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(20/06/2008 17:25:50)

Le fournisseur d'appliances décisionnelles Netezza s'installe en France

Représenté en France depuis 2005 par l'intégrateur de projets décisionnels Keyrus et déjà implanté outre-Manche, l'Américain Netezza ouvre maintenant sa propre filiale dans l'Hexagone. Son offre packagée d'entrepôt de données, Netezza Performance Server, se présente sous la forme d'une 'appliance' associant un serveur, un système de stockage et une base de données relationnelle. Conçue pour l'analyse d'importants volumes de données (plusieurs teraoctets), la solution repose sur un système de traitement massivement parallèle et sur une technologie (streaming analytics) qui permet une alimentation rapide du datawarehouse -deux brevets déposés par la société (fondée par Jit Saxena, qui fut précédemment PDG d'Applix). « L'une des particularités de la solution est de s'adapter aussi à des projets ne dépassant pas 1 teraoctet de données », précise Christian Raza, directeur des opérations de Netezza France. Sur les secteurs que vise la filiale -grande distribution, finance, administrations-, il compte donc cibler tout autant les grosses enseignes que les moyennes, les grands établissements bancaires que les banques d'investissement, etc. Un projet sur trois mois au NYSE L'offre serveur démarre à 200 000 euros pour 1 To. « Un prix qui n'est pas significatif, le coût pouvant descendre à moins de 100 000 euros par To pour des projets de quelques dizaines de To », module Christian Raza. Par rapport aux offres que le fournisseur concurrence - celle de son compatriote Teradata par exemple, mais aussi les solutions d'entrepôts reposant sur les bases de données relationnelles classiques, Netezza avance l'argument d'une mise en oeuvre technique plus rapide, ce qui contribue à réduire d'autant la facture globale. « Le projet mené avec le New York Stock Exchange s'est déroulé sur trois mois », indique Christian Raza. En France, l'intégrateur Keyrus a installé l'offre chez Pages Jaunes, ainsi que chez l'opérateur de télécommunications Outremer Telecom. Au niveau mondial, Netezza compte 170 clients et 300 systèmes installés. (...)

(20/06/2008 16:32:46)

Débâcle des cerveaux chez Yahoo

Les annonces de départs se succèdent chez Yahoo. Jeff Weiner, vice-président de la division réseau de la société, a également quitté son poste après sept ans de service. Il rejoindra en septembre prochain les capitaux-risqueurs Accel Partners et Greylock Partners. Avec ce départ, Yahoo perd encore une pointure de son équipe dirigeante. Jeff Weiner chaperonnait en effet une équipe de 3000 personnes, supervisant ainsi la gestion de produits et de services pour 500 millions d'internautes. Sa division génère un chiffre d'affaires de 3 Md$ chaque année. Il a également participé à de nombreux projets de développement stratégiques pour Yahoo, comme Yahoo Mail, Messenger, News, Answers... Sans compter le projet de réseau social ouvert, qu'il a lui-même mené à bien, ainsi que sa précieuse contribution dans l'acquisition de sociétés comme les moteurs de recherche Inktomi et AltaVista (en juillet 2003), Del.icio.us (un service de marque-pages, en décembre 2005) ou encore Flickr (site de partage de photos, en mars 2005 pour un montant de 35 M$). Ces différents rachats avaient permis à Yahoo de créer et d'enrichir son propre moteur de recherche, Yahoo Search Engine, sur lequel Microsoft a d'ailleurs tenté de mettre la main. Des départs en pagaille et un PDG sur la brèche Pour Yahoo, la pilule sera dure à avaler, d'autant que le pionnier de la recherche en ligne doit déjà digérer la fuite d'autres cerveaux. Simple hasard du calendrier, ou conséquence directe de l'obstination de Jerry Yang, PDG de Yahoo, à rejeter l'offre de Microsoft pour s'accoquiner avec Google ? Les départs sont trop nombreux pour croire à une pure coïncidence. Avant-hier, les deux fondateurs de Flickr, le Canadien Stewart Butterfield et l'Américaine Caterina Fake, ont quitté la société « pour des raisons personnelles ». Avant eux, Usama Fayyad, vice-président des solutions de données stratégiques, Matthew Berardo, chargé de l'international, ainsi que Jeremy Zawodny, responsable du développement, ont abandonné le navire. L'édition du New York Times datée d'hier rapporte également les départs de Qi Lu, vice-président exécutif en charge de la recherche et de la technologie publicitaire, de Vish Makhijani, encore une fois dans la recherche, et de Brad Brad Garlinghouse, vice-président sénior responsable de certains outils de communication comme le mail. Ce dernier est par ailleurs l'auteur du manifeste du beurre de cacahuète , qui dénonçait les erreurs de stratégie du PDG de l'époque, Terry Semel. Jerry Yang souffle sa première bougie de PDG dans un climat morose [[page]] Un an presque jour pour jour après avoir pris la place de Terry Semel, Jerry Yang semble se trouver dans une position de plus en plus précaire. Lors de la prochaine assemblée générale (en août), il devra rendre des comptes aux actionnaires de la société. Certains d'entre eux réclament carrément sa tête, furieux d'avoir vu une offre en or leur passer sous le nez en vertu des ressentiments personnels du PDG de Yahoo envers Microsoft. Jerry Yang devrait également remplacer les postes vacants, et surtout juguler l'hémorragie cérébrale qui semble avoir frappé Yahoo. Selon le Wall Street Journal, Yahoo envisage une modification drastique de l'organisation de ses activités afin de centraliser certains types de services au sein d'une même entité. Susan Decker, présidente de Yahoo, chapeautera cette restructuration, dont le but officiel est d'améliorer la communication en interne et favoriser les synergies. Les salariés de Yahoo craignent, quant à eux, que derrière ces termes se cache en réalité une réduction d'effectifs. (...)

