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(25/04/2007 13:25:38)
Mouvements sociaux franco-allemands chez les opérateurs télécom
Après la vive réaction des salariés de Deutsche Telekom à la proposition de leur direction, le 16 avril, d'une baisse de salaires en échange d'une garantie de l'emploi, c'est l'inquiétude des salariés de France Telecom qui justifie, à l'unanimité des syndicats, l'organisation d'une grève annoncée pour le 31 mai. Outre-Rhin, le puissant syndicat Ver.di s'oppose au plan de réduction de la masse salariale annoncé par l'opérateur (une économie évaluée entre 600 à 900 millions par an par la direction). Ce plan visant plus particulièrement les 50 000 salariés qui seraient transférés vers une structure T-Services, filialisée, avec allongement de la durée du travail pour certaines catégories de personnel et baisse de salaires (de 12% en trente mois) en contrepartie d'un engagement à maintenir l'emploi jusqu'en 2010. Une solution qu'a, par ailleurs, déjà avancé le constructeur Fujitsu-Siemens en Allemagne, avec une augmentation de 10% du temps de travail (à compter du 1er avril 2007), sans hausse de salaires, mais en échange d'une garantie de maintien des effectifs à 4 750 salariés sur les trois années à venir. Pour Deutsche Telekom, le syndicat Ver.di estime que cette combinaison des mesures d'économie pourrait se traduire pour certains par une réduction de salaire allant jusqu'à 40%. Les débrayages qu'ont suscité cette annonce (touchant une dizaine de milliers de salariés dès le 17 avril) pourraient, en cas d'échec des négociations, déboucher sur l'organisation d'une grève générale. Au delà d'une démonstration de solidarité à l'égard de leurs collègues allemands, l'ensemble des syndicats de France Télécom (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, SUD), réunis le 16 avril, a décidé d'appeler les salariés à une grève pour le 31 mai prochain. A l'ombre du plan Next annoncé en février 2006 par le PDG Didier Lombard, qui inclut une réduction d'effectif de 17 000 postes dans le monde (16 000 en France, avec 22 000 départs naturels et 6 000 embauches) en deux ans, ce sont aussi et surtout les négociations sur les salaires et sur les conditions de travail qui achoppent. Selon les syndicats, en 2006, c'est avec 10 300 départs pour 2 400 recrutements que France Télécom a réalisé 7 900 suppressions d'emplois en France dès 2006. Le pourcentage de la masse salariale sur le chiffre d'affaires est passé de 20% en 2003, à 17,3% en 2006. A la clé, une baisse de pouvoir d'achat tant pour les cadres (2,1% pour l'enveloppe des augmentations individualisées) que pour les non-cadres (1,1% d'augmentation générale, l'inflation étant de 2,5% en 2006). Un constat, certes, non limité aux personnels des opérateurs historiques si l'on en croit les échos des négociations salariales lus sur les blogs des représentations syndicales d'autres opérateurs (Neuf Cegetel notamment). (...)
(25/04/2007 13:11:57)Trimestriels Sun : bénéfices confirmés mais revenus décevants
Résultats troisième trimestre : Chiffre d'affaires : 3,28 Md$ (+3.3%) Bénéfice net : 67 M$ (perte de 217M$ au T3 2006) Sun conclut le troisième trimestre de son exercice 2007 sur un résultat net positif. Après avoir aligné cinq périodes dans le rouge, le groupe a renoué avec les bénéfices au trimestre dernier, tout en décevant les analystes sur ses ventes. Le résultat net de Sun a atteint 67 M$ au troisième trimestre, contre une perte de 217 M$ pour la même période de l'exercice précédent. Un bénéfice qu'il convient cependant de nuancer : au niveau opérationnel, Sun retombe dans le rouge, avec une perte de 45 M$. La marge brute, quant à elle, augmente de 1,5% et s'élève à 44,5% du chiffre d'affaires. Si les revenus ont progressé au cours de la période écoulée, ils déçoivent néanmoins les analystes. Sun a reporté un chiffre d'affaires de 3,28 Md$, soit 3,3% de plus qu'un an auparavant. Les observateurs, de leur côté, tablaient sur 3,42 Md$. C'est, semble-t-il, la relative faiblesse de la demande en serveurs qui a handicapé les revenus, les clients montrant une tendance à décaler leurs décisions d'achat. Pour le quatrième trimestre, Sun vise un bénéfice opérationnel de 4%. (...)
