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(31/01/2008 12:00:50)
Pour Microsoft, IBM est responsable de l'échec d'OOXML
Pour Jean Paoli, le créateur d'Open XML et directeur des technologies XML chez Microsoft, l'échec de la standardisation de ce format en septembre dernier n'a qu'un seul responsable : IBM. « Soyons clairs, affirme-t-il. Elle [ndlr, la campagne anti-OOXML auprès de l'ISO] a été orchestrée par une seule société : IBM. S'il n'y avait pas eu IBM, les choses auraient suivi leur cours normal pour ce standard. » En effet, après le vote initial d'IBM contre la ratification du standard, Microsoft pense que Big Blue - en partenariat avec la FSF (Free Software Foundation) - a fait du loobying auprès des gouvernements, les encourageant à rejeter le format. Le tout pour de basses raisons commerciales, selon Nicos Tsilas, directeur de l'intéropérabilité et de la propriété intellectuelle chez Microsoft. Il souligne en effet qu'IBM tire « 50 % de ses revenus de son activité de services et de consulting », et qu'une large part de cette activité porte sur les logiciels Open Source. « C'est une nouvelle façon de se battre commercialement », avance Nicos Tsilas. « Ils utilisent l'action gouvernementale contre leurs concurrents. Cette compétition sur le plan légal cache une incapacité à se lancer dans une compétition technique. » Second round des débats en février lorsque OOXML reviendra devant l'ISO pour une éventuelle standardisation. En février 2007, ce même Jean Paoli, accompagné de Tom Robertson avaient publié une lettre ouverte accusant IBM d'enrayer le processus de normalisation d'OOXML à l'ISO. (...)
(30/01/2008 17:58:09)IBM porte les applications Linux sur ses serveurs Unix
IBM vient de compléter son hyperviseur Power VM (anciennement Advanced Power Virtualisation) dédié à ses processeurs Power en y ajoutant une fonction pour faire tourner n'importe quelle application Linux sur ses systèmes Unix. Grâce à cette fonction, dite Lx86, si l'hyperviseur PowerVM est installé sur le serveur, dès qu'il détecte une application Linux, il crée automatiquement une machine virtuelle Linux et lance l'application. Pour Scott Handy, vice-président Marketing et Stratégies des Systèmes Power chez IBM, « Lx86 est une façon de dire : Quoique vous ayez, cela tourne ! » Ce sera, selon lui, un argument mettant en avant une consolidation des serveurs Linux et Unix en entreprise. Cette fonction Lx86 sera incluse dans toutes les éditions de Power VM. Y compris Power VM Express, destinée au marché des PME. Celle-ci permettra de créer jusqu'à trois partitions différentes sur un même serveur, et donnera à l'utilisateur un contrôle complet des cycles d'utilisation des processeurs pour une meilleure gestion de la performance. Elle devrait être commercialisée d'ici quelques semaines à partir de 40 $ par coeur. (...)
