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(03/07/2008 17:34:35)

Yoono lève 2,5 millions d'euros pour développer de nouveaux widgets

La Silicon Valley porterait-elle chance aux start ups françaises ? Dix jours après la levée de fonds de 6 M€ réalisée par Seesmic,, le site de partage et de conversation vidéo créé par Loïc Le Meur, c'est au tour de Yoono de récolter 2,5 M€ auprès d'AGF Private Equity. Il s'agit de la deuxième levée réalisée par la société française, qui a déjà encaissé 1,6 M€, toujours auprès du même capital-risqueur (qui a notamment investi dans Meetic, Critéo ou encore Dailymotion). Créé en septembre 2007 par Pascal Josselin et Laurent Querel, deux anciens de la société de service SI System, Yoono a commencé par développer un logiciel d'extension pour navigateur Web. A chaque recherche effectuée, il propose des sites en relation avec la page visitée ou avec les favoris de l'internaute. Yoono a lancé il y a dix jours la version bêta d'une interface de navigation complètement personnalisable, grâce à des widgets. L'internaute peut l'enrichir avec les réseaux sociaux dont il est membre (Facebook, Twitter, FlickR, FriendFeed et Piczo pour le moment, MySpace très prochainement), ses sites favoris ou ses messageries instantanées. Il peut ainsi travailler sur autre chose, tout en gardant un oeil sur le statut de ces différents widgets, grâce à un petit logiciel baptisé BuzzIt qui assure toutes les notifications. Un aggrégateur de contenu contextualisé [[page]]L'internaute peut aussi discuter avec ses contacts, échanger des fichiers, et ce même si les deux interlocuteurs n'utilisent pas le même outil de chat. En d'autres termes, Yoono est une sorte d'aggrégateur de contenu, un peu comme Netvibes. « A une différence près, et de taille, défend Pascal Josselin. Nos pages sont automatiquement contextualisées en fonction de ce que l'internaute visionne, alors que les informations récoltées par Netvibes sont figées et ne s'adaptent pas à sa navigation ». En ce qui concerne le modèle économique, Yoono a noué un partenariat avec Yahoo en avril dernier. Le premier fournit au second une série d'informations sur l'internaute (historique de navigation, favoris, centres d'intérêts...) et le portail se charge de générer des publicités ciblées. « En aucun cas nous ne monnayons ces informations, et elles ne sont pas stockées sur nos serveurs, » tient à préciser Pascal Josselin. Les fonds serviront à recruter 5 personnes aux Etats-Unis La société emploie déjà une trentaine de personnes, à Paris et à San Francisco et elle compte investir les fonds récoltés pour embaucher cinq personnes aux Etats-Unis (en marketing ainsi qu'en R&D). La start-up souhaite aussi développer des widgets d'achat en ligne personnalisés (en partenariat avec des sociétés comme eBay) et mails. Yoono revendique 1,4 million d'utilisateurs, 200 000 visites uniques par jour, et affirme séduire 2000 internautes supplémentaires chaque jour. L'interface n'est disponible que sur Firefox pour le moment, mais le sera bientôt sur Internet Explorer. Elle peut être téléchargée gratuitement. (...)

(03/07/2008 12:46:51)

L'accord Yahoo/Google sous la loupe de la justice américaine

Le ministère américain de la Justice a lancé hier, mercredi 2 juillet, une enquête sur le partenariat entre Yahoo et Google, annoncé en juin dernier (quelques heures après le refus de l'offre de rachat faite par Microsoft). Cet accord prévoit l'affichage de publicités en provenance de Google sur les pages de résultats de Yahoo. Le DoJ (Department of Justice) sera chargé de vérifier si cette alliance ne bafoue pas les droits de la concurrence et ne lèse pas le consommateur. Microsoft avait été le premier à s'insurger contre ce rapprochement (qui devait initialement durer deux semaines), en le qualifiant d' « anticoncurrentiel sur le marché de la publicité en ligne », déjà largement accaparé par le mammouth Google. De son côté, Yahoo a du affronter le scepticisme, voire la colère de certains actionnaires - le milliardaire Carl Icahn en tête -, qui auraient préféré que Jerry Yang, PDG de la société, accepte l'offre de rachat de Microsoft pour 44,6 Md$. Jerry Yang et Roy Bostock, président de Yahoo, ont expliqué à leurs actionnaires les raisons de ce refus, ainsi que les bénéfices qu'apporterait l'accord avec Google. Selon eux, celui-ci devrait générer un revenu compris entre 250 et 450 M$ dès la première année, puis 800 M$ par an. (...)

