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(18/09/2007 14:38:56)

Thunderbird devient une filiale de Mozilla

La réflexion sur l'avenir de Thunderbird entamée fin juillet a abouti : la fondation Mozilla a décidé d'en faire une filiale, qui pourra donc se consacrer uniquement à ce projet. Mitchell Baker, la présidente de la Fondation, avait sollicité les avis de la communauté en proposant trois options : créer une organisation à but non lucratif sur le modèle de Mozilla, créer une nouvelle filiale au sein de la fondation, ou développer Thunderbird en tant que projet communautaire. La solution de la filiale est donc celle retenue, et Mozilla la financera à hauteur de 3 M$. Mais le geste le plus important est le recrutement de David Ascher, « membre actif de la communauté Mozilla depuis 2000 », précise la Fondation dans un communiqué, et « un des chefs de file de la communauté du logiciel libre, notamment en tant que directeur de la fondation Python Software ». En effet, comme nous le disait Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, fin juillet lors de l'annonce de cette réflexion, il faudrait un leader charismatique pour constituer et maintenir cette nouvelle communauté, faute de quoi Thunderbird ne se développerait jamais. (...)

(18/09/2007 12:32:03)

Sun hisse son serveur d'applications Open Source au niveau entreprise

GlassFish sort du giron des développeurs pour tenter sa chance dans les déploiements d'entreprise. La deuxième version du serveur d'applications Open Source de Sun, lancée cette semaine, propose en effet des fonctions attendues pour déployer des applications d'envergure, telles que la réplication de données ou l'administration centralisée de clusters. Un pas a également été fait en direction des technologies Microsoft, sous la forme d'une pile de services Web, le 'Metro Project', destinée à favoriser l'interopérabilité entre Java et .Net. GlassFish, dont la version commerciale, supportée, de la v2 se nomme Sun Java System Application Server 9.1, ne compte pas encore de référence significative en France, admet Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France. Mais il ajoute aussitôt que « sur les dix grands clients Sun participant au programme bêta, quatre sont français ». Il explique également devoir former en interne pour répondre à la demande. « En résumé, j'ai plus de prospects qu'on n'a jamais eu de clients [sur ce segment logiciel]. » 10% de mieux que WebLogic au SPECjAppServer2004 Alexis Moussine-Pouchkine explique cet engouement par le bond en fonctionnalités et en performances du serveur d'applications. « Les entreprises réfléchissent à un serveur d'applications Open Source mais ne veulent perdre ni en fonctionnalités ni en performances. Aujourd'hui, on n'est plus obligé de choisir. » Et de citer les résultats du benchmark SPECjAppServer2004, où GlassFish obtient un score de 10% plus élevé que BEA Weblogic, « et 30% de plus qu'IBM Websphere », note Alexis Moussine-Pouchkine. De fait, si cela ne démontre pas une supériorité écrasante, cela signifie du moins que GlassFish est dans la course. Malheureusement, la comparaison avec le leader du secteur en Open Source, JBoss, n'est pas permise, la filiale de Red Hat ne publiant pas ses résultats. A noter que GlassFish v2 formera le socle de l'offre SOA de Sun, Java Caps (pour Composite application platform suite), dont la prochaine version sortira vers le printemps 2008. (...)

(18/09/2007 12:02:38)

Accenture et Microsoft étendent leur alliance à Dynamics

185 M$ : c'est le montant du contrat d'externalisation signé la semaine dernière entre la société de services Accenture et l'éditeur Microsoft. Portant sur sept ans, le partenariat inclut une série de services qu'Accenture fournira à Microsoft dans les domaines comptables et financiers, ainsi que dans la gestion des achats. Le tout s'appuiera sur le progiciel de gestion intégrée Microsoft Dynamics AX. Cette offre pourra par ailleurs servir de « vitrine technologique » pour les applications PGI de Microsoft. Accenture proposera ces services à Microsoft dans 92 pays, en 36 langues. Pour rappel, Microsoft et Accenture sont partenaires depuis près de dix ans. En mars 2000, les deux sociétés avaient même investi 1 Md$ dans la création d'une co-entreprise, baptisée Avanade. Sa mission essentielle : développer des applications de commerce en ligne pour les grandes entreprises. La prochaine version de Dynamics (5.0) devrait sortir à la mi-2008. (...)

