Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 6291 à 6300.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(15/01/2008 16:44:28)
Deux administrateurs Oracle sur trois ne patchent pas leur SGDB
Quatre fois par an, régulièrement, Oracle poste son CPU (Critical Patch Updates) qui rassemble toutes les mises à jour de sécurité les plus importantes pour sa base de donnée. Et que font les administrateurs de ces bases ? Pour les deux tiers d'entre eux, strictement rien. C'est en effet le résultat d'un sondage mené par Sentrigo, revendeur américain de solutions de sécurité pour bases de données, auprès de 305 administrateurs Oracle provenant de 14 Oracle user group américains. Et dans le lot, seuls 10 % installent régulièrement les CPU, alors que 90 % d'entre eux n'ont pas installé le dernier lot de patches. Et 67,5 % des répondants n'ont même jamais installé un seul patch. Pour expliquer cette absence d'intérêt, Steve Markovich, directeur technique de Sentrigo a noté trois tendances majeures parmi les répondants. Primo, la plupart d'entre eux ne sont pas sensibilisés aux vulnérabilités pouvant affecter des bases de donnée. Deuxio, l'absence de certifications CPU pour les applications extérieures devant travailler avec une base Oracle est également un frein. Tertio, la sécurité n'est pas la préoccupation majeure de leurs employeurs qui les jugent sur la disponibilité et la performance de la base de donnée. « Au final, patcher une base de données est une opération complexe en soi », explique Steve Markovich. « Et si Oracle peut toujours rendre les choses de plus en plus facile, il faut que du côté client on reconnaisse que la sécurité doit faire partie d'une routine d'administration de base normale. » (...)
(15/01/2008 16:26:17)BEA explique Genesis à ses utilisateurs français
BEA tenait aujourd'hui son « Convergence Day » au Cnit de Paris-La Défense, un événement important dans le calendrier de l'éditeur, qui réunit ainsi chaque année ses principaux utilisateurs, prospects et partenaires. Alfred Chuang, cofondateur et toujours patron de BEA, a fait le déplacement, pour faire la promotion de son nouveau concept Genesis, dans un court discours résumant son 'keynote' de l'édition européenne de BEA World, qui s'est tenue à Barcelone en octobre dernier. Insistant sur la fin des progiciels intégrés et sur l'essor des mashups, ces services composés par les utilisateurs eux-mêmes, Alfred Chuang explique que l'avenir appartient aux « Dynamic business applications », un terme issu des analyses du cabinet Forrester, désignant des applications conçues pour être changées, et non pas simplement personnalisées. Un avenir rendu possible par la généralisation des SOA, les architectures orientées services. La réponse de BEA à ce challenge s'appelle « Genesis », « une initiative qui embrasse et étend tout ce que fait BEA », a sommairement expliqué Alfred Chuang, qui promet un lancement de la première étape de Genesis dès cet été. Dans un entretien avec Lemondeinformatique.fr, Mike Piech, directeur marketing senior pour les familles de produits WebLogic et Tuxedo, a indiqué que chaque nouvelle version d'un produit BEA comporterait désormais des spécificités liées à Genesis, tandis que certaines fonctionnalités seront délivrées en tant que modules autonomes. Dans tous les cas, a insisté Mike Piech, les produits BEA déjà installés dans l'entreprise seront pris en compte par les nouvelles technologies estampillées Genesis au même titre que le reste de l'existant : pas besoin de tout migrer. La première déclinaison de Genesis concernera les éditeurs souhaitant proposer leurs applications en mode Saas (Software as a service, ou application hébergée). « Parmi les exemples de fonctionnalités, il y aura la capacité de gérer plusieurs instances pour des clients différents, et de superviser l'usage du logiciel pour la facturation. » Genesis mêle mashups et Web 2.0 dans un monde post-SOA Mike Piech était monté sur scène pendant le discours d'Alfred Chuang pour effectuer et commenter une démonstration d'une application Genesis : un portail Web pour une marque automobile fictive, proposant plusieurs vues selon les utilisateurs (client, vendeur, concessionnaire, designer...), et privilégiant des techniques ainsi que des façons de travailler très Web 2.0 : collaboration via messagerie ou tableau blanc, glisser-déposer d'éléments applicatifs générant automatiquement des mashups... « La première démonstration live que j'ai vue moi-même de Genesis », a ensuite glissé Laurent Matringe, DG de BEA France, en guise de conclusion. Or, cela n'avait pas grand-chose de live, nous a ensuite avoué Mike Piech. Il s'agissait d'une vidéo retraçant ce que Genesis pourrait, à terme, offrir. Il reste, avant cela, beaucoup de travail à faire. Non seulement pour parvenir à cette création instantanée de mashups, mais aussi pour encadrer ce que pourront et ne pourront pas faire les utilisateurs. « Parmi les challenges à résoudre, indique Mike Piech, à chaque fois que j'effectue un glisser-déposer, j'augmente significativement la charge du service applicatif. D'où l'intérêt de la virtualisation pour ajouter dynamiquement des ressources. » Le DG France de VMware, partenaire de l'événement, avait d'ailleurs eu l'insigne honneur de monter sur scène le matin, BEA ayant multiplié ces derniers temps les annonces en matière de virtualisation. Toutefois, même avec de la virtualisation, les risques restent importants pour l'équipe d'exploitation. « Je ne peux pas prétendre que nous ayons déjà toutes les réponses », répond Mike Piech. (...)
