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(26/10/2007 17:44:22)
IBM propose le décisionnel d'Information Builders sur System i
IBM va proposer sur sa gamme System i une version du serveur de reporting WebFocus d'Information Builders à laquelle pourront être ajoutées des fonctions décisionnelles complémentaires. L'environnement System i (ex iSeries, ex AS/400) est très présent dans les PME de toutes tailles et l'offre d'Information Builders concerne plutôt le haut de ce segment d'entreprises. Accessible en mode Web, cette solution de requête ad hoc et de création de rapports, baptisée DB2 Web Query for System i, vient remplacer le logiciel de requête d'IBM, Query for iSeries (ou Query/400). Il sera néanmoins possible de récupérer les rapports précédemment bâtis avec Query/400. Cette offre résulte d'un accord de partenariat OEM entre IBM et Information Builders, ce dernier précisant qu'il s'agit de la première commercialisation sur ce mode de son logiciel WebFocus. Outre les requêtes ad hoc (Power Painter), la création et la diffusion de rapports (Graph Assist et Report Assist), la version de base de DB2 Web Query for System i propose un tableau de bord pré-paramétré. La solution intègre les fonctions de sécurité pour gérer l'accès aux rapports, ainsi que des adaptateurs natifs à DB2 et DB File. Add-on et fonctions décisionnelles complémentaires L'offre de base démarre à 1 600 $ (System i P05, niveau 1) pour deux utilisateurs. Pour un projet incluant une vingtaine d'utilisateurs, il en coûtera 48 000 $ dans un environnement P60, niveau 7. En option, IBM propose d'ajouter un add-on pour créer des cubes OLAP (analyse multidimensionnelle), ainsi que l'add-on Active Report permettant d'envoyer des rapports HTML dynamiques (possibilité d'explorer les données, de les modifier et de les enregistrer dans Excel ou PowerPoint), à consulter en mode déconnecté. L'évolution vers DB2 Web Query est gratuite pour les utilisateurs de Query/400 et Query for iSeries, sous v5r4, en cours de maintenance logicielle. De son côté, Information Builders propose de compléter DB2 Web Query for System i avec tout l'éventail de ses solutions décisionnelles (Active Dashboard, pour créer des tableaux de bord dynamiques, Developer Studio, Quick Data for Excel...), son ETL et ses adaptateurs iWay permettant de se connecter à de nombreuses applications pour y récupérer des données. (...)
(26/10/2007 17:19:01)Sun menace NetApp de terribles représailles
Sun contre-attaque dans l'affaire qui l'oppose à NetApp depuis un mois sur des brevets en cause dans leur gestionnaire de fichiers respectif. Il s'agit, chez Sun, de ZFS (Zettabyte File System), système 128 bits futuriste qu'il commence à mettre en Open Source, et, chez NetApp, de WAFL (Write Anywhere File Layout), qui se trouve au coeur des systèmes de stockage qu'il fournit. NetApp a attaqué Sun en estimant que ZFS contenait des brevets lui appartenant, alors que Sun est un train d'ouvrir l'ensemble de son code à tous. Le fournisseur de Solaris rétorque en poursuivant le spécialiste du stockage en réseau sur toute sa gamme de produits. Ses avocats affirment d'ailleurs que c'est la menace que font peser sur les activités de NetApp les qualités de ZFS et sa gratuité qui pousse son adversaire à chercher la survie devant les tribunaux. Sun pointe l'attitude "propriétaire" de NetApp Et les deux parties de s'invectiver par blogs interposés. Le pompon revient pour l'instant à Jonathan Schwartz. Le CEO de Sun ne résiste pas à l'envie de rappeler ce qui est arrivé à son entreprise lorsque le système d'exploitation Linux a commencé à grignoter des parts de marché à Solaris. Il évoque la tentation des dirigeants de l'époque de chercher un exutoire juridique plutôt que de reconnaître qu'il fallait s'adapter au marché. C'est sur le fondement d'une licence NFS (Network File System) accordée à NetApp que Sun réclame l'arrêt de la commercialisation de tous les produits de son adversaire et compte demander de substantiels dommages-intérêts. Critiquant l'attitude "propriétaire" de NetApp, il joue sur du velours et, pour finir de s'attirer les grâces des observateurs, il promet déjà qu'il reversera la moitié de ses gains au monde du code ouvert. Il est bien sûr impossible de savoir lequel des deux plaideurs aura gain de cause. On ne peut, pour l'instant, que passer en revue la rhétorique de chaque partie. Chez NetApp et ses partisans, on se défend de l'infamie d'être un propriétaire qui réclame des barbelés sur un monde libre en s'élevant contre la politique de sociétés géantes comme Sun ou IBM qui voleraient la propriété intellectuelle des plus petites et profiteraient de leur taille pour rafler des marchés dont ils auraient, en quelque sorte, brûlé les niches... (...)
(26/10/2007 15:47:09)Microsoft achève un trimestre record (merci Vista)
Microsoft vient d'enregistrer la meilleure croissance pour un premier trimestre fiscal depuis 1999. L'éditeur en profite bien sûr pour souligner l'importance que prend Vista. 88 millions d'exemplaires auraient été vendus depuis son lancement. Les analystes, qui avaient reproduit sans ciller les cris de victoire de Microsoft à son propos début 2007, prennent désormais les taux de croissance affichés avec des pincettes. Ils se demandent par exemple si les chiffres annoncés concernent des versions opérationnelles ou des exemplaires en transit prolongé dans la zone tampon des stocks des distributeurs/OEM. Toutefois, les résultats opérationnels de la division de Vista (3,36 Md$ pour un CA de 4,14 Md$ de CA) et de celle d'Office (un résultat de 2,69 Md$ pou 4,11 Md$ de CA) permettent largement au groupe de subventionner sa stratégie en ligne, pour reprendre une expression du site du Wall Street Journal. Cette division (MSN et Live) creuse de son côté ses pertes opérationnelles (264 M$, +158%) beaucoup plus vite que ne progresse son CA (671 M$, +25%). Le développement du modèle publicitaire prend du temps. En revanche, l'activité Serveur et outils, qui comprend SQL Server, voit son CA augmenter de 16% à 2,9 Md$ et son résultat opérationnel de 25% à 962 M$. Enfin, la division jeu et périphériques sort du rouge (165 M$ de résultat opérationnel contre 142 M$ de perte) avec un CA en forte progression à 1,9 Md$ (+ 90%). A noter que le groupe dispose d'une réserve de liquidités de 21,6 Md$. (...)
(26/10/2007 15:19:13)ManageFusion 2007 : Dell appuiera ses solutions de management sur Symantec/Altiris
Lorsque Dell a lancé ses services Open Manage pour permettre à ses clients d'administrer l'ensemble de ses machines (poste de travail ou serveur) il y a près d'un an, il s'était appuyé sur le Notification Server d'Altiris qui permet de connaître l'état matériel d'un serveur, comme noyau de son offre. Désormais, les produits de Symantec/Altiris serviront également à l'autre bout de la chaîne de services qu'il propose. A l'occasion de ManageFusion 2007, conférence utilisateurs de l'éditeur, Dell a en effet annoncé que les différents produits d'Altiris seront utilisés par Dell Open Manage System Management pour assurer le déploiement des salles de serveurs. (...)
(26/10/2007 14:22:14)AOL France supprime 90 postes et transfère ses activités à Londres
La France n'échappera pas au plan de réduction des coûts lancé par AOL : 90 postes sur 140 seraient menacés, tandis qu'un transfert partiel des activités françaises pourrait être organisé vers le siège européen d'AOL à Londres, selon les informations de la CFDT. Il s'agit de la seconde phase d'un plan de transformation annoncé par la filiale Internet du groupe Time Warner, à la mi-octobre, et qui devrait se solder par la suppression de quelque 2 000 emplois dans le monde, soit 20% de son effectif. Ces restructurations font suite au changement de modèle économique d'AOL, qui a abandonné ses activités de fournisseur d'accès à Internet pour se tourner vers le marché de la publicité en ligne. La CFDT a demandé l'ouverture de négociations sur ce sujet, mais s'est vue opposer une fin de non recevoir par la direction. Menacés par un troisième PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi), les salariés d'AOL France ont décidé d'immortaliser l'événement dans une vidéo, prise dans les locaux de l'entreprise, et publiée sur le site Dailymotion, où ils chantent 'L'amour à la française' des Fatals Picards. (...)
