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(19/10/2011 09:56:55)

Les dépenses IT devraient croître de 3,9% en 2012 selon Gartner

Même si ce chiffre constitue un léger ralentissement par rapport à 2011 (+5.9%), Gartner souligne que les entreprises semblent vouloir poursuivre leurs investissements IT en dépit des tensions économiques globales.

Selon Peter Sondergaard, senior vice president chez Gartner, 65% des PDG estiment qu'au cours de la prochaine décennie, l'informatique contribuera plus que jamais auparavant à l'essor de leur secteur. Il a également noté que les dirigeants du monde IT doivent s'adapter aux rapides changements de paradigmes auxquels fait face le monde IT. A ce propos, il est revenu sur les défis que représentent le cloud, le web social, l'internet mobile, ainsi que l'explosion de la quantité d'informations disponibles. Pour chacun de ces domaines, il a évoqué les défis principaux qui attendent les dirigeants IT.

Des défis de taille

Le cloud: en 2010, les services cloud représentaient 3% des dépenses des entreprises. Ces 4 prochaines années, ces dépenses vont croître cinq fois plus rapidement que les dépenses IT globales (+19% par année jusqu'en 2015). La manière dont les entreprises gèrent leurs données est ainsi appelée à connaître de profondes mutations.

Le web social: alors que 1,2 milliards de personnes sont aujourd'hui sur des réseaux sociaux, les dirigeants IT doivent urgemment se préoccuper d'incorporer des fonctionnalités sociales au sein même de leurs systèmes d'entreprise.

Les données: selon M. Sondergaard, «La donnée est le pétrole du 21e siècle, et l'analyse fera office de moteur à combustion». Cette explosion du nombre de données disponibles va imposer une refonte totale de la stratégie de gestion des données au sein des entreprises, avec une démultiplication des systèmes (content management, data warehouse) connectés via des services de données et des métadonnées.

L'internet mobile: en 2010, le nombre de laptops, tablettes et smartphones entrés sur le marché a dépassé celui des PC de bureau traditionnels. En 2016, Gartner estime que 900 millions de tablettes numériques seront vendues. Cela nécessitera de la part de l'IT de repenser complètement la manière de fournir ses applications à ses utilisateurs. D'ici à 2014, 60% des entreprises IT auront déployés des app stores privés. Quant aux applications proprement dites, elles seront entièrement reconçues, pour devenir contextuelles, comprenant automatiquement l'intention de l'utilisateur.

Crédit Photo : D.R

ICTjournal.ch



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(19/10/2011 09:57:48)

Fives gère ses contenus avec Firstspirit sur Netweaver Portal de SAP

Le groupe Fives assure des prestations d'ingénierie industrielle, notamment pour livrer des usines clés en mains. Il emploie 5700 personnes dans une trentaine de pays.

Outre le PGI de SAP, le groupe emploie Netweaver Portal de SAP pour gérer un portail. Or il fallait permettre aux différentes filiales de gérer aisément leurs contenus numériques (textes, images, fichiers multimédias) publiés sur ce portail. Le groupe cherchait donc un outil de gestion de contenus multilingue s'interfaçant parfaitement avec Netweaver Portal mais apportant la convivialité manquante.

Après appel d'offres, Fives a choisi FirstSpirit. Outre l'intégration à Netweaver Portal, ce produit a été sélectionné pour sa capacité à intégrer des extensions susceptibles de permettre de futurs projets web.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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(19/10/2011 09:58:20)

Vision IT étend sa présence en France pour développer le nearshore

Et de quatre agences en France pour Vision IT Group. Déjà présent à Paris, son siège dans l'Hexagone, et à Toulouse, le groupe de services Informatique belge a ouvert en mars dernier deux nouvelles structures en région, l'une à Lille, l'autre à Lyon. Dans la capitale des Gaules, l'effectif de la société se compose d'une dizaine de personnes. Outre la couverture de Rhône-Alpes, l'agence lyonnaise doit également assurer celle de la Suisse Romande et devrait voir son activité étendue au reste du sud de la France. L'effectif Lillois de 14 personnes devra quant à lui prendre en charge le Nord-Pas-de-Calais ainsi que le reste des territoires situés au dessus de la Loire en association avec le siège parisien. Les deux agences mettront en oeuvre le catalogue de services du groupe, à savoir, le conseil métier et la qualification logicielle, le développement d'application métier et la gestion des centres informatiques.

