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(20/02/2008 14:08:13)
HP démarre l'année avec un chiffre d'affaires en hausse de 13%
Hewlett Packard, premier fabricant de PC au monde, a publié aujourd'hui des résultats trimestriels encourageants. Le chiffre d'affaires est en hausse de 13% (28 Md$) et le bénéfice opérationnel s'envole à 2,6 Md$, en gagnant 42%. Cette croissance est essentiellement portée par la vente des PC (portables surtout, en hausse de 24%) et des serveurs (+9%). L'activité d'HP est particulièrement soutenue en Asie (+22%) et dans la zone EMEA (+15%), alors qu'elle ralentit aux Etats-Unis (+8%). Pour le deuxième trimestre, le groupe reste prudent en raison du climat concurrentiel sur le marché des ordinateurs et vise un chiffre d'affaires compris entre 27,7 et 27,9 Md$ (114 Md$ pour l'ensemble de l'année fiscale). (...)
(20/02/2008 11:40:54)Une attaque par déni de service bloque Wordpress
Depuis samedi, certains utilisateurs de Wordpress ne peuvent plus se connecter à leurs blogs ni ajouter d'entrées. Matt Mullenweg, porte-parole d'Automattic, la société qui gère la plateforme Wordpress, reconnaît que son entreprise est depuis cette date victime d'une attaque par déni de service, avec des pointes allant jusqu'à 6 gigabits de trafic entrant. Selon lui, certains blogs restaient encore inaccessibles pendant 5 à 15 minutes hier. Le problème identifié, la société travaille à une remise en état de sa plateforme et tout devrait rentrer dans l'ordre dans la journée. Seuls les 2 450 000 blogs hébergés par Wordpress.com sont concernés. Ceux créés à partir du logiciel WordPress et hébergés par un tiers ne sont pas concernés. (...)
(20/02/2008 11:33:13)Orange s'associe à Experian dans les moyens de paiement par carte
Un partenariat entre l'opérateur Orange et le Britannique Experian va conduire les deux acteurs à commercialiser conjointement des offres de paiement par carte sur le marché français. «Nous sommes toujours partenaires des banques, mais nous nous tournons vers les commerçants et le e-commerce », explique Eric Benolaut, directeur général de Experian, pour l'Europe. Ces offres couvrent uniquement, pour l'instant, le paiement via une carte au travers de terminaux de paiement fixes ou des solutions dématérialisées de paiement sur Internet, telles que la ecarte-bleue. Orange apporte la force de vente de ses agences et de ses commerciaux, ainsi que sa maîtrise de l'intégration de réseaux, tandis que Experian fournit ses services de gestion de transactions. Sept offres conjointes Les offres sont au nombre de sept : paiement sur le point de vente (IP Payment), Central transactions for Merchants, qui est une plateforme gérant de multiples cartes de paiement (Visa, GR Total, American Express, Master Card, ...), Dynamic Currency Conversion, afin qu'un étranger puisse payer dans sa devise d'origine dans l'Hexagone, le paiement en ligne avec Payline (compatible avec les moyens de paiement bancaires et privatifs, dont Paypal), le paiement de factures en ligne et le recouvrement de créances impayées avec Bill Payment Manager, l'émission de cartes avec Co-branded Card Services, et enfin, Virtual Card Number (produit eCarte bleue, qui affiche 700 000 porteurs actifs, selon Orange), destiné aux achats sur Internet, afin de bénéficier des avantages des cartes de paiement privatives. «Les grands acteurs de la carte privative adoptent la carte virtuelle, explique Laurent Kocher, directeur intégration et services, de Orange Business Service, car cela relie leur carte physique à la carte virtuelle, et leur ouvre l'accès à tous les commerçants de la planète ». [[page]] Lors de démonstrations, Orange a notamment souligné l'intérêt de basculer d'un terminal de paiement connecté par RTC à un terminal de paiement raccordé sur une liaison à haut débit via une LiveBox. « Une vérification prend 3 secondes sur une ligne IP à haut débit, contre 14 secondes par RTC, et les coûts deviennent forfaitaires », souligne l'opérateur. Multiplier le chiffre d'affaires par cinq Les objectifs communs à Experian et à Orange sont de multiplier par cinq en cinq ans le chiffre d'affaires de cette activité de moyens de paiement. « Ce qui correspond par exemple pour Payline à 500 nouveaux comptes signés par an, soit deux comptes Payline gagnés par semaine », explique Eric Benolaut. Si Payline ne représente actuellement que quelques centaines de clients, il pèse 40% en parts de marché selon Experian. « Nous travaillons avec de grands acteurs (Fnac, Amazon.fr, alapage.com, ...) qui ont beaucoup de flux », explique le directeur de Experian. L'objectif est désormais de recruter de nombreux commerçants de plus petite taille. (...)
