14:13:56)

Deux éditeurs français finalisent leur deuxième levée de fonds

Deux start-up françaises intervenant dans le secteur de l'IT viennent de récolter des capitaux significatifs, et ce pour la deuxième fois. Dun côté, Oslo Software, jeune société d'origine lyonnaise spécialisée dans les outils d'orchestration dynamique des ressources, a finalisé une deuxième levée de fonds de 2,7 M€ auprès de Script Capital, Capitalaira et NGI. Grâce à ce financement, l'éditeur compte accroître son avantage concurrentiel en accentuant ses investissements en R&D, en renforçant ses équipes et en déployant une stratégie commerciale adaptée aux attentes de ses clients en France comme à l'international. Une partie de ses investissements sera notamment destinée au développement de la filiale américaine de l'éditeur installée en Californie depuis deux ans. 7 M€ pour le spécialiste du stockage Active Circle Le Français Active Circle, fournisseur de solutions de stockage et d'archivage, a également conclu une deuxième levée de fonds d'un montant de 7 M€ auprès d'Innovacom, son investisseur historique, d'OTC Asset Management et du fonds européen Quest For Growth. Ces fonds devraient lui permettre de franchir une nouvelle étape, et d'accélérer son développement commercial à l'international. (...)

(08/09/2008 17:49:41)

Offshore : le Vietnam et l'Ukraine ont les salaires les moins élevés

La société Offshore Développement, qui se définit comme un portail d'informations en externalisation et sous-traitance internationales, vient de publier un baromètre 2008 des salaires des informaticiens dans les zones dites offshore. L'étude s'est s'appuyée sur les données fournies entre mars et juin 2008 par des agences de recrutement locales pour dresser un détail de la situation salariale des informaticiens, dans trois zones de destination offshore : l'Europe de l'Est, l'Afrique et la zone Asie-Pacifique. Elle regroupe également les chiffres des études réalisées sur l'offshore à ce jour (Gartner, NeoIT, etc) et des éléments issus de revues de presse. Evidemment, il s'agit là de dresser un état des lieux des pays dans lesquels les salaires sont les plus bas pour d'éventuelles externalisations, sans autre considération. En comparant les salaires pratiqués, à compétences égales, dans les zones offshore, avec le niveau moyen de rémunération des informaticiens en France, l'étude place la Biélorussie, l'Ukraine et la Moldavie en tête des salaires les plus bas d'Europe de l'Est. Dans ces pays, l'écart avec les salaires IT pratiqués dans l'Hexagone dépasse les 60%. Quant aux rémunérations des ingénieurs informatiques en Roumanie, ils varient entre 8376 euros par an pour les informaticiens juniors, 13 856 euros pour les cadres et 22 328 euros pour les managers. L'Afrique du Nord, avec le Maroc (salaires inférieurs de 43% par rapport à la France) et la Tunisie (-51%), figurent également en bonne place des zones à coûts salariaux intéressants. Les salaires sont un peu plus élevés au Maroc et à peu près au même niveau en Tunisie et sur l'Ile Maurice. L'Inde combine qualité et prestations à bas coûts [[page]]Concernant la zone Asie Pacifique, malgré une évolution des salaires à la hausse ces dernières années, l'Inde reste le leader des services offshore, combinant prestations à bas prix et expertise de très haut niveau, précise le baromètre. En Chine, le gouvernement met en place une politique très agressive à grand renfort de défiscalisation pour attirer les grands clients occidentaux. La Malaisie est aussi une destination attractive, mais c'est le Vietnam qui propose les niveaux de rémunération les plus bas, avec pour avantages le soutien du secteur TIC par le gouvernement, le développement rapide des infrastructures. Parmi les obstacles à sa croissance, Offshore Développement a identifié une pénurie de personnel qualifié, et un contrôle médiocre de la qualité. La destination la plus chère en termes d'externalisation est Hong-Kong, néanmoins réputée pour ses prestations informatiques de haut niveau. (...)

