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(16/10/2007 17:21:20)
Oracle chamboule l'organisation de ses développements
Oracle réorganise son groupe de développement produit. Pris dans la tourmente, John Wookey, senior vice-président du développement, est débarqué, mais avec des égards : son départ n'est pas immédiat. C'est Chuck Rozwat, avec le titre vice-président opérationnel, qui prend la responsabilité de tous les développements. Sous lui, deux hommes se répartissent les tâches. Thomas Kurian, déjà senior vice-président en charge de l'activité middleware, prendra à son compte l'avenir de Fusion. Quant aux autres développements, ils relèvent désormais de la responsabilité d'Ed Abbo, qui était le numéro deux de John Wookey. (...)
(16/10/2007 15:20:40)Les salles de serveurs responsables de 23 % des émissions de gaz carbonique
Si les PC et les écrans génèrent 40 % des émissions de gaz carbonique de l'industrie high-tech, les salles de serveurs en génèrent 23 % à elles seules. Le cabinet d'analystes Gartner confirme bien aujourd'hui que le secteur, en étant globalement responsable de 2% des émissions de gaz carbonique, n'est pas plus écologiquement propre que le transport aérien. Et ce chiffre risque d'être en constante augmentation. Rakesh Kumar, vice-président du Gartner, précise même : « Il y a trois principales raisons à ces fortes émissions : l'absence d'espace au sol, l'incapacité à héberger des serveurs haute-densité, une consommation électrique et une génération de chaleur accrue. Ces trois problèmes agissent sur le coût d'exploitation des salles de serveurs. Ainsi, nous prédisons que l'énergie de consommation des processeurs seuls augmentera dans les dix prochaines années. » Et s'il est difficile de supprimer PC et moniteurs sur le bureau des salariés, les entreprises peuvent réaménager leurs salles de serveur pour contrôler les émissions de CO2. (...)
(16/10/2007 14:53:34)Microsoft dévoile un programme d'interopérabilité pour Office Communication
Présent sur le marché de la téléphonie sur IP d'entreprise avec Office Communications Server (OCS) 2007, Microsoft ne veut pas froisser ses partenaires (Cisco, Avaya, Alcatel, Thomson, Siemen, etc.) dont il est pourtant devenu aujourd'hui le concurrent. Pour entériner le message selon lequel OCS est une surcouche logicielle au réseau télécom existant et non une alternative aux PABX installés en entreprise, il vient de lancer un vaste programme d'interopérabilité avec les acteurs traditionnels de la téléphonie. Baptisée « OCS 2007 Open Interoperability Program », cette initiative a pour objectif de certifier le bon fonctionnement entre les PABX et la solution de messagerie unifiée de Microsoft. Deux modèles d'ISR (Integrated Services Router) de Cisco seraient déjà en cours de certification selon Zig Serafin, directeur général de l'entité Unified Communications de Microsoft. Le programme prévoit trois types de certifications différentes : SIP CSTA (Computer Supported Telephony Applications) qui permet aux utilisateurs de contrôler leurs appels via OCS tout en utilisant un poste téléphonique traditionnel géré par un PABX ; OCS Coexistence, une certification qui permet à l'utilisateur de prendre ses appels sur un client OCS ou sur le poste téléphonique ; et enfin Direct SIP (Session Initiation Protocol) qui prévoit des passerelles entre un PABX IP et OCS, certains départements de l'entreprise pouvant alors être en téléphonie traditionnelle et d'autres en OCS sans qu'il y ait de problème de communication entre les deux. Afin de maintenir ses clients informés, Microsoft envisage la création d'un site dédié sur l'avancement du programme de certification. Une cohabitation forcée Rassurante, cette annonce laisse toutefois certains analystes dubitatifs. Microsoft n'a en effet pas le choix s'il veut imposer OCS sur le marché : la plupart des entreprises ne souhaitant pas remettre en cause leur installation réseau télécom existante, OCS devra donc cohabiter. Et ce d'autant plus que, comme le souligne Brent Kelly, analyste senior de Wainhouse Research LLC, OCS n'est pas encore à la hauteur coté voix pour la téléphonie en entreprise. « Les barrières sont nombreuses, estime de son coté Nora Freedman, analyste chez IDC. L'interopérabilité via SIP est une excellente idée mais cela prendra certainement beaucoup de temps pour y parvenir par SIP est un protocole encore trop nouveau. » (...)