(03/07/2008 11:07:01)

Avec Equipt, Microsoft va proposer Office sur abonnement

Equipt. C'est le nom qu'a choisi Microsoft pour baptiser sa prochaine suite logicielle contenant notamment Office, qui sera proposée sous forme d'abonnement. Dans les cartons de l'éditeur depuis plusieurs mois et désigné jusqu'alors sous le nom de code Albany, le produit illustre la volonté de Microsoft d'investir le champ des offres S+S (software et services) dans le domaine de la bureautique : le pack logiciel rassemble en effet Office Famille et Etudiant 2007, Windows Live Care, Office Live Workspace, Live Mail, Live Messenger et Live Photo. Soit une panoplie d'outils accessibles à la fois en local - pour les briques bureautiques et de sécurité - et en mode hébergé pour les autres services. 70 dollars par an Autre nouveauté, Microsoft s'adresse aux consommateurs en leur proposant une offre sous forme d'abonnement. Il faudra ainsi débourser 69,99 $ annuels pour avoir accès à Equipt, conçu pour aider les consommateurs à « équiper leur PC des services de base », selon Bryson Gordon, chef de produit Office. Le produit sera disponible à partir du 15 juillet aux Etats-Unis, puis rapidement dans d'autres pays. Le montant de son abonnement a été déterminé par ceux de Windows Live OneCare - 49,99 $ par an - et de la licence Office Famille et Etudiant - 149,99 $. Une batterie de bêta testeurs, qui a dû signer une clause de non divulgation, a également participé à la fixation du prix de l'abonnement. Ne pas laisser trop de latitude aux autres offres [[page]] Il ne fait guère de doute que Microsoft, en lançant Equipt, cherche à ne pas laisser trop de latitude aux offres bureautiques concurrentes hébergées, comme Google Docs ou Zoho, ou en mode local, comme OpenOffice ou Lotus Symphony. Autant de produits peu dispendieux, voire la plupart du temps gratuits. L'initiative sera-t-elle couronnée de succès ? Si l'on en croit Louis Naugès, le président de Revevol, la réponse ne fait guère de doute : c'est non. Il nous indiquait ainsi en janvier que le couple services en ligne / client local « est mort. Microsoft continuera à traîner des pieds pour le faire perdurer et ne pas tirer un trait sur les marges énormes issues d'Office. S'il bouge, l'éditeur crédibilise le concept [du tout hébergé, NDLR] sur lequel il n'est pas le meilleur. » Chez Microsoft, on minimise bien entendu cette volonté de concurrencer les Google Docs et autres Symphony. Pour Bryson Gordon, l'idée est plutôt de s'adresser aux consommateurs désireux d'acquérir une suite de sécurité - comme Live OneCare - mais qui pourraient renoncer à acheter Office pour continuer à utiliser une version antérieure, voire piratée, de la suite bureautique. « Nous avons diminué le prix du ticket d'entrée », résume le chef de produit. (...)

(03/07/2008 09:54:45)

Un vice-président de HP inculpé pour vol d'informations confidentielles d'IBM

Viré pour avoir volé les secrets... d'un concurrent. HP a mis fin à la carrière d'Atul Malhotra, le vice-président de sa division Imaging and printing, inculpé la semaine dernière pour le vol présumé de secrets commerciaux de son ex-employeur, IBM. De 1997 à 2006, Atul Malhotra occupait un poste de directeur des ventes au sein de la division Imprimante d'IBM. En mars 2006, encore au service d'IBM, il aurait demandé que lui soit remis un document contenant des informations confidentielles relatives à la facturation de certains services de son employeur, selon le Wall Street Journal. En mai 2006, Atul Malhotra rejoint les équipes de HP et, le mois suivant, entreprend d'envoyer un courriel à deux de ses vice-présidents sénior. S'il avait probablement pour dessein de satisfaire sa hiérarchie, le tribunal américain de San Jose lui reproche d'avoir joint à son envoi le document confidentiel récupéré quelques mois plus tôt chez IBM. L'objet des emails contenait certes la mention « seulement pour vos yeux », mais les destinataires n'ont pas fait preuve de la discrétion certainement espérée par Atul Malhotra. Ils se sont ainsi empressés de faire part de l'indélicatesse de leur récent collègue à la justice et à IBM. HP, qui cherche à se poser en champion de l'éthique après le scandale d'espionnage ayant éclaboussé ses plus hautes sphères en 2006, indique avoir ouvert une enquête interne aussitôt après que les faits lui ont été révélés. Le groupe assure avoir « pleinement coopéré avec l'enquête gouvernementale » pour faire la lumière sur des agissements « en totale contradiction avec ses principes de gouvernance ». (...)

