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(14/05/2007 16:56:12)
Atos n'est plus à vendre
Atos Origin n'arrive pas à se vendre. La SSII, qui enchaîne les publications de résultats faisant état de sa fragilité - perte de 264 M€ en 2006 - vient de mettre un terme aux discussions qu'elle entretenait avec le fonds d'investissement PAI Partners et le consortium Permira-Eurazeo. Il semblerait que les négociations aient achoppé sur le prix auquel Atos pourrait être valorisé. Dans un communiqué, le groupe français indique qu'«aucune offre ferme n'a été reçue et [que] le Conseil de surveillance et le Directoire ont conclu unanimement que la meilleure décision (...) était de réaliser le plan de transformation dans la configuration actuelle de l'actionnariat ». En octobre 2006, le fonds d'investissement Blackstone avait, déjà, manifesté de l'intérêt pour Atos. Quelques mois plus tard, une rumeur faisait de Capgemini un éventuel repreneur de la SSII. Ce que confirme, à demi-mots, Bernard Bourigeaud, le président du directoire, qui reconnaît avoir mené des négociations avec des partenaires industriels, et pas seulement des fonds d'investissement. Les titres Atos, dont la cotation avait été suspendue vendredi matin dans l'attente de la décision du groupe, sont de nouveau échangeables. Le cours de l'action pâtit du rejet des offres adressées par PAI Partners et Permira-Eurazeo : il décroche de plus de 15% à l'ouverture, ce lundi. Par ailleurs, Atos vient de publier ses résultats pour le compte du premier trimestre 2007. Le chiffre d'affaires atteint 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Et le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. (...)
(14/05/2007 15:25:33)Le PDG de GFI coupable d'un délit d'initié : 400 000 euros d'amende
Jacques Tordjman, le PDG de GFI Informatique, vient de se voir infliger une amende de 400 000 € par l'Autorité des marchés financiers pour deux délits d'initié commis en 2004 et 2005. Rappel des faits : le groupe publie, le 14 septembre 2004, ses résultats pour le premier semestre et fait état d'une prévision de marge opérationnelle de 5,4% pour l'ensemble de l'exercice. Il rectifie cette estimation le 9 novembre suivant et n'anticipe plus qu'une marge de 4%. Entre temps, Jacques Tordjman vend 120 400 actions au cours moyen de 5,12 €. Après l'alerte sur résultat, le cours du titre chute à 4,51 € le 10 novembre. Le PDG du groupe se serait de nouveau rendu coupable d'un délit d'initié en 2005. Le 18 février, il reçoit un courriel transmis par son directeur financier, qui l'informe que le résultat net serait négatif. Il vend, dans la foulée, 150 000 actions, sans attendre que l'information soit rendue publique. Au total, l'AMF estime que Jacques Tordjman a tiré un avantage financier de plus de 160 000 € en évitant les moins-values liées aux dépréciations successives des actions GFI et prononce à son encontre une sanction pécuniaire de 400 000 €. (...)
(14/05/2007 14:37:15)Sapphire : SAP acquiert une gestion des identités et un centre de contacts IP
SAP vient d'annoncer l'acquisition de deux éditeurs scandinaves, Wicom Communications et MaXware, pour compléter deux aspects distincts de son offre : d'une part, le centre de contacts de son application de GRC (gestion de la relation clients), et d'autre part, les fonctions de sécurité de sa plate-forme Netweaver, avec une solution de gestion des identités. Les conditions et les montants de ces deux acquisitions n'ont pas été précisés. Ces annonces sont faites alors que l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés (PGI) ouvre, à Vienne (Autriche), la session européenne de sa conférence utilisateurs Sapphire, trois semaines après la tenue du Sapphire américain d'Atlanta. Elles interviennent quelques jours à peine après l'annonce du rachat par SAP de l'éditeur OutlookSoft, spécialisé dans les solutions de gestion de la performance économique (CPM). SAP confirme son ouverture hors de son univers L'acquisition du Norvégien MaXware (300 clients dans le monde) va apporter à la plate-forme d'intégration SAP NetWeaver les fonctions de gestion centralisée des identités nécessaires pour sécuriser le déploiement d'applications dans des environnements informatiques hétérogènes. Une brique à l'importance cruciale puisque la vocation de NetWeaver est justement de faire opérer ensemble des applications SAP