Une année 2012 remplie d'incertitudes

« Ces nouvelles implantations vont nous permettre de fidéliser nos clients existants [...] mais aussi de cibler de nouvelles industrie telles que celles de la pharmacie et de la chimie à Lyon. En outre, la proximité géographique avec les entreprises est un atout dans nos métiers », explique Philippe Bellet, le directeur général de Vision IT Group en France. Ce dernier ne cache pas que la société de services doit également trouver d'autres sources de croissance. Selon lui, les perspectives du marché pour 2012 seraient en effet moins bonnes que pour cette année. « Les clients craignent les incertitudes qui planent sur l'an prochain. De fait, ils remettent en cause certains projets pour privilégier ceux qui vont leur apporter plus de compétitivité », témoigne Philippe Bellet.

Dans cette situation, autant choyer les entreprises et répondre aux mieux à leurs besoins. C'est d'ailleurs en suivant cette logique que Vision IT Group veut aussi faire de son agence de Lille un centre de développement nearshore en France. Jusqu'ici, le groupe disposait d'une plate-forme équivalente en Espagne. Mais EDF et la Société Générale, deux importants clients du prestataire, ne souhaitaient pas que leurs applications critiques soient développées à l'étranger. « Nous parviendront à faire du low-cost à Lille car le taux journaliser moyen d'un développeur y est de 40% moins important qu'à Paris », explique Philippe Bellet. Il reste en revanche supérieur de 39% avec l'Espagne. D'où la volonté de Vision IT Group de mutualiser l'ensemble de ses projets nearshore à Lille pour réaliser des économies en optimisant le taux d'occupation de ses équipes de développeurs locales.

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(19/10/2011 09:56:18)

Trimestriels Archos : des revenus en forte croissance

Archos confirme son statut de success story à la française dans le domaine des tablettes, en tous cas si l'on se réfère à la croissance de son activité. Lors du troisième trimestre 2011, le chiffre d'affaires du fabricant s'est élevé à 34,5 millions d'euros, en progression de 101% à période comparée de 2010. L'entreprise aligne ainsi son cinquième trimestre consécutif de très forte croissance. A fin septembre 2011, soit sur 9 mois d'exercice, les revenus du groupe représentaient 106 M€ contre 47,7 M€ un an plus tôt. Alors que l'année n'est pas encore achevée, le fabricant a donc d'ores et déjà dépassé les revenus dégagés sur l'ensemble de son exercice 2010.

L'internationalisation se poursuit

Les résultats du troisième trimestre 2011 montrent également une accélération importante de l'internationalisation du groupe. Le chiffre d'affaires qu'il génère aux Etats-Unis a en effet doublé pour atteindre à 5,3 M€. La percée est encore bien plus forte en Asie (+643%) où le groupe a réalisé pour 5,1 M€ de facturations au troisième trimestre 2011. L'Europe reste néanmoins le terrain de chasse privilégié de l'entreprise qui y a dégagé un chiffre d'affaires trimestriel de 24,1 M€ en hausse de 74%.

Reste désormais à attendre la publication du bilan annuel de l'entreprise pour savoir si 2011 sera l'année du retour aux bénéfices. Une perspective qui s'avère tout à fait probable puisqu'Archos avait publié 900 K€ de pertes nettes sur l'ensemble de l'année 2010, après avoir subit près de 21 M€ de pertes nettes l'année précédente.

Illustration : Henri Crohas, PDG d'Archos

Crédit Photo: DR

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(19/10/2011 09:59:15)

Le PDG de Twitter prône une stratégie axée sur la simplicité

Alors qu'un quart de milliard de tweets sont publiés chaque jour sur Twitter, le PDG du site de micro-blogging  Dick Costolo, a indiqué lundi soir, lors du Web 2.0 Summit qui s'est déroulé du 17 au 19 octobre à San Francisco, qu'il allait se concentrer sur le maintien de la simplicité pour faire face à ses  concurrents Facebook et Google+   « Nous proposons de la simplicité dans un monde de complexité », a t-il souligné. Nous allons épurer nos interactions - et Google a fait savoir qu'il allait rivaliser avec ces fonctionnalités - et la façon dont les gens utilisent notre service ».  Dick Costolo a ajouté que cela demandera de la retenue pour continuer à simplifier le service plutôt que de l'encombrer de fonctionnalités inutiles.

