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(22/10/2007 16:20:15)
Microsoft se plie aux exigences de la Commission européenne
Il aura fallu attendre trois ans et une confirmation en appel le mois dernier pour voir Microsoft s'aligner sur les exigences de la Commission, émises en 2004. Aujourd'hui lundi 22 octobre, le corps exécutif européen a déclaré que Microsoft avait fait des concessions substantielles pour se plier aux exigences de la Commission européenne émises il y a trois ans. Dans un communiqué rédigé par Neelie Kroes, commissaire européenne en charge du dossier anti-trust, la Commission explique que l'éditeur de Redmond a finalement décider de régulariser un point litigieux : l'accès aux informations d'interopérabilité ainsi que les royalties perçues pour leur utilisation. A la suite du procès de 2004, Microsoft avait dû d'abord verser 497 M€ d'amende pour abus de position dominante, puis garantir la sortie d'une version de Windows sans le Media Player. A l'époque, la Commission avait également condamné Microsoft à publier les détails techniques de ses protocoles de communications embarqués dans les OS serveurs de la marque. Mais les résultats fournis par l'éditeur n'avaient pas satisfait la Commission, qui a jugé notamment « déraisonnables » les prix pratiqués pour l'obtention des informations d'interopérabilité. Puis, agacée, avait condamné l'éditeur à une amende supplémentaire de 280,5 M€ l'année dernière. 10 000 € pour accéder aux données techniques Le présent accord vient ainsi mettre un terme à ce dernier litige, s'alignant Microsoft sur les desiderata de la Commission. Primo, l'accès et l'utilisation des protocoles d'interopérabilité de Microsoft seront désormais ouverts aux développeurs du monde de l'Open Source (des points les plus critiques pour Microsoft à l'époque) en toute sécurité. Secundo, la tarification pratiquée pour l'usage de ces mêmes données seront abaissées à un prix unique de 10 000 €. Rappelons qu'en guise de redevance, Microsoft demandait 2,98% des revenus dégagés par les applications utilisant les protocoles techniques. « Je salue le fait que Microsoft a enfin accepté des mesures concrètes pour assurer le plein respect de la décision de 2004 », a déclaré Neelie Kroes, à l'AFP. Reste que dans ce même communiqué, la Commission fronce les sourcils, et avertit Microsoft qu'elle aura toujours l'oeil sur ses pratiques. « Microsoft a l'obligation de continuer à se plier aux exigences de 2004, et doit ainsi faire l'effort de résoudre tout problème allant à l'encontre de ces décisions. » Et de conclure : « La décision de mars 2007, comme confirmée par la Cour de première Instance le mois dernier, a créé un précédent qui implique la surveillance de ses comportements futurs dans ce domaine et d'autres. Microsoft doit garder ça à l'esprit. » (...)
(22/10/2007 14:52:38)Amazon offre 100 000 dollars au meilleur développeur de services Web
Amazon vient de lancer un concours au meilleur AWS (Amazon Web Service), autrement dit un Service Web utilisant les technologies du célèbre site de vente en ligne. Les développeurs (individuels, ou start-up) intéressés ont jusqu'au 28 octobre pour déposer leur candidature sur le site de la société en remplissant un formulaire dans lequel ils décrivent leur application, qu'elle soit encore au stade de simple idée ou déjà finalisée. Amazon retiendra les 5 meilleurs AWS en se basant sur l'originalité, la créativité mais également le service rendu au site. Les cinq finalistes seront ensuite invités au siège de la société à Seattle en novembre pour présenter leur application à un jury qui prendra alors sa décision. Le prix remis au vainqueur s'élève à un montant total de 100 000 dollars, dont 50 000 dollars en cash ainsi que différents avantages en termes notamment de formation avec les experts techniques de la société. (...)
(19/10/2007 17:15:28)Bull se renforce sur le calcul haute performance avec Serviware
Le groupe français Bull profite de l'annonce de ses résultats trimestriels pour confirmer l'acquisition de Serviware, un spécialiste hexagonal de l'intégration de solutions de calcul de haute performance (HPC). Bull indique renforcer ainsi un axe stratégique pour lui, avec une offre qui complète la sienne dans les centres de recherche dit « intermédiaires » (centres faisant partie d'un réseau de calcul mais souhaitant par ailleurs disposer de ressources HPC locales). Ce rachat s'inscrit dans le programme 7i lancé par Bull en mars dernier. Un programme qui inclut la volonté de démocratiser le HPC en permettant aux entreprises d'accéder à des solutions de simulation dans le cadre de leur processus d'innovation. Le groupe entend associer ses propres offres de HPC (basées sur sa gamme Novascale, allant du serveur départemental de calcul intensif au supercalculateur) à celles de Serviware pour simplifier aux moyennes et grandes entreprises le déploiement de ce type de solutions. Serviware garde son indépendance opérationnelle Serviware a développé un centre de compétences pour la mise en production (avec engagement de résultat) de systèmes d'information dans le cadre de projet d'informatique scientifique (stockage, sauvegarde, calcul et visualisation graphique). Il est très impliqué sur la revente de solutions de clustering sous Linux et propose également des services de développement spécialisé, de calcul à la demande, d'hébergement et de location d'équipements préconfigurés (allant de la station de travail à la ferme de serveurs). L'intégrateur, qui intervient principalement dans les environnements HP, IBM et Sun, disposera maintenant du soutien technologique et commercial de Bull. Il est néanmoins prévu qu'il garde son indépendance opérationnelle, ses propres structures et ses dirigeants. +2,5 % sur le chiffre d'affaires au 3e trimestre Bull a réalisé sur le troisième trimestre un chiffre d'affaires de 243,3 M€, en progression de 2,5 % à périmètre retraité, c'est-à-dire en tenant compte des cessions des activités italiennes et portugaises (le fournisseur avait réalisé un chiffre d'affaires de 250 M€ au 3ème trimestre 2006). Le groupe indique une augmentation de 18,4 % de ses activités de services et solutions sur le trimestre. Son résultat net n'est pas communiqué, ses résultats trimestriels n'étant pas encore audités. (...)