(15/01/2008 15:42:10)Hector, le supercalculateur le plus puissant de la Grande-Bretagne
La Grande-Bretagne vient d'inaugurer le plus puissant supercalculateur jamais construit sur son sol. Doué d'une puissance équivalente à celle développée par 12 000 PC, le Cray XT4, nom de son constructeur américain, baptisé Hector (pour High-End Computing Terascale Resource) est capable d'une puissance de 60 teraflops. Hébergé dans le centre dédié à la recherche informatique de l'université d'Edimbourg, Hector sera utilisé par la communauté scientifique pour étudier les mouvements des courants, pour l'industrie aéronautique ou pour élaborer des scenarii complexes liés au réchauffement climatique. Selon le Top 500 des supercalculateurs mondiaux, Hector, en dépit de sa puissance phénoménale et de son coût de 113 M£, se place au 17e rang du classement. Surclassé par BlueGene/L d'IBM qui, avec ses 212 992 processeurs, développe une puissance de calcul de 478 teraflops. Hector est motorisé par 11 328 puces. (...)
(15/01/2008 13:55:02)Résultats : SAP dépasse les prévisions au 4e trimestre
SAP vient de communiquer pour son quatrième trimestre fiscal des résultats préliminaires supérieurs aux prévisions des analystes. Sur les trois derniers mois de l'année 2007, le chiffre d'affaires de l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) s'est élevé à 3,25 Md€ (4,8 Md$), soit une progression de 10% par rapport au quatrième trimestre 2006. Le chiffre d'affaires issu des ventes de logiciels et de services associés a progressé de 13%, à 2,48 Md€. Sur l'ensemble de l'année 2007, le chiffre d'affaires total de SAP s'établit à 10,26 Md€ (+9%) et les ventes de logiciels et de services associés à 7,44 Md€ (+13%). A taux constant entre dollar et euro, les ventes de logiciels et de services du quatrième trimestre ont en fait progressé de 17% et le chiffre d'affaires total de 13% par rapport à 2006. La marge opérationnelle du groupe, en revanche, a reculé à 26,5% (contre 27,3% en 2006), une baisse que SAP attribue aux investissements qu'il a effectués dans sa suite de gestion intégrée en ligne, Business ByDesign, une solution destinée aux PME que l'éditeur héberge et propose d'exploiter comme un service (SaaS). Cette offre, annoncée en septembre dernier, est déjà utilisée par plusieurs entreprises pilotes et sa commercialisation doit se généraliser au cours des prochains mois. Région EMEA : +13% sur les ventes de logiciels et services Si l'ensemble des zones géographiques a contribué aux bons résultats du quatrième trimestre pour les ventes de logiciels et de services associés, l'éditeur souligne en particulier la progression de la région Asie/Pacifique/Japon où ces ventes ont augmenté de 27%, à 0,30 Md€ sur le quatrième trimestre, et devraient atteindre 0,96 Md€ sur l'année (+19%). Dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), ces ventes se sont établies à 1,40 Md€ (+13%) et à 3,98 Md€ (+13%) sur l'année. La croissance a été moins marquée sur le continent américain où les ventes de logiciels et de services associés ont progressé de 7%, à 0,78 Md€, au quatrième trimestre (2,5 Md€, +9% sur l'année). (...)