(08/09/2008 17:21:25)

La pré-version de BizTalk Server 2009 déjà diffusée

Microsoft a renommé 'BizTalk Server 2009' la prochaine version de son offre d'intégration applicative, jusque-là connue sous le nom de BizTalk Server 2006 R3 (la version actuellement disponible étant BizTalk Server 2006 R2). L'éditeur compte toujours la livrer au premier semestre 2009. Il s'agira d'une mise à jour complète qui permettra de tirer parti des dernières versions des produits d'infrastructure de Microsoft : Windows Server 2008 (système d'exploitation serveur), SQL Server 2008 (base de données), .Net Framework 3.5 (modèle de développement) et Visual Studio 2008 (environnement de développement). BizTalk Server 2009 fournira aussi le support d'Hyper-V dans le cadre d'environnements virtualisés. Une pré-version de BizTalk Server 2009, déjà fournie à certains clients, pourrait être plus largement diffusée afin la fin de cette année, Microsoft comptant s'appuyer sur les retours de ses utilisateurs pour valider et peaufiner le produit. Et, déjà, mais dans le lointain, se profile la version suivante, BizTalk Server 7, sur laquelle Microsoft promet des détails dès le début de l'année prochaine. BizTalk 2009 : compatible UDDI v.3 et ouvert sur Oslo Oliver Sharp, responsable de l'offre BizTalk Server, précise sur le site de Microsoft que la version 2009 apportera les améliorations réclamées par les utilisateurs, notamment un registre de services compatible avec la v.3 de l'annuaire de services UDDI, de nouveaux adaptateurs, notamment pour la suite applicative e-Business Suite d'Oracle, une meilleure intégration avec les systèmes CICS, MQ et IMS, des améliorations sur les échanges de données EDI, AS2 et Swift, de nouveaux outils de gestion RFID, etc. Oliver Sharp précise par ailleurs que les utilisateurs des versions 2006 R2 et 2009 de BizTalk Server auront la possibilité de tirer parti d'Oslo. Ce nom de code désigne la future plateforme de modélisation sur laquelle travaille Microsoft afin d'offrir aux développeurs un niveau d'abstraction plus élevé pour écrire leurs applications. (...)

(08/09/2008 16:39:18)

Sun peaufine des appliances de stockage virtualisées

Chez Sun, on promet l'arrivée d'ici la fin de l'année d'appliances de stockage virtualisées basées sur le concept FISHworks (Fully Integrated Software and Hardware). L'idée-force est de proposer un ensemble de logiciels associé à des composants matériels standard. Il est même prévu de laisser des OEM intégrer la pile logicielle à leurs propres appliances. Dell, qui commercialise actuellement une appliance baptisée Windows Storage Server ferait un OEM idéal... Ces produits NAS s'adresseront dans un premier temps aux grandes entreprises. La ligne FISHworks (qui devrait être commercialisée sous un autre nom) intègrera en particulier le gestionnaire de fichiers 128 bits ZFS (Zettabyte File System) et un outil d'analyse présenté comme très performant qui utilise la technologie DTrace (Dynamic Tracing). Le tout sous Open Solaris. Annoncée en février 2007, la mise au point de cette plateforme a pris du retard. Sans doute la raison pour laquelle Sun fait un effort de communication pour entretenir l'intérêt. (...)

(08/09/2008 11:56:11)

Syntec Informatique élabore un contrat d'assurance pour les entreprises du secteur

Le syndicat professionnel Syntec informatique a décidé d'accompagner les SSII et les éditeurs de logiciels dans la gestion de leurs risques, avec l'aide d'Aon France, un spécialiste du courtage en assurance et réassurance. Un contrat d'assurance a donc été spécialement négocié par les deux parties pour répondre à toutes les spécificités des quelque 870 entreprises des nouvelles technologies, membres de la chambre professionnelle. « Tous risques sauf » et label SIA Rédigé sous forme de « tous risques sauf » et labellisé par le syndicat professionnel à travers l'association « SIA- Syntec informatique Assurances », ce contrat précise par écrit toutes les garanties contre les conséquences financières résultant des risques suivants : obligation de résultat, engagements de performance, de délai et de réactivité, toute atteinte aux droits de propriété intellectuelle et/ou industrielle, y compris la contrefaçon de brevet, inobservation des règles de l'art et engagements contractuels de toutes natures qu'ils soient ou non formalisés par écrit. (...)

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