(25/10/2007 17:53:24)Oracle/BEA : BEA fixe son prix à 8,15 Md$
A 21$ l'action, soit une somme globale de 8,15 Md$, BEA se dit prêt à se vendre « à des tiers, y compris Oracle ». Sous le coup d'une offre de la part d'Oracle à 17$ l'action, BEA avait d'abord répondu qu'il n'était pas à vendre, puis que le prix fixé ne reflétait pas la valeur réelle de l'entreprise. Finalement, comme dans toute transaction, la proie a elle-même fixé un prix - établi après avoir pris conseil auprès de Goldman Sachs, a précisé BEA - afin de pouvoir entamer des négociations. Pour Massimo Pezzini, analyste du Gartner, cela ne fait aucun doute que les actionnaires de BEA soient prêts à se vendre, 17$ l'action constituant déjà « un bon prix ». Pour lui, le délai avant la transaction est dû à une raison relativement simple : il faut s'entendre sur les 'golden parachutes', ces compensations financières qui seront accordées aux dirigeants de BEA. Quant aux dernières rumeurs disant qu'IBM pourrait intervenir, « j'ai du mal à l'envisager, dit-il, dans la mesure où IBM est de loin le numéro un du marché, et BEA le numéro deux : cela poserait des problèmes vis-à-vis des autorités chargées de la régulation de la concurrence ». (...)
(25/10/2007 16:39:56)France Télécom annonce des résultats trimestriels supérieurs aux attentes
Résultats 3e trimestre Chiffre d'affaires : 13,5 Md€ (+3,5%) Marge opérationnelle : 5 Md€ (+4,3%) « Les chiffres annoncés aujourd'hui traduisent la très bonne performance du groupe et reflètent le dynamisme de l'ensemble de ses activités sur la quasi-totalité de ses marchés », soulignait Didier Lombard, président de France Télécom dans un communiqué à l'occasion de la publication des résultats trimestriels de son groupe. Avec un chiffre d'affaire de 13,5 Md€ au troisième trimestre 2007, France Télécom ne peut en effet qu'être satisfait de ses résultats. En hausse de 3,5% par rapport à la même période en 2006, les revenus sont supérieurs aux prévisions du groupe. La marge opérationnelle brute est également en progression de 4,3% sur le troisième trimestre en données historiques et de 5,1% à base comparable. Elle s'établit à 5 Md€ sur le trimestre et à 14,5 Md€ sur les neufs premiers mois de l'année, ce qui représente une progression de 2,6% en données historiques et de 3% à base comparable par rapport à 2006. En conséquence, France Telecom revoit ses objectifs de marge à la hausse pour l'année et prévoit "un clash flow organique de 6,8 à 7,5 milliards d'euros pour l'année". Au passage, le groupe en a profité pour provisionner 755 M€, montant correspondant à la somme réclamée par la Cour de justice des communautés européennes dans le cadre du conflit qui l'oppose à l'Etat français. (...)