(15/01/2008 13:45:21)HP dope sa gamme de serveurs pour PME
HP a intégré quatre nouveaux serveurs rack à sa gamme Proliant. Destiné au marché des PME, ils incluent tous un ensemble de logiciels et de services spécialement conçus pour ces sociétés, comme Lights Out pour les administrer à distance. Côté technique, deux de ces quatre serveurs, les HP Proliant DL 160 G5 et 180 G5, sont basés sur les nouveaux quadri-coeurs Xeon d'Intel, tandis que les HP Proliant DL 165 G5 et DL 185 G5 utilisent des Opteron bi-coeurs (ils pourront recevoir des processeurs Barcelona dès que ceux-ci seront disponibles). Ils sont tous dotés de disques SATA avec une capacité de stockage allant jusqu'à 10, 5 To. Le modèle le moins cher est commercialisé à partir de 1 499 $. (...)
(15/01/2008 10:28:23)Le système de publicité de Facebook est toujours en service
Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, défend bec et ongles son bébé Beacon. Il a confirmé sur 60 Minutes, une émission télévisée de CBS, que son système de publicité était toujours en service, en dépit de l'amas de reproches récoltés ces dernières semaines (non respect de la vie privée, exploitation de données personnelles dans un but lucratif auprès des annonceurs), mais qu'il allait évoluer afin de devenir « un bon outil ». En termes d'améliorations à faire, le site Techcrunch souligne par exemple un effort côté visibilité : « Beacon serait parfait si l'internaute acheteur savait qu'il envoie une information à ses amis au moment de la transaction, et si ces amis acceptent de recevoir de tels messages ». Pour rappel, Beacon est une plateforme publicitaire qui offre aux annonceurs (moyennant finances) un accès direct vers les informations concernant les membres du site communautaire, afin de les aider à mieux cibler leurs campagnes publicitaires. Autre détail contesté, si l'utilisateur clique sur une bannière publicitaire, elle est automatiquement transmise à l'ensemble de son réseau. Mark Zuckerberg a justifié sa position en déclarant : « Facebook emploie 400 salariés, nous devons faire du bénéfice pour soutenir la société ». Il a par ailleurs affirmé que Facebook ne serait pas introduit en bourse en 2008. (...)
(15/01/2008 10:25:07)Salesforce.com vise 1 milliard de dollars sur son prochain exercice
Marc Benioff, PDG de l'éditeur Salesforce.com, se plaît à souligner l'adoption croissante du mode SaaS (software as a service) qui conduit les entreprises à consommer les logiciels comme un service. Un modèle sur lequel il a exclusivement misé, dès la création de sa société en mars 1999, en proposant un logiciel de gestion de la relation client (GRC) à utiliser en ligne sur la base d'un abonnement. Fort du million d'abonnés qu'il vient de franchir en décembre dernier, Marc Benioff prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de 1 Md$ sur son exercice 2009 qui débute en février 2008. Ce faisant, il rejoindrait le groupe restreint des éditeurs qui dépassent le milliard de dollars de chiffre d'affaires. Parmi ceux-ci figurent notamment Business Objects (1,254 Md$ en 2006), BEA Systems (1,4 Md$), Dassault Systèmes (1,157 Md€) et SAS (1,9 Md$), Cognos n'en étant également pas très loin (979 M$) sur son exercice 2006. Devant eux, Adobe (3,15 Md$), SAP (9,4 Md$), Oracle (18 Md$), Computer Associates, IBM, HP et Microsoft (51 Md$ au 30 juin 2007). La concurrence n'inquiète pas Salesforce.com En 2008, la société de Marc Benioff a lancé Force.com qui fournit aux entreprises et aux éditeurs tiers un cadre et des outils pour effectuer des développements d'applications, ces dernières ayant vocation à s'exécuter sur la plateforme de Salesforce. L'intérêt étant d'épargner aux entreprises de redévelopper des fondements que Salesforce.com a déjà mis en place. Le PDG rappelle que la consolidation du marché du logiciel se poursuit et il affirme que lui-même ne s'inquiète pas de la présence ou de l'arrivée sur le marché de la GRC en ligne d'acteurs aussi importants qu'Oracle (avec Siebel On Demand), Microsoft, avec Dynamics CRM Live, ou encore SAP. De façon assez présomptueuse, Marc Benioff estime qu'aucun de ces fournisseurs « n'a la capacité de fournir un service multi-instance (multi-tenant) qui puisse réellement concurrencer les solutions existantes ». (...)
