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(24/07/2008 16:45:42)

La quête de l'iPhone, chemin de croix des technophiles

Les jours se suivent et se ressemblent pour qui veut acquérir un iPhone. Les geeks de tout poil et autres technophiles impatients, à force de courir les points de vente, avaient fini par reporter leurs espoirs sur l'approvisionnement dont devait faire l'objet la boutique Orange des Champs Elysées. A 13h45, soit 15 minutes avant le début de la mise en rayon d'après les commerciaux de plusieurs agences, une file d'attente d'environ 250 personnes s'étire sur les trottoirs de l'avenue. Et ne cesse de s'allonger, sous les regards amusés des touristes. Comme dans un jeu de piste Une demi-heure plus tard, l'espoir de repartir avec le Précieux céde la place à une nouvelle déception : les stocks d'iPhone 16 Go sont vides. Seuls restent 200 modèles 8 Go. Et, une nouvelle fois, comme dans un jeu de piste, rendez-vous est donné dans d'autres lieux. Les agences de la rue de Rennes, Boulogne, République et Italie 2 devraient en effet recevoir le smartphone demain, à la mi-journée. D'ici là, pas question de se rabattre sur la boutique en ligne, qui affiche invariablement une rupture de stock sur tous les modèles. Contacté par la rédaction, le service de presse d'Orange s'avère incapable de communiquer le moindre renseignement sur les prochains approvisionnements, ni sur le nombre d'exemplaires déjà vendus. Et pour compliquer encore un peu plus les choses, le micro-site mis en ligne par l'opérateur pour suivre l'état des stocks de tous les points de vente n'affiche plus aucun renseignement. Certainement parce que les informations qui y apparaissaient ne reflétaient pas la réalité. (...)

(24/07/2008 16:29:08)

Neurones progresse de 16,5% au premier semestre

Avec 89,4 M€ de chiffre d'affaires (CA) au premier semestre 2008, la SSII Neurones affiche une progression organique de 16,5%, et de 19% au total. Ces résultats non encore audités concernent l'exercice semestriel achevé au 30 juin dernier. L'activité élevée du semestre entraîne une marge opérationnelle supérieure d'un point, avec 8%, à celle du semestre équivalent de 2007. Pour l'ensemble de l'année 2008, Neurones envisage un chiffre d'affaires total de 179 ME, contre 156 en 2007 et 130 en 2006. La marge opérationnelle annuelle serait comprise entre 8 et 9%. (...)

(24/07/2008 15:32:39)

22 nouveaux projets accordés aux pôles de compétitivité TIC

Dans le cadre du 6e appel à projets des pôles de compétitivité, le gouvernement annonce la validation de 99 projets ainsi que leur financement par l'Etat à hauteur de 109 M€. Ces projets émanent de 59 pôles de compétitivité et ont été choisis parmi 193 dossiers. Les collectivités locales ajouteront 75M€ au financement de l'Etat. Dans les pôles traitant des TIC, 22 nouvelles initiatives ont été validées. On trouve en tête, avec huit projets, le pôle francilien System@tic qui s'occupe de conception de systèmes. Du fait des efforts récents de ce dernier pour intégrer davantage les PMEdans ses travaux, la moitié des projets choisis sont portés par des petites structures. Celles-ci appartiennent aux groupes de travail sur le logiciel libre, les outils de conception et de développement de systèmes, la sécurité, la défense et enfin les télécoms. Huit projets pour System@tic, quatre pour Cap Digital L'autre pôle parisien, Cap Digital, spécialisé dans les techniques de l'image, se voit attribuer quatre projets. Le gouvernement en accorde un autre à Images et Réseaux en Bretagne, six à Minalogic spécialisé dans les nanotechnologies et installé en Rhône-Alpes, et trois pour le pôle SCS qui travaille sur les communications sécurisées installées en région PACA. L'ensemble des appels à projets des pôles, tous thèmes confondus, ont permis de soutenir 554 projets des pôles depuis 2005 (3,6 Mds € de R&D, 12 000 chercheurs, plus de 1,1 Md€ de financement public). Un septième appel à projets sera lancé mi-septembre. (...)

