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(07/07/2008 17:34:34)

Microsoft trépigne d'impatience à l'approche de l'AG de Yahoo

Plus l'échéance de l'assemblée générale de Yahoo approche, plus Microsoft met la pression sur le portail. Dans un communiqué publié ce 7 juillet, l'éditeur indique ainsi qu'il considère toujours l'acquisition d'une partie ou de la totalité de Yahoo avec le plus grand intérêt. Cependant, aucune transaction n'est envisageable tant que la direction actuelle reste en place : « Nous sommes arrivés à la conclusion que nous ne pourrons nous entendre avec eux. Nous réaffirmons toutefois qu'après l'élection [du conseil d'administration, ndlr] Microsoft pourrait entamer de nouvelles discussions ». De son côté, l'infatigable Carl Icahn se fend d'une lettre ouverte supplémentaire adressée aux actionnaires de Yahoo. Il y mentionne les nombreuses conversations qu'il a eues avec Steve Ballmer, au cours desquelles il apparaissait évident aux deux parties qu'« aucune transaction ne pouvait être envisagé avec le conseil d'administration actuel ». Rien de bien nouveau donc, les différents protagonistes campant sur les positions qu'ils défendent depuis des mois. Carl Icahn et Microsoft poursuivent leur travail de sape alors que Jerry Yang continue d'encourager les actionnaires de Yahoo à lui faire confiance et tente de sauver sa tête. Verdict début août avec le renouvellement crucial des membres du conseil d'administration du portail. Si l'équipe proposée par Carl Icahn était adoubée, l'avenir de Yahoo pourrait s'écrire à Redmond. (...)

(07/07/2008 17:13:10)

L'UFC-Que choisir conteste l'OPA de SFR sur Neuf Cegetel

L'UFC-Que Choisir vient de déposer devant le Conseil d'Etat un recours en annulation sur la vente à SFR, filiale de Vivendi, de la totalité de Neuf Cegetel. L'association craint que ce rapprochement ne menace la concurrence sur le secteur des FAI, en particulier sur la fibre optique, et de la télé payante. L'entité née de cette fusion se partagerait le marché avec un seul concurrent, Orange. Il est vrai que chacun des acteurs cités détient des accords exclusifs qui risquent de verrouiller le marché des contenus. Ainsi, si l'on considère Canal Plus (qui détient aussi des accords exclusifs) du côté de SFR/Neuf Cegetel, et les accords signés par Orange dans le domaine des contenus grands publics (football, séries), il ne reste plus grand-chose pour d'éventuels concurrents. L'UFC réagit tardivement au feu vert donné par le ministère de l'Economie le 15 février dernier. L'UFC-Que Choisir fonde sa requête sur le fait que les obligations consenties par Vivendi pour obtenir l'accord de l'Etat n'étaient qu'une façade. La plupart d'entre elles ayant déjà été accordées avant la cession. L'association réclame aussi un examen de la fusion par la Commission européenne et non par le gouvernement français en raison de la présence du Britannique Vodafone au capital de SFR (à hauteur de 44%). Toutefois, il convient de noter que SFR contrôle déjà plus de 68% de Neuf Cegetel. Par ailleurs, l'UFC s'étonne aussi du silence d'Orange. L'acceptation par le Conseil d'Etat de la requête d'UFC-Que Choisir suspendrait l'opération de rachat des titres. SFR détient déjà 96% de Neuf Cegetel. La plus haute juridiction administrative pourrait demander l'avis du Conseil de la Concurrence, que le ministère de l'Economie n'avait pas jugé bon de consulter. (...)