Le patron de Twitter, qui est aux commandes de l'entreprise depuis un peu plus d'un an, a rappelé que le site était en plein essor. Au début de cette année, le service comptait environ 100 millions de tweets par jour. A présent, ce chiffre a grimpé à 250 millions de messages par jour. Dick Costolo a noté qu'il avait fallu trois ans et deux mois pour que le portail atteigne son premier milliard de tweets. Actuellement, le site atteint ce nombre tous les quatre jours. Le PDG de Twitter a également signalé que l'outil revendiquait 100 millions d'utilisateurs actifs, et que la moitié se connectait tous les jours.

+ 40% d'utilisateurs mobiles

Il s'est dit très enthousiaste au sujet de l'utilisation mobile du service, qui augmente de 40% de trimestre en trimestre. D'après lui, suite au lancement d'iOS 5, et à son intégration avec Twitter, les inscriptions quotidiennes auraient triplé.

Dick Costolo a également précisé qu'il n'était pas pressé que son entreprise soit cotée en bourse, mais qu'il ressentait une certaine pression à la hauteur de la valeur de Twitter, estimée à 8 milliards de dollars.  «Nous avons plus d'argent que nous n'allons en avoir besoin, et ce, sur une longue période et nous serons en mesure d'évoluer si nous le désirons. Nous irons en bourse quand nous le voudrons et nous ne prendrons pas cette décision sur un simple coup de tête. »

Le PDG a obtenu des applaudissements enthousiastes quand il répondu à une question sur le moment où Twitter donnerait aux utilisateurs l'accès à leurs anciens tweets et messages directs. «Nous disposons d'un nombre limité d'ingénieurs de recherche et nous devons prioriser le travail qu'ils font », a-t-il répondu . «Mais nous allons faire en sorte qu'ils travaillent sur le sujet, car nous savons que c'est important pour nos membres. »

Illustration: Dick Costolo, PDG de Twitter. Crédit photo: D.R


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(18/10/2011 17:12:08)

Dell résilie par anticipation son partenariat avec EMC

Même si l'offre de stockage de Dell est en cours d'intégration, le constructeur veut s'émanciper au plus vite de son partenariat avec EMC. Il l'a fait aujourd'hui par un communiqué de presse en indiquant « Après une relation d'une décennie, Dell annonce ce mois-ci l'interruption de la vente des systèmes de stockage EMC. Cela comprend les marques Dell sous licence OEM EMC, mais aussi les produits revendus par Dell, y compris CLARiiON, Celerra, Data Domain et VNX ».

Le constructeur Texan a tenu immédiatement à rassurer les clients les plus récents en précisant que le support et le service seront maintenus. Il suivra la mise à jour matérielle (disques et baies), mais aussi logicielle, qui selon EMC est prévue jusqu'en 2016.

Pousser son portefeuille de produits de stockage


En l'espace de 3 ans et demi, Dell a investi 2 milliards de dollars dans l'activité stockage en rachetant plusieurs sociétés (Compellent, EqualLogic, Ocarina, Exanet). Il indique dans le communiqué de presse qu'il investira pendant son année fiscale 1 milliard de dollars dans un large éventail de solutions technologiques sur plusieurs sujets, les mobiles, les datacenters et les environnements clouds.

Avec la fin prématurée de l'accord (celui-ci avait été reconduit jusqu'en 2013), Dell montre qu'il se sent capable et mature pour proposer ses propres offres auprès des clients. Il dispose d'une gamme complète de produits allant de l'entrée de gamme avec PowerVault à Compellent pour le haut de gamme et EqualLogic pour les marchés intermédiaires.

Illustration : Dell EqualLogic P6400

Crédit Photo : Dell

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(18/10/2011 17:13:04)

Le cloud by Bull accompagne les entreprises dans leur transformation

Dominique Deboeuf, directeur marketing Computing Solution chez Bull explique « nous avons eu beaucoup de demandes des entreprises qui vont vers la « cloudisation » de leur système d'information ». Dans cette approche de transformation de l'entreprise, Bull adopte une démarche « pragmatique » en proposant Cloud by Bull qui comprend 4 piliers. Le premier est le cloud métier, « il s'agit d'établir une méthodologie, des analyses des besoins et de la maturité des entreprises sur le cloud. L'ensemble de cette démarche est regroupe au sein d'une offre de consulting baptisée Advisory for cloud » précise le responsable.

Le second pilier se nomme cloud agile. Il repose sur la solution Bullion cloud platform qui réunit au sein d'un même rack, le serveur Bullion et les solutions de VMware avec VSphere 5. L'aspect stockage est pris en charge par EMC. Cette offre est disponible sous trois configurations : Découverte (pour le développement d'applications), Département avec utilisation maximale des ressources et Entreprise comprenant des options de sécurité avancées.