(30/01/2008 17:48:43)Annuels SAP : +9%, mais Business ByDesign pèse sur la rentabilité
[mise à jour] SAP a réalisé un très bon exercice 2007. En un an, les ventes mondiales de licences engrangées par l'éditeur de progiciels de gestion ont augmenté de 13% (à taux de change courant), pour atteindre 3,4 MdE (+18% à taux de change constant par rapport à 2006). Ces ventes ont augmenté sur l'ensemble des zones géographiques (+8% pour le continent américain, +14% en EMEA, +28% en Asie/Pacifique). Elles pèsent un peu plus de 33% du chiffre d'affaires total, contre 37,5% pour les revenus liés à la maintenance des progiciels (en progression de 11%), et 26,8% pour les revenus issus des services qui, eux, n'ont augmenté que de 1% par rapport à 2006. La rentabilité opérationnelle, en revanche, a été affectée par les investissements injectés dans le projet SAP Business ByDesign. 125 ME ont en effet été consacrés au développement de cette application de gestion intégrée destinée aux PME et hébergée par SAP (une offre sur le mode SaaS, Software as a service). Il est prévu d'y réinvestir environ 200 ME cette année. L'éditeur allemand mise toujours solidement sur sa R&D. Comme l'an dernier, il y a consacré 1,45 MdE, soit 14,2% de son chiffre d'affaires. La solution Business ByDesign est pour l'instant testée, voire opérationnelle, chez certains clients pilotes (150 entreprises dont 15 en France). Mais elle ne sera livrée de façon plus large qu'à la fin du premier trimestre de cette année, sur cinq pays dont la France où deux clients ont déjà mis l'application en production. SAP France, 2ème croissance en Europe derrière la Russie Les résultats de la filiale française sont largement supérieurs à la moyenne affichée par le groupe. Son chiffre d'affaires s'établit à un peu moins de 500 ME, selon Pascal Rialland, directeur général de la filiale (à comparer [[page]] aux 300 ME réalisés en 2005). Les ventes de licences ont augmenté de 33% (contre +15% l'an dernier), ce qui en fait la plus forte croissance de la zone EMEA (Europe/Moyen-Orient/Afrique), juste derrière la Russie qui réalise 52% de croissance. Après un premier trimestre 2007 moins remarquable, les trois trimestres suivants ont respectivement enregistré des hausses de +20%, +84% et +40% sur les ventes de licences. [mise à jour] Parmi les contrats signés cette année, Pascal Rialland cite volontiers Veolia (gagné sur le 4ème trimestre et âprement disputé à Oracle), qui porte sur les solutions financières de l'éditeur, ainsi que sur ses outils de gouvernance et de conformité. Il représentera 7 000 utilisateurs. Le DG de la filiale française énumère aussi le Ministère des Finances, France Printemps, Bio Merieux, les NMPP (pour accompagner leur plan de restructuration défi 2010), la Mairie de Paris, Thalès, Alstom, ou encore Vinci, Saint Gobain et La Poste. +36% en PME Ces ventes ont progressé de 36% dans les PME et de 32% dans les grands comptes. Rappelons que SAP France fait entrer dans la catégorie PME tous les clients qui n'appartiennent pas aux 170 plus grandes entreprises françaises. Cette précision prise en compte, les ventes réalisées par la filiale dans les PME (avec ses offres All-in-One et Business One) pèsent un tiers de son chiffre d'affaires total, les deux autres tiers venant de l'offre SAP Business Suite. Quant au réseau de distribution indirect, qui enregistre un taux de croissance de 100% cette année, il compte pour un tiers du chiffre réalisé en PME. Concrétisation du rapprochement avec BO Le rapprochement avec Business Objects se concrétise, en France, par des prises de contact entre les équipes et la mise en place d'une organisation opérationnelle, notamment la coordination des structures commerciales. Au niveau global, le fondateur Bernard Liautaud vient, comme prévu, de démissionner de ses fonctions de président du conseil d'administration de BO. (...)
(30/01/2008 17:18:42)Les licences logicielles toujours chères et complexes, dénonce Forrester
Pour les DSI, la facture logicielle est toujours un casse-tête. Complexe, pour ne pas dire obscure, pleine de mauvaises surprises comme la hausse constante des coûts de maintenance et toujours inadaptée aux besoins de flexibilité que requiert un système d'information moderne, tels sont les principaux reproches qu'a pu recueillir le cabinet Forrester Research auprès de plus de 200 responsables informatiques dans le cadre d'une enquête intitulée : "Trends 2008: Applications Licensing and Pricing". C'est la complexité des contrats avec leurs éditeurs que les utilisateurs dénoncent avec le plus de véhémence. Pour près de la moitie d'entre eux, le vocabulaire et la structure des licences s'avèrent être les problèmes les plus difficiles à surmonter. A les entendre, on pourrait même croire que cette complexité, même si l'on peut comprendre qu'elle résulte de la difficulté à intégrer toutes les conditions d'usage, pourrait aussi bien être le résultat d'une démarche volontaire de la part des éditeurs. SOA et Saas pourraient amener à redéfinir les règles du jeu tarifaire Les utilisateurs trouvent qu'il est difficile d'identifier clairement ce que l'on obtient pour un prix donné, et de comprendre la logique qui sous-tend le montant des dépenses, des remises et des provisions pour faire évoluer leur contrat de licence. L'autre gros point noir est la hausse constante des prix d'une maintenance dont les utilisateurs ne perçoivent pas la valeur ajoutée. Elle représente en moyenne 26% du TCO (coût total d'exploitation) alors que, pour 50% des sondés, elle devrait être inférieure ou égale à 16%. Il reste aussi à dénoncer des structures tarifaires trop rigides qui ne correspondent pas à la façon dont fonctionnent les entreprises. Dans ce contexte peu amène, Forrester a beau jeu de prédire que des tendances de fond comme les architectures orientées services (SOA) et les logiciels en ligne (SaaS) devraient encore marquer le divorce entre les éditeurs traditionnels et leurs clients. (...)