(14/01/2008 17:49:54)L'éditeur de l'ESB Open Source Mule signe en France avec Ippon Technologies
MuleSource, un des principaux éditeurs d'ESB (bus de services d'entreprise) Open Source, vient de signer avec un représentant en France : Ippon Technologies. A l'origine SSII spécialisée dans les technologies J2EE, Ippon Technologies s'est tournée vers les architectures orientées services (SOA) au fur et à mesure de ses projets menés avec son partenaire principal, BEA, et son offre Aqualogic. Mais la SSII a aussi été amenée à utiliser de l'Open Source : Liferay pour les portails, par exemple, et Mule pour les ESB. « Nous avons mis en place Mule ESB pour Cegedim, raconte Geoffray Gruel, directeur général délégué d'Ippon Technologies. Cela s'est très bien passé, dans les temps, sans heurt, avec un budget contrôlé. » L'ESB de MuleSource a été sélectionné suite à une revue de plusieurs produits, dont OpenESB de Sun, Petals d'Objectweb (OW2 Consortium), ServiceMix d'Apache et bien sûr JBoss, sur plusieurs critères : technique, communauté et feuille de route. Concernant les évolutions, justement, Geoffray Gruel explique que Mule ESB développe d'intéressantes capacités sur le monitoring en production. « Inversement, dit-il, Mule ESB n'est pas très fort en ce qui concerne le BPM. Mais Mule fonctionne très bien avec JBPM, de JBoss, et on regarde aussi du côté d'Intalio. » (...)
(14/01/2008 17:48:37)Serveurs-lames : Intel propose le châssis Clear Bay comme standard
Oyez, oyez DSI qui rêvez de serveurs lame et faites des cauchemars à l'idée de vous trouvez enfermé dans un format propriétaire : un châssis standard pointe à l'horizon. Derrière ce châssis, baptisé Clear Bay, se profile Intel dans le rôle du chevalier blanc qui se propose de pacifier ce marché. Pour le fondeur, standard rime avec une rapide croissance de la demande et donc augmentation de ses ventes de processeurs et autres chipsets. Intel précise que ces serveurs modulaires (Intel Modular Server), qui reposent sur sa technologie Multi-Flex, s'adressent au marché des PME. Le prix des Modular Server devrait être comparable à celui des serveurs en rack. Intel propose les éléments pour constituer un ensemble serveur cohérent dans un châssis au format 6U, constitué de six serveurs-lames bi-processeurs (des Xeon 5000) avec 32 Go de mémoire, de 14 disques 2,5 pouces SAS, de deux modules de gestion du stockage, de deux switches Ethernet, de quatre modules d'alimentation électriques et deux ventilateurs interchangeables à chaud. A cet ensemble est associé une suite logicielle pour l'administration du châssis. Sont cités parmi les partenaires d'Intel sur ce projet de standardiser les serveurs lames : Microsoft, Oracle, Quantum (Stockage), SAP, SpikeSource (Web), Symantec, VMware et Wasabi (Stockage). C'est, avec l'annonce du retour en force de Dell sur ce marché, la deuxième nouvelle qui pousse dans le sens d'une saine émulation et, partant, d'une baisse des prix des serveurs lames sur un marché où HP et IBM se partagent près de 80% des ventes. (...)
(14/01/2008 17:20:36)EMC s'intéresse aux disques à mémoire flash
Selon Abhrajit Bhattacharjee, porte-parole d'EMC à Singapour, la société s'apprête à lancer une gamme de disques basés sur de la mémoire flash (ou SSD pour Solid State Disk) pour remplacer certains disques durs de ses baies de stockage haut de gamme Symmetrix. Ces disques auront une capacité de 73 Go et de 146 Go. Ils seront disponibles au premier trimestre 2008, uniquement en tant qu'option sur cette gamme. De plus, s'il s'est refusé à donner un prix de vente, Abhrajit Bhattacharjee avance que le remplacement de quatre disques durs à 146 Go par quatre disques SSD à 73 Go dans une baie contenant 100 disques n'en augmenterait que de 10 % le coût total. En effet, les disques SSD sont plus chers que les disques durs magnétiques traditionnels. Ils sont également plus résistants et plus rapides. Ce qui peut pousser certains consommateurs à payer un surcoût, selon Abhrajit Bhattacharjee. D'autant plus que les disques SSD d'EMC seront basés sur une mémoire flash unicellulaire stockant un bit d'information par cellule de mémoire et non multicellulaire comme dans les disques SSD plus économiques utilisés par les baladeurs MP3 et les appareils photos. Les disques unicellulaires ont également une capacité moyenne de 100 000 écritures/lectures contre 10 000 pour les disques multicelluraire, et sans limitation pour les disques durs classiques (dont les têtes de lectures peuvent toutefois se casser). Si certaines techniques peuvent augmenter les capacités des disques SSD jusqu'à 2 millions d'écritures/lectures, EMC n'a fourni aucune indication sur la durée de vie de ses futurs disques. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |