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(17/09/2007 15:56:20)
Coheris certifié « Entreprise innovante » par l'OSEO
Coheris vient de se voir attribuer la mention « Entreprise innovante » par l'OSEO (anciennement Anvar, agence nationale de valorisation de la recherche). L'éditeur français doit cette récompense à ses travaux en recherche et développement dans les secteurs du GRC (gestion de la relation client), du décisionnel, du marketing et du datamining. La société précise par ailleurs que ses investissements en termes de R&D correspondent à 50 % des revenus que rapporte la vente de ses licences. Grâce à cette certification, Coheris bénéficiera d'une aide financière de la part de l'OSEO. (...)
(17/09/2007 15:53:35)Dreamforce : Salesforce dévoile sa plateforme « Force.com »
« Force.com », c'est le nom choisi par Salesforce pour sa plateforme de développement proposée comme un service (PaaS, platform as a service). Une plateforme pour concevoir des logiciels à exploiter en ligne. Dans quelques heures, l'éditeur va la présenter à ses utilisateurs réunis à San Francisco, du 16 au 19 septembre, à l'occasion de sa conférence Dreamforce. Force.com devrait même permettre à des « non-programmeurs » de bâtir des applications à connecter aux autres applications de l'écosystème de Salesforce. « Cette ouverture pourrait conduire à une explosion d'applications analogue à celle qu'a connu Facebook (NDLR, un réseau social très populaire outre-Atlantique) », espère Ariel Kelman, directeur marketing de la plateforme chez Salesforce. Les développeurs pourront faire héberger gratuitement leurs applications sur les serveurs de Salesforce, mais il leur sera aussi possible de créer leurs propres adresses d'accès (URLs). Ils pourront recourir à du code HTML, Javascript ou Flex, développé par Adobe. En complément, Salesforce propose cinquante objets à utiliser par simple « glisser-déplacer ». Force.com disposera notamment d'une solution de création d'interface utilisateur, baptisée Visualforce. Ariel Kelman précise que Force.com se différencie du langage de programmation Apex (de type Java). Ce dernier s'adresse en effet aux développeurs travaillant sur « les entrailles » et la logique métier des applications. Les participants à Dreamforce bénéficieront d'une démonstration de Force.com. Ils pourront également accéder à une préversion de la plateforme. Les absents devront apparemment attendre le quatrième trimestre la disponibilité de cette préversion. (...)
(17/09/2007 10:41:22)Antitrust : L'UE confirme la condamnation de Microsoft
Après trois ans d'attente, le couperet est tombé. Le tribunal de première instance de la cour de Justice européenne vient de confirmer la décision prise par la Commission européenne en 2004 qui avait condamné Microsoft pour abus de position dominante. Microsoft a ainsi bien violé la loi antitrust en Europe avec Windows et devra s'acquitter de l'amende de 497,2M€. Selon un communiqué, Microsoft a également été condamné pour avoir refusé de soumettre les informations liées à l'interopérabilité aux éditeurs tiers. La rédaction reviendra plus en détail sur le dossier dans la journée. (...)
(14/09/2007 15:47:04)Microsoft prépare son discours contre les Google Apps
La récente annonce de Capgemini d'intégrer à son portefeuille de services les Google Apps a déclenché l'ire de Microsoft. Une vive critique des services et applications bureautiques de Google dressée à l'encontre des entreprises, pour au final, les en détourner. Que Google façonne une offre de bureautique en ligne, soit. Mais que Capgemini mette son poids dans le support des Google Apps, voilà qui fait réagir l'éditeur d'Office. Notre consoeur américaine Mary Jo Foley, qui tient un blog guettant les moindres faits et gestes de Microsoft, publie un email apparemment envoyé par un porte-parole officiel de l'éditeur. Microsoft dresse dans cet email une liste de « dix questions que doivent se poser les entreprises avant de basculer vers les Google Apps ». Dix questions dans lesquelles l'éditeur de Redmond démontre que les Google Apps ne sont pas forcément adaptées aux besoins des entreprises. Il y a fort à parier que ce mail servira donc de base à l'argumentaire des chefs produits de Microsoft contre les Google Apps. Parmi les points soulevés, on retrouve la contrainte pour les utilisateurs d'être connectés en permanence, l'aspect figé non-personnalisable des outils, l'absence de versions finalisées des applications (en bêta permanente), le manque de fonctionnalités poussées. Mais également, la fragilité du support, et le coût qui peut être parfois plus élevé. Bref, autant de questions dont les réponses sont à chercher dans la suite Office 2007. On pourrait bien sûr s'interroger sur ces critiques, notamment celles portant sur le Saas (Software as a service, logiciel délivré en tant que service en ligne ), dans la mesure où Microsoft, sous l'impulsion de Ray Ozzie, son architecte en chef, a commencé à délivrer des services en ligne, estampillés Live. Mais à l'inverse de Google, qui mise uniquement sur le Saas, Microsoft a opté pour une stratégie mêlant applications desktop et services associées. Alors que l'ensemble des applications bureautiques Google sont en ligne, celles proposées par Microsoft combinent un puissant outil desktop, relié à une somme de services associés. Dans le jargon Microsoft, on parle de S+S (« Software + Services »). Google commercialise auprès des grands comptes une édition Premium des Google Apps (pour environ 40€ par utilisateur et par an), qui renferment un webmail, un client de messagerie instantanée, un éditeur de texte et un tableur, et un calendrier. Le logiciel de présentation qui devra concurrencer Powerpoint est encore en cours d'élaboration. (...)
