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(14/12/2007 10:15:32)
Atos Origin cède sa filiale italienne à la SSII transalpine Engineering
Un mois après la cession, à HP, de sa filiale située au Moyen-Orient, Atos Origin vient cette fois d'annoncer la vente de la filiale italienne à la SSII Engineering Ingegneria Informatica pour un montant total de 45 M€ correspondant à 100 % du capital d'Atos Origin Italia. La transaction reste soumise à l'approbation des autorités régulant la concurrence. En Italie, le nouveau groupe ainsi constitué (Atos Origin Italia + Engineering) compte 6 000 salariés et représente un chiffre d'affaires consolidé de 730 M€. Un accord de partenariat est prévu entre l'acquéreur et le vendeur afin de permettre « de continuer à servir » les clients italiens et internationaux, précise Atos Origin. Philippe Germond, le président du directoire, indique dans un communiqué que cette opération est un signal clair de la détermination de la SSII française à procéder à des arbitrages d'actifs, l'objectif étant d'améliorer le bénéfice par action de l'entreprise. Cette cession intervient alors que les deux principaux actionnaires d'Atos Origin, Pardus et Centaurus, sont partisans d'une opération fusion/acquisition. (...)
(14/12/2007 11:28:46)Des centaines de Go de mémoire pour remplacer les disques durs
Avec plusieurs machines virtuelles en charge, les processeurs ont de moins en moins le temps d'attendre. Maintenant qu'il est possible de les solliciter au maximum de leurs ressources, le fossé entre leur vitesse et celle des disques durs est devenu un problème crucial. Pour le résoudre, Violin Scalable Memory vient d'annoncer la Violin 1010 Memory Appliance, une boîte bourrée de barrettes mémoires. Dans le meilleur des cas, il faut 10 millisecondes pour transférer une donnée d'une baie de disques à la mémoire d'un serveur. Si le transfert s'effectue de mémoire à mémoire (qu'il s'agisse de mémoire cache ou centrale), il est possible de descendre à 50 microsecondes. Fort de ce constat, Violin Scalable Memory propose un boîtier qui pourra accueillir indifféremment de la mémoire flash ou de la RAM et qui peut être utilisé soit comme disque électronique, soit comme mémoire cache (tampon), soit comme extension à la mémoire centrale du système. Un Violin 1010 se présente sous la forme d'un rack 2 U et peut accueillir jusqu'à 504 Go de mémoire RAM. Une version mémoire flash est attendue pour la mi-2008 et devrait pouvoir atteindre une capacité maximale de 5 To. Un système de stockage basé sur de la mémoire flash permet d'obtenir des performances 100 fois supérieures à celle d'une baie de disques et en consommant moins et en dissipant moins de chaleur. Quand on sait qu'AMD oeuvre avec Violin pour connecter ses boitiers directement au niveau d'Hypertransport, la technologie d'AMD pour relier processeur et mémoire, on imagine d'intéressantes perspectives. Notons que ces technologies de disques mémoires ne sont pas nouvelles. Elles étaient déjà utilisées dans les années 80 sur les grands systèmes. Mais, si le principe est identique, sa mise en application a radicalement changé avec l'utilisation de composants standards. (...)
(13/12/2007 17:13:42)Second Life perd son CTO
L'un des principaux créateurs du monde virtuel Second Life quitte Linden Labs. Le directeur technique de la société, Cory Ondrejka, a décidé de démissionner pour, officiellement, « poursuivre de nouveaux défis professionnels », selon les mots de Philip Rosedale, PDG de Linden Labs, éditeur de l'univers. « Les besoins de notre société sont en train de changer et le rôle de CTO, ou des responsables techniques, a aussi évolué », a également déclaré le PDG à l'Associated Press. Et d'ajouter : « Cory et moi sommes tombés d'accord sur le fait que nos chemins, du moins en ce moment, prennent des directions différentes. » Il faut préciser que Second Life est devenu un univers dans lequel nombre de sociétés ont investi et où transite de l'argent. Au fur et à mesure que la communauté de résidents a gonflé, Linden Labs a essuyé de nombreuses plaintes de la part d'utilisateurs : d'abord au niveau de dysfonctionnements techniques, liés notamment au chargement souvent aléatoire des avatars et à la lourdeur du client. Mais également dans la gestion de la « grille » ultra centralisée, dont l'ensemble des serveurs qui motorisent l'univers reste entre les mains de l'éditeur. Ce qui, lorsqu'on aborde les questions de pérennité ou de stabilité de la plateforme, irrite les résidents pour qui Second Life représente un canal pour des activités de commerce électronique. (...)