(20/06/2008 15:24:16)

Revirement : Arès veut sortir de l'infrastructure

Alors qu'elle représentait jusqu'ici l'un des deux grands piliers sur lesquels misait Arès pour redresser sa situation, l'activité de la SSDI autour des infrastructures ne devrait bientôt plus faire partie de ses métiers. Dans un communiqué publié le 19 juin en fin de journée, le groupe Arès a annoncé la mise en vente des trois pôles regroupant son savoir-faire dans ce domaine, à savoir SIS (ventes d'infrastructures), LOC (location - financement) et RMS (réseaux, mobilité et sécurité). La nouvelle intervient près d'un mois après la publication du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise en recul de 18,5% à 335,5 M€. Le résultat opérationnel, qui sera divulgué la semaine prochaine, devrait rester dans le rouge. Cette restructuration annoncée recentrerait Arès autour des services informatiques, fédérés par son pôle ITS (expertise technique, infogérance, hébergement, et développement d'applications), et de l'intégration de progiciels menée par son pôle Solutions Applicatives. Mais elle l'amputerait également de 223 M€ de chiffre d'affaires, correspondant aux revenus cumulés pour l'exercice 2007-2008 des activités mises en vente : 181,5 M€ pour SIS, 8,4 M€ pour LOC et 33,9 M€ pour RMS. Elle devrait en outre avoir un fort impact social puisque les pôles qu'Arès entend conserver dans son périmètre emploient environ 1200 des 2000 salariés du groupe. L'action Arès chute de 18% avant l'annonce de la mise en vente "Nous avons été surpris par le fait que cette annonce ne soit pas précédée d'une information des représentants du personnel, alors qu'une réunion ordinaire du CE s'était tenue dans la matinée du 19 juin", indique Max Bouvier, membre du CE d'Arès. En revanche, certains investisseurs semblent avoir eu le nez fin... En effet, alors qu'Arès n'a dévoilé ses intentions qu'après la clôture de la bourse, le cours de son action a chuté de plus de 18% durant la journée avec près de 177 000 titres échangés. Aux dires d'Arès, « le produit attendu des cessions n'est pas destiné à financer des opérations de croissance externe. » Ce type d'opérations a jalonnés l'actualité de la SSDI ces derniers mois, en commençant par la vente des activités de PC, imprimantes et consommables à InmacWstore en octobre 2006 puis la cession des logiciels Arcole en avril dernier à De Gamma. Cette dernière vente a été précédée du rachat de Selectis en juin 2007 et de ceux d'Adequat (ventes d'infrastructures) et de Databail (location et financement) en décembre dernier. Avec le recul, ces deux dernières opérations n'auront finalement pas été d'une grande utilité à Arès. (...)

