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(16/01/2008 14:56:10)

BEA accepte l'offre d'achat d'Oracle pour 8,5 Md$

Trois mois après avoir rejeté l'offre d'achat d'Oracle, BEA a finalement accepté de se vendre, pour un montant évalué à 8,5 Md$. Hier encore, à la conférence utilisateurs parisienne de l'éditeur, Mike Piech, responsable marketing des offres WebLogic et Tuxedo, assurait que « BEA se voit comme une société indépendante : tous les investissements et les feuilles de route produits sont faits dans cette optique ». De fait, depuis la première offre d'achat d'Oracle le 12 octobre dernier pour 6,7 Md$, BEA n'a eu de cesse d'affirmer vouloir rester indépendant. Un discours toutefois infléchi quelque temps après, suite à la fronde d'un gros actionnaire, estimant que les intérêts des actionnaires n'étaient pas pris suffisamment en compte par la direction de BEA. L'éditeur avait alors laissé entendre qu'à partir de 8,15 Md$, il pourrait accepter une offre. Oracle estimait alors que personne n'irait proposer mieux que ce qu'il avait offert. Comprendre : il faudrait être fou pour dépenser plus que 17 $ l'action. Or, l'accord intervenu aujourd'hui fixe un prix de 19,375 $ par action. (...)

(16/01/2008 14:19:19)

Bulletin : Sun rachète MySQL

Sun vient d'annoncer son intention de racheter MySQL, leader des bases de données Open Source, pour 1 Md$. La rédaction vous tiendra informé d'ici à la fin de la journée. (...)

(16/01/2008 10:00:35)

Annuels Intel : indicateurs en hausse mais contrariés par les bas prix

Résultats 4e trimestre Chiffre d'affaires : 10,7 Md$ (+10,5%) Bénéfice net : 2,27 Md$ (+51%) Résultats exercice fiscal Chiffre d'affaires : 38,3 Md$ (+8,2%) Bénéfice net : 7 Md$ (+38%) Intel conclut son exercice 2007 sur des ventes de processeurs et de chipsets record à 38,8 Md$, en hausse de 8,2%. L'ensemble des indicateurs s'inscrit en croissance avec un bénéfice net progressant de 38% (7Md$) et un bénéfice d'exploitation de 45% (8,2 Md$). L'année fiscale du fondeur se termine cependant sur un revenu inférieur à celui prévu par les observateurs (10,7 Md$ contre une estimation de 10,8 Md$) en raison de la faiblesse des prix des composants NAND. La concurrence restant très forte sur ce marché, Intel anticipe des prix restant bas en 2008. Pour éviter de pâtir de ces maigres niveaux, le groupe espère basculer une partie de ses activités liées aux mémoires flash sur Numonyx, une joint venture avec STMicro et Francisco Partners. L'année a été marquée par la sortie des processeurs Penryn, en novembre. Gravés en 45 nm, ils ont d'abord pris place dans les stations de travail avant de toucher, en janvier, les serveurs, les portables et les desktops. Au total, 32 CPU gravés en 45 nm ont été lancés en 2007. En 2008, le fondeur devrait lancer ses processeurs Montevina, et mettre ainsi à jour sa plateforme mobile Centrino. Menlow, la plateforme pour UMPC devrait également voir le jour dans le courant de l'année ainsi que Nehalem, la prochaine architecture de processeurs prévue pour la fin de l'année. Intel table sur la croissance des marchés de la mobilité et des serveurs en 2008 pour doper ses ventes de processeurs. Le groupe espère également profiter du créneau représenté par les marchés émergents pour écouler ses produits, notamment ses serveurs et portables. Pour le premier trimestre 2008, Intel prévoit un chiffre d'affaires compris entre 9,4 Md$ et 10 Md$. (...)