(03/07/2008 09:03:54)

IBM réduit la concurrence sur le mainframe en rachetant PSI

IBM rachète finalement Platform Solutions (PSI), constructeur de mainframes compatibles, mettant ainsi terme à une bataille juridique entre les deux firmes entamée en novembre 2006. A l'époque, IBM avait intenté une action contre PSI pour contrefaçon de brevet. Le californien propose en des machines à base de processeurs Intel capables d'exécuter Unix, Linux, Windows mais surtout le système d'exploitation z des mainframes d'IBM... De quoi agacer Big Blue. Dès janvier 2007, PSI a contre-attaqué, accusant à son tour IBM de violation des lois antitrust et concurrence déloyale. L'association Computer and Communications Industry Association (CCIA), qui réunit des dirigeants seniors de l'industrie IT américaine pour la promotion d'environnements ouverts, a déploré cette acquisition. Selon elle, il s'agit pour IBM d'un moyen d'avaler un de ses concurrents les plus significatifs sur le marché du mainframe. PSI était en effet un des survivants crédibles du marché un temps florissant des mainframes compatibles. Il faut dire que ses fondateurs sont issus d'Amdahl, un des ex-géants du secteur. « Une acquisition qui conduira à une domination totale d'IBM » «Cette acquisition est comme un « trou noir, s'est ému Ed Black, président de la CCIA, dans un communiqué. Elle aspire toute la vie qui vient de ce marché et en détruit la matière. » Cette opération transforme un marché avec un vrai potentiel concurrentiel en un marché « avec de très faibles perspectives pour autre chose qu'une domination totale d'IBM ». Les termes financiers du rachat n'ont pas été dévoilés. Et son montant pourrait rester sous le seuil qui impose une revue obligatoire par les autorités de régulation antitrust européennes et américaine. Mais la CCIA encourage ces institutions sur les deux continents à bien étudier l'impact potentiel de cette vente sur le marché des grands systèmes. Plusieurs menaces de plaintes pour situation monopolistique planent encore sur IBM, provenant du département de la justice américain mais aussi de T3 Technologies, un autre vendeur de mainframes. Pour IBM, un moyen de renforcer la compétitivité de ses grands systèmes Pour répondre à la CCIA, Tim Breuer, porte-parole d'IBM, a rappelé qu'IBM avait ouvert ses mainframes en y accueillant Linux et Java ainsi qu'un grand nombre d'applications du marché. Selon lui, « IBM évolue dans un marché mondial très concurrentiel avec une grande variété de plateformes proposées par d'autres acteurs. L'acquisition de PSI est un moyen de renforcer la compétitivité de nos grands systèmes vis à vis de ces environnements. » Selon le Gartner, le marché global des mainframes dans le monde (incluant IBM mais aussi Unisys, Siemens, et les autres...) aurait perdu près de 12% en valeur l'an dernier. Politiquement correctes, les deux firmes ont exprimé leur satisfaction liée à cet acquisition. (...)

(02/07/2008 17:15:35)

Microsoft cherche des partenaires pour s'emparer de Yahoo

Quand c'est fini, ça recommence. L'inextinguible roman-fleuve Yahoo/Microsoft, qu'on a cru terminé à de multiples reprises, rebondit une nouvelle fois. Selon le Wall Street Journal, Microsoft, toujours aussi pugnace, chercherait désormais des partenaires pour mettre la main sur Yahoo. Parmi ceux-ci, le WSJ cite Time Warner et News Corp., des noms déjà évoqués dans ce dossier au cours des mois précédents pour avoir été approchés par...Yahoo. Selon nos confrères américains, le géant du logiciel souhaiterait s'emparer des activités de recherche du portail, laissant le reste des activités à son futur partenaire, idéalement un spécialiste des médias. Steve Ballmer, le patron de Microsoft, aurait même convenu d'une réunion avec Roy Bostock, président de Yahoo. Prévu pour lundi dernier, cet entretien aurait finalement été annulé. Le même jour, Yahoo avait fait parvenir à ses actionnaires une présentation de 32 pages résumant sa vision de tout l'historique de la négociation avec Microsoft depuis février, tout en défendant la stratégie de l'entreprise vis à vis de la proposition du numéro un du logiciel. Stratégie qui a conduit au refus de l'offre. La présentation de Yahoo qualifiait également de « mauvaise réponse » la suggestion de Carl Icahn de reprendre les négociations avec Microsoft. L'une des pages jetait même le discrédit sur le milliardaire en listant 15 entreprises dans lequel il a récemment investi et dont la plupart ont vu leur action baisser. (...)