(20/06/2008 15:20:32)

PAI Partners s'empare de 18% d'Atos Origin

Décidément, Atos Origin est très convoité. Au cours de ces derniers mois, l'avenir de la société de services franco-hollandaise a fait l'objet de plusieurs spéculations : vente, adossement à un autre acteur du marché ou même démantèlement complet. Aujourd'hui, la société française de capital investissement PAI Partners, connue sur le marché européen des services informatiques, met la main sur 17,9% du capital d'Atos, à la suite d'achat de titres sur le marché. PAI devient ainsi le plus gros actionnaire de la SSII, bousculant au passage le fragile équilibre auquel Atos était parvenu. Fin mai, la SSII avait en effet trouvé un accord avec les fonds Centaurus Capital et Pardus Capital (qui contrôlent ensemble plus de 23% du capital de la société), au terme d'un conflit ouvert qui avait duré plusieurs mois. Centaurus et Pardus exigeaient notamment le renouvellement du conseil de surveillance, ainsi que le départ de Didier Cherpitel. Ils avaient obtenu gain de cause dans les deux cas. Le sort de la SSII à nouveau incertain Avec l'arrivée surprise de PAI Partners, la composition du conseil de surveillance mis en place début juin est donc remise en question. Plus inquiétant, c'est l'indépendance même de la SSII qui est à nouveau ébranlée. Le conseil passe de 9 à 11 membres, en comptant ceux de PAI. Depuis ce matin, tous les regards se tournent donc avec attention vers ce nouvel actionnaire, car tout dépend du camp qu'il choisira. «Tout est possible. Si les deux membres de PAI rejoignent la stratégie du management, ils seront majoritaires (soit six membres sur onze) pour bloquer la vente prévue de la SSII. A l'inverse, si ils décident de s'allier aux autres fonds, la vente pourra se faire », détaille un analyste financier d'une grande banque. Atos reste très fragilisée puisque son capital est détenu à 41% par ses trois principaux actionnaires. L'avenir dira si PAI tiendra sa promesse de « réaliser des investissements à long terme. » (...)

(19/06/2008 16:51:31)