(24/07/2008 11:21:20)

Microsoft rend son activité online indépendante de Windows

Mercredi, à la surprise générale, Microsoft a décidé de réorganiser sa division plateformes et services. Les deux activités qu'elles réunissaient, Online Services Business et Windows OS business, deviennent désormais deux groupes séparés. Le géant de Seattle a également annoncé le départ de Kevin Johnson, patron de la défunte division, qui rejoint Juniper Networks. [Mise à jour]Un communiqué de de ce dernier confirme que Kevin Johnson devient tout simplement son PDG. Steve Ballmer compte ainsi reprendre le contrôle d'une activité qui se cherche désespérément depuis le lancement de Windows Live services, fin 2005. Microsoft a toujours su se lancer après ses concurrents sur les marchés majeurs pour mieux les rattraper, voire les dépasser. Une stratégie qui semble avoir trouvé ses limites face à un Google tout puissant dans le domaine des services et de la publicité en ligne. Un bon moyen de voir plus clair dans la stratégie online Selon Charlene Li, analyste indépendante pour l'industrie technologique, la séparation des deux activités « va permettre à Microsoft de clarifier sa stratégie online. On devrait commencer à comprendre à quoi correspond la marque Windows Live et ce que l'éditeur essaie d'en faire. Les deux offres (messagerie online d'un côté, OS Windows de l'autre) n'avaient rien à voir l'une avec l'autre. » L'activité Online Services Business a perdu 1,23 Md$ cette année, le double des 617 M$ perdus en 2007. Difficile par ailleurs d'oublier que Microsoft a échoué dans sa tentative d'accélérer le mouvement dans ce domaine en achetant Yahoo , ou tout du moins son moteur de recherche. Chris Liddell, directeur financier de Microsoft, a pourtant évoqué la semaine dernière de vagues plans d'investissements qui iraient principalement alimenter l'activité moteur de recherche et soutenir les revenus provenant de la publicité en ligne. A priori, certains des plus gros actionnaires du géant et certains analystes ne seraient pas très convaincus. La réunion annuelle des actionnaires se tient aujourd'hui, 24 juillet, et devrait permettre d'y voir plus clair. « Microsoft peut se permettre d'investir beaucoup sans se soucier trop du court terme » [[page]]Matt Rosoff, analyste pour le cabinet Directions on Microsoft rappelle pourtant que Microsoft a « l'habitude se donner des plans à 10 ans, et que sa course après Google a tout juste commencé il y a trois ans. Microsoft a réalisé 60 Md$ de CA l'an dernier, son activité est toujours en croissance et il peut se permettre d'investir beaucoup sans se soucier trop du court terme. » Quant au départ de Kevin Johnson, il apparaît plutôt logique aux observateurs. "Il avait en main cette stratégie online, de loin la plus grosse faiblesse de Microsoft, estime Rob Helm, un autre analyste de Directions on Microsoft. Il n'a rien fait pour améliorer la part de marché ou augmenter les revenus dans ce domaine, que ce soit par croissance organique ou par des acquisitions. [...] Il avait clairement un poste difficile et il pourrait bien ne pas être le dernier manager à tomber sous le même glaive. » A la décharge de Kevin Johnson, qui était derrière les négociations pour le rachat avorté de Yahoo, il avait aussi la charge de la florissante activité des produits Windows. A noter que le poste de manager pour la nouvelle division OSB reste à pourvoir... (...)

(24/07/2008 10:43:18)

Sony crée un consortium autour de sa technologie Transfer Jet

Il y a six mois, Sony présentait, lors du salon CES à Las Vegas, la technologie « tranfer jet ». Elle permet de relier l'ordinateur, l'appareil photo, le camescope, la télévison, sur une courte distance (moins de 3 centimètres), mais avec un débit correct (560 Mbps). Sont concernés : des transferts de fichiers, par exemple de photos, des musiques ou des films haute résolution. Il sufit de rapprocher deux appareils pour que l'échange se fasse. Toutefois, pour que « transfer jet » entre en application, il faut des appareils compatibles. Justement, Sony annonce maintenant la création d'un consortium : The TranferJet Consortium ». Il comprend : Canon, Kodak, Hitachi, Victor Company of Japan, KDDI, Kenwood, Matsushita, Nikon, Olympus, Pioneer, Samsung, Seiko-Epson, Sony Ericsson, Sony, Toshiba. Sony en sera l'administrateur. Ses travaux vont porter sur les spécifications de cette technologie, les outils de tests, les procédures de mise en conformité. Sont également au menu : la promotion auprès d'autres constructeurs et du grand public ainsi que la question des droits de propriété intellectuelle. Le consortium annonce l'apparition des premiers produits compatibles « transfer jet » courant 2009, sans plus de précision. Sa réussite permettrait de donner un nouvel élan au marché sans lancer d'appareils nouveaux, en renouvelant ceux existants. (...)

