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(18/06/2008 18:20:50)

Le marché des logiciels de gestion du stockage trusté par 5 acteurs

Selon le cabinet Gartner, cinq fournisseurs détiennent 74% du marché des logiciels de gestion du stockage en 2007. Leurs parts de marché s'accroissent notamment via le rachat de petites sociétés. Ce sont toujours les mêmes aux places d'honneur. Cette fois-ci, la discipline considérée est « les logiciels de gestion du stockage » ou SMS (Storage Management Software) dans la terminologie du cabinet Gartner. Cela comprend énormément de sous-catégories : gestion des sauvegardes, de la réplication des données ainsi que l'archivage, de la déduplication ou de la virtualisation. Pour 2007, on trouve sur le podium : premier EMC (27% de parts de marché), deuxième Symantec (18%) et troisième IBM (13%). La plus forte croissance concerne Netapp, qui arrive en quatrième position avec 10% de parts de marché, et une croissance de 36% entre 2006 et 2007. HP est en cinquième place (6% de parts de marché). Forte croissance des solutions de sauvegarde et de réplication des données Le marché total a pesé 10,6 milliards de dollars en 2007, soit 12,2% d'augmentation par rapport à 2006. L'aiguillon est venu d'une forte croissance des solutions de sauvegarde et de réplication des données. La sauvegarde a crû de 11,4%, atteignant 2,6 milliards de dollars. Qu'est-ce qui explique une telle croissance pour des produits que l'on aurait pu croire déjà installés en nombre dans les entreprises ? « La migration vers la virtualisation a nécessité de sauvegarder les données. De plus, les entreprises ajoutent des options spécifiques par application, ainsi que la protection des sites distants. Enfin, la rénovation des architectures de sauvegarde des grandes entreprises a amené des achats dans ce domaine , affirme Alan Dayley, directeur de recherche, chez Gartner. En 2007, le top 5 des vendeurs détient 74% du marché des logiciels de gestion du stockage. Leurs parts de marché érodent lentement celles d'acteurs plus petits, essentiellement par le biais de rachats ou via l'extension de leurs offres vers l'archivage, la déduplication ou la virtualisation. La plus forte croissance pour le stockage hiérarchique Le segment technique qui a connu la croissance la plus forte est le HSM (stockage hiérarchique) et l'archivage, avec une percée de 30% en 2007. « Cela s'explique par le doublement des données stockées chaque année par beaucoup des grandes entreprises, qui réclame des outils ad hoc de gestion de grandes quantités de données, réparties entre plusieurs types d'unités de stockage, de différents coûts, conclut Alan Dayley. (...)

(18/06/2008 16:12:11)

Bruxelles livre un blanc-seing aux 27 pour écarter Microsoft des appels d'offre

La Commission européenne continue de s'en prendre à Microsoft : après avoir annoncé que l'UE n'excluait pas une nouvelle procédure contre l'éditeur, Bruxelles adresse implicitement un blanc-seing aux Etats membres pour qu'ils écartent le géant de Redmond de leurs appels d'offres. Tout démarre par une question adressée à la Commission par les euro-députés Heide Rühle et Alain Lipietz. Les élus veulent savoir si Microsoft continue de remplir les conditions nécessaires pour participer aux procédures d'attribution des marchés en dépit de ses condamnations pour abus de position dominante prononcées par l'exécutif européen. Plus précisément, les édiles s'interrogent sur l'applicabilité de l'article 93 du règlement financier applicable au budget des Communautés européennes. Celui-ci liste les cas dans lesquels un candidat peut se voir exclu d'un marché. La réponse de Bruxelles tombe le 9 juin : si la Commission ne saurait exclure a priori Microsoft des appels d'offre sur la seule base des infractions qu'elle a elle-même constatées, elle laisse les Etats-membres libres d'écarter l'éditeur. C'est le troisième point évoqué par l'article 93 qui justifie la position de l'exécutif communautaire, en ce qu'il prévoit l'exclusion des acteurs ayant commis une « faute grave constatée par tout moyen que les pouvoirs abjudicateurs peuvent prononcer ». Dès lors, il incombe aux Etats membres de prendre leurs responsabilités et de choisir, ou non, d'évincer l'éditeur de Windows : « l'interprétation de cette disposition nécessiterait à présent une appréciation au cas par cas, qui ne peut avoir lieu que dans le cadre d'une procédure de passation de marché public en cours », précise Bruxelles. Une phrase qui semble signifier que, si la Commission n'a pas les moyens juridiques d'exclure, par principe, Microsoft, elle laisse le champ libre aux 27 et les appuiera le cas échéant s'ils décident d'écarter le géant du logiciel. Rappelons que la Commission a prononcé une amende de 497 M€ en 2004 pour abus de position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation. Une sanction assortie de l'obligation de vendre une version de Windows allégée de Media Player, ainsi que de publier certains de ses protocoles en vue d'une plus grande interopérabilité dans les serveurs. En février 2008, nouvelle condamnation : l'éditeur écope cette fois d'une pénalité de 899 M€ pour ne s'être pas soumis aux obligations édictées en 2004. (...)

