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(30/10/2007 12:03:33)

EMC clôt un trimestre sur un bénéfice en hausse de 31%

Pour son troisième trimestre, EMC publie un bénéfice net en progression de 31% à 377,8 M$ pour un chiffre d'affaires de 3,3 Md$ (+17%). Le groupe affiche une bonne santé, alimentée notamment par le logiciel dont les ventes de licences et de maintenance englobent 43% des revenus totaux de l'éditeur (en progression de 9%). « Ce qui est important de noter, c'est que les logiciels se hissent presque au niveau du hardware en termes de CA », explique Christian Hiller, le patron d'EMC France. Sur le trimestre, le PDG fait état d'une répartition de 1,4 Md$ pour le hardware (+ 9%), 1,2 Md$ (+ 25%) pour le logiciel, et 540 M$ (+ 25%) pour les services. Les ventes liées aux systèmes de stockage en hausse de 8%, affichent un CA de 2,6 Md$. Celles liées au segment gestion de contenu et d'archivage, avec Documentum, enregistrent une croissance de 27% en un an à 189 M$. Enfin, côté sécurité, RSA totalise des revenus en hausse de 22%, à 133 M$. Christian Hiller se félicite notamment de la bonne santé de la zone EMEA qui réalise, sur la période, la plus belle croissance avec 29% de progression du CA, à 941 M$. « La France enregistre une très forte croissance, + 35% dans les produits et + 100% dans les logiciels, tiré notamment par Documentum. Les prises de commandes ont augmenté de 25% sur la période.» Rappelons que pour son premier trimestre public, VMware a publié un CA de 357,8 M$ (+ 90%) pour un bénéfice net de 64,7 M$ (+ 242%). (...)

(30/10/2007 11:35:08)

Vers de nouvelles suppressions d'emploi chez Alcatel-Lucent

Alcatel-Lucent pourrait annoncer de nouvelles suppressions de postes. C'est en effet aujourd'hui que Patricia Russo, directrice générale, présente son plan d'urgence, à la demande du Conseil d'administration. Les nouvelles mesures du géant des télécoms devraient être officialisées mercredi, à l'occasion de la publication des résultats du 3ème trimestre du groupe. Certaines sources annoncent plusieurs milliers, voire plusieurs dizaines de milliers d'emplois supprimés. Alcatel-Lucent, né à l'automne 2006 de la fusion du français Alcatel et de l'américain Lucent Technologies, avait annoncé en février dernier la suppression de 12 500 emplois dans le monde, dont 1 468 en France, dans le cadre d'un plan d'économies de 1,7 Md$ sur trois ans. (...)

(29/10/2007 18:01:09)

Les installations de Linux s'essouffleraient

Le petit monde des études informatiques s'agite autour de la stagnation des ventes de Linux. Certains y voient une victoire de Windows Server, d'autres invitent à regarder la réalité et pas seulement les chiffres de ventes de machines neuves. Linux, qui progressait de 45% par an en 2003 dans le monde, n'a progressé que de moins de 10% en 2006. Quel que soit l'indicateur pris en compte, il apparaît que Linux progresse désormais moins vite que Windows. Un consensus semble s'établir autour de l'explication de ce phénomène. Pour la plupart des analystes, Linux ne tirait pas sa croissance de transfuges de Windows Server qui l'abandonnaient pour lui, mais de migration en provenance soit du monde des autres Unix, soit de Netware. En 2000, un serveur sur deux tournait avec Windows. Venaient ensuite les Unix et Netware avec chacun 17% du marché. Linux n'arrivait qu'en dernière position avec 10%. Aujourd'hui, Windows est passé de 50% à 70%, Linux s'est hissé à hauteur de 20% du marché tandis que les Unix n'ont plus que moins de 10% et que Netware a disparu des ventes. Maintenant que le gros des applications qui devaient migrer d'Unix et de Netware l'on fait, Linux aurait fait le plein. C'est la raison avancée pour expliquer que, désormais, cet OS voit sa progression s'essouffler tandis que Windows continue sa progression. Elle serait tirée par la montée en charge des environnements déjà acquis, par le succès d'Exchange qui n'a pas d'alternative digne de ce nom sur Linux et par celui des autres produits compagnons de Microsoft. La palette de ces derniers ne cesse de s'étendre tandis que la logithèque de Linux tarde à s'étoffer. Cette explication a le mérite de la simplicité. Les défenseurs de Linux ont aussi beau jeu de souligner que mesurer les installations d'un OS gratuit recèle des difficultés méthodologiques qu'il ne faut pas négliger. Sans parler du fait que Linux s'installe souvent sur des machines pour leur offrir une seconde vie et que l'OS est le candidat idéal pour la virtualisation. (...)

(29/10/2007 17:47:58)

Cisco annonce un "Entertainement Operating System"

Cisco a levé le voile sur son Entertainement Operating System (EOS), le noyau de la plateforme qu'il destine à accueillir des communautés grand public à vocation ludique. Derrière ce jeu de mots, entre cet EOS et l'habituel IOS (Internetworking Operating System), on trouve une forte ambition pour devenir la plateforme de référence des sites interactifs post Web 2.0. Cisco déclare avoir beaucoup appris de l'étude de sites dont il s'occupe, comme ceux de la fédération américaine de hockey et de celle des courses de stock-cars. Cette année, Cisco s'est porté acquéreur de deux outils de réseaux sociaux : Tribe.net et Five Across. Sans donner plus de précision, Cisco indique que cette plateforme verra le jour l'an prochain. (...)