(25/10/2007 16:15:41)Groupama devrait entrer au capital de Cegid
C'est donc Groupama qui devrait entrer au capital de l'éditeur lyonnais Cegid. Rappelons que ce dernier avait révélé, début octobre, avoir engagé des discussions avec un groupe de services hors du secteur informatique en vue d'une prise participation et d'un partenariat industriel. Ces pourparlers viennent de déboucher sur une lettre d'intention, signée par Cegid et le groupe d'assurance et de banque (30 000 collaborateurs, 11 millions de clients et 14,2 Md€ de chiffre d'affaires en 2006), en vue de développer des logiciels collaboratifs et des contenus informatifs destinés aux experts comptables et aux professionnels du conseil. Il est prévu qu'ICMI, l'un des trois actionnaires principaux de Cegid, cède une partie de ses actions à Groupama qui, à l'issue de cette opération, détiendra alors 17,25 % du capital de Cegid Group. Deux postes d'administrateurs (sur douze) seront occupés par Groupama au conseil d'administration de l'éditeur. Rappelons qu'ICMI est majoritairement détenu par Jean-Michel Aulas, président de Cegid. Une présidence que le fondateur de Cegid s'engage d'ailleurs à conserver pendant une période minimum de quatre ans, dès que l'accord avec Groupama sera finalisé. Cegid sur le développement, Groupama sur le fonctionnel Les deux sociétés prévoient de créer une co-entreprise dont l'unique vocation sera de porter le droit de propriété des solutions conjointement mises au point. Ces futurs produits se concrétiseront, par exemple, par l'ajout dans les logiciels de paie de Cegid de fonctions de simulation et de calcul d'optimisation sur la retraite, la protection santé, le statut du dirigeant, la prévoyance, l'épargne salariale ou encore, la gestion des risques. Il s'agira d'outils collaboratifs qui permettront aux experts comptables de partager des informations avec leurs clients en PME, ainsi qu'avec la compagnie d'assurance de ces clients. « L'objectif est d'apporter des outils complémentaires sur l'ensemble d'une chaîne de traitement, la paie par exemple », rappelle Patrick Bertrand, directeur général de Cegid, qui se déclare très satisfait du processus d'accord engagé avec Groupama. Une opération qu'il espère voir se finaliser avant la fin de cette année. Des portails d'informations La collaboration pourrait démarrer au début de l'année prochaine. Les solutions logicielles seront élaborées par les actuelles ressources de développement de Cegid, en particulier les équipes travaillant sur les logiciels de paie, de fiscalité et de gestion de la relation client. De leur côté, les collaborateurs de Groupama, chargés des aspects fonctionnels de la conception du produit, apporteront aux développeurs de Cegid leurs connaissances métiers. En complément, il est également prévu de développer des portails d'informations. « Par l'intermédiaire de notre portail Comptanoo, nous proposerons du contenu fiscal et légal fourni par Groupama, explique Patrick Bertrand. Un contenu qui pourra également être repris sur les portails que nos clients experts comptables peuvent créer avec les solutions que nous leur proposons. » Accélérer la pénétration de nouveaux secteurs et le déploiement international L'arrivée de Groupama dans l'entité Cegid va aussi permettre à l'éditeur d'accroître son activité sur des terrains où l'assureur s'est imposé (avec l'appui d'une force commerciale de 7 000 personnes) : les collectivités territoriales et le transport, ainsi que les secteurs agricoles et associatifs. Cegid devrait également disposer d'un fort soutien à l'international, Groupama ayant développé sa présence en Europe, en Turquie et en Asie (notamment en Chine, où Cegid déploie en ce moment ses offres axées sur les métiers de la mode et de la distribution, et au Vietnam). « En Europe, en particulier en Espagne et en Italie où nous sommes déjà implantés, l'appui de Groupama nous permettra d'accélérer notre développement. » (...)
(25/10/2007 16:06:54)Les résultats trimestriels de VMware crèvent les plafonds
Résultats 3e trimestre 2007 (clôture au 30 septembre) Chiffre d'affaires : 357,8 M$ (+ 90%) Bénéfices nets : 64,7 M$ (+ 242%) Sur neuf mois Chiffre d'affaires : 913 M$ (+ 92,6%) Bénéfices nets : 139,98 M$ (+ 154,5%) Pour son premier trimestre public et le troisième de l'exercice en cours, le champion de la virtualisation VMware affiche des résultats mirobolants et au-delà des prévisions. Tant sur trois que sur neuf mois, le CA bondit de 90% et la rentabilité progresse encore plus vite. Les ventes de licences représentent 68% du CA, le reste revient au service. La société pousse à fond les feux du marketing (+106%) mais commence à lever le pied sur la R&D (+57%). Elle dispose déjà d'un milliard de dollars de liquidité grâce aux rentrées d'argent à la suite de son introduction en bourse. VMWare affirme que ses ventes s'envolent grâce à l'adoption de VMware Infrastructure, son outil d'administration, signe d'un enracinement de VMware dans les data centers qui lui permettrait de mieux résister à l'arrivée des concurrents. Dans la même ligne, VMware souligne la bonne tenue des ventes de ses outils de virtualisation pour postes de travail, en particulier de VDI (Virtual Desktop Infrastructure). La société est partie pour atteindre 1,3 Md$ de CA annuel. Cette croissance record la hisserait directement au niveau de Citrix. Aujourd'hui, la bourse estime VMware à près de 40 Md$ et Citrix à seulement à 7,5 Md$. (...)
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