(16/01/2008 09:28:26)

Criteo lève 7 millions d'euros pour se développer à l'étranger

La start-up française Criteo annonce une levée de fonds d'un montant de 7 M€. Trois ans après sa création, l'éditeur de logiciels de « recommandation et d'amélioration des performances des sites d'affiliation, d'e-commerce et de bannières publicitaires », comme il se définit, finalise ainsi sa deuxième opération financière (3 M€ récoltés il y a 18 mois). Cette levée a été réalisée auprès des investisseurs historiques (Eleia Partners et AGF Private Equity) avec le soutien d'un partenaire complémentaire, à savoir Index Ventures, qui compte dans son portefeuille des sociétés comme Skype, Netvibes, Photoways, ou encore MySQL. Chaque investisseur bénéficie d'un siège au sein du conseil d'administration de la société. L'éditeur compte sur cette levée de fonds pour accroître sa visibilité, se développer à l'étranger (notamment en Grande-Bretagne) et recruter une dizaine de personnes (ils sont actuellement 25 collaborateurs, situés à Paris). Criteo a développé un moteur de recommandation prédictive en temps réel qui permet d'exploiter au mieux les catalogues de ses clients. Son outil analyse le comportement de l'internaute au moment de l'achat, puis fouine dans une base de données qui sélectionne les produits correspondant le mieux à son profil, en prenant en compte les évaluations laissées par la communauté des acheteurs précédents. Ce moteur est déclinable dans divers secteurs comme la musique, les livres, la mode ou encore le cinéma (Criteo compte parmi ses clients Allociné ou UGC). La technologie est disponible en Saas (software as a service), l'application est alors hébergée par Criteo. Elle peut être facturée de deux manières, soit sous forme de rémunération au clic (en fonction de la volumétrie du chiffre d'affaires généré grâce à l'outil de l'éditeur), soit sur la base d'un forfait prédéfini. Criteo affirme fournir chaque jour et en temps réel plus de 15 millions de recommandations personnalisées pour 4000 sites Internet, et accroître le panier de leurs clients de 40%. Le chiffre d'affaires de la société reste quant à lui confidentiel. (...)

(16/01/2008 08:41:42)

Les réseaux 40 et 100 Gbps devraient générer plus de 4 milliards de dollars en 2016

En mettant fin au débat en juillet dernier entre partisans du haut débit par l'adoption du standard 802.3ba, l'IEEE semble avoir ouvert des perspectives de marché colossales. C'est du moins ce qu'on peut conclure du dernier rapport du Cir (Communications Industry Researchers), société spécialisée dans l'analyse du marché des télécommunications, qui estime que les réseaux 40 et 100 Gbps devraient générer 4,3 Md$ en 2016. Pour mémoire, l'IEEE a décidé de regrouper les deux vitesses dans un seul standard, 802.3ba avec plusieurs interfaces physiques définies pour chaque vitesse. Le Cir explique cet envol du marché du 40 et 100 Gbps par la fin de la « guerre froide » née dans les années 80 entre les acteurs des marchés de la voix et des données. Offrant le plus haut débit, le standard 802.3ba mettrait en effet tout le monde d'accord, y compris l'ITU qui serait prêt à encapsuler le 40 et 100 Gbps dans son propre format OTN (Optical Transport Network), remplaçant du SONET/SDH. Cette décision de l'IEEE devrait dans un premier temps profiter au 40 Gbps d'après le Cir. La demande en débit ne cesse de s'accroître, qu'il s'agisse d'échanges au sein des datacenters, sur Internet ou même domestiques. Ces besoins gourmands en bande passante sont aujourd'hui couverts par l'agrégation de liens 10 Gbps qui devraient rapidement évoluer vers le 40 Gbps et ce d'autant plus que ce nouveau standard de l'IEEE peut s'appuyer sur les technologies optiques et de modulation, actuellement en phase d'industrialisation. A terme, le 40 Gbps devrait concerner tous les types de réseaux, mais le Cir prévoit qu'il sera d'abord utilisé pour relier les serveurs au sein de datacenters, de clusters et de SAN. En 2016, ce marché du 40 Gbps devrait représenter 3,1 Md$. Le 100 Gbps, pour sa part, devrait surtout être utilisé entre switches, ces connexions représentant la moitié du marché du 100 Gbps. Enfin, pour étayer ses conclusions, le Cir s'appuie également sur plusieurs signes du marché qu'il estime significatifs tels que l'enthousiasme de l'industrie pour les semi-conducteurs InP (Indium Phosphide) ou la prolifération de nouveaux schémas de modulation (dont PolMux DPQSK). Autre signe encourageant, les actuelles discussions autour des MSAs (Multi Source Agreement) et l'arrivée (chez Molex notamment) des premiers transcepteurs QSFP MSA, des boîtiers d'interconnexion 40 Gbps par agrégation de 4 canaux 10 Gbps. (...)