(19/10/2007 14:49:15)FT sommé de rendre des aides de l'Etat
La Cour de justice européenne vient de trancher : France Télécom devra payer ses impôts. A l'origine du conflit, une dérogation accordée par l'Etat français à l'opérateur national entre 1991 et 2002. Pendant deux ans, France Télécom s'est vu octroyer la « permission » de ne pas payer d'impôts, de taxe professionnelle, de taxe foncière et d'impôt sur les sociétés. L'opérateur a ensuite été soumis au régime fiscal de droit commun, à l'exception des impositions directes locales. Il a donc moins payé de taxes professionnelles qu'il n'aurait dû, s'il avait été logé à la même enseigne que toutes les entreprises. Pour la Cour de justice européenne, il s'agit clairement d'une « aide d'Etat » et elle avait sommé le gouvernement français de récupérer l'objet du litige, soit entre 798 M€ et 1,14 Md€. Malgré de nombreux échanges de courriers et de multiples réunions au cours de ces trois dernières années entre les protagonistes, il semblerait que l'Etat français ne fasse pas preuve de la coopération attendue par la Commission européenne puisqu'il vient d'être condamné par décision de justice à se faire rembourser au moins 798 M€ par France Télécom dans les plus brefs délais. Faute de quoi, une nouvelle action en justice serait lancée. Cette menace semble toutefois peu inquiéter l'Etat français et France Télécom, les deux protagonistes réfutant les faits. France Télécom semble d'ailleurs tellement sûr de son fait qu'il n'a même pas jugé utile de provisionner la somme, laquelle représente quand même près de 20% de son résultat net (estimation des analystes). (...)
(19/10/2007 14:47:34)Web 2.0 Summit : pas d'entrée en Bourse pour Facebook
A l'occasion de la conférence Web 2.0 qui se tient actuellement à San Francisco, Mark Zuckerberg, co-fondateur et PDG de Facebook.com, a mis fin aux rumeurs persistantes sur l'entrée en bourse de sa société : « il se passera des années avant que cela n'arrive. Je ne dis pas que cela n'arrivera pas, mais vous avez quelques années devant vous avant que cela se produise. » Convoitée par Microsoft et Google, cette jeune société spécialisée dans le réseau social s'apprête par ailleurs à apporter des nouveautés à son site, dont la création d'un réseau de publicité et la possibilité pour les utilisateurs d'exporter des données vers des applications tierces. (...)
(19/10/2007 14:46:30)Internet et les logiciels drainent la R&D mondiale
Le cabinet Booz Allen Hamilton vient de sortir sa 6e étude comparative sur les investissements réalisés par les entreprises en R&D. L'étude porte sur 2006 et a été menée auprès d'un groupe de 1000 entreprises sélectionnées par le cabinet à travers le monde. Elle fait tout d'abord ressortir que les dépenses en R&D se portent bien puisqu'elles enregistrent une croissance de 10% par rapport à 2005, ce taux étant deux fois plus élevé que sur les cinq années précédentes. Au total, tous secteurs d'activités confondus, 447 Md$ ont été dépensés en R&D. Les secteurs du matériel informatique et de l'électronique ainsi que de la santé arrivent bons premiers avec respectivement 127,4 Md$ et 97,8 Md$, suivis par celui de l'automobile. Les télécoms arrivent bon dernier. Bizarrement, le logiciel et Internet n'arrivent qu'en sixième position avec 25,5 M$, mais dès lors qu'on regarde du coté de la croissance du taux d'investissement en R&D par rapport à l'an dernier, ils devancent tous les secteurs avec une augmentation de 13,3%, donc légèrement supérieure à la croissance globale des dépenses tous secteurs confondus. Même taux de croissance élevé pour le secteur de la santé (13,3%) suivi par celui du matériel informatique et de l'électronique (7,0%). Microsoft, première entreprise IT Dans le secteur informatique, la palme revient à Microsoft qui est l'entreprise IT qui a le plus investi avec 6 584 M$ dépensés en 2006, soit une croissance de 6,5% par rapport à 2005. Il est à noter que l'effort consenti est d'autant plus important qu'il représente 14,9% des ventes de la société. Toyota, qui arrive en tête du classement des 20 sociétés avec 7 691 M$, par exemple, n'emploie que 3,7% du CA. Enfin, si les montants investis en Chine et en Inde restent en deçà des autres pays, leur taux de croissance est énorme comparativement, puisque ces deux pays enregistrent une augmentation de leurs dépenses en R&D de 25%, contre seulement 13% en Amérique du Nord. Dernier point mais non des moindres, selon cette étude, il n'existerait pas de lien entre le montant des dépenses en R&D et les résultats qu'on en tire. (...)
