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(16/07/2008 12:15:53)
IBM investit 1,5 Md$ supplémentaires dans la recherche sur les semiconducteurs
IBM va investir 1,5 Md$ pour stimuler ses efforts de recherche et de fabrication de semiconducteurs dans l'Etat de New-York. Il répartira cette somme entre trois projets sur les nanotechnologies, sans divulguer la somme affectée à chacun. Le géant va ainsi améliorer son usine de East Fishkill, étendre ses activités à l'Université de nanosciences et de nanoingénierie d'Albany, et créer un nouveau centre de recherche pour le packaging des puces dans un lieu qui reste à déterminer. L'Etat de New-York alloue au géant une subvention de 140 M$ pour ces projets. Il espère en effet que ces derniers génèreront un millier de nouveaux emplois high-tech sur son territoire. Les chercheurs d'IBM étudient la miniaturisation des circuits jusqu'au niveau de l'atome pour des semiconducteurs gravés à 32 nm et 22 nm (un nanomètre est égal à un milliardième de mètre.) Réduire ainsi la taille des circuits devrait permettre de fabriquer des ordinateurs plus puissants sans consommer plus d'électricité pour autant. Bien entendu, Intel et AMD ne sont pas en reste et améliorent constamment leurs technologies de fabrication afin de miniaturiser les puces. Le premier est passé à un procédé à 45 nm l'an dernier et AMD a prévu d'en faire autant dans l'année. Intel espère atteindre 22 nm en 2011. IBM étudie aussi les nanotransistors à base de nanotubes de carbone IBM travaille aussi sur la nanophotonique de silicium dont le principe consiste à remplacer certaines connexions sur la puce par des impulsions lumineuses sur de minuscules fibres optiques. Un moyen de transporter les informations à la vitesse de la lumière sans augmenter la consommation électrique. Big Blue travaille aussi avec certaines universités sur l'utilisation de nanotubes de carbone pour mettre au point des nanotransistors. (...)
(15/07/2008 14:58:04)Microsoft achète une qualité de données à SQL Server
Microsoft a acheté, hier lundi 14 juillet, le petit Israélien Zoomix, éditeur d'une technologie de qualité de données. Les termes de l'opération n'ont pas été divulgués. La gestion de la qualité des données automatise la vérification de la précision des données qui entrent et sont stockées dans une base - ainsi que celles auxquelles on accède pour un traitement décisionnel. Et c'est bien le rôle d'Accelerator, le logiciel de Zoomix, qui, pour ce faire, combine des analyses sémantique et linguistique avec un apprentissage par la machine destiné au classement, à la correspondance et la standardisation des données complexes dans les entreprises. « Aujourd'hui on se retrouve face à de telles quantités de données dans les entreprises qu'il est difficile de savoir ce qui est vraiment important - il s'agit de récupérer de l'information et d'en extraire de la connaissance, insiste Richard Ptak, du cabinet d'analystes IT Ptak, Noel & Associates. C'est pourquoi, de plus en plus souvent, les éditeurs de SGBD et de décisionnel intègrent dans leurs offres des fonctions automatisées de gestion de la qualité des données. Et ce, dans le but d'améliorer la qualité de l'ensemble de l'organisation des données. » Vérifier les données le plus tôt possible dans le cycle Microsoft intégrera les fonctions de Zoomix dans les futures versions de son gestionnaire de bases de données SQL Server. « Il compte s'attaquer en particulier aux données qui entrent dans le workflow, continue Richard Ptak, ce qui réduirait les erreurs et les incohérences. Les entreprises ont besoin de corriger ces défauts le plus tôt possible dans le cycle. » Aujourd'hui, Zoomix cible principalement l'industrie, la distribution, le commerce et la finance aux Etats-Unis, en Europe et au Moyen-Orient. Son équipe de développement rejoindra la R&D de Microsoft en Israël. (...)
(15/07/2008 12:57:44)Micro Focus s'offre Liant, éditeur d'outils Cobol
Le marché des outils et compilateurs Cobol continue de se concentrer. Micro Focus, qui vient de signer un partenariat d'intégration avec Microsoft, s'est porté acquéreur de Liant, un des quelques petits acteurs restants. Liant, qui édite RM/Cobol, est spécialiste des portages des applications écrites en Cobol pour AS/400 sur Unix, Windows et DOS.