(18/06/2008 12:05:54)

LinkedIn lève 53 M$ pour partir à la conquête de l'Europe

LinkedIn, le réseau social pour les professionnels, vient de conclure une quatrième levée de fonds d'un montant de 53 M$ auprès de quatre investisseurs, dont un nouvel arrivé, Bain Capital Venture (qui a déjà investi dans DoubleClick par exemple). L'un de ses associés, Jeffrey Glass, rejoint d'ailleurs le conseil d'administration de LinkedIn. Les trois autres fonds d'investissements sont Sequoia Capital, Greylocks Partners et Bessemer Venture Partners. Cet apport financier porte le montant total des levées de fonds réalisées par LinkedIn à 80 M$ en quatre ans, et valorise la société américaine à 1 Md$. Grâce à cette somme, LinkedIn souhaite développer des partenariats et asseoir sa présence en Europe, concurrençant ainsi frontalement des sites communautaires professionnels comme le Français Viadeo ou l'Allemand Xing. LinkedIn compte par ailleurs sur la robustesse de son modèle économique pour concrétiser ses ambitions. En effet, contrairement à des réseaux sociaux extrêmement populaires comme Facebook (dans lequel Microsoft a investi 240 M$ en octobre dernier, valorisant ainsi la société à 15 Md$) ou MySpace, la viabilité du site professionnel ne repose pas uniquement sur les gains publicitaires ou le taux d'audience, mais également sur une série de prestations payantes proposées à ses adhérents : recherche d'emploi personnalisée, abonnements premiums et services aux entreprises. Cette diversité de services et de sources de revenus devrait permettre à LinkedIn de dégager un chiffre d'affaires de 100 M$ en 2008. « LinkedIn est rentable depuis 18 mois, souligne Kevin Eyres, directeur général Europe de l'entreprise. Notre objectif est de créer de la valeur ajoutée pour notre base d'adhérents. Les fonds que nous venons de récolter nous permettront de déployer notre stratégie et de devenir l'outil business de référence, sans subir de pression financière », ajoute-t-il. LinkedIn revendique 23 millions de membres dans le monde, ainsi qu'une croissance des inscriptions de l'ordre de 108% chaque année. (...)

(17/06/2008 17:21:10)

Mozilla : « Firefox 3 trois fois plus rapide » (podcast)