(07/07/2008 15:05:23)

Le club des utilisateurs de SAP analyse le rachat de BO

L'USF, le club des utilisateurs SAP francophones, a prévu de communiquer le document réalisé par sa commission BI (Business Intelligence) pour clarifier les choix techniques opérés par SAP sur son offre décisionnelle après le rachat de Business Objects. Cette synthèse, réservée pour l'instant aux membres du club (1 800 personnes, représentant 350 entreprises utilisatrices parmi les plus grosses), sera accessible à tous fin juillet. « Nous souhaitons en faire profiter le plus grand nombre et éduquer le marché », indique Jean Leroux, président de l'USF. Trente membres de la commission BI, qui rassemble quatre-vingt dix personnes au total, ont plus particulièrement travaillé autour des questions soulevées par le rachat de BO. Plusieurs rencontres ont eu lieu avec les deux éditeurs. Le document de synthèse livre les réponses de SAP et dresse une première feuille de route par lignes de produits (outils de front-end, de gestion de la performance financière et plateformes technologiques Netweaver/BIP). Des questions subsistent sur les coûts de licence et la migration La plupart des entreprises représentées dans la commission BI (parmi lesquelles Arcelor Mittal, Sanofi-Aventis, EDF, GDF, PSA, Saint-Gobain...) utilisent les outils décisionnels de Business Objects. Les auteurs du document, Christophe Machinet et Yves Cocaign, respectivement président et vice-président de la commission, notent que l'attention portée à la pérennité des deux offres « tient au fait que sur 45 000 clients Business Objects, 20 000 utilisent aussi SAP, mais seulement 20 à 30% ont des applications intégrées sur les mêmes données ». En introduction de leur synthèse, les auteurs indiquent que « la concentration des offres BI, suite à la fusion, était une attente forte des utilisateurs, notamment en termes de reporting, les outils de Business Objects étant jugés plus en avance ». Toutefois, ils pointent les questions qui subsistent, notamment sur les « perturbations engendrées [par le rachat] sur les coûts de licence et sur la charge de travail nécessaire à la migration ». [[page]] Enfin, Christophe Machinet et Yves Cocaign estiment que si, « pour les nouveaux projets, il est préférable, a priori, de s'appuyer sur les nouvelles applications », pour les projets nécessitant une importante reprise de données, en revanche, le « dilemme ne peut être tranché qu'au cas par cas ». Convention USF à Tours les 15 et 16 octobre Pour compléter ce travail, l'USF s'apprête à lancer une enquête pour faire remonter les attentes des utilisateurs sur les outils décisionnels. Les résultats en seront communiqués lors de sa prochaine convention qui se tiendra à Tours, les 15 et 16 octobre 2008, autour du thème « Technologie de l'information ou de la connaissance ? ». Commentant le sujet de réflexion choisi pour cette convention, Jean Leroux, président du club, rappelle qu'il y a une intimité très particulière entre l'outil d'analyse et le métier. « Les entreprises peuvent procéder à des investissements importants pour obtenir des cadrans de pilotage et des indicateurs, mais ce n'est pas pour autant qu'elles sauront les interpréter. Malgré cela, elles peuvent prendre des décisions irrationnelles, et c'est ce dont nous allons discuter à Tours. » (...)

(07/07/2008 14:43:30)

Serveurs : Gartner remet IBM premier d'un marché qui ne croît plus que de 2,5%

Le Gartner group a révisé son classement des vendeurs de serveurs pour le premier trimestre 2008. Du coup, IBM reste le premier en terme de chiffre d'affaires, à quelque 139 M$ devant HP. Malgré ce que Gartner disait en mai dernier, il faudra donc probablement attendre encore quelques mois pour que HP supplante pour la première fois IBM sur ce marché en valeur. Pour les volumes, étant donné la position dominante d'HP sur le créneau des serveurs X64, les jeux sont faits depuis longtemps. Le Gartner en profite pour revoir un peu tous ses autres chiffres. Ainsi, le marché des serveurs au premier trimestre ne progresse plus de 4% à 13,5 Md$, mais de 2,5% à 13 Md$. A l'exception de l'échange de place entre IBM et HP, le classement des autres fournisseurs et leur progression restent inchangés. (...)