(02/07/2008 12:00:28)

Dassault Systèmes transforme sa division commerciale PME en revendeur

Depuis 2006, le numéro un mondial du PLM Dassault Systèmes a récupéré d'entre les mains d'IBM toute la distribution de son offre. Aujourd'hui, il met la dernière touche à l'organisation de son réseau indirect à destination des PME en transformant sa division interne en une société de vente indépendante. Dassault Systèmes Solutions France devient ainsi Keonys. Cette opération entérine un fonctionnement déjà ancien, puisque la direction travaillait déjà pratiquement comme un revendeur à valeur ajoutée (VAR) quand la distribution aux PME était assurée par IBM. Jean-Yves Yung, à la tête de la division, devient président de Keonys et conserve l'équipe actuelle de 120 personnes situées en France, en Belgique et au Luxembourg. Dassault Systèmes et la nouvelle société Keonys ont signé un accord « General VAR Agreement » qui donne à la firme un statut de VAR. Comme les autres membres du réseau commercial, elle pourra revendre l'ensemble des marques de l'éditeur : Catia, Delmia, Enovia et 3dvia en France, en Belgique et au Luxembourg à destination des PME. Elle sera en outre l'un des premiers distributeurs du numéro un mondial du PLM à déployer la V6 de l'offre. (...)

(02/07/2008 09:09:59)

Marc Andreessen apporte son expérience du Net à Facebook

Marc Andreessen rejoint Mark Zuckerberg, Peter Thiel et Jim Breyer au sein du conseil d'administration de Facebook. A 37 ans, ce visionnaire d'Internet ne vient pas les mains vides. Dans ses bagages il compte par exemple la création de Mosaic, le premier navigateur Internet (1993) et de Netscape. Principal rival d'Internet Explorer, Netscape a été revendu en 1999 à AOL et définitivement enterré au début de cette année - non sans avoir produit une descendance qui connaît aujourd'hui son heure de gloire : Mozilla avec Firefox. Marc Andreessen a par ailleurs occupé la fonction de directeur technique chez AOL. Il a également lancé Ning, une plateforme qui propose de développer des réseaux sociaux en marque blanche (donc un concurrent de Facebook) et a investi plusieurs millions de dollars dans des sociétés Web 2.0 comme Netvibes, Digg, Plazès (racheté il y a quelques jours par Nokia) ou encore Twitter. Avec cette arrivée, le jeune Mark Zuckerberg (24 ans) se dote donc d'un bras droit expérimenté. Son nouveau conseiller pourrait lui éviter de reproduire certaines « erreurs de jeunesse », comme le lancement très controversé de Beacon, l'outil de ciblage publicitaire de Facebook, les dénis de service ou encore la découverte de failles de sécurité dans des albums censés être privés. (...)

(01/07/2008 15:13:24)

Overlap plus bénéficiaire que jamais grâce aux services

« Parler sans cesse de la baisse des marges ne sert à rien. La vraie réponse consiste à développer les services, qui représentent désormais plus de 25% du chiffre d'affaires d'Overlap, alors que la proportion est d'environ 10% chez les autres acteurs des infrastructures IT ». Si les termes choisis par Georges Horoks, le PDG du groupe Overlap, restent très diplomates, chacun comprend qu'il fait notamment référence à Arès, l'un de ses grands concurrents, qui a vendu une partie de son pôle infrastructures le mois dernier. « Notre volonté n'est pas d'affirmer que nous avons découvert la recette miracle, mais de rappeler que nous savons démontrer chaque jour à nos clients et à nos partenaires que notre valeur ajoutée est forte, indispensable et qu'elle mérite d'être rémunérée », ajoute Georges Horoks. Il est vrai que les résultats présentés le 30 juin par le groupe Overlap permettent à son dirigeant de se féliciter d'avoir choisi le bon cap. Quelques mois après l'intégration de MIBS , le résultat net a plus que doublé (3,7 M€ contre moins de 1,7 M€ pour l'exercice précédent) et le chiffre d'affaires a progressé de 33%. « On compte chez Overlap deux techniciens pour un commercial ; aucun de nos compétiteurs directs ne peut revendiquer un tel ratio », affirme Georges Horoks. Positionné sur le marché des infrastructures de type mainframe, Overlap est dans ce domaine le premier partenaire d'IBM et de HP, et il fait partie du top 5 chez Sun. Son chiffre d'affaires devrait progresser de 20% au cours de l'exercice 2008/2009 pour atteindre les 230 M€. Overlap devra dans cette perspective renforcer ses effectifs (480 personnes aujourd'hui) : 100 embauches sont prévues, dont 60 dans le domaine des services. (...)

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