(16/01/2008 08:39:11)

La région Ile-de-France rejoint l'April pour soutenir davantage le logiciel libre

Après avoir rejoint l'Adullact (Association des Développeurs et des Utilisateurs de Logiciels Libres pour les Administrations et les Collectivités Territoriales), la région Ile-de-France vient d'adhérer en tant que personne morale à l'April (Association pour la Promotion et la Recherche en Informatique Libre). Autant l'adhésion à l'Adullact peut être purement opportuniste puisque cette association réalise essentiellement des développements mutualisés de logiciels métiers, autant celle à l'April ne peut qu'avoir une dimension politique. De fait, l'April remarque que la région développe une stratégie volontariste en termes de « rééquilibrage » de son parc logiciel, autrement dit de choix volontaire de logiciels libres lorsque c'est possible. Cité par l'April, Jean-Paul Huchon, président de la région, indique d'ailleurs que l'objectif de l'adhésion est bien de « participer au développement de l'écosystème du logiciel libre ». Après l'adhésion de la petite commune de Pierrefitte-sur-Seine en fin d'année dernière, l'ambition de l'April est de multiplier les adhésions de collectivités locales pour créer au plus vite un groupe de travail dédié au sein de l'association. Les collectivités locales sont classiquement dotées d'un système d'information aux petites applications métiers très nombreuses et une migration d'environnement de travail, notamment au niveau du poste de travail, y est donc particulièrement difficile. On y trouve d'ailleurs les réticences les plus fortes contre le futur RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité). Les collectivités locales constituent donc une terre de mission particulièrement difficile pour les promoteurs du logiciel libre. (...)

(16/01/2008 08:32:07)

Les dépenses du secteur public dans l'IT progresseront de 800 M€ d'ici 2009

La dernière étude de Markess International sur le marché des logiciels et des services IT dans le secteur public évalue à 6,28 Md€ le montant des dépenses en informatique réalisées par les administrations centrales et locales françaises en 2007. Un investissement consacré pour plus de 63% au recours à des prestataires de services et, pour le reste, à l'acquisition de logiciels et de progiciels. Dans l'ensemble, les administrations centrales ont consacré 4,6% de leur budget global à leurs dépenses en informatique. Cette proportion n'atteint que 2% du budget des administrations locales. Les 8 premiers prestataires auxquels elles ont fait appel sont, dans l'ordre, Atos Origin, IBM Global Services, Thales, Cap Gemini, Steria, Bull, Accenture, Groupe LogicaCMG avec Unilog et Sopra Group. En 2008 et 2009, les dépenses totales en logiciels et services IT du secteur public devraient augmenter de 6,1% par an en moyenne pour s'élever à 7,07 Md€ à l'issue de cette période. La part des logiciels et des services devrait être la même que celle évaluée pour l'année passée. A travers l'analyse de 250 projets jugés prioritaires dans les administrations, il apparaît que sur ces deux années les chantiers liés à la gestion des contenus dématérialisés (numérisation des contenus, GED, systèmes de publications des contenus) devraient être les plus nombreux avec 13% du nombre des projets identifiés. Les problématiques liées à l'infrastructure arrivent en seconde position avec 10% des projets en volume. Viennent ensuite les projets liés aux ressources humaines satellites des grands chantiers de SIRH (systèmes d'information ressources humaines). A noter la progression des projets d'archivage électronique et de stockage qui occupent eux aussi la troisième place avec 9% des volumes contre 5% en 2007. (...)

(15/01/2008 18:19:04)