Hébergement de clouds privés et conseils en sécurité


Le troisième pilier s'appelle cloud maîtrisé et comprend des offres pour la mise en place de clouds privés hébergés. Deux solutions sont disponibles, Managed Private Cloud (pour les clouds privés des entreprises) et MPC for E-Business ( à destination des acteurs de ce secteur) « Que l'on soit dans le cloud public ou privé, les responsables informatiques veulent conserver le contrôle de leur systèmes d'information » explique Dominique Deboeuf.

Enfin, le dernier pilier est le cloud sécurisé. Bull propose un ensemble de services de consultant pour identifier les risques et proposer des solutions techniques, comme la gestion des identités et des accès, la sécurité des liens et des données via du chiffrement haute performance.

Pour conclure, le responsable nous indique que « ces offres s'adressent aux grands comptes, mais également aux PME qui sont dans une démarche de réflexion avancée sur le sujet du cloud. »

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(18/10/2011 11:53:44)

Trimestriels IBM : une hausse de 8% tirée par les marchés émergents

IBM vient d'annoncer un bénéfice net de 3,8 Md$, en hausse de 7%, au troisième trimestre 2011, et un chiffre d'affaires de 26,16 milliards de dollars, qui progresse de 8% mais se situe un peu au-dessous des prévisions des analystes. En tenant compte des variations des taux de change, le chiffre d'affaires a progressé de 3%. Le bénéfice par action est de 3,19 dollars sur une base GAAP, soit une augmentation de 13%.

Le directeur financier Mark Loughridge (en photo) a souligné l'importance des marchés émergents pour la croissance future du groupe. Les revenus provenant des marchés chinois et brésilien ont augmenté de 19 et 13% à taux de change constant. Les marchés en croissance pèsent 23% du chiffre d'affaires d'IBM sur la période. Selon le directeur financier, les revenus ont été tirés par la croissance de ces marchés, en cohérence avec le modèle du groupe et en conjonction avec ses autres initiatives clés visant à assurer sa progression.

Les activités cloud ont doublé en un an

Pendant la conférence téléphonique de présentation de ces résultats financiers, les analystes ont, de façon répété, interrogé IBM sur l'atonie des ventes sur le secteur public et dans les services financiers, de même que, de façon générale, sur les principaux marchés. Mark Loughridge a demandé aux investisseurs de regarder les solides performances réalisées par divisions, notamment sur l'activité logiciels et services. Il estime qu'il ne faut pas considérer le secteur des services financiers en se bornant aux marchés principaux et explique que les problèmes économiques que chacun évoque ne se retrouvent pas sur les marchés en croissance.  

Les activités relatives aux logiciels d'IBM ont généré un chiffre d'affaires de 5,8 milliards de dollars, en hausse de 13%. La division services a progressé de 8%, à 15,1 Md$ et la division Systems et Technology de 4%, à 4,5 Md$. Parmi les réussites du trimestre, les ventes des systèmes Power ont augmenté de 15%.
D'autres domaines ont porté leurs fruits, notamment les solutions analytiques dont les revenus ont augmenté de 19%. Quant aux initiatives Smarter Planet, elles affichent une augmentation de 50% et les revenus générés par les activités cloud ont doublé par rapport à l'an dernier, indique IBM sans fournir plus de précisions. Cette croissance a conduit le groupe dirigé par Sam Palmisano à relever ses prévisions de résultats pour l'année 2011, les faisant passer de 13,25 à 13,35 dollars par action.

Illustration : Mark Loughridge, directeur financier d'IBM (crédit : IBM)

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(18/10/2011 11:16:36)

Témoignage: La Poste Courrier automatise le déploiement de services packagés

La DSI de la Poste Courrier a la volonté d'automatiser certains processus, notamment en matière de déploiement d'environnements. Laurent Dirson, directeur architecture et innovation, nous relate l'historique du projet, « nous souhaitons créer une plateforme multicanal qui vise à couvrir les besoins des centres de solutions et services en charge du développement des applications business ». Il ajoute, « l'ambition de cette plateforme est de répondre à trois exigences : comment réduire les délais pour répondre aux attentes des métiers, optimiser les coûts, tout en  garantissant, voire en augmentant la qualité de service ».