(16/10/2007 14:40:20)AOL supprime 20% de ses effectifs dans le monde
C'est désormais officiel : AOL s'apprête à supprimer quelque 2 000 emplois dans le monde, soit 20% de son effectif. Selon nos confrères de Computerworld, la seconde phase du plan de transformation lancée par la filiale Internet du groupe Time Warner a débuté dès aujourd'hui. Aux Etats-Unis, 1 200 suppressions de postes doivent intervenir. Des réductions d'effectifs sont également prévues en Europe (300 postes pourraient être supprimés sur 600), et 88 suppressions de postes (sur 140) devraient concerner la filiale française. « Certains hauts dirigeants du groupe quitteront la société dans le cadre de cette restructuration, a précisé Anne Bentley, porte-parole d'AOL. Nous traversons actuellement une phase de transformation de notre nouveau modèle économique, orienté désormais vers une régie publicitaire. » La porte-parole a ajouté vouloir se focaliser sur des secteurs « à plus forte croissance », comme la publicité sur Internet et les contenus éditoriaux. (...)
(15/10/2007 16:53:05)Capgemini se lance dans l'infogérance d'une offre améliorée de GRC
Capgemini vient d'annoncer la création d'un service original dans la GRC (gestion de la relation client) destiné en priorité aux clients dans les secteurs de l'énergie, des télécoms et de l'administration. Plutôt que de se contenter de faire de la simple gestion de la relation client, Capgemini propose en effet d'analyser et d'agir sur la relation client en fonction des objectifs business de l'entreprise. Baptisée CC&I pour Customer Care and Intelligence, cette offre sera inscrite au catalogue des solutions Business Process Outsourcing (BPO) de la SSII. Elle prévoit donc l'infogérance des processus de ses clients qui se verront également proposer une gamme d'outils pour améliorer leur gestion dont notamment des solutions de Business Intelligence pour tirer un meilleur profit des informations stockées dans les bases de données. Au passage, les entreprises pourront également bénéficier de l'expertise métier de la SSII dans le domaine, raison d'ailleurs pour laquelle Capgemini a dans un premier temps limité l'offre aux secteurs qu'elle maîtrise parfaitement. Aujourd'hui, Capgemini dispose déjà de plus de 2000 consultants à travers le monde en mesure de répondre aux besoins des clients dans le cadre de cette offre et envisage de créer un nouveau centre dédié à l'offre CC&I au Kansas avant la fin du mois. (...)
(15/10/2007 16:27:56)Oracle/BEA : Forrester verrait bien Cisco dans l'équation
Et si la contre-proposition que BEA attend afin de se soustraire à l'offre d'Oracle venait de Cisco ? C'est l'hypothèse que formule Henry Peyret, analyste sénior chez Forrester. « John Chambers [le patron de Cisco, NDLR] dit souvent que le futur de Cisco est dans le logiciel. » Pour lui, un tel rapprochement aurait « beaucoup de sens, d'autant que Cisco cherche à intégrer des briques applicatives dans les routeurs ». Mais il souligne aussi les écueils d'un tel rachat. « On n'a jamais vu Cisco racheter une société aussi importante et continuer le business. Il y aura certes des synergies au niveau technologique, mais cela ne veut pas dire qu'il y aura automatiquement des synergies au niveau des ventes, par exemple. On ne vend pas des logiciels comme on vend des boîtes. » S'il ne croit guère aux hypothèses HP, CA ou Fujitsu en tant que chevaliers blancs (ou noirs, d'ailleurs, parce qu'aucun, a priori, ne laisserait son indépendance à BEA), Henry Peyret estime qu'IBM pourrait faire une offre, afin d'élargir sa part de marché, et compléter son portefeuille technologique. Le grand perdant, pour lui, serait SAP, dont l'offre middleware subirait un certain retard par rapport à celle de BEA. Ce serait même l'hypothèse d'un rachat de BEA par SAP qui aurait pu pousser Oracle à prendre les devants, pour Henry Peyret. Mais il voit mal SAP faire une contre-proposition aujourd'hui, dans la mesure où l'éditeur allemand doit déjà digérer le rachat de BO. (...)