Liant revendique 5 000 clients. Micro Focus a déboursé 5 millions de dollars pour cet éditeur. En mai 2007, il avait consacré 40,7M$ pour Acucorp et ses 4 000 clients.
Micro Focus fait partie des trois acteurs principaux sur le créneau du Cobol avec IBM et Fujitsu. Parmi les autres éditeurs spécialisés du secteur, mais de moindre envergure, figurent encore Envyr, Infinite Software, LegacyJ et Veryant. (...)
Sun licencie 1000 salariés américains, l'Europe va suivre
Sun vient de licencier 1000 salariés aux Etats-Unis et au Canada. Ces licenciements avaient été annoncés lors de la présentation des résultats du troisième trimestre fiscal, début mai dernier, au cours duquel le groupe a perdu 34 M$. Au total, le groupe a prévu de se séparer de 1500 à 2500 personnes, soit, au pire, 7,5% de ses 34 400 salariés, d'ici à la fin de l'année civile. Le département marketing serait un des plus touchés. Ce plan de licenciements est loin d'être une nouveauté chez Sun : quand Jonathan Schwartz a succédé à Scott McNealy au poste de PDG en avril 2006, le groupe comptait 38 000 collaborateurs. Il reste aujourd'hui 500 à 1500 départs envisageables. Le groupe cherche désormais à supprimer des postes dans ses filiales à l'étranger. Autrement dit en Europe, en Asie-Pacifique et en Amérique latine. Au total, Sun compte économiser 150 M$ avec tous ces départs. Et redorer son image auprès des investisseurs : le cours de l'action a subi une sévère chute ces derniers mois. L'action cotait 8,78$ hier 14 juillet 2008 au Nasdaq, contre 24,92$ le 12 octobre 2007. Un porte-parole de Sun a précisé que, parmi les licenciements déjà effectués, figurent des cadres dirigeants. Mais les noms de ces vice-présidents et de ces directeurs ne sont pas connus. D'où des rumeurs sur le départ de Jonathan Schwartz, le PDG. D'autres commentateurs s'interrogent sur la pertinence d'un rapprochement capitalistique entre Sun et Fujitsu, son partenaire dans le domaine des serveurs d'entreprise. (...)
(15/07/2008 12:38:06)Yahoo refuse de se laisser démembrer par Microsoft et Carl Icahn
Yahoo a refusé samedi 12 juillet une énième proposition de rachat par Microsoft. Le portail a en effet reçu la veille au soir une offre au parfum d'ultimatum. « Après avoir discuté entre eux sans consulter Yahoo, Microsoft et Carl Icahn nous ont présenté un « à prendre ou à laisser » [...], nous accordant moins de 24 heures pour répondre », a indiqué Roy Bostock, président de Yahoo. Dans une lettre, Yahoo détaille pourquoi il refuse l'offre d'un tandem qu'il qualifie d'« étrange et opportuniste », ne prenant pas en compte les intérêts des actionnaires, comme il l'a déjà dénoncé auparavant. L'actuel conseil d'administration estime plus fiable et plus rentable le récent partenariat avec Google (censé lui apporter entre 250 et 450 M$ dès la première année, puis 800 M$ chaque année). Le conseil ne pouvait pas s'exprimer autrement, l'offre impliquant un remplacement total et immédiat des membres qui le composent, Jerry Yang en tête. Microsoft et Carl Icahn avaient déjà déploré que le dialogue était impossible avec le conseil administratif actuel. Yahoo ne veut pas d'une vente par appartements Yahoo répugne en outre à l'idée d'être dépecé par les deux parties. Dans la proposition lancée vendredi, Microsoft s'attribuerait la partie moteur de recherche du portail, alors que le milliardaire américain mettrait la main sur le reste des activités de Yahoo. A ce carnage, Yahoo préfère une vente globale de la société, à un prix «juste et plein ». Roy Bostock enfonce encore un peu plus le clou, soulignant que Microsoft n'a jamais réussi à percer dans le marché de la recherche en ligne. L'offre telle qu'elle a été présentée vendredi serait certainement profitable au géant de Redmond pour rattraper son retard dans ce secteur, mais elle porterait préjudice aux actionnaires de Yahoo. Carl Icahn quant à lui n'entend pas lâcher prise. Il a déposé ce lundi 14 juillet une motion auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission, organisme américain chargé de surveiller les transactions boursières), demandant la désignation d'un nouveau conseil administratif. Il propose ses propres pions qui, eux, seraient favorables à un rachat par Microsoft. L'assemblée générale de Yahoo aura lieu le 1er août prochain. (...)