et non-SAP, dans un environnement distribué, en s'appuyant sur une architecture orientée services. MaXware fournit à SAP des technologies de fédération des données facilitant la mise en place d'infrastructures pour l'authentification unique (single-sign on). Il possède aussi des solutions d'annuaires virtuels permettant d'accéder de manière unifiée à des bases de données d'identités hétérogènes. Fonctionnant sur le modèle des architectures orientées services (SOA), ces solutions devraient rapidement être intégrées à la plate-forme NetWeaver sous la forme de services. [[page]] Ce matin, lors de la session d'ouverture de Sapphire, à Vienne, Henning Kagermann, PDG de SAP, indiquait que 13 068 clients avaient à ce jour adopté NetWeaver contre 5 880 l'an dernier à la même époque. Et que près de 8 500 d'entre eux utilisaient la plate-forme pour intégrer des solutions SAP et non-SAP. Rappelons qu'Oracle, principal concurrent de SAP, a lui-même procédé à trois rachats successifs (Oblix, Thor et Octetstring) dans le domaine de la sécurité et de la gestion d'identité. SAP proposait seulement des interfaces de programmation afin de se connecter aux outils des partenaires. Sun propose par exemple une déclinaison de son offre de gestion des identités pour SAP. Unifier la prise en charge des contacts clients dans une organisation répartie Quant à l'éditeur finlandais Wicom Communications, fondé en 1999, il est spécialisé dans les centres de contacts sur IP (Internet Protocol) et les logiciels de communication d'entreprise. En utilisant ses technologies dans son offre de GRC, SAP veut proposer une solution de centre d'appels multicanale sur IP, capable d'offrir une gestion unifiée de la voix, des SMS, du Web, des courriels et des téléphones mobiles. La solution de Wicom viendra s'intégrer avec l'application de centre de contacts SAP Interaction Center. L'un des points qui intéresse l'éditeur allemand dans l'offre rachetée est la possibilité d'intégrer des utilisateurs géographiquement répartis, travaillant sur des matériels disparates, en bénéficiant d'une administration centralisée. L'objectif est de mettre en place des processus de prise en charge des contacts de bout en bout, quels que soient le canal de communication utilisé et l'endroit où se trouvent les différents opérateurs. Le portefeuille Wicom Communications rassemble 200 clients sur 18 pays, centres de contacts ou entreprises multi-sites gérant d'importants volumes de contacts. (...)
(14/05/2007 13:47:09)Les opérateurs WiFi devront s'acquitter d'une taxe
L'Arcep estime que le marché du WiFi est désormais mature et dynamique. L'autorité de régulation des télécoms a donc décidé de mettre fin au régime dérogatoire spécial qui était en vigueur depuis le début des expérimentations fin 2002. Les opérateurs WiFi devront dorénavant, comme tout opérateur classique, verser une taxe administrative. Toutefois, ceux dont le chiffre d'affaires est inférieur à 1ME en seront exonérés. Actuellement, 210 opérateurs WiFi se sont déclarés auprès de l'autorité. Selon le cabinet SagaTel, chargé par l'Arcep de faire la photographie du marché, il y avait, en 2006, 37 000 hot spots payants sur le territoire français, dont 3 600 appartenaient aux opérateurs, ces derniers étant déployés essentiellement dans les hôtels, les gares, les aéroports et les résidences universitaires. La grande majorité des autres sites étaient des points d'accès payants développées dans le cadre de RLAN privés, souvent professionnels. Quelques centaines de point d'accès, essentiellement dans les cafés, restaurants et les municipalités, étaient en outre mis gratuitement à la disposition du public. Bien que les hot spots constituent l'essentiel des activités de ces opérateurs, ils n'ont généré en 2006, toujours selon le cabinet SagaTel, qu'un trafic de 40 millions de minutes par mois, ce qui représentait 0,1 % de celui du téléphone mobile. Les auteurs de l'étude estiment d'ailleurs que les acteurs du WiFi ne seront pas à l'équilibre avant plusieurs années. D'autre part, les opérateurs qui se sont lancés dans la desserte des zones rurales voient quant à eux leur activité menacée par l'extension du DSL, ainsi que l'arrivée du Wimax et de la FTTH (fibre to the home). Il n'est donc pas sûr que, en dehors des grands opérateurs comme Orange ou SFR, ils soient très nombreux à acquitter cette taxe. (...)