Le projet a été initié il y a un an et demi avec comme volonté de fournir des offres de services packagés « intimement basés sur les usages, en assurant la cohérence des informations sur les différents canaux d'accès » précise le responsable. Pour être plus concret, quatre offres de services sont actuellement disponibles. Par exemple, une porte sur la diffusion d'informations sur plusieurs canaux, Internet, intranet, accès partenaires, une autre permet d'exposer des services transverses comme les référentiels d'entreprises. Pour se faire, Laurent Dirson, explique qu'aujourd'hui  « nous arrivons à déployer de façon semi-automatisé les différents environnements. Nous avons baissé les charges et les délais mais pas de manière optimale. Certaines actions restent manuelles et séquentielles dans un contexte multi-sites. L'objectif est d'arriver à 100% d'automatisation.» Cette dernière phase est prise en charge par l'outil d'HP. Elle se déroule dans le cadre d'un cloud privé interne à La Poste Courrier, « avec la possibilité d'avoir une réserve de puissance lors des pics d'activité » précise Laurent Dirson. Les offres packagées  comprennent le déploiement de logiciels avec les éléments de sécurité (système d'exploitation, machine virtuelle), de la ressource matérielle, du réseau, des piles technologiques testées et validées, des environnements de développement et de production ainsi que des standards associés. Sur l'ensemble de ces éléments, le responsable explique que la solution HP s'est intégrée avec les systèmes d'information existants et les environnements hétérogènes.

Mener à terme l'automatisation des process

Initiée depuis un an et demi, la plateforme est en plein déploiement. « Nous aurons terminé la partie virtuelle à la fin de l'année et la partie physique sera intégrée complétement au mois de mars prochain pour une des offres packagées». Laurent Dirson rappelle que ce programme se fait par étapes et s'appuie sur la mise en place d'un portail self-service depuis la solution HP Automation : « quand on rédige des dossiers d'architecture technique, on a des éléments variants (nom de machine, DNS), le but est de passer par le portail pour intégrer ces éléments pour les injecter ensuite lors des phases de déploiement ».

Quels sont les objectifs visés ? Le responsable répond, « en cible, une industrialisation des déploiements des offres de services packagés de bout en bout automatisées à 100% en les mettant à disposition de nos centres solutions sous forme de  self-service. »

La notion de délai va se réduire très sensiblement. Pour aller plus loin, l'ambition pour 2012 sera le déploiement du réseau. « C'est une procédure  qui demande également beaucoup de manipulations techniques chronophages. Si nous voulons aller plus loin dans la qualité de service, il faudra passer par là ». Sur le plan des relations avec HP, l'intégration est réalisée par le constructeur avec un transfert de compétence aux équipes de la DSI de La Poste Courrier. Le prix du projet n'est pas public, mais Laurent Dirson conclut « le gain escompté est sans ambiguïté ».

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(18/10/2011 09:46:29)

Mathon modernise sa relation client avec les solutions SaaS d'Eptica

Mathon est un spécialiste de la vente à distance de matériel de cuisine. Depuis trois ans, il met l'accent sur le e-commerce via le site à son enseigne. Mais ce développement a entrainé une multiplication des demandes des clients, notamment sous forme d'e-mails entrants.

Or le distributeur gérait ses mails au travers d'une messagerie traditionnelle (Outlook en l'occurrence). Il avait donc besoin d'installer une solution plus pertinente pour assurer un suivi global des contacts clients, en les insérant dans le flux multicanal, et d'accroitre la pertinence et la rapidité des réponses faites.

Début 2010, Mathon a d'abord envisagé de réaliser un développement spécifique interne. Mais il a finalement choisi deux outils en mode SaaS fournis par Eptica : Eptica Email Management et Web Selfservice. La capacité de reporting de pilotage a été un argument important.

Les avantages des deux solutions

Eptica Email Management permet de router les demandes vers le bon interlocuteur puis d'aider à une réponse de qualité avec des aides en ligne et un suivi de l'historique client. De plus, un système d'alerte vérifie que les mails ont bien obtenu des réponses dans les délais impartis. La moyenne de traitement des e-mails était auparavant entre 3 et 5 jours. 80% des e-mails sont aujourd'hui traités en moins de 48 heures, l'objectif étant de descendre, avant la fin 2011, ce chiffre en dessous de 24 heures.

Eptica Web Selfservice, quant à lui, contribue à diminuer le volume des mails entrants en guidant les internautes pour trouver par eux-mêmes sur le site les bonnes réponses à leurs interrogations posées en langage naturel. Le volume global des contacts entrants a grandement diminué, le nombre des e-mails étant même divisé par deux.

Les deux solutions vont être prochainement intégrées à la GRC interne pour améliorer la prise en compte des contacts clients dans la gestion commerciale, notamment pour personnaliser au mieux celle-ci.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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