La commission Copé prévoit de taxer 0,5% du chiffre d'affaires des FAI

Le projet de taxation des acteurs du Web pour financer le manque à gagner de France Télévisions en cas de suppression de la publicité se concrétise. La commission Copé, qui s'est réunie le 21 mai dernier pour étudier ce projet, présentera en effet les conclusions de son rapport au président de la République le 25 juin prochain. Nicolas Sarkozy avait d'ailleurs lui-même évoqué lors d'une conférence de presse datée du 8 janvier dernier l'éventualité de la création d'une taxe qualifiée d'infinitésimale sur les nouveaux moyens de communication, telle que la téléphonie mobile ou encore l'accès à Internet. Encore flou à l'époque, ce projet de loi prend forme, chiffres à l'appui. La commission Copé suggère au gouvernement de supprimer la publicité sur les chaînes publiques en deux étapes : seulement après 20 H à partir du 1er septembre 2009, puis de la faire disparaître complètement du paysage audiovisuel à partir du 1er janvier 2009. Cette disparition entraînerait dans un premier temps une brèche budgétaire de 450 M€, puis de 650 M€ au total. Un déficit que la commission propose de combler en faisant appel au porte-monnaie de divers acteurs. Ainsi, les opérateurs télécoms et les fournisseurs d'accès Internet verraient leurs chiffres d'affaires amputés de 0,5%, ce qui permettrait au service public d'engranger 210 M€. Une centaine d'autres millions d'euros seraient pompés sur le droit d'utiliser les fréquences hertziennes. Autres « mécènes » du service public malgré eux : l'INA (Institut national de l'audiovisuel) et la RFI (radio publique), dont les parts de la redevance seront soufflées (respectivement 80 et 60 M€). La commission Copé prévoit toutefois de combler la perte de l'INA en instaurant une autre taxe, visant cette fois les chaînes de télévision privées, au titre grandiloquent du « financement de la mémoire audiovisuelle ». Une taxe qui risque se répercuter sur la facture de l'internaute [[page]]Interrogé par nos confrères de Réseaux et Télécoms, Yves Le Mouël, DG de la Fédération française des télécommunications et des communications électroniques (FFT), dénonce les préconisations de la commission Copé, qu'il estime injustes et illégitimes. « C'est incompréhensible, critique-t-il. D'un côté, on nous demande de tirer la croissance en développant le numérique et en investissant dans le très haut débit fixe et mobile. Mais de l'autre, on nous inflige une taxe sous prétexte que notre activité dégage des marges importantes. Or ces 210 millions d'euros, ça correspond à 3000 stations de bases mobiles et plusieurs milliers de prises optiques qui ne seront pas installées. » Pour Yves Le Mouël, cette taxe pourrait avoir un impact désastreux sur les investissements des opérateurs dans la fibre optique, mais également sur la facture des internautes. Si le projet de loi était retenu, la FFT se déclare d'ailleurs prête à monter au créneau. Elle a d'ores et déjà consulté des spécialistes du droit communautaire et du droit constitutionnel, qui se sont montrés extrêmement réservés sur la légitimité d'une telle taxe. « Nous avons donc prévu d'aller à Bruxelles et d'instruire parallèlement la partie anticonstitutionnelle », prévient Yves Le Mouël. La FFT devrait d'ailleurs trouvé un écho favorable auprès de Viviane Reding, Commissaire européenne à la société de l'information, qui a déclaré : « on ne peut travailler à résoudre le problème du haut débit en France et en même temps ajouter une taxe supplémentaire ». Soulignons par ailleurs que cette taxe va complètement à l'encontre des bonnes résolutions de Nicolas Sarkozy et d'Eric Besson, qui ont déclaré que l'Internet haut débit pour tous représentait pour eux une priorité. Le président de la République l'avait mentionné début mars dernier, lors de sa visite au Cebit à Hanovre , et Eric Besson avait promis de s'attaquer dans les plus brefs délais à ce chantier lors de son investiture au poste de secrétaire d'Etat au numérique, quelques jours après. (...)

(19/06/2008 12:17:49)

Le créateur de widgets Zoomorama lève 1 M€ pour se développer hors de France

Zoomorama vient de réaliser une deuxième levée de fonds auprès d'une dizaine de 'business angels' européens et américains. Le premier tour de table lui avait permis d'engranger 450 000 € (en avril 2007). Zoomorama propose aux particuliers, aux entreprises (notamment dans l'e-commerce) et aux photographes professionnels une application baptisée Zoomcreator. Téléchargeable gratuitement jusqu'à 2 Go de données à stocker, elle leur permet de créer des widgets et des albums photos haute résolution qu'il est ensuite possible de déporter dans un site, un blog ou un mail. Particularité de ces albums : ils sont zoomables sans déperdition de qualité, directement depuis la page consultée, et ce sans devoir ouvrir une nouvelle fenêtre. Chaque produit présenté par un site de vente en ligne peut ainsi être examiné sous toutes ses coutures par l'internaute. Les clichés peuvent également être enrichis de textes, de vidéos, de liens hypertextes ou encore de documents PDF. Grâce à la levée de fonds, Zoomorama compte se développer sur trois axes. La société souhaite s'agrandir à l'international, à savoir aux Etat-Unis, en Amérique du sud, en Russie et en Asie. Elle est déjà présente au Viet-Nam. Fort de la confiance de ses investisseurs individuels, Zoomorama espère également convaincre d'autres investisseurs plus institutionnels, comme l'Oséo ou de grands capitaux-risqueurs. Côté technologie, Zoomorama devrait proposer au mois de juillet un service en ligne ne demandant pas à l'internaute de télécharger l'application, l'opération se faisant directement sur le site. Un service gratuit... jusqu'à un certain point [[page]] Le modèle économique de Zoomorama repose sur deux sources de revenus. Le site héberge gratuitement les photos sur ses serveurs jusqu'à 2 Go (150 Mo par album). Au-delà de cette quantité, les entreprises ou les particuliers ont la possibilité d'opter pour un abonnement annuel de 30 à 45 €, qui leur donne accès à un espace de stockage allant jusqu'à 5 Go. Pour les sociétés très gourmandes en images, Zoomorama propose une facturation liée à la consommation de bande passante. « Ce type de contrat se fait au cas par cas, en fonction du trafic et des besoins du site. En général nous appliquons un tarif de 1 euro pour 1000 clics », précise Anne-Céline Jeanneau, directrice de la communication chez Zoomorama. La société propose également des packages au forfait, pour des démonstrations sur un salon par exemple. Elle compte parmi ses clients Paris-Match, le Nouvel Observateur ou encore Channel. Pour le moment, Zoomorama ne s'est pas encore attaqué au marché de la publicité en ligne, mais il s'agit d'un projet « à moyen terme », confie Anne-Céline Jeanneau. Elle précise encore : « Les possibilités de notre application sont déclinables sur ce secteur. On peut par exemple imaginer d'incruster sur une page Web une publicité créée avec notre technologie, donc zoomable à volonté, sans devoir ouvrir une nouvelle page. » Zoomorama a été sélectionnée en avril dernier par le magazine économique Red Herring, qui récompense chaque année les 100 start-up les plus innovantes au niveau mondial. La société française a également fait partie des 30 finalistes du concours Web 3 qui s'est déroulé en décembre 2007. Créée en août 2005 par Franklin Servan Schreiber (ancien directeur des recherches en interfaces chez Sony US), Zoomorama emploie sept personnes et devrait recruter des développeurs au courant de l'année 2008. Son siège social est situé à Neuilly-sur-Seine (92). Rappelons que Microsoft a aussi récemment lancé une technologie de zoom à volonté dans les images, Deep Zoom. (...)