(18/09/2007 11:20:37)

AMD lance le triple coeur dans le jardin d'Intel

Alors qu'il vient de lancer ses processeurs quadri-coeurs, le fondeur AMD a annoncé pour le début de l'année 2008, des processeurs triple coeur. Destinés en priorité à cette frange du grand public qui aime bricoler ses PC pour obtenir plus de puissance, ces processeurs seront basés sur la plateforme Phenom attendue pour la fin de l'année. Il s'agirait en fait de processeurs quadri-coeurs dont l'un des coeurs a été débranché. Il sera ainsi possible d'obtenir de plus hautes fréquences sans produire trop de chaleur. Et dans le domaine du grand public, où les derniers jeux vidéo et d'autres logiciels commencent à peine à tirer parti des processeurs bi-coeurs, avoir une puce tri-coeurs permettra de faire tourner l'application principale sur deux coeurs et le système d'exploitation et les logiciels de second plan (comme le pare-feu ou l'antivirus) sur le troisième. Au-delà du grand public, AMD ne se refuse pas la possibilité de sortir une version pour serveurs de ce triple coeur. D'autant plus que jusqu'à la sortie de sa plateforme Nehalem en septembre 2008, Intel aura du mal à proposer un produit équivalent. Ses processeurs quadri-coeurs Tigerton n'étant pour l'instant que des processeurs « bi-coeurs » accolés deux à deux. Multiplication des vulnérabilités C'est également un bon compromis pour convaincre les acheteurs se sentant à l'étroit avec des processeurs bi-coeurs et réticents à l'idée d'acheter un serveur quadri-coeurs, alors que peu d'applications ne tirent encore pleinement partie de toute cette puissance. D'autant plus que cette multiplication des coeurs entraîne de nouvelles vulnérabilités. Robert Watson, spécialiste de la sécurité informatique à l'université de Cambridge, a ainsi montré que certains virus pourraient profiter de la connexion entre les différents coeurs du processeur pour se glisser et modifier des instructions au plus près du matériel. Cette technique consiste à profiter du court laps de temps pendant lequel les coeurs s'échangent des informations pour court-circuiter les protections d'accès intégrées au noyau et accéder à des fichiers réservés. Il suffit de moins de 20 lignes en langage C pour y arriver, et Robert Watson incite fortement les développeurs à repenser leurs programmes en conséquence. (...)

(17/09/2007 17:15:59)

L'UE confirme la condamnation de Microsoft (mise à jour)

Le couperet est tombé. Après trois années riches en rebondissements, la justice européenne a rendu son verdict dans le cadre du procès antitrust qui l'oppose à Microsoft. La Cour a bien confirmé en appel, à une exception près, la décision prise par la Commission européenne en 2004 : l'éditeur de Redmond est condamné pour abus de position dominante en Europe et versera les quelque 497 M€ d'amende prévus. Le Tribunal européen (Court of First Instance), basé à Luxembourg, a ainsi validé les deux points clés ordonnés par la Commission. Primo - et c'est une question qui selon le communiqué de l'UE n'implique aucune interprétation -, la Cour donne raison à la Commission dans le dossier sur l'interopérabilité. « La Cour confirme que le degré d'interopérabilité nécessaire requis par la Commission est bien fondé et qu'il n'y a pas l'illogisme entre ce degré d'interopérabilité et les mesures prises par la Commission », indique le communiqué de l'UE. Ce point de litige avait été parsemé de rebondissements. Dans son verdict de 2004, la Commission avait imposé à Microsoft de dévoiler et de partager avec les autres éditeurs et constructeurs les informations techniques (comme les protocoles) de façon à améliorer l'interopérabilité entre les systèmes extérieurs à Windows. Microsoft avait freiné des quatre fers pour prendre en compte cette mesure, suscitant à maintes reprises l'ire de la commissaire en charge du procès, Neelie Kroes (voir notre dossier), laquelle estimait abusif le refus de se soumettre aux contraintes imposées par Bruxelles. Aujourd'hui, la Cour de justice « rejette l'argument de Microsoft qui expliquait que le degré d'interopérabilité demandé par la Commission vise en réalité à permettre aux concurrents du marché des serveurs de fonctionner comme Windows et ainsi, de leur permettre de cloner ou reproduire ses produits ». En revanche, toujours dans le chapitre interopérabilité, la Cour a rejeté la décision de la Commission de désigner un mandataire indépendant, estimant notamment que le corps executif européen n'a pas le pouvoir d'imposer à Microsoft la présence d'un mandataire (monitoring trustee) et de lui en répercuter, en partie, les coûts. Media Player et vente liée Deuxième point confirmé par la Cour de justice, l'intégration par défaut de Windows Media Player à Windows. La Cour valide le fait que cette vente liée induit des liens abusifs entre l'OS et l'application qu'elle considère comme indépendante. Elle estime également que « cette pratique a permis à Microsoft d'obtenir un avantage sans pareil quant à la distribution de son produit et d'assurer l'omniprésence de Windows Media Player sur les PC clients à travers le monde, dissuadant ainsi les utilisateurs d'user les media players tiers, et les revendeurs OEM de pré-installer ces mêmes outils sur [leurs] PC ». La Cour du Luxembourg, enfin, précise dans un dernier point que Microsoft sera également tenu de commercialiser une version de Windows dépourvue de Media Player. « Il est clair que Microsoft conserve le droit de continuer à offrir une version de Windows avec le Media Player et qu'il est seulement demandé de rendre disponible un OS sans Media Player, une mesure qui n'implique pas [d'imposer] des modifications aux pratiques techniques actuelles de Microsoft mais seulement le développement de cette version [appauvrie] de Windows. » Dans une téléconférence, Brad Smith, l'avocat principal de Microsoft, a déclaré être très attentif à la décision de la Cour de justice, et dit qu'il appréciait notamment le point relatif au mandataire. Tout en soulignant les efforts que Microsoft a réalisés depuis les début du procès et des débats constructifs tenus avec la Commission en un an, Brad Smith ouvre la porte : « Nous allons étudier attentivement cette décision et s'il y a d'autres exigences auxquelles nous pouvons nous conformer, nous le ferons. » Aucun mot en revanche sur une éventuelle poursuite de la procédure devant une autre instance européenne. Une énième étape dans la procédure ? Cette confirmation en appel peut, en effet, n'être qu'une étape dans la longue procédure juridique. Microsoft pourrait se tourner vers la Cour de Justice des Communautés européennes, dans les deux mois à partir de la notification du premier appel, pour interjeter un nouvel appel dans l'hypothétique espoir de faire flancher le tout puissant exécutif européen. (...)