(11/05/2007 15:59:53)Steve Ballmer n'exclut pas un rapprochement Microsoft-Yahoo
Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, n'a pas profité de la conférence Software 2007 à Santa Clara pour faire taire définitivement les rumeurs qui font de Yahoo la cible d'un rachat par le géant du logiciel. Le patron du groupe s'est contenté de souligner qu'il n'est pas dans les habitudes de Microsoft de débourser 50 Md$ pour une acquisition. Une somme qui correspond justement à la valeur estimée du portail conduit par Terry Semel. Après avoir participé à une présentation des applications d'entreprise de Microsoft, Steve Ballmer a été interrogé sur la stratégie de croissance externe du groupe de Redmond. Sans mentionner Yahoo, le modérateur de la réunion a demandé à Steve Ballmer s'il était dans les plans de Microsoft d'acquérir une société valorisée entre « 40 et 50 Md$ ». Microsoft n'évoque jamais ses potentiels rachats, a répondu en substance le PDG, ajoutant « nous n'avons pas réalisé beaucoup de grosses acquisitions, mais nous n'excluons pas [cette éventualité] ». (...)
(11/05/2007 14:45:47)Lenovo va acheter 1,3 Md$ de logiciels à Microsoft
A l'occasion de la première étape d'une délégation commerciale chinoise en déplacement aux Etats-Unis, le fabricant de PC Lenovo a conclu avec Microsoft un contrat de plus d'un milliard de dollars pour l'achat de licences Windows XP, Windows Vista, Microsoft Office et autres logiciels. Quoique signé à San Francisco, l'accord a été commenté depuis Pékin à l'agence Reuters. « Nous pensons que le montant pourrait s'élever à quelque 1,3 Md$ pour cette année fiscale », a indiqué le porte-parole de Lenovo. Au total, la délégation chinoise pourrait acquérir 4,3 Md$ de technologies américaines. En dehors de Microsoft, Cisco, HP et Oracle comptent également parmi les bénéficiaires des 27 contrats conclus. En avril 2006, Lenovo et Microsoft avait déjà signé, pour 1,2 Md$, un contrat similaire qui confirmait un engagement de novembre 2005 entre les deux entreprises visant à généraliser l'usage de copies légales de Windows sur les PC chinois. La Chine a longtemps constitué un havre pour les contrefacteurs, les copies piratées de logiciels, incluant Windows, constituant alors plutôt la règle que l'exception. Lenovo, qui a acquis l'activité PC d'IBM en 2005, est actuellement le quatrième vendeur mondial de PC derrière HP, Dell et Acer. Selon des chiffres récents de Gartner, il détient maintenant 6,3 % du marché, contre 5,9 % l'an dernier, alors qu'il était numéro trois. Les contrats signés hier ne sont qu'une manifestation, parmi d'autres, de la visite de quelque 200 entreprises chinoises dans différents états américains. Si ces délégations commerciales sont régulières, les démarches de ces derniers jours constituent sans doute une volonté de calmer le jeu de la part de la Chine, à moins d'un mois de discussions entre son gouvernement et les Etats-Unis où il sera question du déficit de la balance commerciale américaine. Celui-ci s'élève à 232 Md$. (...)
(10/05/2007 15:25:42)Trimestriels GFI : la croissance dopée par l'international
Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 166,3 M€ Evolution : 6,3% (croissance organique) GFI Informatique vient de boucler son premier trimestre 2007 sur un chiffre d'affaires en progression de 2,2%, à 166,3 M€. A périmètre et taux constants, la croissance des revenus s'élève à 6,3%. Si la France continue de représenter le principal foyer de l'activité du groupe, c'est à l'étranger que GFI réalise la plus forte croissance. Le chiffre d'affaire à l'international (57,3 M€) croît ainsi de 14,2% en organique par rapport à la même période de l'année précédente. Une progression notamment due aux bonnes performances réalisés en Italie (+27%), en Allemagne (+21,2%) et en Espagne (+8,9%). Dans l'Hexagone, les revenus reculent de 2,9% sur un an à périmètre courant. Cette évolution tient compte de l'arrêt, mi-2006, d'une activité de revente de matériel. Sans tenir compte de cette opération dans la base de comparaison, la croissance réalisée en France atteint 2,5%. Par ailleurs, alors que le fonds d'investissement Apax est en cours de négociation pour entrer dans le capital, et que Fujitsu Services prévoit une OPA sur le groupe, le Conseil d'administration vient d'indiquer qu'il ne renonçait, pour l'heure, à se prononcer pour l'un ou l'autre de ces projets : « le Conseil ne pourra se prononcer qu'après une analyse approfondie des éléments de valorisation et de la pertinence du projet industriel et social ». (...)