(20/02/2008 10:14:22)Microsoft se tourne vers les actionnaires de Yahoo
Microsoft avait laissé planer le doute, il passe maintenant à l'action. Selon le New York Times, le géant de Redmond aurait décidé de s'adresser directement aux actionnaires de Yahoo pour mettre la main sur ce dernier. C'est à travers une initiative dite proxy fight que Microsoft tentera de contraindre le portail à accepter son offre d'achat. Ce mécanisme - qu'on peut traduire par bataille de mandats - est à la fois l'alternative et le complément d'une simple OPA. Elle consiste à obtenir les procurations des actionnaires de l'entreprise cible afin de peser davantage lors des votes en assemblée générale. In fine, la démarche vise à modifier la composition du conseil d'administration. C'est précisément ce qu'entend faire Microsoft en s'adressant aux porteurs de titres Yahoo. En obtenant suffisamment de mandats, l'éditeur pourrait influer sur les votes pour le renouvellement des administrateurs prévus cette année. L'opération coûterait entre 20 M$ et 30 M$ à Microsoft. Une paille au regard des 44,6 Md$ proposés initialement le 1er février et finalement rejetés par Yahoo. Le combat de mandats initié par Microsoft, s'il est avéré, pourrait profiter de ce que nombre d'actionnaires de Yahoo possèdent également des parts de l'éditeur. Reuters révélait la semaine dernière que la majorité des vingt plus gros actionnaires du portail étaient dans ce cas. (...)
(20/02/2008 10:06:55)Pour IDC, l'informatique verte est d'abord une réalité économique
Dans une étude réalisée en janvier, et co-financée par Sun, IDC estime que l'informatique verte va s'imposer en entreprise non pas par conscience écologique (seuls 23,6 % des utilisateurs considèrent que c'est une obligation morale de considérer la composante écologique d'une décision IT), mais par simple réalisme économique. En effet, selon le cabinet d'études, les entreprises françaises auront 2 millions de serveurs en 2010 en production, soit une augmentation de 700 % du parc en 15 ans. Or à l'heure actuelle, ces serveurs sont sous-utilisés (à 10 % de leurs capacités en moyenne), coûtent autant en refroidissement qu'en utilisation pure et huit fois plus en maintenance qu'à l'achat. Il faut dire qu'avec un âge moyen de 12 ans, les salles de serveurs françaises coûtent chères à entretenir (environ 7000 € du mètre carré par an et 13 % du budget part dans l'électricité). C'est ce coût selon IDC qui force les entreprises à adopter des stratégies « vertes » comme la consolidation physique des serveurs, les processeurs multi-coeurs ou la virtualisation. 36 % des entreprises utilisent désormais la virtualisation dans leurs salles de serveurs et en moyenne 7 % du parc installé est virtualisé, dont 69 % des serveurs achetés lors des 12 derniers mois. (...)
(20/02/2008 10:03:55)Jet Multimédia propose son CMS mobile sous licence GPL
La communauté Open Source vient de s'enrichir d'un système de gestion et de publication de contenu (CMS, Content management system) pour les téléphones mobiles. Jet Multimédia, prestataire de services dans le domaine du marketing mobile, de l'infogérance et de la relation client, propose en effet sous licence GPL le CMS qu'il a développé, Huria. Conçu pour pouvoir s'installer en environnement Lamp (Linux, Apache, MySQL, PHP), Huria dispose des fonctions classiques d'un CMS pour Internet, plus des outils spécifiques liés aux mobiles, comme la détection du modèle ou l'adaptation de la page. Axel Mery, responsable mobilité de Jet Multimédia, espère que ce don à la communauté servira à « accélérer le développement du marché du marketing mobile ». (...)
(20/02/2008 10:02:13)La neutralité d'Internet bientôt inscrite dans la loi américaine
Outre-atlantique, la guerre pour facturer le trafic sur Internet continue. Les opérateurs telco rêvent toujours de rétablir une facturation à l'usage, comme à la luxuriante époque du téléphone filaire. En Europe, France Télécom et les autres dinosaures de cette époque caressent la même idée et s'emploient à la distiller dans les esprits de la Commission européenne. Ici comme là-bas, la justification est la même : les investissements requis pour augmenter le débit des réseaux sont tellement importants qu'il faut facturer l'usage des segments les plus performants. C'est donc un Internet à deux vitesses dont rêvent ces sociétés. Au grand dam, bien sûr, de toutes celles qui profitent d'Internet (et de sa gratuité) pour se développer. On trouve dans ce camp-là, des sociétés comme Google ou comme Microsoft. Deux élus de la Chambre des représentants viennent de déposer un texte de loi intitulé "Internet Freedom Preservation Act of 2008 (HR5353)". Il vise à inscrire dans le code américain des télécoms (Telecom Act) la neutralité financière de l'usage d'Internet, tant pour les internautes, qu'ils soient personnes privées ou professionnels, que pour les fournisseurs de contenus. Pour l'instant, la balance est donc repartie du "bon" côté. (...)