Il aura fallu plus d'un an et demi pour que Firefox 2 voie son successeur enfin mis en ligne. La dernière ligne droite, séparant l'ultime version bêta du produit final, fut particulièrement longue pour nombre d'utilisateurs, pressés d'éprouver les 15 000 modifications différenciant Firefox 3 de son prédécesseur. A l'occasion de ce lancement, Mozilla va tenter de battre le record du monde du logiciel le plus téléchargé en 24 heures. Si plus de 1,6 million d'internautes ont d'ores et déjà déposé une promesse de téléchargement, Mozilla s'est fixé le cap des 5 millions pour objectif. Un chiffre qui pourrait être largement dépassé : « Plus de 180 millions d'utilisateurs lancent Firefox au mois une fois par jour, explique Tristan Nitot, le président de Mozilla Europe, au MondeInformatique.fr [télécharger le podcast]. Et on recense environ 565 millions de téléchargements pour l'ensemble des versions du navigateur. » Quel que soit le nombre précis d'internautes qui se précipiteront sur Firefox 3 dans les prochaines heures, nul doute que l'affluence sera importante et viendra de tous les coins du monde. Le navigateur est en effet disponible dans une cinquantaine de langues « pour donner au plus grand nombre la possibilité d'accéder à l'information et pas seulement aux trois ou quatre pays les plus privilégiés », précise Tristant Nitot. Pour se préparer au rush, Mozilla a mis en place trois datacenters, épaulés par un réseau de miroirs. Un moteur d'affichage totalement refondu Quelques chiffres pour mesurer l'ampleur des travaux réalisés : plus de 1000 personnes ont contribué au code, plusieurs dizaines de milliers de comptes sont actifs sur Bugzilla (pour le suivi des bogues), « tous les jours, une nouvelle version est soumise à des dizaines de 'testeurs nocturnes' », confie le président de Mozilla Europe. Si Firefox 3 est sorti 20 mois après son aîné, son développement a nécessité trois années et, de fait, a commencé avant même la sortie de la version précédente. Une durée qui s'explique notamment par la volonté de baser le nouveau navigateur sur un moteur d'affichage totalement réécrit : Gecko 1.9 (alors que Firefox 2 reposait sur Gecko 1.8.1, une simple mise à jour du moteur équipant Firefox 1.5). Firefox 3 gère beaucoup mieux la mémoire [[page]] Au final, Firefox 3 s'avère être un bien meilleur élève que son grand frère avec, en premier lieu, une gestion de la mémoire nettement améliorée. Tous les internautes ont pesté contre les irritants ralentissements de Firefox 2. « Avec le fil du temps, les gens se sont mis à utiliser de plus en plus de grosses applications Ajax et à mettre de plus en plus d'applications complexes dans le navigateur. Mais le coût de cette approche, c'est que Firefox héberge des applications parallèles dans ses onglets et que la consommation de mémoire augmente. C'est ce qu'on a adressé avec Firefox 3, on a des benchmarks d'occupation mémoire très positifs », explique Tristan Nitot, qui parle d'une consommation jusqu'à cinq fois moindre avec la version trois du navigateur qu'avec la mouture précédente. Neuf fois plus rapide qu'IE7 Autre changement de poids, Firefox 3 profite de son moteur Gecko 1.9 pour se faire plus véloce. Le test Sunspider, qui mesure la vitesse d'exécution de scripts Java, « établit un facteur de 3 entre Firefox 2 et 3, et de 9 entre IE7 et Firefox 3 », note Tristan Nitot. Un test que la rédaction du MondeInformatique.fr a pu réaliser, et qui aboutit aux mêmes résultats. Pour un tour d'horizon des principales innovations qui vous simplifieront la vie, nous vous invitons à lire notre article présentant cinq raisons pour lesquelles il faut craquer pour Firefox 3. Au-delà de ces cinq fonctionnalités, citons, pêle-mêle, la possibilité de travailler hors connexion sur des applications Ajax, la présence d'un nouveau gestionnaire de téléchargements, le support d'un nouveau format graphique (l'apng, une variante animée du png), l'intégration d'une API pour la gestion des microformats, la consultation en tâche de fond, toutes les 30 secondes, d'une liste noire de sites malveillants alimentée par Google et Stopbadware.org, ou un nouveau gestionnaire d'extensions. Les nouveautés pullulent donc mais n'empêchent pas Mozilla de déjà plancher sur Firefox 4. Tristan Nitot aimerait y trouver le support d'une balise HTML axée sur la vidéo, ou l'intégration de graphiques 3D. Avant la sortie de ce quatrième opus, l'éditeur se concentrera sur la troisième version de Thunderbird, son gestionnaire de courriels, qui inclura notamment des fonctions de travail collaboratif, comme un agenda partagé. (...)

(17/06/2008 12:54:23)

Team Partners : la famille fondatrice cède ses parts

Une page se tourne vraiment au sein de la SSII Team Partners Group avec la vente par le groupe Guyodo (Gérard Guyodo, Régine Guyodo et Europ Infos) des 19,08% qu'il détenait encore dans Team Partners Group Holding. Ils renoncent par la même à l'ensemble des droits de gouvernance dans le groupe ainsi qu'à toute poursuite ou action judicaire à l'encontre du groupe en échange d'une indemnité de 335 000 euros. Les membres du groupe Guyodo ont démissionné de tous leurs mandats sociaux au sein des sociétés de Team Partners. C'est Weinberg Capital Partners qui détient désormais 96,20% du capital et des droits de vote. Une société fondée autour de Serge Weinberg ancien dirigeant d'entreprise (dg du groupe Pinault) et ancien membre de cabinets ministériels. La transaction entre Team Partners Group et le groupe Guyodo a été réalisée samedi dernier. Elle a donné lieu à une suspension de cours lundi après-midi. (...)