(11/07/2008 15:37:15)Eric Besson veut relancer la commission de la copie privée (MàJ)
Sauver la commission de la copie privée. C'est l'objectif des propositions dévoilées par Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, et visant à réformer la commission dite d'Albis, chargée d'établir les montants des taxes pour copie privée s'appliquant aux ventes de médias vierges et de matériel électronique. La commission, composée de représentants des industriels, des ayants droit et des consommateurs, fonctionne, il est vrai, de façon chaotique et contestée. Ainsi, les industriels ont-ils claqué la porte en début d'année en reprochant « le mauvais fonctionnement de cette instance ». De même, plusieurs actions devant le Conseil d'Etat ont été entreprises par des associations de consommateurs désireuses de voir annulée la décision établissant une taxe sur les disques durs et médias vierges. Le premier ministre lui-même avait laissé entendre que la commission avait bien besoin d'une remise à plat afin que ses décisions découlent enfin d'une « procédure objective et transparente ». Objectif d'Eric Besson : éduquer les consommateurs Les propositions avancées par Eric Besson prévoient d'améliorer la transparence des mesures touchant les consommateurs, et de modifier la façon dont sont prises les décisions au sein de la commission. Sur le premier volet, le secrétaire d'Etat envisage d'imposer l'affichage du montant de la taxe et d'un message explicatif justifiant son existence sur les produits qui y sont soumis. Une disposition censée permettre aux consommateurs de comprendre l'intérêt de ce prélèvement. « C'est une vieille demande, explique Frédérique Pfrunder, chargée de mission à la CLCV. Il est intéressant de donner une information, se sensibiliser le consommateur sur ce qu'est la copie privée et sur sa justification. » [[page]] Eric Besson suggère également d'augmenter les moyens de la commission d'Albis afin de lui permettre de commander des études indépendantes. Un changement d'envergure puisque, jusqu'à présent, ce sont les différents collèges qui diligentent les études servant de base aux réflexions de la commission. L'objectivité des conclusions n'est donc pas garantie et, si les industriels et les ayants droit disposent des moyens suffisants à l'organisation de telles enquêtes, ce n'est pas le cas des représentants des consommateurs. Enfin, le secrétaire d'Etat souhaite doter les décisions de la commission de la copie privée de davantage de légitimité. Pour cela, il propose de donner à son président le pouvoir de demander une seconde délibération d'une décision, qui devrait être prise à la majorité qualifiée. Une mesure qui laisse Frédérique Pfrunder sceptique : « Ca ne changerait rien. Aujourd'hui, toutes les décisions sont prises avec l'accord du président. Il faudrait plutôt donner à tous les collèges la possibilité de demander une double délibération. Ou imaginer un nombre égal de représentants des différentes parties.» Aujourd'hui, la commission de la copie privée est composée de 12 représentants des ayants droit, 6 représentants des consommateurs et 6 représentants des industriels. Dans le même souci d'apporter du crédit aux travaux de la commission, Eric Besson entend renforcer la représentativité de ses membres en impliquant, pour leur désignation, le ministère de l'Industrie et le secrétariat d'Etat à la Consommation aux côté du ministère de la Culture, aujourd'hui seul décisionnaire. Rien sur le calcul de l'assiette En revanche, Eric Besson n'évoque pas la façon dont doit être évaluée la taxe à l'avenir. En particulier, nulle mention n'est faite du problème crucial de la contrefaçon : l'assiette de la redevance doit-elle continuer à prendre en compte le manque à gagner des ayants droit dû au téléchargement illégal ? A cette question, les industriels et les consommateurs apportent une réponse négative ne souffrant aucune contestation. « C'est le vrai problème de fond, estime Frédérique Pfrunder. Certes, il est appréciable de constater qu'Eric Besson s'intéresse à la copie privée. Mais ce qu'il propose ne va pas assez loin, tout cela est en demi-teinte. » Les industriels, marris depuis le mois de février, font même de la suppression de la prise en compte de la contrefaçon la condition sine qua non de leur retour aux réunions de la commission. Leur politique de la chaise vide pourrait toutefois avoir courroucé Eric Besson, qui prévoit de sanctionner l'absentéisme. Au-delà de trois absences consécutives non justifiées, le mandat du représentant pourrait ainsi lui être retiré. Et les râleurs, écartés. Dernière minute : la commission retoquée par le Conseil d'état Dernière minute : nous apprenons à l'heure où nous publions ces lignes, que le Conseil d'Etat a finalement retoqué la commission d'Albis en annulant, comme le demandait le Simavelec (Syndicat de l'industrie de matériels audiovisuels électroniques), la décision de 2006 fixant le montant de la taxe pour copie privée pour un certain nombre de support. Motif invoqué par le juge administratif : « la détermination de la rémunération pour copie privée ne peut prendre en considération que les copies licites ». Une position conforme aux doléances des industriels et des consommateurs. Nous reviendrons sur cette information la semaine prochaine. (...)