(30/01/2008 17:03:34)Microsoft France claironne ses chiffres de ventes de Vista
Microsoft France affirme que "les ventes de Windows Vista sont très soutenues dans le grand public et dans les entreprises". Partielle, l'information diffusée précise que "400 000 PC équipés de Windows Vista sont vendus chaque mois dans le grand public". Une donnée qui indique plus le niveau des ventes grand public en fin d'année que le succès propre de Vista puisqu'il est impossible de trouver une machine de marque qui ne soit pas prééquipée de Vista depuis la rentrée. Dans le même esprit, le discours sur le marché professionnel affirme que "deux millions de postes devraient être déployés dans les 18 mois à venir dans les entreprises". Pour étayer cette prévision, Microsoft France affirme qu'un million de licences du produit Microsoft Desktop Optimisation Pack (MDOP), qui permet d'optimiser les déploiements, ont été vendues en un an, ce qui montre que les entreprises se préparent à déployer Windows Vista. Aux détails près que ce chiffre d'un million correspond plus au marché mondial en 2007que français et que la MDOP est une exclusivité de la Software assurance, réservée aux très grands comptes. On l'aura compris, la filiale française de l'éditeur consacre beaucoup d'énergie à faire de Vista un succès. L'arrivée du SP1 d'ici mars devrait stimuler la demande. (...)
(30/01/2008 16:46:59)Solutions Linux : Le rachat de NetAktiv propulse Linagora dans le Saas
Linagora passe au Saas. La SSLL française annonce à l'occasion de Solutions Linux le rachat de NetAktiv, spécialiste Open Source de l'hébergement haute disponibilité. NetAktiv, qui édite également des solutions de portail Web, doit ainsi donner à Linagora l'infrastructure et l'assise nécessaire pour le développement d'offres hébergées. NetAktiv n'est pas un inconnu sur le marché de l'infrastructure réseau et du CMS - il participe au projet Lutece. La société, qui emploie 8 personnes, fait partie des membres fondateurs du GIE (groupement d'intérêts économiques) Gitoyen (créé en 2001), un regroupement de cinq sociétés dont le but est la création d'un opérateur Internet alternatif reposant sur les Logiciels Libres. C'est dire la crédibilité que NetAktiv a en termes de qualité de bande passante et de réseau multi-opérateurs, argumente Alexandre Zapolski, PDG de Linagora. En clair, la SSLL n°1 (9 M€ de CA en 2007) en France s'offre, pour un montant non communiqué, « une importante capacité d'hébergement » pour finaliser une véritable offre de logiciels diffusés par le Web. Et Alexandre Zapolski annonce clairement son ambition : « se positionner face à des acteurs comme Salesforce.com », fleuron de la GRC hébergée. Pour cela, la société, qui se définit comme un éditeur orienté service, compte exploiter OBM, la technologie acquise lors du rachat d'Aliasource en juin 2007 et qui se présente comme une alternative à Lotus Notes. « Nous allons lancer OBM online. Il existe une brique CRM dans OBM qui n'est pas connue », ajoute-t-il, tout en rappelant que la société a déjà inauguré une offre pour les PME, OBM Express. A terme, l'offre Saas s'étendra au domaine de la sécurité, « comme la signature électronique et l'authentification forte ». Fort de sa lancée, Linagora, qui espère changer de visage vers un profil plus éditeur, se voit pousser des ailes à l'international en 2008. Et de lorgner le marché outre Atlantique, que la société compte pénétrer comme éditeur. (...)
