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(25/06/2008 11:15:17)
Microsoft drague de nouveau Yahoo
Le feuilleton Yahoo-Microsoft a des airs d'histoire sans fin : la saga paraît devoir rebondir à chaque fois qu'on s'apprête à y apposer un point final. Ainsi, alors que l'accord publicitaire passé entre le portail et Google devait constituer l'épilogue des relations tumultueuses entre Yahoo et l'éditeur de Redmond, le blog TechCrunch indique que les deux acteurs auraient repris des négociations. A nouveau, comme aux plus belles heures de cet interminable dossier, il est question d'une acquisition. Mais l'offre formulée par Microsoft serait inférieure à 33 $ par action, soit moins que les précédentes propositions adressées à Yahoo. Ce dernier avaient déclaré à plusieurs reprises que 37 $ par titre constituait un minimum. Microsoft et Yahoo n'ont pas souhaité apporter de commentaire à cette information. En attendant le prochain rebondissement, le cours de l'action du portail a profité de la rumeur pour gagner environ 3%. (...)
(25/06/2008 10:55:18)Rackable Systems double la densité de ses serveurs
Avec ses cinq nouveaux serveurs, Rackable Systems double la densité de son offre actuelle. Ces systèmes seront disponibles du format 2U au format 9U (notamment pour l'offre Rackable de « datacenter in the box » - ou salle de serveurs modulable livrée en container). Et ils auront la particularité d'alimenter deux cartes mères avec une seule source d'énergie. Ce qui permettrait de doubler la capacité de calcul des serveurs sans consommer plus d'énergie, mais qui implique aussi qu'une défaillance sur l'alimentation risque de causer une panne de l'ensemble du système. Pour Goeffrey Noer, directeur marketing de Rackable Systems, ce n'est pas un problème. En doublant la densité totale dans une grande salle de serveurs, si l'une des alimentations tombe en panne, les autres serveurs peuvent supporter la charge. Ils tournent avec des processeurs bi- ou quadri-coeurs Intel ou AMD, la seule différence se situant au niveau de la mémoire maximale supportée (48 Go pour les serveurs à base d'Intel et 64 Go pour ceux à base d'AMD). Ces serveurs sont surtout destinés à des secteurs gourmands en calcul haute performance comme la banque, la pétrochimie ou la recherche scientifique. Ils seront disponibles d'ici un mois, mais Rackable Systems n'a pas encore annoncé de prix. (...)
(25/06/2008 10:58:05)Oracle fait flamber ses tarifs
Fort de ses positions dominantes, Oracle augmente ses prix comme il ne l'avait pas fait depuis longtemps. L'ampleur de la hausse moyenne -entre 15% et 20%- fait frémir. D'autant qu'elle s'ajoute aux réajustements réguliers, eux, de la puissance des CPU qu'applique Oracle pour ne pas pâtir des progrès des processeurs. Parmi les SGBD et les outils d'infrastructure, Oracle 11g Enterprise Edition augmente de 19% que ce soit en facturation par CPU ou par utilisateur. Les versions Standard et Edition One prennent 16%. Les clients les plus marris sont ceux de BEA, société qu'Oracle vient de racheter. La version haut de gamme du Weblogic Server (rebaptisée Enterprise d'Application Server) augmente de plus de 47%. Quant à la version d'entrée de gamme Weblogic Express, elle semble avoir purement et simplement disparue. Seul le décisionnel est épargné On peut aussi souligner la disparition des portails Workshop et AquaLogic de BEA ainsi que celle du serveur d'applications Java Edition d'Oracle. Le seul domaine ou Oracle n'augmente pas ses prix est celui du décisionnel. Sans doute par crainte de la force de frappe de SAP qui s'est renforcé avec le rachat de Business Object. En fait, Oracle procède même à une baisse de prix. Après tout, pourquoi l'éditeur se priverait-il d'augmenter ses prix vis-à-vis d'une clientèle quasi captive ? La réussite de sa très active politique de croissance externe à laquelle il a consacré plus de 20 Md$ lui permet de se placer à la première ou la deuxième place dans tous les secteurs où il opère. Premiers à commenter ces hausses, les spéculateurs en bourse n'y voient rien à redire. Bien au contraire. Ils poussent le cynisme jusqu'à minorer cette augmentation en avançant le fait que les grands comptes négocient toujours leur facture. Las, eux qui avaient pour habitude de chercher à obtenir une remise de 50% devront maintenant tabler sur plus de 60%... Ces analystes oublient benoîtement le cas des PME à la fois moins riches et moins bien armées. Elles n'auront d'autres choix que de se plier au diktat économique d'Oracle. Mais ce dernier n'est pas le seul à augmenter la pression sur ses clients. Il y a peu, SAP supprimait son tarif de base sur sa maintenance, contraignant tous les nouveaux utilisateurs à payer le prix fort. (...)