(17/06/2008 11:18:20)

Update décline son logiciel de CRM pour l'iPhone en français

L'éditeur autrichien Update (42 clients en France) est parmi les premiers à fournir une version iPhone de son logiciel de gestion de la relation client (CRM). L'offre, déjà adoptée par les directions générales ou commerciales de plusieurs de ses clients outre-Rhin, est livrée en français et convient aussi à l'iPodTouch d'Apple. Ses premiers adoptants sont des utilisateurs déjà convertis aux smartphones (des Blackberry généralement), l'accès en ligne permis par ces terminaux réduisant les contraintes de synchronisation répétées avec le PC (contrairement aux assistants numériques). Composée d'un produit serveur et d'un logiciel client, l'offre update.seven Touch s'utilise donc en mode connecté en donnant accès à toutes les fonctions de l'application de CRM d'Update : gestion des contacts et des rendez-vous, contrats de services, rapports d'intervention, etc. Hors connexion, le mode d'utilisation est toutefois plus restreint. L'utilisateur se contente, pour l'instant, de consulter ses rapports de visite et, éventuellement, de les remplir par le biais de cases à cocher si l'application le prévoit. La tarification pour l'offre update.seven Touch est fixée à 5 000 euros pour la partie serveur et à 350 euros par utilisateur. Update compte 1 300 clients dans le monde, principalement en Europe (5% seulement aux Etats-Unis). Son offre de CRM est verticalisée pour six secteurs d'activité : le BTP, le secteur industriel (machines outils), les médias, la pharmacie, les fournisseurs de la grande distribution et le secteur financier. En France, son logiciel est utilisé par les laboratoires Boehringer, les industriels Cryostar, De Dietrich Thermique ou encore Karcher. (...)

(17/06/2008 09:13:15)

La SSLL Alter Way s'offre le formateur Anaska

L'intégrateur open source, Alter Way procède a son deuxième rachat en huit mois. Après l'hébergeur Nexen, c'est au tour d'une société de formation : Anaska. Tous ces rachats sont centrés sur l'open source, Alter Way souhaitant devenir incontournable sur ce marché de l'open source en fédérant des sociétés spécialisées. Alter Way avait précédemment racheté : Ingeniweb dans la gestion de contenus, Solinux pour l'infogérance, Ecl ip's dans l'adressage IP, o4db pour les bases de données. Alter Way compte 80 salariés, avec ce rachat d'Anaska la société devrait atteindre les 8 millions d'euros cette année. Elle estime pouvoir viser les 10 millions d'euros avec d'autres rachats d'ici à la fin de l'année. La croissance d'Alter Way est ainsi extrêmement rapide, comme nous le notions en janvier dernier lors de la présentation de ses résultats. Anaska compte une agence à Lyon. Son catalogue représente une soixantaine de cursus. (...)

(16/06/2008 17:35:28)

Bull double son effectif belge en rachetant CSB Consulting

Le Français Bull vient d'annoncer l'acquisition de CSB Consulting, une SSII belgo-luxembourgeoise de 150 personnes intervenant dans le conseil et la gestion de projets et d'infrastructure. La société acquise a réalisé un chiffre d'affaires de 10,4 millions d'euros en 2007. Ce faisant, Bull double ses effectifs sur cette zone géographique (300 personnes) et poursuit l'objectif qu'il s'est fixé de réaliser, à terme, la moitié de son chiffre d'affaires global dans les services (un peu plus de 39% aujourd'hui). La nouvelle entité entend renforcer sa présence, en Belgique et au Luxembourg, dans les grands projets d'intégration de systèmes, les solutions Open Source, la sécurité et les services professionnels, tant auprès des institutions européennes, que des secteurs publics et bancaires. Le groupe français a réalisé en 2007 un chiffre d'affaires global de 1,1 Md€ et un résultat opérationnel de 9,9 M€. (...)

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