(30/01/2008 16:35:59)Bernard Liautaud quitte ses fonctions à la tête de BO
C'est officiel, Bernard Liautaud n'est plus président du conseil d'administration, et Chief Strategy Officer (CSO) de Business Objects. Comme SAP l'avait indiqué dès l'annonce du rachat de l'éditeur français de solutions décisionnelles, le fondateur de BO n'exercera plus qu'une activité de conseiller auprès d'Henning Kagermann, le CEO de SAP. La nomination de Bernard Liautaud au conseil de surveillance de l'éditeur allemand, en tant que membre, sera proposée aux actionnaires lors de la prochaine assemblée générale, le 2 juin. (...)
(30/01/2008 14:29:03)Bénéfices en baisse sur fond de plan social chez Yahoo
Résultats 4e trimestre 2007 (clôture le 31 décembre) Chiffre d'affaires : 1,83 Md$ (+ 8%) Bénéfices nets : 206 M$ (- 23,5%) Résultats exercice 2007 Chiffre d'affaires : 6,97 Md$ (+ 8%) Bénéfices nets : 660 M$ (- 12,1%) 2007 aura été une année morose pour Yahoo. Le moteur de recherche californien a annoncé hier, mardi soir, un bénéfice net en chute libre au 4e trimestre et sur l'ensemble de 2007. Le groupe a en effet vu son bénéfice net reculer de 23,5% au 4e trimestre, à 206 millions de dollars, et baisser de 12,1% à 660 millions sur l'ensemble de 2007, suite à d'importantes dépenses en marketing et développement. Son chiffre d'affaires a, en revanche, augmenté de 8% à 1,83 milliard de dollars au cours du 4e trimestre 2007 et de 8,4% sur l'ensemble de l'année 2007 à près de 7 milliards de dollars. En excluant les sommes reversées à ses partenaires publicitaires, le CA ressort néanmoins en hausse de 14% à 1,4 milliard de dollars en 2007. L'année 2008 ne s'annonce pas non plus sous de meilleurs auspices. Confirmant la rumeur, Jerry Yang, le PDG de Yahoo, a annoncé un vaste projet de restructuration qui se soldera par une réduction de 7% de la masse salariale, soit un millier de postes supprimés, sur un effectif total de 14 300. 2008 devrait être l'année de la rationalisation pour Yahoo Il a insisté sur le fait que ces réductions d'emploi traduisaient une volonté de l'entreprise de réallouer et de réaligner les ressources existantes, en réduisant les administratifs et en supprimant les emplois redondants. Jerry Yang a également ajouté que les coupes seraient accompagnées « d'importants investissements » . Il a précisé qu'en 2008, « le groupe continuera à subir des vents contraires, mais que ces décisions l'aideraient à sortir de 2008 plus fort et à retrouver des niveaux plus élevés de cash flow [trésorerie disponible, NDLR] en 2009 ». Le groupe a prévu pour 2008 un chiffre d'affaires de 1,68 à 1,84 milliards au 1er trimestre et de 7,2 à 8 milliards pour l'ensemble de l'année, soit une hausse annuelle de 14%. Il estime aussi que son bénéfice opérationnel pourrait atteindre de 1,72 à 1,97 milliard cette année, contre 1,927 milliard en 2007. Ce qui laisse présager une possible baisse de son bénéfice opérationnel l'an prochain. Yahoo a également annoncé la nomination d'un nouveau directeur technique, Aristotle Balogh, jusqu'ici directeur technique de VeriSign, pour remplacer Farzad Nazem, parti l'été dernier. (...)
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