(15/10/2007 16:13:46)Internet Explorer n'est pas seul à avoir une faille URI
Microsoft Internet Explorer n'est pas le seul à souffrir d'une faille dans la gestion de l'URI (Uniform Resource Identifier). Les autres systèmes d'exploitation d'origine Unix, en l'occurrence MacOS et Linux, pourraient bien avoir la mêm faiblesse. C'est ce qu'affirme Nathan McFeters, un des chercheurs qui se penchent sur la question. Rappelons qu'URI permet de lancer des applications à partir d'un navigateur, comme la fonction "mailto". (...)
(15/10/2007 16:09:53)Oracle/BEA : BEA rejette l'offre "amicale" d'Oracle
C'est un non, poli mais ferme, qui a accueilli l'offre amicale de rachat de BEA par Oracle. BEA a même décliné une invitation à une réunion vendredi dernier ; Charles Phillips, le président d'Oracle, souhaitait cette rencontre afin de parvenir à une transaction amicale avant la réouverture des marchés financiers aujourd'hui. BEA estime de son côté que cette offre n'est pas amicale, dans la mesure où elle n'a pas été sollicitée, et où elle ne reflèterait pas la vraie valeur de l'entreprise. William Klein, vice-président de BEA, a ainsi écrit à Charles Phillips que son conseil d'administration estime que « BEA vaut beaucoup plus aux yeux d'Oracle, mais aussi d'autres [acheteurs potentiels] et, très important, de nos actionnaires, que le prix indiqué dans votre lettre ». Et d'expliquer que le marché ne peut pas estimer à sa juste valeur l'entreprise, dans la mesure où certaines informations financières doivent être actualisées (suite à un audit sur la pratique des stock-options, BEA doit republier tous ses comptes depuis l'année fiscale 1998). William Klein explique par ailleurs qu'il souhaite que cette situation ne s'éternise pas, dans la mesure où « Oracle est un compétiteur direct », et où cela serait donc préjudiciable aux activités commerciales de BEA. De fait, tous les analystes sont d'accord pour dire que l'annonce de cette offre gèle plus ou moins le marché de l'éditeur. Et l'exemple du feuilleton Oracle-Peoplesoft a montré qu'au final, la résistance s'est avérée vaine. (...)
(15/10/2007 15:59:36)Symantec veut acheter Vontu, spécialiste antifuite des données
Selon notre confrère Infoworld, Symantec serait sur le point de mettre la main sur Vontu, un des derniers acteurs indépendants et significatifs du créneau de la prévention de fuites de données. Symantec revend déjà la technologie de Vontu. L'éditeur devrait dépenser 300 à 350 M$ pour une société qui réalise un CA estimé à dix fois inférieur à cette somme. Les Américains hésitent encore sur la terminologie de ces technologies de prévention de fuites d'information. Le DLP (data leakage prevention) est encore en concurrence avec l'ILP (information leakage prevention). DLP ou ILP visent en tout cas à prémunir les entreprises des risques internes qui menacent leurs informations stratégiques. Rappelons que WebSense vient d'acheter PortAuthority et que McAfee, qui avait déjà fait l'emplette d'Onigma, prévoit de compléter ce logiciel avec l'acquisition pour 350 M$ de SafeBoot, spécialiste du chiffrement et des terminaux de validation d'accès. (...)
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