(17/09/2007 16:50:28)

Créez votre SSII virtuelle en quelques clics

Vous rêviez de lancer votre société de services informatiques, sans savoir comment ? C'est désormais réalisable en vous connectant sur www.ssii-lejeu.com. Au menu : réponses aux appels d'offres, contrats d'embauche, négociations salariales, requêtes auprès d'un chasseur de tête ou encore cotation virtuelle en bourse. En bref, vous vous retrouvez à la tête d'une entreprise de services informatiques, avec toutes ses problématiques. Plus de 9600 SSII « virtuelles » sont actuellement inscrites sur le site. La simulation est gratuite et un forum est là pour guider les premiers pas des nouvelles « cyber-SSII ». L'objectif : réaliser le plus gros chiffre d'affaires, afficher la meilleure marge, mais aussi trouver de nouvelles idées et s'amuser avec un emploi d' « informaticien virtuel ». (...)

(17/09/2007 16:13:53)

SCO se met sous la protection de la loi américaine sur les faillites

SCO se met sous la protection du Chapitre XI de la loi américaine sur les faillites. Cette mesure conservatoire vis-à-vis des créanciers intervient après que SCO a été débouté par la justice américaine dans le procès qu'il avait intenté à Novell. SCO, qui fut un temps une société phare du monde Unix sur plateforme x86, pâtit directement du succès de Linux. SCO poursuit Novell et IBM, deux sociétés parmi les principaux donateurs de code source à la communauté libre. En France, Marc Puteaux, directeur général d'une filiale française "profitable depuis 15 ans", se montre serein. Selon lui, le réseau de distribution français, fort de 400 revendeurs actifs, continue d'alimenter des marchés verticaux avec des solutions intégrées. Parmi les secteurs les plus dynamiques, Marc Puteaux insiste sur ceux des pharmacies, des laboratoires d'analyse et de la grande distribution. (...)

(17/09/2007 16:02:18)

Gestionnaire de fichiers : Sun veut marier ZFS et Lustre

Sun a annoncé le rachat de l'éditeur CFS (Cluster File Systems) connu pour Lustre, son gestionnaire de fichiers distribués Open Source. Selon Sun, vingt des cent plus gros calculateurs au monde utilisent Lustre sous Linux pour accéder à leurs données stockées sur un NAS. Ce rachat intervient alors que CFS avait déjà annoncé cet été sa décision d'intégrer Lustre à ZFS, le gestionnaire de fichiers 128 bits de Sun. Lustre est un gestionnaire de fichiers distribués très apprécié dans le petit monde des supercalculateurs en cluster ou massivement parallèle. Sun, qui confirme le projet d'intégration de Lustre à ZFS, compte aussi le porter sur Solaris. L'objectif est double. D'un côté, favoriser le retour en grâce de Sun (et de Solaris) dans le monde prestigieux des supercalculateurs. De l'autre, faire bénéficier Lustre de l'effort d'ergonomie consenti sur ZFS. Notre confrère Computerwire rappelle qu'une fusion d'envergure similaire, celle de Spinnker et de WAFL par NetApp n'est toujours pas achevée après trois ans d'effort. (...)

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