(13/12/2007 17:09:26)Opera porte plainte contre Microsoft devant l'UE
Microsoft abuserait-il de la part de marché dominante de Windows pour dominer le marché des navigateurs Web ? C'est en tout cas le point de vue d'Opéra Software qui vient de porter plainte contre l'éditeur américain devant l'Union européenne. Il demande à ce que l'UE oblige Microsoft à ne pas intégrer par défaut Internet Explorer au système d'exploitation Windows ou à y intégrer également des navigateurs concurrents comme Opera ou Firefox. De plus, Microsoft est accusé de gêner le travail des développeurs en n'acceptant pas de se conformer aux standards du Web. Pour Jori von Tetzchner, directeur général d'Opera, cette plainte vise avant tout à défendre « tous les consommateurs qui sont fatigués d'avoir un monopole qui effectue les choix à leur place. » Un argument que réfute Microsoft. Un porte-parole de l'entreprise, interrogé par Reuters déclare : « Nous écouterons bien entendu toute les requêtes formulées sur ces points, mais nous pensons que l'inclusion du navigateur dans le système d'exploitation profite aux consommateurs. Et que les consommateurs comme les fabricants de PC sont déjà libres de choisir les navigateurs qu'ils souhaitent. » Alors qu'en septembre dernier, Microsoft a perdu un procès similaire impliquant l'intégration de Media Player à Windows, l'Union européenne, par la bouche de Jonathan Todd, président de la commission sur la concurrence, va examiner avec soin cette nouvelle plainte. Notons que Microsoft avait commercialisé une édition de Windows sans le Media Player -l'édition N - au même tarif qu'une édition classique, personne ne l'a acheté. (...)
(13/12/2007 16:18:52)SAP va supporter ses applications sous VMware ESX
Dans le cadre d'un partenariat technologique avec VMware, SAP va commencer à supporter ses progiciels de gestion sur la plateforme de virtualisation de serveurs VMware ESX. Parag Patel, vice-président des alliances chez VMware, précise que l'éditeur allemand est en train de certifier les versions 64 bit de ses solutions d'intégration Netweaver, de même que son application de gestion de la relation client, afin qu'elles puissent être utilisées au sein d'environnements virtuels sous Linux ou Windows, sur plateformes Dell, Fujitsu-Siemens, HP et IBM. Parag Patel ne connaît pas exactement le nombre de clients de SAP exploitant leurs applications sous VMware, mais il ne serait pas surpris qu'il y en ait déjà quelques centaines ou quelques milliers (SAP a 40 000 clients et VMware 25 000). Désormais, ceux-ci pourront directement contacter SAP pour leurs problèmes techniques, tout en continuant à s'adresser à VMware pour des questions portant plus spécialement sur la virtualisation. Pour Parag Patel, l'engagement de SAP autour des technologies de VMware est significatif, en raison du caractère sensible des applications exploitées par les clients de l'éditeur allemand et, donc, de la prudence dont ils font généralement preuve dans la mise en oeuvre de nouveaux environnements. Mais il est vrai, par ailleurs, que SAP a déjà recours aux technologies de VMware dans l'infrastructure d'hébergement qu'il a mise en place pour sa nouvelle offre de gestion en ligne pour PME, SAP Business ByDesign (une offre proposée en mode SaaS, software as a service). Vive concurrence pour VMware A ce jour, plus d'une centaine d'éditeurs (parmi lesquels IBM, CA et BEA) ont porté leurs applications dans l'environnement de VMware, indique Parag Patel. Rappelons néanmoins que VMware doit désormais faire face à une très vive concurrence sur le marché de la virtualisation de serveurs avec le rachat cet été de Xen par Citrix et l'arrivée récente des offres de virtualisation gratuites d'Oracle et de Sun, toutes deux s'appuyant justement sur la technologie de Xen. (...)