Windows Server 2008 : les bêta-testeurs français aiment Terminal Server

A moins d'un mois du lancement officiel de la version 2008 de Windows Server (voir encadré pour la feuille de route 2008), une fonctionnalité pourtant simple semble enthousiasmer les premiers bêta-testeurs de cette version majeure du système d'exploitation serveur le plus utilisé sur notre planète. Il s'agit de la fonctionnalité Terminal Server (TS) qui, dans sa version 2008, permet de se connecter à distance via un simple accès sécurisé https alors qu'il fallait auparavant un VPN (Virtual private network, réseau privé virtuel). Là où, sur le moyen terme, les améliorations apportées pour gérer la "complexité croissante", comme dit Alain Le Hégarat, responsable ventes et marketing de la division Plateforme d'entreprise, seront probablement des atouts clés de Windows Server 2008, c'est bien la possibilité de connecter facilement des postes distants via une passerelle qui intéresse en premier lieu les utilisateurs. C'est ainsi que l'on trépigne presque d'impatience au CHU de Grenoble pour déployer TS 2008. Cet hôpital, dont la compétence informatique est reconnue au point que Cristal Net, son applicatif de gestion du dossier patient, a été adopté par plus de quarante établissements de santé, compte 500 postes qui utilisent déjà Terminal Server 2003. Pour la moitié d'entre eux, il s'agit de clients légers, pour l'autre de portables. "Les informations médicales des malades hospitalisés ne doivent pas quitter l'hôpital. Avec TS 2008, les médecins vont pouvoir se connecter de chez eux et continuer à travailler sur les dossiers de leurs patients", explique André Lescouarnec, en charge des 250 serveurs Windows de l'établissement. Autre atout de TS 2008, le passage en 64 bits de Windows Server 2008 permet de dépasser la limite de l'adressage mémoire à 4 Go. Les premiers tests semblent montrer que là où il fallait un serveur pour 60 utilisateurs, la même configuration pourra en accueillir 100 à 120. Enfin, TS 2008 intègre Easy Print qui permet d'utiliser le pilote d'impression du poste local. Un détail qui a son importance, tant pour la facilité d'utilisation que d'administration. Autre détail d'importance : il faudra que les postes clients soient équipés de la version 7 d'Internet Explorer. En version 2008, Terminal Server joue le rôle d'une banalisation des clients légers. Qui s'en plaindrait à par Citrix qui devrait perdre des clients sur les configurations les moins complexes. (...)

(15/01/2008 17:43:01)

Infor réunit fonctions financières et décisionnel dans PM 10

Infor vient de faire évoluer sa solution de gestion de la performance financière, Infor PM, destinée aux groupes (gérant diverses filiales), grands ou moyens. L'offre regroupe en un seul produit l'application de gestion des processus métiers d'Extensity MPC (planification stratégique, élaboration budgétaire, consolidation et workflow) et les fonctions décisionnelles de Systems Union MIS (ETL, reporting avancé, analyse multidimensionnelle). « Ces deux grands domaines fonctionnels sont réunis au-dessus d'un seul référentiel de données », souligne Georges Vidal, consultant vente et avant-vente pour l'Europe sur la solution Infor PM. Depuis 2002, l'éditeur Infor, principalement détenu par le fonds Golden Gate Capital, a racheté une vingtaine d'éditeurs de logiciels, parmi lesquels Extensity et Systems Union, avec l'intention explicitement exposée de faire évoluer les différentes offres acquises et de les faire communiquer, à terme, sur la base d'une architecture orientée services (SOA). Cette stratégie a permis à Infor de conserver les portefeuilles de clients rachetés (le taux de rétention de sa base installée - 70 000 entreprises - atteint les 95%, selon AMR Research). Avec l'annonce d'Infor PM 10, la démarche se concrétise dans le domaine de la gestion de la performance. Sur ce terrain, Extensity bénéficiait déjà d'une certaine notoriété, ses capacités fonctionnelles ayant notamment été distinguées par le cabinet d'études américain Ventana Research. Le rapprochement avec les outils de MIS (racheté par Systems Union en 2003) permettent maintenant de disposer d'outils de Business Intelligence et d'intégration de données. « Infor PM 10 propose deux modes de stockage des données, poursuit Georges Vidal. Un mode de stockage relationnel, qui convient au traitement des processus financiers, et un mode de stockage multidimensionnel, mieux adapté pour traiter les volumes importants de données, dans le domaine commercial, notamment. » Au chapitre des nouveautés, en bref, notons l'apport d'outils pour contrôler la cohérence de la consolidation financière d'un groupe, la possibilité de tester plusieurs scénarios dans le module de planification et d'élaboration budgétaire et de réduire les cycles budgétaires à l'aide de circuits de workflow. Signalons aussi, avec Infor PM Office Plus, la capacité pour le contrôleur de gestion à intégrer lui-même, avec sécurité, des données d'un fichier Excel. Infor PM compte environ 2 000 clients dans le monde et 600 en Europe du Sud, dont environ 150 en France. (...)

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