(29/10/2007 16:28:54)

Avec Doc@Post, La Poste couvre la chaîne du flux documentaire

Forte d'une expertise dans le domaine de la gestion documentaire, La Poste capitalise sur son savoir faire pour mettre en place, dans le secteur des services aux entreprises, une approche globale allant de la dématérialisation du document reçu jusqu'à l'édition, l'envoi et la distribution de courrier, en prenant en compte le suivi de la vie électronique d'un document, sans oublier les échanges, l'archivage ou encore la traçabilité et la préservation de la valeur juridique. Pour ce faire, La Poste vient de regrouper neuf filiales existantes au sein de Doc@Post. Aux côtés d'Aspheria & Orsid, spécialisées dans l'externalisation documentaire, l'archivage électronique et la publication en ligne, on trouve ainsi CertiNomis pour la gestion des certificats, Dynapost pour l'externalisation du courrier et du document, ou encore LADSERVICES, spécialisée dans le traitement automatisé des courriers par reconnaissance optique. La filiale Maileva expédie des courriers électroniques sous enveloppe à la demande et propose de l'archivage de documents. Seres est spécialisé dans l'échange de données informatisé (EDI) et SF7 sur l'externalisation de la gestion de la relation client. Enfin, ISC (Ingénierie Solutions Courrier) dispense du conseil sur les projets de gestion documentaire. Sur fond d'ouverture totale du marché du courrier en janvier 2011 Avec ce regroupement de moyens au sein d'une seule entité pour accompagner les entreprises sur toute la chaîne des flux documentaires, La poste espère dynamiser ses activités pour devenir l'opérateur leader en Europe du courrier sous toutes ses formes. Une initiative mise en en place pour faire face à l'ouverture totale du marché du courrier prévue en Europe au 1er janvier 2011. Avec cette réorganisation, La Poste espère atteindre 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012, soit faire passer ces activités de gestion documentaire de 10% actuellement à 20% du chiffre d'affaires du courrier dans le domaine des services en 2012. (...)

(29/10/2007 10:33:55)

Trend Micro absorbe Provilla

Trend Micro, l'un des poids lourds de l'industrie de l'antivirus, vient d'acheter Provilla, éditeur spécialisé dans le « profilage de comportement de la station de travail », et spécialisé dans la lutte contre les fuites d'informations. Techniquement parlant, Provilla repose sur un agent intelligent, installé sur le poste de travail, qui bloque automatiquement tout envoi de données sensibles et prévient l'administrateur de son intervention. Dans un premier temps, Provilla conservera son nom et son système de distribution. Il faudra s'attendre à ce qu'il soit, à terme, intégré tant dans les suites antivirales pour poste de travail qu'au sein des passerelles de filtrage de contenu de Trend Micro. A plus longue échéance, il est prévu d'étendre l'éventail des types de machines protégées par Provilla, notamment du coté de l'informatique mobile, des PDA et des Smartphones. (...)

(29/10/2007 10:31:52)

Kaspersky France se lance dans les services hébergés

Du métier d'éditeur d'antivirus, sous forme logicielle ou purement OEM, Kaspersky devient prestataire de service, sans pour autant sortir de son métier d'origine : antispam, antivirus, protection périmétrique contre les malwares « traditionnels », filtrage de contenu dangereux en 24/7/365. Sa nouvelle offre s'appellera KHSS (Kaspersky Hosted Security Services) et se chargera de la protection -externalisée- des services de messagerie, Web et messagerie instantanée des entreprises. Il est évident que les premiers concurrents visés sont les opérateurs et fournisseurs d'accès - historiquement des grands clients Kaspersky d'ailleurs - qui, eux-mêmes, tentent d'offrir de la sécurité à distance à leurs clients professionnels, PME, TPE, voire aux grandes entreprises. Autres « adversaires » sur ce terrain plus que mouvant des services de sécurité externalisés, les grands du Datacenter qui, par le biais de revendeurs « au détail », lorgnent sérieusement sur la clientèle entreprise en quête de solutions sécurisés. La liste ne serait pas complète si l'on oubliait les « autres » éditeurs, les Symantec, les Sophos, les ISS, qui se sont intéressés à ce marché depuis un certain temps déjà. Reste que l'équipe de Kaspersky bénéficie d'une aura de respectabilité certaine, d'une image de solidité et de rapidité d'intervention forgée à coup de palmarès au top 10 du Virus Bulletin et de « mentions honorables » décernées par l'AV-Test de l'Université de Magdebourg. (...)

(29/10/2007 10:24:58)

Oracle/BEA : Oracle retire - officiellement - son offre

Comme annoncé dans son ultimatum, Oracle a retiré dimanche son offre d'achat à 17$ l'action sur BEA. Ce dernier avait répondu qu'il ne considérerait une proposition d'achat qu'à la somme de 21$ l'action, ce qui aurait valorisé l'éditeur de middleware à 8,15 Md$, au lieu de 6,66 Md$. Il s'agit néanmoins d'une manoeuvre officielle, des négociations pouvant avoir lieu de façon officieuse. Le conseil d'administration de BEA y est poussé notamment par Carl Icahn, qui estime, « avec plus de 58 millions de parts », être « le plus gros actionnaire de BEA ». Dans une lettre ouverte, Carl Icahn accuse le conseil d'administration d'agir au détriment des intérêts des actionnaires en se retranchant derrière un prix définitif de 21$, alors qu'il aurait dû, d'après lui, prendre en considération l'offre d'Oracle et négocier. Carl Icahn, à qui la vente rapporterait à peu près un milliard de dollars, demande donc à BEA de laisser ses actionnaires décider du sort de l'entreprise, et a engagé une procédure devant une cour du Delaware afin que BEA organise une assemblée générale avant toute décision d'ordre financier non approuvée par avance par les actionnaires. (...)

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