(13/12/2007 11:50:49)Microsoft a racheté Multimap et son service de cartes en ligne
Microsoft poursuit ses acquisitions visant à renforcer son offre de services en ligne et sa stratégie publicitaire sur Internet. L'éditeur de Redmond a en effet annoncé hier le rachat de Multimap, un éditeur londonien qui fournit en ligne des cartes pour l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Australie, ainsi que des services grands publics et professionnels (calculs d'itinéraires, géolocalisation...). Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. Multimap devient une filiale à part entière de Microsoft. Ses collaborateurs rejoindront les équipes qui travaillent sur l'offre cartographique Virtual Earth (concurrente de Google Earth) et d'outils de recherche (Search) de l'entité Online Services Group (OSG). Les salariés de l'éditeur acquis sont aujourd'hui répartis entre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et l'Australie. Microsoft ne sait pas encore s'ils leur demandera de rejoindre d'autres sites. Les locaux anglais de Multimap seront maintenus. Affronter la monumentale concurrence de Google Outre son offre de cartes en ligne, Multimap propose des services pour localiser des entreprises, des hôtels ou restaurants, ainsi que des services professionnels de géolocalisation, de calculs d'itinéraires ou encore de diffusion d'informations locales sur des sites Web. Microsoft espère utiliser ces services pour vendre de la publicité en ligne, afin de mieux affronter la monumentale concurrence de Google. Toujours pour doper son offre en ligne, et notamment Windows Live, l'éditeur a récemment racheté la start-up WebFives (ex Vizrea), qui permet de partager sur le Web des fichiers vidéo et audio, des photos, ainsi qu'un service de blogs, disponible sur mobiles. Rappelons surtout qu'en mai dernier, Microsoft a déboursé 6 Md$ pour racheter aQuantive, l'un des principaux acteurs américain du marketing en ligne afin de constituer une activité de régie publicitaire. Les analystes de Wall Street pas encore convaincus Parallèlement, l'éditeur de Windows signe des partenariats avec des fournisseurs de contenus et de services en ligne. Lundi dernier, notamment, il a annoncé un accord avec CNBC.com pour fournir les publicités de son site financier. Un contrat similaire avait déjà été signé avec les sites Facebook et Digg aux Etats-Unis. Depuis deux ans, Microsoft multiplie ses efforts pour faire grossir le chiffre d'affaires de son activité de services en ligne. Mais les analystes de Wall Street ne sont toujours pas convaincus par la progression de ce revenu. Sur l'exercice fiscal 2007 de Microsoft, échu le 30 juin dernier, le chiffre d'affaires des services en ligne avait augmenté de 8,7% à 2,5 M$. Sur le premier trimestre de l'exercice 2008, au cours duquel s'est clos le rachat d'aQuantive, le chiffre d'affaires de la division OSG a cette fois progressé de 25% par rapport à l'année précédente. Malgré cela, le directeur financier de Microsoft, Chris Liddell, a reconnu que l'éditeur espérait une croissance plus significative. (...)