(07/07/2008 14:23:26)

Le nouveau président de l'Acsel veut fédérer tous les métiers de l'économie numérique

Pierre Kosciusko-Morizet, fondateur et PDG de PriceMinister, a été élu président du nouveau conseil d'administration de l'Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne, qui regroupe 150 sociétés des technologies émergentes). Ce conseil a été renouvelé le 26 juin lors de sa dernière assemblée générale. Pierre Kosciusko-Morizet succède ainsi à Henri de Maublanc (cofondateur et PDG d'Aquarelle, le fleuriste en ligne), qui a occupé ce poste durant 14 ans, et devient président d'honneur de l'association. Le tout jeune président de l'Acsel (31 ans à peine) est membre de l'association depuis 2001, et administrateur depuis 2005. Il a pour ambition de continuer à fédérer l'ensemble des métiers gravitant autour de l'économie numérique : acteurs du Web 2.0, opérateurs mobiles, sites d'e-commerce, hébergeurs, portails, avocats, investisseurs... « La caractéristique principale de l'Acsel, c'est sa transversalité », explique Pierre Kosciusko-Morizet. Belle progression en perspective pour les achats en ligne Selon lui, la France a un retard à rattraper en termes d'économie numérique : « Seuls 50% des foyers disposent d'une connexion Internet (contre 75% en Grande-Bretagne, jusqu'à 85% dans les pays nordiques), et l'âge moyen d'un PC dans les universités est de sept ans ! », souligne-t-il en effet. Un constat que corrobore le rapport remis en janvier dernier par Henri Isaac à Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Pierre Kosciusko-Morizet déplore également certaines orientations que prend le gouvernement pour « légiférer dans tous les sens sur un mode d'achat qui fonctionne bien, et qui reçoit l'adhésion de millions d'internautes ». Les achats en ligne ne représentent que 5% du commerce de détail en France selon l'Acsel, mais devraient augmenter, notamment dans des secteurs comme les voyages, le high-tech, les produits culturels et aujourd'hui le textile, grâce au nombre croissant d'internautes femmes. (...)

(07/07/2008 12:15:20)

Croissance molle pour les ventes mondiales de biens technologiques

Selon GFK et la CEA (Consumer Electronics Association), les ventes mondiales de biens technologiques vont progresser de 9,4% à 678 Md$ en 2008. Un chiffre plutôt satisfaisant au regard « des cours du pétrole qui flambent et de l'économie en récession dans de nombreux pays », relèvent les deux instituts d'étude. Certes, mais il traduit également un ralentissement continu de la croissance du secteur qui était de 19,7% entre 2005 et 2006, puis de 14,3% entre 2006 et 2007. La faute en revient aux marchés matures de l'Amérique du Nord et de l'Europe occidentale qui devraient connaître un ralentissement cette année. Dans le même temps, la croissance en valeur des zones Asie et Océanie est attendue à 16,5%. Plus précisément, c'est le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine (le fameux Bric) qui devraient se montrer les plus dynamiques. Globalement, le téléphone mobile est resté, de loin, le bien technologique le plus populaire en 2008 (26,3% des ventes mondiales de biens d'équipement grand public, EGP). Le segment des écrans plats poursuit quant à lui sa progression avec une croissance en volume de 32,4%. Il draine ainsi vers lui 17% des dépenses mondiales, suivi de près par celui des PC qui représente 16,8% des achats totaux. Parmi les secteurs dont la croissance est en recul, on trouve celui des lecteurs MP3/MP4 qui s'affiche en hausse de 8,2% en 2008 contre 19,3% l'année précédente. De nouveaux points de croissance perdus en 2009 Durant l'année 2009, le scénario d'une croissance moins vigoureuse devrait se rejouer. GFK et la CEA estiment que le marché mondial des biens technologiques atteindra 720 Md$, soit un recul de 3,2 points sur un an. La zone EMEA et les Amériques ne devraient afficher que des hausses respectives de 2,8 et 2,7%, tranchant avec les 13,1% de progression des zones Asie et Océanie. Par segment de produit, la part des téléphones mobiles devrait continuer de croître, passant de 26,3% du total des ventes du marché de l'EGP en 2008 à 28,4% en 2009. Tout comme celle des TV LCD qui gagne 1,5 point à 15,7%. Celle des ordinateurs portables restera stable à 10,4% du marché. Un léger recul de la part des PC de bureau et des appareils photo numériques devrait être enregistré. (...)