(19/02/2008 18:12:50)Sage lance un PGI pour les PME de 50 salariés et Sage 1000 v5.5
[mise à jour] Poursuivant sa stratégie de conquête des moyennes et grandes entreprises (MGE), Sage vient d'annoncer simultanément un progiciel de gestion intégré pour les PME de 50 à 300 salariés et l'évolution de sa suite financière Sage 1000. Deux produits qui seront livrés début mars. Le PGI est le fruit du projet X2, annoncé au printemps 2006 par Christophe Letellier, directeur général de la division MGE de Sage. Il s'agit finalement d'une version déclinée du PGI X3. Rappelons que ce dernier, racheté en novembre 2005 à Adonix, est destiné aux PME comptant jusqu'à 2 000 salariés. La nouvelle offre, baptisée Sage ERP X3 Standard Edition, dispose d'un spectre fonctionnel identique à celui du produit d'origine -qui prend maintenant le nom de Premium Edition- mais elle a été adaptée aux ressources et aux contraintes des plus petites structures. Celles que vise Sage avec ERP X3 « Standard » disposent généralement d'un service informatique réduit (2 ou 3 personnes) et leur capacité annuelle d'investissement informatique globale se situe entre 200 000 et 500 000 euros. Il s'agit néanmoins de clients très avertis. « Ces entreprises recherchent des solutions simples à utiliser et elles deviennent très exigeantes sur ce critère car elles ont déjà l'expérience des solutions de gestion », souligne Christophe Letellier en rappelant que, sur cinq ans, plus de la moitié du coût total d'un tel projet peut être liée aux démarches de formation et de conduite du changement. Cent processus pré-cablés L'offre ERP X3 Standard Edition propose aux utilisateurs une interface de portail personnalisable, bénéficiant au passage des attributs du Web 2.0 (widgets, flux RSS...). Pour accélérer l'installation du PGI (Sage promet une mise en oeuvre entre 35 et 50 jours) et faciliter son appropriation par les utilisateurs, une centaine de processus ont été pré-cablés dans le produit à l'aide d'un descripteur graphique de processus. Trois cent trente états paramétrables sont également livrés en standard. Sage prévoit des configurations allant de huit à quarante postes. L'investissement de départ devrait s'établir entre 40 000 et 60 000 euros, en incluant coût des licences et des services, et aller jusqu'à 120 000 euros pour les configurations les plus complètes. Il est évidemment prévu que les clients puissent ensuite évoluer vers la version ERP X3 Premium Edition. [mise à jour] A côté du PGI, la suite financière La version 5.50 de la suite Sage 1000, annoncée le même jour, s'enrichit d'un portail Web 2.0. Cette offre regroupe maintenant une comptabilité générale, auxiliaire, analytique et budgétaire, des fonctions de gestion de trésorerie, de suivi des engagements, des achats et des stocks, de facturation, de rapprochement bancaire (compatible SEPA), des immobilisations, d'intégration fiscale et de consolidation statutaire. [[page]] A côté du PGI, la suite financière Sage a développée la suite Sage 1000 pour toucher les directions financières des entreprises -jusqu'à 2 000 salariés- qui ne recourent pas à un PGI mais qui ont besoin d'une vraie performance au niveau du poste financier et administratif », expliquait en septembre dernier Pascal Houillon, directeur général de Sage France, dans un entretien avec www.lemondeinformatique.fr. L'éditeur enfonce aujourd'hui le clou en qualifiant Sage 1000 de solution de FRP, pour Financial Resource Planning, le « FRP étant au flux financier ce que l'ERP [enterprise resource planning, ou PGI] est au flux de matière, explique Christophe Letellier. Les directeurs financiers sont soumis à des pressions très fortes de la part du législateur et ils ont besoin du même niveau de traçabilité et de pilotage que l'on peut trouver dans un PGI. » La version 5.50 de Sage 1000 s'appuie ainsi sur un référentiel de données unique et dispose maintenant d'un moteur de workflow pour définir des circuits de validation et mettre en place des alertes. Accessoirement, les utilisateurs itinérants pourront accéder à la suite depuis un téléphone portable ou un assistant numérique. (...)
(19/02/2008 17:54:45)CSC et Unilog Logica CMG utilisent Facebook pour recruter
Difficile de passer à côté de Facebook, le célèbre réseau qui permet à tout individu de rester connecté avec ses amis et son entourage. Il ne lui manquait plus qu'une application de recrutement. L'agence de communication RH TMPNeo a décidé de profiter du filon pour y créer « Work With Me », une application qui permet aux utilisateurs du réseau communautaire d'afficher, dans leur profil, les offres d'emploi de leur entreprise. Deux SSII, CSC (700 embauches prévues en 2008), et Unilog Groupe LogicaCMG (1800 recrutements d'ici la fin de l'année), ont été séduites par ce nouveau mode de communication pour réaliser leurs recrutements. Pour toucher un maximum de candidats potentiels, elles invitent leurs collaborateurs à partager avec leur amis inscrits sur Facebook, les offres à pourvoir dans leurs établissements respectifs. Après avoir installé « Work With Me » sur leurs profils, les salariés qui le souhaitent peuvent sélectionner eux-mêmes les offres qu'ils souhaitent mettre en avant, et inviter leurs contacts à avoir plus de détails sur les postes à pourvoir. L'offre d'emploi paraît alors plus fiable dans la mesure où elle est portée par quelqu'un que le candidat connaît bien. (...)
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