(14/09/2007 08:25:58)Sidetrade renverse la tendance plus tôt que prévu
Résultats S1/2007 CA : 3,1 ME (+24%) Bénéfice net : 0,06 ME (contre une perte de 0,98 ME pour S1/2006) Retournement de situation pour Sidetrade, SSII spécialisée dans les logiciels financiers (comme la réduction des besoins en fonds de roulement). La société, qui était largement déficitaire il y a un an (avec une perte de près d'un million d'euros en juin 2006) retrouve des horizons plus verts : le bénéfice net est certes modeste (63 000 euros), mais il est enfin positif. « L'accélération de la croissance du pôle Activités STN conjuguée à une maîtrise des charges fixes nous a permis d'enregistrer un retour à l'équilibre avec douze mois d'avance par rapport aux dernières prévisions publiées », a déclaré le groupe dans un communiqué. Il y a un an, la société prévoyait un rééquilibrage de ses revenus pour 2008. Au vu des derniers résultats, la SSII annonce finalement être en avance sur son timing. Pour l'ensemble de l'exercice 2007, Sidetrade espère une croissance de son chiffre d'affaires supérieure aux 20% annoncés. (...)
(14/09/2007 08:21:21)Son DG promu, Cisco France change de tête
Laurent Blanchard accède à la tête de Cisco France après la nomination de Thierry Drilhon au poste de vice-président Europe en charge des partenaires. Thierry Drilhon assumait déjà le rôle de vice-président Europe de Cisco en plus de ses fonctions de DG France. Laurent Blanchard était le directeur général des ventes de Cisco France, et faisait partie du comité de direction. (...)
(13/09/2007 18:23:25)Unilog : Patrick Guimbal va remplacer Didier Herrmann
Dans un e-mail envoyé aux salariés d'Unilog, Jim McKenna, le directeur général et futur PDG de LogicaCMG (qui a absorbé la SSII française en 2006), annonce le nom du successeur de Didier Herrmann, le patron des activités françaises, allemandes et suisses en conflit avec le groupe depuis fin juillet. Ce sera Patrick Guimbal, actuel membre du comité exécutif du groupe et directeur des activités de conseil en management, qui prendra la relève. « Patrick Guimbal aura la responsabilité de l'ensemble de la France, coordonnant, en tant que représentant officiel, toutes les décisions relatives à l'activité française », écrit Jim McKenna. La prise de fonction de Patrick Guimbal reste suspendue au vote d'une assemblée générale des actionnaires d'Unilog, qui se tiendra le 8 octobre prochain. La fin de la marque Unilog Contraint en juillet dernier à démissionner de son poste au conseil d'administration du groupe, Didier Herrmann avait refusé de se démettre de ses fonctions opérationnelles. La direction de LogicaCMG avait alors demandé au conseil de surveillance d'Unilog la convocation en urgence d'une assemblée générale, afin de demander le départ du Français, convocation que ledit conseil avait dans un premier temps refusée. Mardi, ce dernier s'est finalement décidé à provoquer la tenue de cette assemblée. Une issue qui paraissait inéluctable, LogicaCMG ayant entamé une action au tribunal de commerce pour parvenir à ses fins. Pour nombre de salariés, le départ de celui qui fut présenté au moment du rachat comme le garant des valeurs Unilog signe la disparition de la culture qui avait fait la réussite de cette SSII. Fin août, l'intersyndicale adressait ainsi une lettre aux salariés et à la presse s'inquiétant du départ du dirigeant français, pourtant crédité de résultats positifs au premier semestre 2007. Selon nos informations, LogicaCMG s'apprête dès la fin de l'année à faire disparaître la marque Unilog. Depuis le rachat, la société évolue sous l'appellation : « Unilog a LogicaCMG Company ». (...)
(13/09/2007 18:06:43)Microsoft publie la R2 de Biztalk Server 2006
La Release 2 de Biztalk Server 2006, serveur de règles métier de Microsoft, est officiellement disponible. Cette R2, sixième version de Biztalk depuis son lancement en 2000, comporte des améliorations conséquentes. Elle intègre, en particulier, le support en natif des outils RFID. Microsoft promet la reconnaissance plug & play de tous les périphériques de collecte d'ondes RFID ainsi que de ceux de lecture de code barre (EPC). Un nouveau module EDI, entièrement réécrit, supporte le protocole AS2. AS2 permet des échanges EDI via HTTP ou HTTPS plutôt que via de coûteux réseaux propriétaires. Les "accélérateurs verticaux" tels Swift pour le monde bancaire, ou RosettaNet pour l'industrie, sont désormais intégrés à Biztalk sans augmentation du prix. Enfin, la réécriture du code en .Net 3 permet, selon l'éditeur, d'atteindre un niveau d'abstraction tel qu'il découple les services de la plateforme. Microsoft en profite pour commercialiser séparément des Adapter Pack pour SAP, Siebel et Oracle. Vendus six fois moins cher que Biztalk Server, ils permettent de partager des informations entre ces environnements et les outils Microsoft (SharePoint, SQL...). (...)
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