(07/07/2008 11:39:08)

HP fédère les CMDB pour une vision unifié de la production informatique

Ne parlez plus à HP de CMDB mais de CMS. Autrement dit, la Configuration management database, référentiel des actifs informatiques et de leurs interrelations, devient un Configuration management system. Il permettrait de suivre l'intégralité du cycle de vie des actifs logiciels et matériels de l'entreprise, et servirait à élaborer des analyses d'impact, afin de prévenir d'éventuels conflits ou autres problèmes lors du déploiement. Suite à de multiples rachats (ces derniers mois : Opsware, Bristol Technology, Spi Dynamics...), HP a intégré diverses technologies à son offre BTO (Business Technology Optimization) de gestion et de supervision de la production informatique. Plusieurs annonces ont été effectuées à la fin du mois dernier, à l'occasion de la conférence utilisateurs HP BTO à Las Vegas. Parmi elles, donc, ce CMS qui instaure une véritable plateforme fédératrice. « Depuis la version 7 d'Universal CMDB, il y avait une technologie de réconciliation des données, précise Marc Bernis, directeur technique France pour l'offre BTO. Mais là, on peut récupérer sans les dupliquer les informations des autres CMDB [y compris celles des concurrents, comme BMC, NDLR], les mettre à jour de façon dynamique et bi-directionnelle. » HP a également mis à jour plusieurs de ses modules, dont l'offre d'automatisation de la gestion des serveurs, qui profite de l'intégration des technologies d'Opsware ; au menu notamment, la récupération automatique des correctifs. Un module d'analyse du code fait aussi son entrée, sous le nom App Security Center : l'outil, hérité de Spi Dynamics, vise à simplifier le déploiement des applications. HP a divisé par deux ses coûts de production informatique en utilisant son offre [[page]] A noter aussi le passage en v4.0 de Release Control, l'outil de HP pour superviser l'ensemble des demandes de changement et prévenir les « risques de collision », comme des changements simultanés sur une application et sur son serveur, ou une demande de changement alors que l'équipe compétente n'est pas présente, explique Marc Bernis. A cette occasion Release Control devient aussi disponible en mode Saas (Software as a service, logiciel utilisable en ligne), de même que Business Availability Center 7.5. Présentant ces évolutions, Marc Bernis en a profité pour rappeler les économies réalisées par HP en appliquant ses méthodes, les bonnes pratiques préconisées dans la v3 du référentiel Itil, et ses outils, pour moderniser son infrastructure. « Ces deux dernières années, nous sommes passés de 65 à 3 datacenters dans le monde, et de 6000 à 1800 applications. Le résultat financier : le coût de l'IT est passé de 4% à 2% du chiffre d'affaires, ce qui a dégagé des budgets pour de nouveaux projets. » Pour mémoire, HP a réalisé 104,3 Md$ en 2007 ; un budget IT de 4% correspond donc à 4,17 Md$, ou 2,67 Md€. (...)

(04/07/2008 16:45:02)