(19/06/2008 09:04:25)

HP équipe à son tour ses serveurs de SSD

Quelques jours après Sun, c'est au tour de HP d'annoncer qu'il s'apprête à doter ses serveurs de SSD (Solid state drive), ces successeurs des disques durs magnétiques reposant sur de la mémoire électronique. Le constructeur s'est associé pour l'occasion à la jeune entreprise Fusion-io, qui lui fournira ses supports de stockage à base de flash Nand. Ils prendront place sur les ports PCI Express des serveurs HP et devraient fournir un espace de stockage de 640 Go par carte. Une capacité qui devrait atteindre 1,28 To en 2009. Si David Flynn, le directeur technique de Fusion-io, refuse d'indiquer le prix et la date à laquelle seront disponibles les premiers serveurs HP équipés de SSD, il se montre en revanche plus prolixe pour évoquer les avantages présentés par ce type de produits, notamment les plusieurs centaines de milliers d'I/O par seconde pour des vitesses d'écriture et de lecture dopées. Au final, toujours selon David Flynn, les gains de performances pourraient atteindre 40% sur certaines applications. L'annonce de ce partenariat entre HP et Fusion-io illustre l'intérêt que portent de plus en plus de grands constructeurs de serveurs pour le SSD. Sun indiquait ainsi récemment qu'il comptait remplacer dans les prochains mois tous les disques durs de ses serveurs par des SSD. (...)

(18/06/2008 18:33:54)

Julien Codorniou rejoint le programme Idées en version américaine

Après avoir ardemment défendu les start-up françaises, Julien Codorniou, responsable des partenariats avec les éditeurs innovants chez Microsoft France et en charge du programme Idees de soutien aux start-up lancé par la filiale, s'apprête à rejoindre Microsoft Corp. Il y prendra part, dès la fin juin, à un nouveau programme de partenariat mondial pour les start-up, avec le titre de "global startup program manager", et s'emploiera à déployer Idees, en particulier dans les pays à « fort potentiel » que sont la Chine, l'Inde ou encore le Brésil. C'est en octobre 2005 que Microsoft France a pris l'initiative de créer Idées avec l'objectif de soutenir les petites entreprises innovantes engagées dans le développement de logiciels. Marc Jalabert, directeur de la division Plateforme et Ecosystème de la filiale, et Julien Codorniou se sont, depuis, fortement impliqués dans ce projet ambitieux qui a même attiré l'attention de Microsoft Corp il y a déjà plusieurs mois. Les résultats obtenus dans l'Hexagone par le programme ont d'ailleurs convaincu Redmond de répliquer cette démarche dans d'autres pays, avec le Microsoft Startup Accelerator Programme. (...)

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