(11/07/2008 13:35:08)Cegid et HP s'allient pour offrir une solution clé en main aux TPE
Partenaires depuis 15 ans, Cegid et HP proposent un package clé en main aux TPE qui souhaitent s'équiper en ordinateurs et en progiciel de gestion intégrée, et qui n'arrivent pas à s'y retrouver parmi la multiplicité des options et des interlocuteurs. Cette offre comprend le matériel (un ordinateur portable HP 6710b ou un PC de bureau HP dc5800) et des logiciels (le Pack Microsoft Office PME ainsi que le progiciel de gestion de Cegid, Business Line). L'ERP se décline en trois versions, Premium, Optimum et Millenium, et les prix démarrent à partir de 797 € pour un pack comptabilité, 887 € si on rajoute la gestion commerciale - ces tarifs prenant en compte un remboursement si le client passe directement par HP ou Cegid. « Avec cette offre, nous allons directement adresser notre clientèle TPE, et développer un canal de distribution complémentaire de notre voie traditionnelle, à savoir la préconisation par des cabinets d'experts comptables », explique Bertrand Gall, directeur marketing opérationnel chez Cegid. L'offre est disponible en mode SaaS (hébergée) ou sur poste de travail. Pour le moment, l'offre d'HP et de Cegid est générique, mais les deux partenaires devraient développer des solutions verticales avant la fin de l'année, afin de répondre aux besoins spécifiques de certains marchés, comme le BTP, l'hôtellerie-restauration ou la mode. (...)
(11/07/2008 10:46:32)Le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques récompense 60 projets informatiques
Cette année, pour sa dixième édition, le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques innovantes a récompensé près de 200 projets sur 1 174 dossiers reçus. Sur 175 lauréats, une soixantaine de projets informatique ont été sélectionnés. Dans la catégorie projets en cours de création ou de développement, l'éditeur Lemonway a été retenu pour sa capacité à innover dans la banque 2.0 et le guichet virtuel. Il s'agit en effet de mettre en oeuvre une plateforme mobile de paiement sécurisée multi-banques, destinée aux institutions financières. Une solution construite autour d'une boîte noire de sécurité permettant le cryptage et la compression des flux de données financières échangées directement entre les téléphones mobiles et les systèmes bancaires sécurisés. 230 000 € obtenus grâce aux subventions perçues à l'issue du concours Mais le projet nécessitait un budget important pour que les transactions puissent se faire directement par téléphone, sans passer par les banques. Dans certains pays, en Afrique par exemple, les établissements financiers ne sont pas toujours présents. « L'application nécessitait 230 000 € supplémentaires, que nous avons pu obtenir grâce aux subventions perçues à l'issue du concours », expose Sébastien Burleat, PDG de Lemonway. Désormais, ce programme innovant pourra compter sur les 400 000 euros de subventions offertes dans le cadre du concours. [[page]] Un label précieux pour attirer les investisseurs Le fait d'avoir été sélectionné à l'issue d'une compétition nationale permettra également au jeune entrepreneur d'augmenter ses chances auprès des investisseurs. « La rigueur des critères de sélection et la réputation d'excellence du concours crédibilisent le projet et lui confèrent un label précieux pour la recherche de financements complémentaires », précise le créateur de projet. Laurent Bourmault, concourait, lui, pour la seconde fois dans la catégorie projets en émergence. Cette fois, la récompense tant espérée a été attribuée à ShareNews Services, sa régie publicitaire en ligne à vocation culturelle destinée à valoriser le rôle des entreprises privées dans le financement de la culture. « L'an dernier, le projet avait pourtant retenu l'attention des organisateurs, se souvient-il. Mais il manquait de maturité et exigeait le renforcement des équipes qui travaillaient à son développement. » Cette année, il a su convaincre le jury. Du coup, Laurent Bourmault se prépare à participer de nouveau l'année prochaine, dans la catégorie création et développement. Ce type de concours est un moyen pour lui d'attirer investisseurs et business angels. Une priorité pour tout porteur de projet, selon lui. (...)