(19/10/2007 12:50:35)AMD jongle avec les pertes au T3
Quatre trimestres consécutifs sous le signe de la perte. Pour son troisième trimestre, AMD a encore du mal à digérer le rachat d'ATI. Le fondeur a publié une perte de 396 M$, contre un bénéfice net de 176 M$ au même trimestre il y a un an. AMD doit encore courber le dos et supporter les 120 M$ de charges de son gros rachat du constructeur de puces graphiques en juillet 2006 pour 5,4 Md$. Le chiffre d'affaire du groupe, quant à lui, s'élève à 1,63 Md$, en hausse de 18%. Même si AMD explique dans un communiqué que ses ventes ont augmenté de 19% sur la période (et 68% pour les puces mobiles), le constructeur souffre toujours du retard de la sortie de son quadri-coeur Barcelona, lancé en septembre. Laissant ainsi le champ libre à son archi-rival Intel, qui, quant à lui, a vendu deux millions d'unité de son quadri-coeur sur la période. Pour son troisième trimestre, Intel a publié un CA en hausse de 15%, à 10,1 Md$ pour un bénéfice net de 2,2 Md$ (+64%), comme l'indique notre confrère Distributique.com (voir lien ci-dessous). Barcelona n'a donc pas généré de revenu pour ce trimestre, mais AMD s'attend, avec une commercialisation plus étendue au quatrième trimestre, à délivrer "plusieurs centaines d'unités" de sa puce. Pour le quatrième trimestre, le constructeur reste très flou, et invoque "des résultats en ligne avec la saison". Un période toujours plus faste pour les processeurs desktop que pour les serveurs. (...)
(19/10/2007 12:48:19)Sun revisite les plug-in de Java
Sun va changer son architecture de plug-in lors de la prochaine mise à jour de Java Platform Standard Edition 6. Le but sera de rendre plus simple l'installation d'applications Java, aussi bien en entreprise que pour les particuliers. La plateforme Java devrait ainsi se lancer plus rapidement, et les applications se lanceront pendant que le reste de la plateforme se télécharge en tâche de fond. Elle pourra également faire fonctionner des applications plus lourdes que celles actuellement en place. Les utilisateurs pourront choisir application par application leur environnement Java (JRE). Enfin, la compatibilité avec Vista sera améliorée, avec la création d'applets certifiées. Pour l'instant, aucune date pour cette mise à jour n'a été donnée. Les plug-in Java seront compatibles avec Solaris, Linux et Windows, les navigateurs Internet Explorer 6 et 7 et Firefox. (...)
(19/10/2007 10:27:29)L'international et la publicité tirent Google au T3
Comme une horloge, Google poursuit à un rythme régulier sa croissance. Pour son troisième trimestre, le moteur de recherche a publié un bénéfice net de 1,07 Md$ contre 733 M$ il y a un an à la même période. Le chiffre d'affaires, quant à lui, franchit la barre des 50% de progression pour atteindre 4,23 Md$, soit une progression de 57%. Des résultats qui dépassent les estimations des analystes qui tablaient sur une hausse de 54% du CA. Sans surprise, le groupe de Mountain View invoque une forte hausse des revenues issus de la publicité en ligne, mais également une nette progression du CA dégagé par les services à l'international. 48% (2,03 Md$) des recettes sur le trimestre proviennent de l'étranger (hors Etats-Unis), à comparer au 44% il y a un an. Dans une conférence en ligne, Larry Page, un des fondateurs de Google, a également expliqué que les services mobiles seront un des prochains leviers de croissance du groupe. L'usage des services Google sur les solutions mobiles (comme la recherche, Google Maps ou YouTube) est en pleine expansion, tout particulièrement sur les marchés japonais et coréen. Confirmant ainsi l'engouement du groupe pour la mobilité : Google a multiplié les rachats dans le domaine depuis plusieurs mois, et travaille à un OS mobile, le GPhone. Eric Schmidt, PDG du groupe, compte de son côté s'imposer sur un segment des services mobiles, là où pour l'heure "aucun leader n'a vraiment émergé", citant Microsoft et Yahoo. " Mais cela va changer", affirme-t-il confiant. (...)
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