(24/07/2008 09:07:36)

SAP se débarrasse de TomorrowNow

Déjà évoqué en novembre dernier, la revente de TomorrowNow par SAP est désormais officielle. L'éditeur allemant se déleste ainsi d'un poids qui lui a empoisonné l'existence durant plus d'un an. TomorrowNow, racheté en février 2005, était au coeur d'un conflit opposant SAP à Oracle depuis mars 2007. Ce dernier accuse son concurrent d'avoir illégalement téléchargé sur ses serveurs des documents confidentiels liés au support de logiciels PeopleSoft et JD Edwards, et lui réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts. SAP a toujours nié une quelconque tentative d'espionnage industriel, en rejetant l'entière responsabilité sur TomorrowNow. Sa filiale américaine avait en effet accès aux serveurs de support clients d'Oracle, dans un cadre spécifique. SAP a profité de ce litige pour faire le ménage, en remerciant plusieurs dirigeants, comme Andrew Nelson, PDG de TomorrowNow. Pour le moment, TomorrowNow n'a pas trouvé de repreneur. SAP s'est donné jusqu'au 31 octobre prochain pour en dénicher un. Dans le cas contraire, l'éditeur allemand fermera purement et simplement sa filiale. SAP aidera les 225 clients de TomorrowNow à trouver un autre prestataire. 70 d'entre eux sont déjà clients chez SAP. Les autres auront le choix, y compris celui d'opter pour... Oracle justement. (...)

(24/07/2008 08:26:56)

IBM continue de se désengager de Lenovo

IBM continue de se désengager de Lenovo, constructeur chinois auquel il a vendu en 2005 son activité micro-informatique. Avant-hier, IBM a cédé près de 116,2 millions de titres au prix unitaire de 5,9 HK$ ce qui lui a permis de retirer 77 M$ de cette vente de 1,3% du capital de Lenovo. En 2005, lorsque le cours de l'action de Lenovo s'établissait à 2,67 HK$, IBM avait obtenu 15% du capital en échange de sa division micro-informatique fortement déficitaire. Depuis, IBM a progressivement vendu ses titres Lenovo. A la suite de la dernière opération, il n'en détient plus que 4,7% après avoir, à chaque vente, réalisé des plus-values. Juste après la vente par IBM de sa centaine de millions de titres Lenovo, les analystes de JP Morgan ont révisé leur appréciation de la situation de Lenovo, qu'ils jugent désormais surestimée. JP Morgan anticipe un fléchissement des marchés micro-informatiques grand public chinois et américains. (...)

(23/07/2008 15:56:50)

Trimestriels : Yahoo déçoit avec un bénéfice net en chute de 18%

A quelques jours de son assemblée générale (le 1er août), les résultats du deuxième trimestre publiés hier par Yahoo sont mitigés. Le chiffre d'affaires affiche 6 petits points de plus que l'an dernier, le bénéfice net est en perte de vitesse (-18%) et le bénéfice opérationnel (-45%) est plombé par les efforts déployés par Yahoo pour échapper à l'étreinte de Microsoft (22 M$ de frais juridiques), ainsi que par les investissement consentis pour améliorer la plateforme publicitaire du portail. C'est un ouf de soulagement que pourrait néanmoins pousser Jerry Yang - du moins temporairement. Malmené depuis l'OPA hostile lancée par Microsoft, Yahoo vient en effet de retrouver un semblant de quiétude, en signant un accord avec Carl Icahn, l'actionnaire milliardaire mécontent de l'obstination du PDG de Yahoo à refuser les avances de Microsoft. Au vu des résultats décevants diffusés hier, il vaut mieux pour Yahoo affronter la prochaine assemblée générale avec Icahn dans la poche. Reste à savoir si cet arrangement à l'amiable suffira à convaincre les autres actionnaires de faire confiance au conseil administratif actuel. A l'instar de son prédécesseur, Terry Semel, Jerry Yang pourrait y perdre la tête. (...)

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