Vente liée : les industriels font de la résistance

Ils étaient environ quarante à s'être déplacés pour l'événement. Quarante représentants des consommateurs, distributeurs et fabricants, réunis hier par la DGCCRF pour une réunion de synthèse sur l'épineux dossier de la vente liée matériel informatique/logiciels. Les observateurs attendaient beaucoup de cette consultation, d'autant que le matin même Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la Consommation, s'était fendu d'une déclaration encourageante auprès de nos confrères du Parisien. Il estimait ainsi souhaitable que « sur le montant des ordinateurs, on précise le prix des logiciels préinstallés, afin que les consommateurs aient le choix et puissent se faire rembourser ». Pas de mesure concrète Quelques heures après l'issue de la réunion, il est difficile de tirer un bilan, aucune mesure concrète n'ayant été annoncée. Deux blocs continuent de s'opposer opiniâtrement : d'un côté, les distributeurs et fabricants ; de l'autre, les représentants des consommateurs et promoteurs du logiciel libre. Alors que ces derniers plaident inlassablement pour que cesse la vente liée - ou, à tout le moins, qu'elle soit encadrée -, les premiers ne rêvent que de statu quo. Il revenait donc à la DGCCRF de trancher le différend en avançant des pistes, sinon en imposant des mesures. Deux voies ont été évoquées : le remboursement et l'optionalité. Dans le premier cas, le consommateur achète un ordinateur sur lequel OS et logiciels sont pré-installés puis se tourne vers le distributeur pour se les faire rembourser. Dans l'autre, la machine est livrée avec des codes d'activation enfermés dans une enveloppe scellée ; l'acquéreur a donc le choix des logiciels qu'il utilisera. Cette solution obtient les faveurs de l'April car « elle poserait le moins de problèmes au consommateur », explique Jérémy Monnet, l'administrateur de l'association de promotion du logiciel libre. « Comme une voiture sans pneu » [[page]] Les industriels, en revanche, ne voient pas les choses du même oeil. Lors de la consultation organisée hier, les fabricants ont en effet botté en touche, estimant que ce concept d'optionalité était évoqué trop prématurément. « Ils se sont retranchés derrière des arguments fallacieux en prétextant qu'ils ne savaient pas que l'optionalité constituait une piste de réflexion et en réclamant du temps pour l'étudier », souligne Jérémy Monnet. Plutôt que de chercher des solutions profitables aux consommateurs, les constructeurs et distributeurs ont cherché à défendre la situation actuelle, en s'appuyant parfois sur un raisonnement peu convaincant. L'un des constructeurs aurait ainsi assuré que vendre un ordinateur sans logiciel serait une hérésie au même titre que proposer une voiture sans pneu. D'autres évoquaient les difficultés auxquelles ils seraient immanquablement confrontés si la mesure était imposée, promettant que les prix allaient doubler ou qu'il leur faudrait doubler le personnel dans les usines pour décoller les autocollants apposés sur les machines. « Face à tant de mauvaise foi, Bruno Parent, le directeur général de la CCRF, a clos la réunion rapidement », relate Jérémy Monnet. Et le patron de l'institution de rappeler que de nombreux procès sont en cours et vont coûter de l'argent aux industriels. S'il a accordé un délai de réflexion aux représentants de la distribution, il a également précisé qu'il n'est pas question d'attendre deux ans avant que l'Etat ne prenne ses responsabilités. Les industriels en restent sans voix En attendant que le gouvernement se décide à imposer le remboursement - peut-être pour la rentrée scolaire - ou l'optionalité, les hérauts du Libre continueront de faire le pressing. « Environ 50 procédures initiées par le groupe Racketiciel de l'Aful sont en cours. Dans un mois, on passe aux assignations : on va ainsi occuper des places dans les tribunaux au détriment de femmes battues ou d'autres citoyens attendant qu'un litige important soit jugé », menace l'April. Les industriels vont-ils se sentir contraints de revoir leurs positions et de respecter les dispositions du code de la Consommation proscrivant la vente liée ? S'il paraît probable que le choix ne leur sera pas laissé et que le remboursement leur sera imposé à brève échéance, il est cependant impossible d'obtenir confirmation de cette assertion. La DGCCRF n'a en effet pas souhaité répondre à nos question, nous expliquant qu'elle n'avait pas terminé ses réflexions, et tous les fabricants et distributeurs que nous avons tenté de contacter sont restés muets. (...)

(04/07/2008 07:38:08)

La facture du stockage explose

Au niveau mondial, le coût total du stockage en entreprise devrait passer de 1,3 Md$ cette année à 2 Md$ en 2009. IDC, qui estime que le coût des infrastructures de stockage augmente annuellement de 50%, prédit aussi que, chaque année, la facture énergétique (alimentation électrique et climatisation) progresse de 19%. Tout cela pousse encore plus les entreprises à optimiser leurs ressources de stockage. La crise énergétique qui s'installe pour durer doit les inciter à rechercher des équipements plus économiques. IDC prédit que les fournisseurs livreront, au cours des cinq à venir, huit fois les capacités qu'ils ont fournies au cours des onze dernières années. (...)

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