(10/07/2008 14:34:13)Sfeir renforce son capital de 5,7 millions d'euros
La SSII Sfeir vient de réaliser deux augmentations de capital, d'un montant total de 5,7 M€. « Cette somme a été récoltée auprès des actionnaires entrés il y a un an dans le capital de la société, notamment GITT et Borotra », explique Pierre Dalmaz, PDG de Sfeir depuis mai 2007. La SSII, spécialisée dans le développement de projets informatiques en Java, .Net, méthodologies Agile, GWT, Flex et Silverlight, compte surtout des clients dans la banque et la finance (près de 60% de son chiffre d'affaires) ainsi que les médias, l'environnement et les services. Sfeir utilisera cette augmentation de capital pour étoffer son offre, notamment ses pôles dédiés au CRM (gestion de la relation client) et au décisionnel. La SSII envisage de croître à la fois en interne et en externe, via des acquisitions, des partenariats ou encore des joint ventures. Présente en France (le siège social est situé à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine) et au Luxembourg, Sfeir prévoit d'ouvrir une agence en Belgique. A travers ces initiatives, la SSII a pour ambition de faire passer son chiffre d'affaires de 21 M€ en 2008 (exercice clos le 31 mai dernier) à 100 M€ en 2012. Créé en 1985, Sfeir emploie actuellement 350 collaborateurs (dont 250 en France). Elle a embauché 60 consultants en 2007, et espère en recruter entre 100 et 130 de plus cette année. A cet effet, la SSII a d'ailleurs refondu son site Internet, afin de le rendre plus attractif et plus ergonomique pour les candidats. (...)
(10/07/2008 10:49:22)Jerry Yang juge Microsoft déstabilisant
Au tour de Jerry Yang. Cela faisait deux jours qu'aucune des parties impliquées dans l'interminable saga Yahoo-Microsoft n'avait pas lancé une salve contre le camp adverse. Après Carl Icahn, lundi, puis Microsoft dans sa foulée, et Yahoo mardi, le portail garde la main avec l'entretien accordé par un Jerry Yang, le patron de Yahoo, déterminé à ne pas se laisser impressionner. « Faire confiance à Mr Icahn et à son équipe est un mauvais choix » Alors que Microsoft et Carl Icahn répètent inlassablement qu'un accord pour le rachat de Yahoo pourrait être trouvé si l'équipe dirigeante en place était désavouée lors la prochaine assemblée générale (prévue début août), Jerry Yang lance des avertissements. « Faire confiance à Mr Icahn et à son équipe est un mauvais choix », lance-t-il, comme s'il tenait à mettre en garde les actionnaires du portail de ne pas se tromper lors du prochain renouvellement du conseil d'administration. En d'autres termes, de ne pas céder leur vote à Carl Icahn, qui a lancé un proxy fight - ou bataille de mandats - afin de renverser l'équipe en place. Se faisant accusateur, le co-fondateur de Yahoo s'en prend également directement à Microsoft. Selon lui, « la déstabilisation dont Microsoft est à l'origine est devenue de plus en plus intentionnelle. » Mais que les actionnaires se rassurent, il existe une solution à ce désordre : Jerry Yang lui-même. Comme un candidat en campagne, le PDG du portail estime qu'il « peut ramener la stabilité au sein de Yahoo et veut continuer à bâtir cette entreprise. » (...)
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