(24/06/2008 17:11:06)SAP rachète un partenaire dans la gestion de production
En rachetant l'éditeur américain Visiprise et ses solutions d'exécution de la production (MES, Manufacturing Execution System), c'est un partenaire de longue date que SAP accueille sous sa bannière. Le fournisseur allemand d'applications de gestion intégrées (ERP) a collaboré avec Visiprise sur différents projets, mis en oeuvre conjointement chez des clients de l'industrie discrète. Les logiciels de Visiprise s'appuient sur la plateforme d'intégration NetWeaver de SAP et sont déjà pré-intégrés dans l'application composite xMII (Manufacturing Integration et Intelligence). Cette dernière relie l'ERP aux applications utilisées dans l'atelier afin que les équipes de production s'adaptent plus rapidement aux modifications intervenant sur les commandes, les matières premières, la qualité, etc. Le montant du rachat de Visiprise, qui doit être finalisé en juillet, n'a pas été communiqué. Cette société de 300 personnes, installée en Géorgie, dispose aussi de bureaux en Californie et en Ukraine. (...)
(24/06/2008 16:12:17)Deux start-up auvergnates fusionnent au sein de LaFermeDigitale
Pas de spectre de bulle Web 2.0 pour les deux entreprises régionales Brioude Internet Référencement et Periscope Creations, qui fêtent leurs dix ans d'existence en fusionnant. La nouvelle entité, baptisée « LaFermeDigitale », compte pour le moment 90 salariés. Brioude Internet Référencement, basée en Haute Loire, emploie 54 personnes réparties sur huit sites. Comme son nom l'indique, la start-up est spécialisée dans le conseil en référencement. Periscope Creations, localisée à Clermont-Ferrand, dans le Puy de Dôme, est une agence Web qui propose des prestations Internet comme le développement de sites (Welcome in Auvergne ou encore le site de promotion du Développement durable de la Banque Populaire) et la création de jeux en ligne (Le Jeu du rugby par exemple). Les activités des deux start-up sont donc complémentaires. LaFermeDigitale devrait recruter une centaine de nouveaux collaborateurs au courant des trois années à venir, et compte sur une croissance de l'ordre de 30 à 40% par an, pour un chiffre d'affaires de plus de 10 M€ en 2009. (...)
(24/06/2008 14:27:59)Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal aspirent à une identité commune sur le Web
Une fois n'est pas coutume, Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal (filiale d'eBay) s'associent au sein de l'Information Card Foundation (ICF). Il s'agit de la énième tentative pour standardiser une identité numérique reconnaissable par tous les sites qui veulent l'accepter. Cette initiative se différencie des précédentes sur deux points. Tout d'abord, elle englobe des adversaires d'hier même si on note l'absence d'IBM et de Sun, pourtant très actifs sur le sujet. Ensuite, elle ne vise pas tant le volet technologique que l'interopérabilité des différentes approches. Une interopérabilité qui serait symbolisée par un logo. Les buts affichés par ICF relèvent donc plus de la promotion et de la fédération que de la standardisation technique. Toutefois, ICF pêche toujours par son approche "propriétaire". Ainsi, l'initiative Open ID, une gestion des identités Open Source et transparente, n'apparaît pas dans les premières informations diffusées par ICF. En attendant que des milliers de sites fassent leur choix, les utilisateurs auront toujours à gérer leur portefeuille de mots de passe. Au moins, ils ne risquent pas de voir leur identité passer sous le contrôle d'opérateurs privés... (...)
(24/06/2008 13:22:52)PAI grappille encore 2% du capital d'Atos Origin
Quelques jours à peine après son retour surprise dans le capital d'Atos Origin, PAI Partners se fait de nouveau remarquer. Le fonds d'investissement vient de racheter 2% des actions Atos détenus par Centaurus, confortant ainsi sa position de premier actionnaire de la SSII française, avec près de 20% du capital. PAI réclame deux sièges au sein du conseil de surveillance d'Atos Origin - une requête qui semble justifiée, le fonds d'investissement étant l'actionnaire historique de la SSII. Entre 1997 et 2000, PAI n'a pas cessé de promouvoir Atos. En 1997, le fonds a contribué à la création d'Atos, en favorisant le rapprochement entre Axime et Sligos. PAI détenait alors 100% du capital de la SSII, jusqu'à son entrée en bourse. En 2000, c'est également lui qui a contribué au succès de la fusion entre Atos et le Néerlandais Origin, donnant ainsi naissance à Atos Origin. PAI n'exclut pas d'autres achats d'actions PAI Partners souhaite « s'engager sur le moyen terme aux côtés de la direction, pour l'aider à réaliser son plan de transformation », une déclaration rassurante pour la société de services, qui a frôlé le rachat et même le démantèlement. Le fonds a également promis de ne pas travailler de concert avec un parti tiers, ni à prendre le contrôle de la société, mais n'exclut pas la poursuite d'achat d'actions d'Atos Origin. La SSII a encore une raison de souffler. Le fait que Centaurus cède aussi facilement une partie de ses actions à PAI pourrait mettre un terme définitif au conflit qui l'opposait depuis des mois à ses deux actionnaires principaux de l'époque, Centaurus et Pardus. Ce dernier n'a pas encore réagi. (...)