(25/04/2007 12:10:52)Oracle va racheter Lodestar
Oracle souhaite acquérir Lodestar, un éditeur spécialisé dans les outils d'analyse de charge pour le marché de l'énergie. La déréglementation en cours et l'intérêt pour les économies d'énergie rendent ce secteur très dynamique, d'où l'intérêt de Larry Ellison d'intégrer un produit comme Customer Choice Suite au catalogue de son unité Utilities Global Business. Oracle avait déjà mis pied sur ce marché en mettant la main sur SPL WorldGroup en novembre dernier. Le rachat de Lodestar s'intègre dans le souhait du géant américain des progiciels de se renforcer sur certains marchés verticaux, notamment ceux de l'énergie et des télécommunications. Une stratégie qui s'avère payante en termes de revenus, a estimé Larry Ellison, lors de la publication des résultats de la société le mois dernier. Oracle n'a pas communiqué le montant de la transaction qui devrait être finalisée en mai. Ancienne division de Tasc, un éditeur de logiciels pour le marché de l'administration, Lodestar a acquis son indépendance en 1996. La société, dont le siège est à Peabody dans le Massachusetts, emploie 175 personnes et comptabilise une bonne centaine de clients dans le monde. Selon Oracle, une bonne moitié de ceux-ci compteraient parmi ses clients. (...)
(25/04/2007 08:58:14)Un packaging unifié pour l'offre SOA de Red Hat
Dans la foulée du rachat des actifs de Metamatrix (voir ci-dessous), Red Hat a annoncé le lancement d'un nouveau packaging pour les offres de sa division middleware JBoss. L'éditeur explique vouloir passer d'un modèle « à la carte » (en français dans le texte) à une offre de type solution pour les SOA (architectures orientées services) intégrant plusieurs produits : le serveur d'applications Java JBoss AS, le gestionnaire de persistance des objets Hibernate et le cadre applicatif Seam destiné à simplifier le développement. Le tout dans un téléchargement unique, avec des mises à jour unifiées délivrées automatiquement et des modèles de paiement par souscription élaborés pour l'occasion : un abonnement standard d'un an, avec un support téléphonique aux heures ouvrables et un contrat de niveau de service (SLA) de 4 heures, pour 4 500 dollars, ou bien un abonnement premium, avec un support 24x7 et un SLA d'une heure, pour 6 750 dollars. Les deux sont valables pour des serveurs au maximum quadri-processeurs. Pour les versions jusqu'à 32 CPU, les négociations tarifaires se font en direct. Red Hat a déjà décliné son offre pour les portails (avec des tarifs standard et premium de respectivement 9 000 et 13 550 dollars), et devrait le faire prochainement pour la gestion des processus métier. JBoss.org devient le laboratoire à idées Ce nouveau packaging de l'offre Entreprise s'accompagne d'un autre changement : JBoss.org devient en quelque sorte le laboratoire à idées où seront testées les innovations avant un transfert vers l'offre professionnelle. Sur le même modèle utilisé par Red Hat pour sa distribution Linux Entreprise et l'offre pour la communauté, Fedora. (...)
(24/04/2007 17:54:13)Gestion de contenu Web : SDL International absorbe Tridion
L'éditeur SDL International annonce le rachat de la société Tridion, spécialiste de la gestion de contenu Web, pour 69 M€. L'Anglais SDL International (presque 95 M£ de CA en 2006, soit 140 M€ environ) propose un ensemble de plateformes liées à l'internationalisation (i18n) et au multilinguisme des informations. Il dispose également dans son portefeuille applicatif du logiciel Trados, réputé dans le monde de la traduction professionnelle pour sa capacité de gestion des terminologies. Tridion, quant à lui, développe R5 - son produit phare -, une solution professionnelle de gestion de contenu Web, qui inclut notamment des fonctionnalités de marketing ciblé. La société hollandaise a réalisé un chiffre d'affaires de 21 M€ en 2006. Joint par lemondeinformatique.fr, Erik Aeyelts Averink, vice-président du marketing et du développement chez Tridion, explique que les deux sociétés, déjà partenaires technologiques, partageaient le même type de clients. "Nous vendons tous les deux aux grands comptes ayant des stratégies de contenu internationales. Nous savions également que nos clients respectifs utilisaient nos solutions séparément. R5 était notamment intégré avec les produits de SDL", argumente-t-il. La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée au deuxième trimestre 2007. A terme, Tridion deviendra une division indépendante de SDL. Et devrait, explique Erik Aeyelts Averink, profiter du vaste réseau à l'international de SDL, pour s'agrandir. (...)