(10/05/2007 10:34:36)Trimestriels Cisco : bonnes performances mais prévisions trop prudentes
Troisième trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 8,9 Md$ (+21,1%) Bénéfices nets : 1,9 Md$ (+34%) Des revenus en hausse de 21,1% à 8,9 milliards de dollars, des bénéficies bondissant de près de 34% à 1,9 milliards de dollars et des bénéfices par action de plus de 36% par rapport au troisième trimestre 2006... les résultats trimestriels (fin du Q3 au 28 avril 2007) de Cisco se positionnent au dessus des prévisions les plus optimistes des analystes. "Nous sommes très heureux que Cisco poursuive sa croissance année après année, grâce à de solides réalisations à travers la société" se réjouit John Chambers, PDG de l'équipementier. Et d'ajouter : "Notre succès est dû à notre capacité à anticiper les transitions de marché, ce qui nous permet de délivrer les bons produits correspondant aux opportunités de marché d'aujourd'hui, et qui nous prépare à tirer avantage de nouvelles opportunités à l'avenir." La société Scientific Atlanta, acquise en février 2006, a contribué pour 752 M$ à la réalisation du chiffre d'affaires (contre 407 M$ en Q3 2006). Durant le trimestre, Cisco a poursuivi sa logique de croissance externe : acquisition de Webex, spécialiste d'applications collaboratives ; clôture des acquisitions de Five Across, Reactivity, NeoPath Networks et Spans Logic ; intégration des actifs d'Utah Street Networks, opérateur du réseau social Tribe.net. Côté produits, l'Américain a dévoilé la version 6.0 de sa plateforme de communications unifiées et a étendu les capacités de son service Telepresence. Côté clients, l'équipementier a séduit de grands comptes comme le groupe Regus ou des opérateurs comme TeliaSonera. Pour le prochain trimestre, Cisco table prudemment sur une croissance d'environ 15% de son chiffre d'affaires. "Nous sommes ravis que notre croissance se poursuive. Nos technologies de communications et de collaboration permettent de construire la deuxième phase de l'Internet, le Web 2.0, qui redéfinit comment les personnes, les entreprises et les pays collaborent de façon jamais encore réalisée", conclut John Chambers. Cependant, les marchés n'apprécient pas les prévisions trop prudentes. Le titre plonge de près de 7% sur le marché américain. (...)
(07/05/2007 16:20:53)Micro Focus avale son rival Acucorp sur le marché Cobol
La concentration dans le secteur du logiciel touche aussi le monde Cobol : Micro Focus, dopé par ses bons résultats, vient d'annoncer l'acquisition d'Acucorp, pour 40,7 M$. Acucorp édite plusieurs logiciels pour les développeurs Cobol, notamment un atelier de développement graphique permettant de créer des applications Web, une machine virtuelle pour déployer du Cobol « sur plus de 600 environnements », et plusieurs outils d'accès aux données. Micro Focus propose déjà des outils comparables et ne cache pas, dans sa lettre d'intention, qu'il lui faudra procéder à une restructuration (l'éditeur annonce une charge de 8 M$ pour son prochain exercice fiscal). Micro Focus semble donc plus intéressé par les 4000 clients revendiqués par Acucorp. Le communiqué de Micro Focus dit en effet que « l'acquisition procure à Micro Focus l'opportunité d'étendre son rayon d'action au marché des petites et moyennes entreprises ». Sachant que Micro Focus s'enorgueillit de son côté de compter parmi ses clients 70 des grands comptes 'Global 100'. Micro Focus a terminé l'année, le 30 avril, sur un chiffre d'affaires d'environ 170 M$ (contre 143,7 M$ en 2006) - en comptant les revenus de Hal Knowledge Solutions, éditeur d'une solution de gestion du portefeuille applicatif, acquis en novembre dernier pour 3,5 M$. Au 31 décembre dernier, les actifs d'Acucorp étaient estimés 13,1 M$. (...)
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