(24/06/2008 12:22:10)Nokia se paye la totalité de Symbian
Nokia annonce aujourd'hui son intention d'acquérir la totalité des parts de Symbian, l'éditeur du célèbre OS pour téléphone mobile. Le constructeur finlandais, qui possède déjà 48% de Symbian, devrait débourser 264 M€ pour mettre la main sur le reste du capital. Selon un communiqué, Sony Ericsson, Panasonic Mobile Communications et Siemens, auraient d'ores et déjà donné leur accord pour céder leur participation dans Symbian, soit environ 91% des parts n'appartenant pas encore à Nokia. Seul Samsung ne s'est pas encore prononcé. Cette annonce du géant de la mobilité n'est pas une surprise pour les observateurs du secteur. « Nokia a versé plus de 160 M€ de redevance à Symbian l'année dernière, il paraît donc cohérent de dépenser 264 M€ pour acquérir l'éditeur plutôt que de continuer à subventionner les autres actionnaires », explique ainsi Geoff Blaber, analyste pour CSS Insight. Au-delà de cette seule explication pécuniaire, Nokia pourrait vouloir renforcer la position concurrentielle de l'OS, sur un marché où d'autres prétendants montrent leurs dents. C'est notamment le cas de la plateforme Android de Google ou des projets Open Source menés par la LiMo Foundation. Parallèlement, et ceci confirme le point précédent, le Finlandais vient de créer la Symbian Foundation, aux côtés de Sony Ericsson, Motorola, NTT DoCoMo, AT&T, LG, Samsung, ST Micro, Texas Instruments et Vodafone. Tous pourront désormais utiliser le système d'exploitation mobile après avoir simplement versé une cotisation, et donc sans acquitter de redevance. Une partie du code de l'OS devrait passer sous licence Open Source et les efforts des participants viseront à bâtir une plateforme logicielle mobile ouverte. (...)
(23/06/2008 16:49:58)50 000 clients de HP réunis dans un réseau social
A peine officiellement créé, Connect, le groupe d'utilisateurs qui fédère tous les clients de HP, se lance dans le réseau social. Il est vrai qu'animer une association forte de 50 000 membres répartis de par le monde n'est pas une mince affaire. Connect a choisi d'utiliser les outils de Leverage Software pour créer son portail et aider chaque membre à trouver ses pairs. Il suffit à chacun de renseigner un profil "technique ", assorti de quelques informations personnelles (violon d'Ingres...) pour être mis en contact avec des personnes aux centres d'intérêt proches. Si ce réseau social fonctionne, Connect pourrait se poser en véritable force de proposition. (...)
(23/06/2008 12:35:14)Le fondateur de GoTo Software raconte 25 ans d'édition logicielle
Thierry Tarnus, fondateur et toujours actuel dirigeant de GoTo Software, revient sur les vingt-cinq années d'existence de sa société, dans un entretien filmé lors d'une conférence de l'IE Club. La manifestation, co-organisée le 5 juin dernier par l'IE Club, Microsoft et LeMondeInformatique.fr, ouvrait le débat sur la condition des éditeurs de logiciels en France pour le grand public : quel public viser, avec quelles technologies, quels moyens, quand aller à l'international... ? Toutes ces questions ont été débattues lors d'une table ronde, dont l'intégralité de la vidéo sera mise en ligne dans quelques jours. En guise de préambule, Thierry Tarnus a raconté comment il a eu l'idée de créer un logiciel qui a été distribué à des milliers et des milliers d'exemplaires avec des modems, puis comment il a fondé un des premiers fournisseurs d'accès à Internet, comment - aiguillonné par les nouvelles fonctions incluses dans Windows - il a pris le virage Internet après celui du Minitel... et comment aujourd'hui sa société, toujours implantée dans le Nord, vit encore de l'édition, notamment grâce à un logiciel de bridge. La vidéo de l'entretien avec Thierry Tarnus est en exclusivité sur notre site. (...)
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