(13/12/2007 11:16:23)L'Arcep renforce le contrôle sur la couverture des opérateurs mobiles
L'Arcep vient d'annoncer de nouvelles mesures visant une meilleure transparence sur la couverture du territoire national par les opérateurs mobiles. Des mesures que les trois opérateurs nationaux devront appliquer dès le renouvellement de leur licence GSM. Orange, SFR et Bouygues Telecom doivent en effet publier des cartes de couverture plus précises et validées par des enquêtes terrain. Jusqu'à maintenant, les cartes éditées par les opérateurs étaient sujettes à caution. En imposant une précision à l'échelle du canton et des fonctions de recherche par commune, l'Arcep veut à la fois mieux informer les consommateurs et inciter les opérateurs à une meilleure couverture du territoire. Les opérateurs sont responsables de la validité des cartes qu'ils devront actualiser tous les ans. Validé par un protocole d'enquête public, l'ensemble du processus pourra être repris par une collectivité ou toute autre personne qui souhaiterait vérifier la couverture d'un opérateur. C'est l'Arcep qui impose à chaque opérateur 250 cantons pour les enquêtes de terrain. SFR et Orange ont déjà remis des audits au mois d'octobre sur les 73 premiers cantons qui prouveraient la fiabilité de leurs cartes respectives. Bouygues Telecom, pour sa part, ne sera soumis à cette mesure que lors du renouvellement de sa licence prévu fin 2009, mais devrait commencer les enquêtes de terrain dès l'année prochaine. Ces cartes seront également utilisées dans le cadre du control que l'autorité s'apprête à faire sur la couverture du territoire dans le cadre du programme « Zones blanches », initié par les pouvoirs publics. Ce programme, qui doit normalement se clôturer fin 2007, prévoit la couverture de 3000 communes qui, en 2003, n'avaient accès à aucun réseau mobile, quelque soit l'opérateur. Si les opérateurs respectent le programme, ils devraient couvrir plus de 99% de la population métropolitaine fin 2007. Enfin, l'Arcep rappelle que les opérateurs doivent également finir de couvrir, d'ici à 2010, les axes de transport prioritaires qui représentent plus de 50 000 km d'autoroutes à fort trafic afin d'améliorer encore la couverture des réseaux mobiles en France. (...)
(13/12/2007 09:51:13)Les SSII plus agressives que les éditeurs
Le cabinet AP Management réalise chaque année un baromètre des fusions et acquisitions, menées par les SSII et les éditeurs français, à l'étranger. Les deux secteurs cumulés auraient racheté pour 1,72 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2007 contre 839 millions en 2006. Première correction, ce chiffre global cache trois grandes opérations : Stéria qui a repris l'anglais Xansa, Cap Gemini avec l'américain Kambay et Cegedim auprès d'un autre américain Dentrite Intal. Trois opérations représentant 1,13 milliard sur 1,72. Les deux premiers rachats sont le fait de SSII à la recherche de structures offshore en Inde que leur offrent Xansa et Kambay. « Les clients imposent aux SSII ce mouvement vers l'offshore » commente Pierre-Yves Dargaud, Pdg d'AP Management, « il explique une partie des fusions et acquisitions, en tout cas pour les grandes SSII ».. Inversement, remarque le cabinet, certaines petites SSII se lancent aussi dans l'aventure. Et de citer Business et Decision, Devoteam, Keyrus, Sword. Ou bien GL Trade Line data service côté éditeurs. « Ils n'achètent que des sociétés de qualité pour se développer résolument à l'international, plus rapidement qu'en créant une filiale », observe Pierre-Yves Dargaud. Quelque soit leur taille, ces acheteurs présentent des caractéristiques communes. Ils restent en Europe de l'ouest, se risquent peu à l'est du vieux continent ou dans les pays émergents. L'Allemagne reste un cas à part avec beaucoup de PME ou des entreprises plus importantes mais filiales de grands groupes industriels, il est difficile d'y faire des acquisitions. Les français évitent de changer les équipes en place, ce qui témoigne d'une bonne maîtrise de l'opération. Toutefois, regrette le cabinet peu d'entreprises sont dotées de directions internationales. Et le Syntec Informatique est dépourvu d'une commission spécialisée. (...)
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