(24/04/2007 17:54:33)Red Hat oriente l'offre JBoss vers les SOA avec Metamatrix
Red Hat a conclu un accord pour racheter les actifs de Metamatrix, éditeur d'une solution d'intégration et de gestion des données. L'offre Metamatrix sera immédiatement injectée dans la plateforme middleware de Red Hat, dont une version remaniée, JBoss Enterprise Application Platform, sera annoncée ce soir. Avant une évolution en profondeur, JBoss Enterprise SOA Platform, annoncée pour la fin de l'année. Metamatrix se classe régulièrement dans les tableaux des offres d'EII (Enterprise information integration) et de MDM (Master data management) réalisés par la presse ou les analystes. Le but des logiciels du premier segment est de fournir une vue unifiée des données en temps réel. Les logiciels du second segment servent de référentiel, en apportant une couche sémantique, afin que toutes les applications fassent bien référence aux mêmes données. Dans tous les cas, il s'agit de couches essentielles pour une offre SOA (architectures orientées services), qui doit intégrer processus, services et données. Metamatrix était partenaire de SAP qui complétait ainsi son middleware Netweaver, avant que l'éditeur allemand ne rachète Callixa fin 2005. (...)
(24/04/2007 16:53:54)Microsoft livre dans les temps sa réponse à Bruxelles
Microsoft a déclaré lundi 23 avril avoir rendu sa copie à la Commission européenne, en temps et en heure, comme l'avait exigé l'institution le 2 mars dernier. L'éditeur de Redmond a ainsi soumis sa réponse à Bruxelles qui l'accuse de surfacturer les licences de ses protocoles Windows (WSPP - Workgroup Server Protocol Program) à ses rivaux. Selon la Commission, Microsoft n'a pas fourni les documentations sur l'interopérabilité "dans des conditions raisonnables et non-discriminatoires", comme formulé dans les mesures de 2004. L'éditeur pratiquerait des tarifs prohibitifs pour la revente de ses protocoles, ainsi que les informations s'y rapportant. Microsoft devait initialement rendre sa réponse le 3 avril, mais la Commission lui avait octroyé, le 28 mars, vingt jours supplémentaires pour préparer son argumentaire. L'éditeur a de son côté demandé à la Commission, ce même lundi 23 avril, de clarifier ses propos sur ce qu'elle souhaitait en termes de tarifications. Le 6 avril, le Financial Times, citant des documents issus de la Commission, révélait que Bruxelles avait l'intention d'imposer à Microsoft de fournir gratuitement, ou à faible coût, ses protocoles. Neil Barrett, expert commandité par la Commission, estimait dans le document que la perception de 1% des recettes en guise de paiement serait même inacceptable. Et que 0% serait mieux. Pour rappel, Microsoft demande 5,95% des recettes générées par les technologies développées à partir des informations techniques fournies. (...)
(24/04/2007 10:53:40)Négociations exclusives et officielles entre Neuf Cegetel et Club-Internet
Cette fois c'est officiel, les négociations sont bel et bien en cours entre Neuf Cegetel et Deutsche Telekom, pour le rachat de Club Internet (filiale de DT). L'enjeu pour Neuf Cegetel est de rafler les 570 000 clients ADSL du FAI et ainsi passer devant l'éternel rival : Free. Selon le quotidien Les Echos, l'opérateur serait prêt à débourser entre 430 et 460 millions d'euros pour se payer Club Internet. L'affaire devrait être conclue d'ici à la fin du premier semestre 2007. (...)
(23/04/2007 12:04:27)SQLI se dote d'un spécialiste du CMMI en rachetant Alcyonix
La SSII française SQLI a annoncé le rachat du Québécois Alcyonix, un spécialiste de la méthode CMMI (Capability maturity model integration), qui vise à améliorer les processus des sociétés de services. Yahia El Mir, président du groupe, a fait depuis 2002 du CMM et de CMMI ses chevaux de bataille, pour relancer SQLI après l'éclatement de la bulle Internet. SQLI a atteint le niveau 3 de CMMI (sur une échelle de 5) et dit avoir 1 500 collaborateurs formés à CMMI. Partenaire officiel du SEI (Software engineering institute), qui définit les éléments de la famille CMM, Alcyonix déclare de son côté avoir assisté plus de 50 grands groupes, dont BNP-Paribas, PSA, Airbus et Sopra. « Alcyonix deviendra l'entité conseil, formation et certification du groupe SQLI », précise le communiqué de la SSII, qui ajoute qu'elle conservera « l'indépendance requise afin d'octroyer des certifications validées par le SEI ». Alcyonix a réalisé en 2006 un chiffre d'affaires de 1,4 ME. Et table, précise SQLI, sur une croissance organique de 15 % en 2007 et une marge opérationnelle d'au moins 10 %. L'acquisition, d'un montant de 1,4 ME, sera entièrement financée en numéraires. SQLI estime que cette opération conforte « les objectifs d'un chiffre d'affaires de 120 ME et d'une marge opérationnelle de 8 % annoncés pour 2007 ». (...)
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